L’idéologie du réchauffisme : le plus grand scandale de notre époque.

Publié: 16 octobre 2016 dans Uncategorized

bardinet

Par Jean-Pierre Bardinet.

Les USA, le Canada et la Chine ont signé l’accord de COP21 sur le climat. Quelles en sont les conséquences socio-économiques ? Mon confrère et ami l’ingénieur Jean-Pierre Bardinet vous en révèle ici quelques unes, sur cette imposture du siècle , dans laquelle des scientifiques, des politiques, des ONG et des médias vous ont entraînés, sans que vous ne posiez de questions. Êtes-vous à ce point climato-crédules et climato-soumis ?

Depuis plusieurs dizaines d’années, le GIEC, émanation de l’ONU (le Grand Machin selon le Général de Gaulle…) publie des rapports sur le réchauffement climatique. Dans ses statuts, rédigés par l’UNEP (United Nations Environment Program), autre émanation de l’ONU, il est demandé au GIEC de travailler sur le « Réchauffement Climatique Anthropique » (RCA) : «  Évaluer sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation ». Donc, avant même que le GIEC n’ait commencé ses travaux, on lui impose LA SOLUTION : il y a réchauffement ET il est anthropique, ceci à l’opposé de toute démarche scientifique rationnelle.

Donc, par construction et sauf à prendre le risque de se saborder, les dirigeants du GIEC vont tout faire pour justifier cette proposition, et il n’est pas étonnant qu’ils aient toujours soigneusement écarté ou minimisé les observations gênantes, ou se soient s’appuyés sur des théories scientifiques douteuses comme, par exemple :

  • Le modèle obsolète d’effet de serre d’Arrhénius, réfuté par les physiciens de son époque, et que le GIEC a fort opportunément sorti de son chapeau,

  • Inventer un nouveau processus physique, le forçage radiatif avec rétroaction, qui a la propriété étonnante de violer la seconde loi de la thermodynamique…

  • Ou encore de postuler que la durée de vie du CO2 « anthropique » est de plus de 100 ans, alors qu’il est établi que, chaque année, un cinquième du CO2 de l’air est absorbé par la biosphère (végétation et océans) et renouvelé par dégazage des océans en zone tropicale et des sols. L’hypothèse que le CO2 « anthropique » aurait la propriété de rester dans l’atmosphère plus de 100 ans, car il serait «  marqué  » comme étant différent du CO2 d’origine naturelle, et donc devrait avoir un comportement spécifique («  exception  » du CO2…), est totalement absurde.

Le Groupe 1 (WG1), chargé de la partie scientifique, fait la synthèse des publications parues dans les revues scientifiques à comité de lecture. Le Groupe 2 (WG2) s’attache à identifier les conséquences du RCA, et le Groupe 3 (WG3) s’occupe des politiques d’adaptation et d’atténuation. Le GIEC n’est donc PAS un organisme scientifique, mais une construction politique onusienne chargée de justifier une idéologie dont les origines proviennent des mouvements écologistes, souvent les plus radicaux.

Une fois que le rapport scientifique est rédigé (compilation de nombre de publications judicieusement sélectionnées, parfois au mépris des propres règles de l’organisation- cf l’inclusion en 2007 du rapport Stern au-delà des dates limites de publication et de révision …), le résumé pour les décideurs (SPM) est préparé entre les dirigeants du GIEC et les représentants des gouvernements, sous la pression plus ou moins amicale des ONG environnementalistes. Il est négocié mot par mot, à la virgule près, selon les bonnes habitudes de l’ONU. De ce fait, le SPM gomme toutes les nuances, toutes les interrogations, tous les aveux de méconnaissance que l’on peut trouver à foison dans le rapport scientifique.

Il est pour le moins étrange que le résumé pour décideurs soit ainsi mis au point et validé par … les représentants des mêmes décideurs. Que dirait-on d’une société industrielle dont les dirigeants contrôleraient le rapport d’audit ? Puis, il est publié et présenté en grande pompe aux Etats, aux institutions internationales, et aux médias du monde entier pour qu’ils relayent aux peuples de toute la planète la vérité auto-proclamée ainsi établie.

Après ce faste clinquant et fort onéreux, les scientifiques, ou plus exactement la poignée de scientifiques activistes en charge de contrôler le processus, sont priés de mettre le rapport scientifique en conformité avec le SPM, lequel a force de Loi, et leur rapport final ainsi remis dans la Ligne du Parti est publié plusieurs mois après le SPM.

Jamais la science n’avait été ainsi encadrée (sauf lors du bolchevisme avec le lyssenkisme) et jamais son éthique la plus élémentaire n’avait été ainsi foulée aux pieds.

C’est ainsi que la propagande en faveur des thèses du GIEC est omniprésente, particulièrement en France, et que les médias, ayant perdu toute éthique professionnelle, font preuve d’un soutien inconditionnel au dogme du RCA (Réchauffement Climatique Anthropique). Les thèses du GIEC permettent ainsi de justifier les plans climat-énergie qui fleurissent comme pâquerettes au printemps dans les pays de l’UE, et qui ont pour conséquence le développement inconsidéré des EnR intermittentes, qui sont la pire des transitions énergétiques. Et toutes les politiques de l’UE (plans climat-énergie, taxes carbone, règlementations contraignantes, agrocarburants …) nous coûtent déjà très cher : les surcoûts de la loi de transition énergétique se montent à 23 Md€ en 2016, selon une analyse de l’IFRAP :  et cepour des prunes.

En effet, supposons que les thèses du GIEC soient exactes. L’UE prévoit de réduire de 20% nos émissions de CO2 pour 2020, afin de sauver la Planète (au passage remarquons combien ce thème est mis en exergue partout, y compris dans la publicité commerciale, sans se préoccuper des humains, seulement des pauvres ours polaires…). La part de CO2 anthropique mesurée dans l’atmosphère est faible : 5% de 400 ppm, soit 20 ppm. La fraction d’origine européenne est de 11%, soit 11% de 5%=0,55 %. La réduire de 20% la fera donc passer de 0,55% à 0,45% en 2020. Et cela conduirait à un impact (selon le GIEC) de 20%*11%*5%=0,1%, donc une limitation du réchauffement de 0,001 à 0,006°C, ce qui est non mesurable.

Dépenser des centaines de milliards d’euros (1000 milliards d’euros pour l’Allemagne) au détriment des ménages et des entreprises pour un si piètre résultat risque de mener l’UE à sa ruine…

commentaires
  1. jean-luc dit :

    M. Duberger vous laissez passer les calculs du dernier paragraphe même s’ils sont faux. Ce n’est pas de la science ce dernier post.

    Vous et votre auteur invité racontez n’importe quoi en autant que ça appuie votre idéologie.

  2. Paul S. dit :

    J’ai regardé le discours de Mr. Al Gore la semaine dernière à une assemblée préélectorale du Parti démocrate en Floride.

    À ne pas douter, sous la présidence de Mrs. Hillary Clinton, les politiques vertes seront imposées aux américains sans aucune retenue. Mr. Barack Obama devait se l’imposer à cause du Congrès dominé par les républicains (voir les représentation de Mr. John Kerry à Paris l’an dernier pour atténuer la portée des résolutions étapistes du COP21).

    La grande dame mettra les charbonniers au chômage, tel que promis.

    Non seulement l’UE sera menée à la ruine, mais aussi les USA, ainsi que le Trudeauland. Je doute que la Chine, la Russie et les économies fortes émergentes participassent aussi à la chasse aux chimères.
    Pour certains, ce scénario était écrit ainsi pour affaiblir les démocraties occidentales en prévision de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial sous la direction apparente de cette ONU décevante.

    Pour changer le cours de l’histoire, il aurait fallu pouvoir compter sur un iconoclaste, comme Mr. Donald J. Trump, qui ne se préoccuperait pas de la rectitude politique ambiante, en surenchère celle-ci, tant que personne n’osait de dire que l’empereur est nu.

    Dommage que le Donald bombastique ne soit pas un playboy gai sur le retour se vantant d’avoir une main baladeuse attirée par les mâles qu’il rencontre.
    Il aurait été à l’abri de l’ire insincère des journalistes gauchisants, la rectitude oblige et possiblement, le désir de changement du peuple aurait pu le porter au pouvoir.

    Voilà le penchant mal dirigé d’un individu vers une cavité corporelle, plutôt qu’une autre, qui aurait pu nous faire économiser 89,000,000,000,000.00 $ et bien d’autres déboires avant, pendant et après ce gaspillage.

    • jean-luc dit :

      C’est vrai que H. Clinton va favoriser une politique environnementale plus adéquate. L’autre D.T. c’est un bouffon, comment vouloir souhaiter son élection ?

      Votre analyse semble ne pas inclure le rôle des chinois dans les prochaines années. Ce n’est pas un gouvernement mondial Onusien qui me faire peur, mais plutôt celui d’un gouvernement Chinois trop puissant économiquement surtout si on leur donne des énergies à faible coût.

      Une taxe Carbone pourrait avoir également le rôle de rééquilibrer la circulation des monnaies au détriment des chinois surtout si les USA prenaient un rôle de leader dans les énergies renouvelables.

      Tant qu’à la faillite de l’Europe et bien ce n’est pas ce qu’on a vu dans les dernières années avec L’allemagne qui a pris un rôle de leader justement dans les énergies renouvelables, et qui s’en porte très bien.

      • Reynald Du Berger dit :

        Mise au point pour Jean-Luc. En Allemagne malgré un parc de plus de 30.000 MW, l’éolien peine à fournir moins de 10% de la production électrique et une partie de cette énergie doit être bradée à perte ou délestée.! Notons que cet hiver, l’Allemagne a remis en service (et en catimini) 5 des centrales nucléaires arrêtées après l’accident de Fukushima… Elle mise également sur la construction de centrales nucléaires en Pologne et sur l’exploitation massive du gaz de schiste polonais. Elle développe également un vaste programme de centrales thermiques au charbon. ce texte est tiré de cet article qui vous fera perdre certaines de vos idées reçues sur le ENR. Bonne lecture ! http://asso.acide89.free.fr/guide_eolien.pdf

  3. pierre chagnon dit :

    M.Jean-Luc a vraiment bien été programmé par nos écolos divers, ou il est un de ceux qui profite des lois environementales et des contrats qui en découlent , faire du CO2 un gaz polluant est une aberration scientifique, il faut être complètement dénué de sens logique pour affirmer une telle stupidité .

  4. jean-luc dit :

    Vous omettez de dire que l’Allemagne a développé la production de biométhane (renouvelable) comme pas un.
    Vous omettez de dire que l’énergie Eolienne est en pleine expansion alors que le charbon est en décroissance.

    Eh non l’Allemagne n’est pas en faillite.

    est-ce que l’auteur que vous citez est aussi fiable que le suivant qui se trompe du simple au double en ce qui concerne la production éolienne du Danemark qui représente 40 % de ces besoins nationaux alors que J. Ruste affirme qu’on ne peut pas dépasser 5 à 7 %

    http://objectifterre.over-blog.org/2015/04/jean-pierre-bardinet-caricature-de-l-internaute-qui-ne-comprend-rien-a-rien-aux-energies-renouvelables.html

    Le Québec aussi a augmenté sa production éolienne et il n’y a pas plus de panne de courant qu’avant.

    Pour le Québec c’est extrêmement réaliste de n’avoir que des énergies renouvelables comme source fiable d’énergie (hydro, éolien, biomasse). Pas besoin de charbon, pétrole, gaz de schiste qui gruge notre balance commercial avec les pays producteurs.

    Pour votre information M. Chagnon c’est l’EPA qui a énoncé en premier que le CO2 était considéré comme un gas polluant. Selon votre affirmation vous vous considérez plus avisé que l’EPA en matière d’environnement ?

    • Reynald Du Berger dit :

      « l’Allemagne a développé la production de biométhane (renouvelable) comme pas un. » des broutilles en termes de MW produits.
       » l’énergie Eolienne est en pleine expansion alors que le charbon est en décroissance.  » FAUX. On démantèle en ce moment des parcs d’éoliennes et on construit des centrales au charbon.
      Au Québec, l’éolien est une catastrophe sociale économique et environnementale. Les quatre millions de clients d’Hydro-Québec devront absorber une facture de 23 milliards $ d’ici 2042 pour les parcs éoliens qui existent déjà. Le gouvernement se doit de prendre des décisions rationnelles basées sur l’efficacité, et non axées sur un soutien artificiel de filières énergétiques qui coûtent cher et donnent peu de bénéfices. Il ne faudrait pas répéter avec les voitures électriques la même erreur qu’avec l’éolien.
      Vous semblez ne pas avoir lu l’article de M. Ruste… relisez attentivement et prouvez qu’il a tort quand il détruit les préjugés suivants:
      1 – Ce sont des énergies gratuites
      FAUX
      Si le vent et le soleil sont des énergies primaires gratuites, elles ne sont pas utilisables directement et nécessitent donc des « moyens de conversions « (aérogénérateurs, panneaux photovoltaïques) très coûteux
      Exemple de l’éolien :
      – Investissement : 1 à 1,5 millions d’euros par MW,
      – Production annuelle (par MW): 175.000 kWh (pour un facteur de charge de 20%)
      d’où un coût hors entretien : 8,6cts€/kWh
      2 – Ce sont des énergies propres (ou « vertes » ou « écologiques »…)
      FAUX : Pour 2 raisons
      a) Une éolienne c’est un mat en acier de 100 à 120m de haut, une nacelle de 70 tonnes (un « autocar » !) avec engrenages, alternateur, moteur, huile (700 litres)… et des pales en matériaux composites (15 m de long), plus un socle de 1500 tonnes de béton ferraillé… Tout ceci à un coût énergétique (d’autant plus qu’elles sont fabriquées en Allemagne, Danemark, Chine avec une électricité essentiellement thermique, très polluante…)
      En terme d’émission de CO2 par kWh produit, l’éolien se situe entre le nucléaire (très peu) et le photovoltaïque (beaucoup plus…).
      b) La production éolienne dépend très fortement de la vitesse du vent (P=0,5SV3)1 : si elle commence à produire un peu dès que les vents atteignent 5 m/s, elle n’atteindra ses capacités maximales qu’à partir de 12m/s pour être stoppée vers 25m/s pour éviter sa destruction.

      3 – Ces énergies vont permettre de résoudre la demande future en énergie électrique
      FAUX -voyez le texte de Jacky Ruste-

      4 – Ces énergies sont économiquement compétitives
      FAUX -voyez le texte de Jacky Ruste-

      5 – Ça va créer des emplois
      FAUX -voyez le texte de Jacky Ruste-

      bref relisez le document et dites-nous que les faits présentés par Jacky Ruste sur l’éolien sont faux.

      • jean-luc dit :

        On dirait que vous et Jacky Ruste mélangez le concept d’énergie libre qui est un concept ésotérique et le concept d’énergie moins polluante par rapport à d’autres sources.

        J. Ruste dit dans son document que l’éolien ne vaut pas la peine étant donné que pour faire les mat, pâle et nacelle la source d’énergie pour les fabriquer proviendra de centrale électrique au charbon (en allemagne). C’est tout un point qu’il nous dit là (J’ironise car en fait il se contredit). Avec des arguments ainsi tricoté il n’est pas possible de discuter sérieusement !

        Je n’ai jamais affirmé que l’éolien était gratuit et totalement sans effet sur l’environnement : c’est ou que vous allez chercher cela ?

        Les faits parlent d’eux même: L’éolien est en croissance et le charbon en décroissance. L’éolien est de moins en moins chère.

      • Reynald Du Berger dit :

         » L’éolien est en croissance et le charbon en décroissance. L’éolien est de moins en moins chère. » c est pas ce que pensent ni font le Allemands en ce moment… On fait de l’électricité en ce moment dans le monde avec barrages, centrales nucléaires et thermiques – et marginalement avec l;e géothermique-solaire et vent sont des catastrophes. Même les USA démantèlent leurs vire-vents et le gaz de SHALE est en pleine expansion aux USA et en Europe.

      • jean-luc dit :

        L’éolien ne crée pas d’emplois !!! que vous dites : parlez-en à la compagnie Marmen qui a une usine à Trois Rivières et une autre à Matane

      • jean-luc dit :

        le gaz de Shale se développe, mais ça ne veut pas dire que c’est bon pour l’environnement et l’économie. L’argent va dans les poches de quelques compagnies.

        ça ne répartie pas nécessairement la richesse !

      • Reynald Du Berger dit :

        Félicitations Jean-Luc pour votre « shale » car un schiste est une roche métamorphique donc incapable de générer du gaz, donc de la richesse … ya que Rad can qui parle de gaz de schiste

      • Reynald Du Berger dit :

        « ça ne répartie pas nécessairement la richesse !  » c est quoi cette philosophie, ce système communiste qui m’oblige à « répartir » ma modeste richesse personnelle .. J’ai créé de la richesse personnelle et surtout COLLECTIVE en formant des centaines d’ingénieurs géologues qui créent de la richesse collective pour que VOUS monsieur Jean-Luc, et vos enfants aient accès à la santé et l’éducation… des mines, du pétrole et du gaz… méprisés par la gauche écocondriaque, parasite et éternelle pleurnicharde et j’en ai sué, bavé, travaillé pour arriver là… et on vient m arracher de force ma petite « richesse » pour la répartir entre des gens écocondriaques qui mettent des milliers de bâtons dans les roues de mes élèves qui veulent explorer et exploiter les gaz et pétroles de shale? Une honte !

    • Robert dit :

      Cybol Jean-Luc;

      1) C’est le CO2 qui nous nourrit via la photosynthèse. 6CO2 + 6 H2O = C6H12O6 (glucose) + 6O2. La chlorophylle sert de catalyseur pour emmagasiner l’énergie et le rubiscon pour produire le glucose (Cycle de Calvin). Les nitrates, les phosphates, les métaux essentiels etc… viennent du sol via les racines.

      2) Le CO2 est très soluble dans l’eau (50 fois plus que l’oxygène) (à 15 oC c’est 2,0 g/litre et 3,0 g/litre à 4 oC). Il y a entre 50 – 75 molécules d’eau pour chaque molécule de CO2 dans l’atmosphère. Alors comment ces ignorants peuvent-ils prétendre qu’une molécule de CO2 demeure 100 ans dans l’atmosphère. J’ai même lu 1000 ans. Le CO2 doit tomber au sol pour alimenter les plantes (C’est sa job). C’est avec ces plantes que nous et nos animaux nous nous nourrissons. Je pense que l’EPA n’a jamais déclaré officiellement le CO2 gaz polluant….Ça n’a pas de sens. Quand on pense que 80% de la photosynthèse se fait dans les océans;

      3) Toute augmentation de température des océans fait sortir du CO2 (gaz) qui s’en va dans l’atmosphère. C’est normal et démontré.

      • Robert dit :

        Jean-Luc;

        Vous êtes en désaccord avec ce que j’ai écrit? C’est connu depuis des décennies (Melvin Calvin prix Nobel 1962)…Vous devriez être au courant de tout cela?

      • jean-luc dit :

        Je comprends la photosynthèse, ce n’est pas le problème.

        Si la photosynthèse pouvait prendre en charge le CO2 il n’y aurait pas d’augmentation depuis 100 ans, d’autant plus que la température augmente.

        Mais non la nature n’est pas en mesure de prendre en charge toutes les émissions anthropique du CO2. C’est un fait.

        Je vais vous trouver la référence de L’EPA et en même temps pourquoi le CO2 est considéré comme un polluant. Mais je tient juste à vous souligner que je ne connais pas de combustibles fossiles qui n’émet pas de polluant pendant sa transformation et lors de son utilisation. Vous savez cela quand même ?

      • Guillaume dit :

        Robert,

        Le CO2 dans l’atmosphère est passé de 300 ppm à 400 pm (environ) au cours des 60 dernières années. Comme vous le mentionnez, le CO2 est soluble dans l’eau, les océans ont donc dû absorber une plus grande quantité de CO2 pendant cette période. Ceci entraîne une acidification des océans (baisse du pH). Donc peu importe l’origine du CO2 (anthropique ou non) et leur « durée » dans l’atmosphère (100 ans, 1000 ans, 1 journée… peu importe), il semblerait qu’il n’y ait pas d’équilibre entre l’atmosphère et les océans car le CO2 augmente à la fois dans l’atmosphère ET dans les océans. Autrement dit, la combinaison océan-atmosphère n’est pas capable de gérer l’augmentation de CO2 (probablement due à l’activité humaine). C’est donc tout à fait normal de s’en préoccuper et d’évaluer les impacts potentiels sur le climat et sur la vie dans les océans (faune et flore). On ne peut pas juste argumenter que le CO2 fait partie du cycle de photosynthèse pour se laver les mains des changements de CO2.

        http://www.pmel.noaa.gov/co2/story/Ocean+Acidification

        Quant à l’argument « c’est le CO2 qui nous nourrit » que vous utilisez pour balayer sous le tapis les problèmes potentiels (je dis bien « potentiels » pour rester, disons, « climato-correct »), il faut bien admettre qu’il est… complètement ridicule. C’est comme affirmer qu’il est recommandé de se faire des toasts à la limaille de fer car le fer est un élément essentiel pour le fonctionnement normal du corps humain… ou bien plaider qu’il n’est pas néfaste de se mettre la tête dans un micro-onde en marche ou un dans barbecue à puissance maximale car « ceux-ci contribuent activement à nous nourrir ». Ou bien qu’il n’est pas dangereux de se noyer dans l’eau, pourtant essentielle à la vie.

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        Guillaue, les océans ne sont pas le seul « puits » de carbone… il y a la végétation , les sols etc… Le Co2 est aussi nécessaire à la précipitation du CaC03 à partir duquel presque tous les organismes marins fabriquent leurs coquilles ou squelettes. IL n’y a pas d’acidification dramatique. Le seuls fait que les écocondriaques aient inventé l expression « puits » de carbone montre leur inculture scientifique. On retire d’un puits, on n’y dépose rien. Personne ne peut produire un bilan de carbone océanique. Plus de 85% de la volcanicité est sous la mer, on n’en a ni l’INVENTAIRE et encore mois le BILAN (combien de milliards de tonnes de H2O et Co2 par jour… ) cela varie énormément selon endroit et dans le temps… Donc impossible d accuser l homme pour une quelconque faible « acidification » si acidification il y a. C’est la T qui fait augmenter le CO2 atmosphérique et non l’inverse comme on vous force à le croire. Faites l expérience avec une bouteille de Perrier.. plus eau est froide et à haute P, (conditions des fonds des mers) plus l eau peut contenir de CO2 en solution. Personne ne sait ce qui se passe sur plus des 2/3 de la planète… personne… pourtant l’ONU ose nous présenter un « cycle du carbone » .. pure foutaise ! Combien de milliards de tonnes de CO2 et H2O des sources hydrothermales? Personne n a la réponse même approximative.

      • Guillaume dit :

        M. Duberger,

        Il semble que les concentrations de CO2 aient augmenté de la même façon à Hawaii et en Antarctique, selon les données que j’ai pu trouver. De plus, cette augmentation rapide coïncide avec le début de la révolution industrielle. J’essaie de garder mon esprit le plus ouvert possible : il se peut que ça soit une totale coïncidence, j’en conviens…

        On entre dans un magasin de porcelaine. Toute la porcelaine est cassée en mille morceaux. On trouve un éléphant dans le magasin. La plupart diraient : « Se pourrait-il que ça soit l’éléphant qui ait cassé toute la porcelaine ?». Les climato-sceptiques (ou réalistes, peu importe) disent : « Puisqu’on ne connaît pas tous les facteurs inimaginables, possibles et impossibles, qui pourraient expliquer ces bris porcelaine, on ne peut en aucun cas conclure qu’il est peut-être un tant soit peu possible ou probable que ça soit l’éléphant qui en soit responsable. La conclusion qui en découle fallacieusement : l’éléphant n’est donc pas responsable. »

        C’est ce qui me dérange profondément dans tous ces raisonnements des climato-sceptiques-réalistes. Vous accusez la population de manquer d’ouverture d’esprit et d’adhérer aveuglément aux théories de ceux que vous appelez les réchauffistes (de façon condescendante). Mais s.v.p. ne venez pas me faire croire que vous faites preuve de plus d’ouverture d’esprit. Vous consacrez toutes vos énergies à trouver des arguments qui donnent raison à votre point de vue, et à rejeter ou simplement ignorer les arguments qui vous sont défavorables, plutôt que d’essayer réellement de trouver la vérité.

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        Guillaume, votre éléphant est trop gros pour une comparaison valable. Je crois que l homme n y est pas pour grand chose comparé au soleil (moteur principal du climat), aux oscillations océaniques, el nino , volcanisme etc… si vous tenez à votre gros éléphant (énorme comparé à l homme) j accepte la comparaison climatique mais en le comparant au gros soleil. et alors oui, la comparaison tient, car la souris (homme) ne brise pas de porcelaine dans le magasin.

        vous dites « de façon condescendante »… ? comment condescendante? je n affirme rien, je DOUTE tandis que vous AFFIRMEZ le RCA. Alors répondez clairement à ces questions claires:
        1- croyez-vous a RCA (réchauffement climatique anthropique) ? si oui, pouvez vous m’en fournir une preuve? 2- pouvez-vous expliquer pourquoi la température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans malgré une augmentation continue du CO2 atmosphérique?

      • Guillaume dit :

        M. Duberger,

        J’aimerais bien vous donnez raison, mais la grande majorité des climato-sceptiques ne « doutent » pas, ils nient carrément la possibilité du RCA. Et je lis parfois vos commentaires et j’entends parfois vos interventions à la radio, et je n’ai pas entendu beaucoup d’ouverture de votre part sur la possibilité d’un RCA. Il est clair que vous préférez grandement nous amener des arguments anti-RCA plutôt que nous amener des points de vue différents, ce qui aiderait bien plus à faire progresser le débat, à mon avis.

        Par exemple, lors de votre dernière intervention à CHOI, vous vous êtes réjoui de l’élection de Trump et de la nomination de Myron Ebell, climato-sceptique notoire comme vous l’avez si bien mentionné. Avez-vous amené des arguments scientifiques pour expliquer en quoi c’était positif ? Ai-je entendu quelque argument scientifique que ce soit durant cette entrevue ? Non, vous avez simplement dit qu’ils allaient enfin mettre le bien-être financier des Américains en priorité sur la protection de l’environnement, et que les scientifiques ne devaient pas être très contents car ils devaient craindre pour leur job… On voit que vous avez vraiment à cœur la recherche de la vérité scientifique. Éliminons ceux qui non pas la même opinion. Un homme comme Trump qui ne lit pas (incroyable, mais vrai) ne peut en aucun cas apprécier la complexité de ce débat et, par conséquent, prendre des décisions rationnelles à ce sujet. Savez-vous que Myron Ebell était un lobbyiste de l’industrie du tabac (un autre beau dossier) et qu’il a fait partie du CEI et du GCSCT, deux organismes financés par l’industrie pétrolière ayant comme but de contrer la lutte aux changements climatiques ? Tout ça pour le bien de la science, j’en suis convaincu… Non mais sans blague…

        Aussi, qui vous a dit que je « croyais » au RCA ? Je n’ai pas affirmé ça. J’ai seulement mentionné qu’il se peut que l’augmentation de la concentration du CO2 dans les océans et dans l’air PUISSE être reliée à l’augmentation de la génération de CO2 dans l’atmosphère l’activité humaine. Ou du moins que c’est un possibilité crédible qu’il faut continuer à analyser. Je n’ai même pas parlé de réchauffement climatique en tant que tel. Remplacez mon éléphant par un mignon petit chaton et je reprends mon argument : la plupart des climato-sceptiques ne veulent même pas reconnaître la présence du chat, ou s’ils l’aperçoivent, ils font tout pour l’éliminer le plus rapidement possible et sans se poser de question, car c’est donc bien vrai que ça serait bien plus l’fun économiquement parlant si le mignon petit chat n’était pas là, n’est-ce pas?

        En terminant, vous propagez un mythe selon lequel la température n’aurait pas augmenté depuis 20 ans. C’est en effet bien utile de prendre 1998, où El Nino a été extrêmement fort, pour tracer une belle ligne horizontale sur les 20 dernières années. Or, les études ont démontré qu’il y a bel et bien eu un réchauffement durant ces années (quoi que moins important que les années précédentes, d’accord) et que plusieurs indicateurs de changements climatiques ont continué à varier de la même façon durant cette période. La soi-disant « pause » n’existe pas.

        https://en.wikipedia.org/wiki/Global_warming_hiatus
        https://www.theguardian.com/environment/climate-consensus-97-per-cent/2015/nov/24/study-drives-a-sixth-nail-in-the-global-warming-pause-myth

        Il y a eu toutes sortes de critiques sur les modèles qui devaient prédire des catastrophes qui ne sont en bout de ligne pas arrivées, ou du moins pas aussi fortement que ce qui avait été anticipé. Est-ce une raison pour tout nier en bloc comme le font la plupart climato-sceptiques? Si on avait prédit 30 cm de neige et qu’il finit par en tomber seulement 10 cm… allons-nous nier qu’il est effectivement tombé une certaine quantité de la neige ? C’est ce que les climato-sceptiques font. La température augmente mais pas aussi rapidement que prévu : jetons tout à la poubelle.

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        Guillaume, je ne « propage » aucun mythe, et ne NIE rien contrairement à ce que vous affirmez. Je DOUTE du RCA et je POSE DES QUESTIONS aux réchauffistes comme vous .. ou l’êtes vous? oui ou non? . Auxquelles vous n avez pas répondues. Je les pose encore:
        1- croyez-vous a RCA (réchauffement climatique anthropique) ? si oui, pouvez vous m’en fournir une preuve? 2- pouvez-vous expliquer pourquoi la température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans malgré une augmentation continue du CO2 atmosphérique?

        et en prime, une 3ieme:
        3- expliquez-nous pourquoi les prédictions des modèles du GIEC (AR5) s’éloignent de plus en plus des OBSERVATIONS satellitaires et ballons sondes.

        Voilà… j’attends vos réponses, ensuite on discutera science, hiatus , éthique scientifique, et politique .

      • Guillaume dit :

        Reynald,

        1- Dans tous les cas, la science ne doit pas se baser sur des « croyances ». Je n’ai pas répondu directement à votre question car mon objectif n’est pas de prendre position pro-RCA ou anti-RCA, mais plutôt pour que vous réalisiez que la plupart des climato-sceptiques ont une opinion tranchée et ne font pas preuve de beaucoup d’ouverture d’esprit par rapport aux observations factuelles et analyses scientifiques les plus récentes. Je vous renvoie la question : sur une échelle de 1 à 10 à quel niveau évaluez-vous la probabilité d’un RCA ? Selon ce que je lis, vous allez probablement répondre 0.

        2- Pouvez-vous me citer une source qui indique ça ? Je vous en ai cité deux qui expliquent que l’hypothèse de « pause de 15-20 ans » dans les changements climatiques est fausse. Il faut croire que vous n’avez pas pris le temps de lire ma réponse. Tenez, une autre source : “A new study published online today in the journal Science finds that the rate of global warming during the last 15 years has been as fast as or faster than that seen during the latter half of the 20th Century. The study refutes the notion that there has been a slowdown or « hiatus » in the rate of global warming in recent years.” http://www.noaanews.noaa.gov/stories2015/noaa-analysis-journal-science-no-slowdown-in-global-warming-in-recent-years.html

        3- Je ne sais pas à quelles prédictions du GIEC vous faites référence. Pouvez-vous me citer des études qui montrent tous en même temps : que la température de l’atmosphère et des océans diminue, que le CO2 diminue dans l’atmosphère et dans les océans, que le niveau de la mer diminue, que la taille des glaciers diminue? Voir certains signes vitaux monitorés sur le site de la NASA : http://climate.nasa.gov/vital-signs/carbon-dioxide/

        Aussi, j’ai fait valoir mon point de vue à ce sujet dans ma dernière réponse : il est peut-être vrai que les modèles d’il y a quelques années prédisaient des changements beaucoup plus importants que ce qui se passe en réalité. Mais il reste qu’on observe des changements malgré tout, que ce soit avec les satellites, ballons sondes ou mesures à la surface de la Terre ou dans l’eau. Il y a plusieurs facteurs (pas juste un) qui vont dans une même direction : on observe des changements climatiques et il est possible qu’ils ne soient pas uniquement de cause naturelle, il faut donc continuer la recherche scientifique à ce sujet et non pas renverser tous les efforts faits au cours des dernières années seulement pour des arguments économiques. Encore une fois, ce n’est pas parce que les modèles n’étaient pas parfaits qu’il faut conclure carrément l’inverse de ce qu’ils prédisaient, surtout quand les observations continuent d’aller dans la même direction.

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        1- Dans tous les cas, la science ne doit pas se baser sur des « croyances ».

        On voit que vous n’êtes pas scientifique. Selon vous quelle différence entre « je crois que » et j’affirme que »… prononcé par un scientifique comme moi?

        « par rapport aux observations factuelles et analyses scientifiques les plus récentes. »

        montrez-moi alors ces « observations factuelles et analyses scientifiques les plus récentes » qui PROUVENT le RCA.

        « sur une échelle de 1 à 10 à quel niveau évaluez-vous la probabilité d’un RCA ? Selon ce que je lis, vous allez probablement répondre 0. »

        entre 0,5 et 1,0

        Pour le hiatus, REGARDEZ les DONNÉES ! pas les articles de NOAA (sous enquête en ce moment) les DONNÉES T vs CO2 de 1991 à 2016 . Même le MET office reconnait ce hiatus.

        et je répète mes questions claires toujours sans réponses:

        1- croyez-vous a RCA (réchauffement climatique anthropique) ? si oui, pouvez vous m’en fournir une preuve? 2- pouvez-vous expliquer pourquoi la température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans malgré une augmentation continue du CO2 atmosphérique?

        et en prime, une 3ieme:
        3- expliquez-nous pourquoi les prédictions des modèles du GIEC (AR5) s’éloignent de plus en plus des OBSERVATIONS satellitaires et ballons sondes.

        Voilà… j’attends vos réponses, ensuite on discutera science, hiatus , éthique scientifique, et politique .

      • Guillaume dit :

        Reynald,

        Bon, c’est ma dernière intervention car elles ne mènent visiblement nulle part. Je réponds à vos questions, je fais l’effort de vous fournir de nouvelles sources et de nouveaux arguments et vous ramenez toujours les mêmes arguments et mêmes questions sans essayer de faire réellement progresser le débat.

        Tout d’abord, tiré du MET Office (http://www.metoffice.gov.uk/news/releases/2016/2016-likely-to-break-global-temperature-record):

        Professor Peter Stott of the Met Office, said: “Three record-breaking years for global temperature would be remarkable. The year 2015 was exceptionally warm and, like 2016, was influenced by the warm El Niño circulation in the tropical Pacific.

        “As the El Niño wanes, we don’t anticipate that 2017 will be another record-breaking year in the instrumental record. However, 2017 is likely to be warmer than any year prior to the last two decades because of the underlying extent of anthropogenic warming due to the increasing atmospheric concentration of greenhouse gases.”

        Attendez… Ai-je bien lu ? “…because of the underlying extent of anthropogenic warming due to the increasing atmospheric concentration of greenhouse gases”

        Quelle sera donc votre prochaine référence pou remplacer? L’ESA, la JAXA ?

        Résumons donc pour conclure.

        On a observé des changements climatiques au cours des dernières années (ou plutôt les dernières décennies). Pendant cette période, la quantité de CO2 émise par l’humain a augmenté de façon significative. L’émission d’autres composés chimiques aussi.
        Vous êtes convaincu que ces changements sont probablement uniquement dus à des causes naturelles. De mon côté, je dis que ces changements sont possiblement dus à la fois à des causes naturelles (vous voyez, je fais preuve d’ouverture… quand même…), mais aussi possiblement dus à des facteurs humains. En quelle proportion ? C’est peut-être difficile à dire… Mais, j’en suis désolé, vos arguments ne me convainquent pas que cette proportion est largement en faveur des facteurs naturels. La coïncidence avec la révolution industrielle, la rapidité des changements observés et les nombreux facteurs en cause me semblent vraiment trop importants pour favoriser les facteurs naturels, ou à tout le moins minimiser les facteurs humains. Peut-être que les « preuves hors de tout doute raisonnable » que vous exigez n’existent pas encore, mais en ce qui me concerne, beaucoup d’indications vont dans le sens d’un RCA, en combinaison ou non avec des facteurs naturels.

        Finalement… Si vous avez effectivement raison et que le RCA n’existe pas, cela signifie qu’on n’a aucun moyen pour contrer les changements, alors que si des facteurs humains sont en cause, au moins on a peut-être une façon de renverser la vapeur, s’il n’est pas trop tard. Peut-être avez-vous raison, mais en fait je souhaite fortement que vous n’ayez pas raison.

        Guillaume, scientifique (eh oui… que ça vous plaise ou non… on est juste pas du même avis)

      • Reynald Du Berger dit :

        « Vous êtes convaincu que ces changements sont probablement uniquement dus à des causes naturelles. » non, je ne suis convaincu de rien, je ne fais que poser des questions à ceux qui AFFIRMENT le RCA comme vous le faites. Revoici ces questions:
        1- croyez-vous a RCA (réchauffement climatique anthropique) ? si oui, pouvez vous m’en fournir une preuve?

        2- pouvez-vous expliquer pourquoi la température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans malgré une augmentation continue du CO2 atmosphérique?

        3- expliquez-nous pourquoi les prédictions des modèles du GIEC (AR5) s’éloignent de plus en plus des OBSERVATIONS satellitaires et ballons sondes.

    • Robert dit :

      Jean-Luc;

      Vous êtes d’accord de dire que le « CO2 est un gaz polluant »…C’est le CO2 qui nous nourrit (Via la photo-synthèse)(*) …êtes vous tombé sur la tête???

      (*) Melvin Calvin, prix Nobel 1962. Ce monsieur a mis en équation tout le mécanisme de la photosynthèse.https://fr.wikipedia.org/wiki/Photosynth%C3%A8se

  5. James C. dit :

    Quand le géochimiste américain Clair Patterson a trouvé l’âge de la planète Terre, en mesurant la datation uranium-plomb, il est devenu, par la suite, l’avocat du danger de l’essence au plomb pour l’environnement et la santé humaine. Cela a pris des décennies avant que les gouvernements bannissent le plomb dans l’essence. Ses pairs scientifiques réfutaient ses dire et découvertes publiés dans la revue Nature. Et cela même aussi pour sa datation de la Terre.

    C’est souvent long avant que bon sens prenne sa place.

    .

  6. fritz dit :

    Vous avez écrit à la suite de JP Bardinet
    « La part de CO2 anthropique mesurée dans l’atmosphère est faible : 5% de 400 ppm, soit 20 ppm. »
    Je veux bien des explications concernant cette affirmation qui est complètement fausse

    • Reynald Du Berger dit :

      je laisserai J.P. Bardinet vous répondre… regardez les isotopes de carbone… cela vous dit qq chose?

    • Robert dit :

      Jean-Luc;

       » L’argent va dans les poches de quelques compagnies. »

      « ça ne répartie pas nécessairement la richesse ! »

      L’Argent des éoliennes et autres patentes des réchauffistes…Elle va où elle??

      • Stéphane dit :

        Je présume qu’une bonne partie de l’argent est dans le labyrinthe du « complexe bureaucratique gouvernemental industriel » 😉

  7. Robert dit :

    À Jean-Luc;

    Des chercheurs auraient trouvé le moyen de convertir le CO2 de l’atmosphère en…éthanol:

    http://inhabitat.com/researchers-accidentally-turn-co2-into-ethanol/

    Quelle belle découverte. Enfin pouvoir arriver à nous débarrasser de ce puant polluant qui empoisonne la vie des humains depuis 2 milliards d’années.

    Maintenant un bon ti cours de chimie pour mon ami Jean-Luc:

    On converti le CO2 en éthanol (C2H5OH). Nous pouvons imaginer ce qui va se passer: Les plantes, par la photosynthèse, absorbent le CO2. Ce CO2 absorbé est converti en sucre à l’intérieur de la plante et l’oxygène du CO2 est relâché dans l’atmosphère, remplaçant ainsi celle que nous avons utilisée pour notre respiration. Par contre, l’éthanol lorsqu’il brule (Il va remplacer le méchant pétrole), dégage du CO2 qui remplacera inévitablement celui que nous nous sommes évertué à convertir en éthanol. Donc, nous allons peut-être tous étouffer par manque d’oxygène, crever de faim par manque de sucre et de protéine….et en prime, nous allons tous finir alcoolique!

    Ref: C2H5OH + 3O2 = 2 CO2 + 3H2O + Chaleur

    Bon retour, Robert

    • jean-luc dit :

      Je crois que vous abusez des produits de la SAQ ou des ti-cou pour écrire de tel chose 🙂

    • jean-luc dit :

      le CO2 ne pue pas, il ne sent rien !
      le CO2 n’empoisonne pas la vie des humains depuis 2 milliards d’année… l’humanité n’est pas apparu depuis si longtemps.
      Le CO2 atm. n’a jamais été à un niveau dangereux pour la santé humaine dans l’histoire de l’humanité.

      Voilà pour le ti-cours de GBS (gros bons sens) !!
      Voulez vous qu’on vous relève toutes les incohérences de votre démonstration !!!

      Le CO2 est un GES, il est problématique pour le climat terrestre

      • Robert dit :

        Jean-Luc;

        « Le CO2 est un GES, il est problématique pour le climat terrestre »

        On vous demande de le démontrer depuis que vous parler sur ce blogue…..Faites-le donc?

        « Voulez vous qu’on vous relève toutes les incohérences de votre démonstration !!! »

        Allez -y avec mes soi-disant incohérences…Je suis capable de vous répondre.

        (*) Votre ti-cours de GBS ne dit pas grand chose et ne vaut pas cher. Je ne vous engagerait pas comme prof!

  8. Robert dit :

    Jean-Luc,

    Comme d’habitude vous n’avez rien compris car il est question ici, d’une démonstration scientifique.. En passant un peu d’Humour ne fait pas de tort.

  9. Robert dit :

    Jean-Luc:

    Le réchauffement au Canada est estimé par simulation…Incroyable:

    Les Canadiens sont responsable d’un certain réchauffement…Mais seulement virtuellement. On parle de plus de 100% d’écart entre le réel et le virtuel!

    Il existe encore des gens comme vous qui croient ces sornettes.

  10. Robert dit :

    Jean-Luc;

    Voilà une correction que je voulais faire depuis longtemps:

    Le 24 Janvier 2016 à 6:36, vous avez écrit:

    « La surface du El-nino 2015 est deux fois supérieure au El-Nino de 1998. Le El-nino de 2015 n’est pas terminé, il pourrait durer jusqu’en mai 2016…Vous n’avez pas écoutez le reportage de Découverte de ce soir ? et ne dites pas que c’est la faute à C. Tisseyre. Il y avait un dénommé Gauchon climatologue de L’UQAM qui était interviewé. »

    Prendre bien note des points suivants:

    1) Le El-Ninio de 1998 a duré deux ans (si on prend la largeur de la base ).(1997-1999);

    2) Le présent El Ninio que vous prétendiez va durer jusqu’en mai 2016. Sachez qu’il n’est pas fini et que nous somme à la fin octobre 2016. On peut penser qu’il retournera à sa valeur de base vers janvier ou février 2017 ou un peu avant (Cela donne à peu près la même largeur que celui de 1998). Ensuite, il y aura une période de La Ninia où les températures vont baisser. Noter que chaque point sur le graphique représente un mois. Si je regarde l’allure du pic, il est probable que sa surface sera plus faible que la surface du pic de 1998.

    Petite note: Tout ce qui vient de l’UQUAM…ma confiance est très faible!

    Ne vous en faites pas, je vais vous le remettre sur le pif!!!

  11. jean-luc dit :

    L’idéologie du réchauffisme : le plus grand scandale de notre époque.

    je reviens sur votre commentaire du 21 octobre.

    la répartition de la richesse… J’explique mon point. Je ne comprends pas pourquoi vous vous êtes sentie attaqué !

    Donc c’est dans le sens que la plupart des compagnies pétrolières (combustibles fossiles) sont des oligopoles situés dans quelques pays (Arabie, Angleterre, USA). Ces compagnies ne répartissent pas vraiment la richesse même s’ils paient de bons salaires à leurs personnels techniques. Leurs immenses profits retournent au tête dirigeante qui ne se privent de rien, comme de vrai pachat. Dubai est l’exemple le plus frappant. Je me pose vraiment la question si ces compagnies crées vraiment de la richesse ou s’il ne font pas juste puiser des ressources pour s’en mettre plein les poches.

    D’un autre côté les énergies renouvelables crées en général plus de richesse locale. Pour un pays les énergies renouvelables crées plus d’emplois. Ici au Québec l’hydro est un bonne exemple. L’éolien aussi pourrait être nationalisé pour conserver cette richesse au Québec.

    La Norvège est un des seuls pays à exploiter le pétrole pour créer de la richesse en réinvestissant leurs profits dans les énergies renouvelables.

  12. Robert dit :

    Jean-Luc;

    Je reprend quelques une de vos affirmations:

    « Ici au Québec l’hydro est un bonne exemple. »

    Les barrages d’hydro – Québec ne se sont pas fait sans pollution:

    1) Des millions de tonnes de béton furent utilisé (La réaction du béton est: CaCO3 + chaleur (1450 oC) = CaO + CO2 (Gaz soi-disant à effet de serre)

    2) Des dizaines de milliers de kilomètre carrés de forêt furent noyées. Ce qui a eu pour résultat que les métaux lourds (Mercure, Plomb, Arsenic…) ont pollué ces immenses plans d’eau (formation de méthyl mercure) à tel enseigne que les inuit de la Baie-James ont du cesser de pêcher. D’ailleurs, les Inou du Labrador, étant au courant de ce fait, veulent présentement empêcher le projet que Terre-Neuve est en train de faire.

    3) Créer de tels étendu d’eau a eu pour effet de modifier le climat (Plus de précipitation)

    Je ne suis pas contre de tels projets car je me dit qu’il y a toujours un prix à payer.

    « La Norvège est un des seuls pays à exploiter le pétrole pour créer de la richesse en réinvestissant leurs profits dans les énergies renouvelables. »

    La Norvège exploite son pétrole offshore et le vend sur le marché mondial. Par la suite, elle utilise ces revenus pour charger gratuitement son parc de voitures électriques. Quelle belle hypocrisie. La Norvège est clean mais pollue les pays à qui elle a vendu du pétrole.

    Vous avez oublié de mentionner le Canada. Le pétrole des sables bitumineux permet au Québec de recevoir 10,5 milliards de $ en péréquation. Je suis certain que vous êtes de cette gang qui préfèrent importer notre pétrole de l’Arabie Saoudite (Pétrole de la charia).

    Vous oubliez que le pétrole a fait faire un bond prodigieux à l’humanité. Si nous n’avions eu que les éoliennes, nous ne serions pas prospère comme nous le somme présentement. Les éoliennes, c’est un échec…

    • jean-luc dit :

      l’éolien ne s’est pas développé au début des années 1900 comme le pétrole uniquement parce la distribution de l’énergie électrique n’était pas implanté et connu. Le pétrole pouvait se transporter facilement. La connaissance de la distribution électrique n’est arrivé que plus tard mi 19xx.

      Ce que je préfère c’est de réduire notre dépendance au pétrole par des énergies renouvelables qui ne sont pas contrôlé par des oligopoles.

      • Reynald Du Berger dit :

        « … par des énergies renouvelables qui ne sont pas contrôlé par des oligopoles. »…………. Vous ne connaissez pas les éolopoles? les fabriquants de vire-vents européens qui plantent ces horreurs ici ? combien pensez-vous que nous coûtent leur monopole… et c est pas du vent , c est des milliards de $$$$$ qu’ils viennent nous arracher avec la complicité et l’incurie de Hydro Québec.

      • Robert dit :

        Jean Luc;

        Les éoliennes ne sont pas des énergies renouvelables. Elles demandent beaucoup d’entretien (Bearing, pales, nouvelles batteries…). Tout cela demande de l’énergie …L’énergie renouvelable, ça n’existe pas!

    • Paul S. dit :

      Au bilan écologique de l’hydroélectricité il ne faut pas oublier la production du méthane à partir de la matière végétale morte submergée et la soustraction des arbres et autres végétaux des “puits carbone” régénérateurs d’oxygène et capteurs du CO2.
      Hydro Québec est un déforestateur puissant.

      Il y a aussi la perte d’habitat pour la faune et des accidents collatéraux (ex.: noyade de 9604 caribous dans la Caniapiscau).

      Vraiment, l’énergie nucléaire est le moyen de production d’électricité le moins dommageable pour la nature.

  13. Robert dit :

    Jean-Luc;

    « Donc c’est dans le sens que la plupart des compagnies pétrolières (combustibles fossiles) sont des oligopoles situés dans quelques pays (Arabie, Angleterre, USA). Ces compagnies ne répartissent pas vraiment la richesse même s’ils paient de bons salaires à leurs personnels techniques. Leurs immenses profits retournent au tête dirigeante qui ne se privent de rien, comme de vrai pachat »

    Ce n’est pas le rôle d’une compagnie de répartir la richesse. Aucune compagnie sur la planète ne réparti la richesse….Elles sont là pour faire des profits. Cependant, ce sont toutes les retombées (employés, sous-traitants, équipements, subventions aux universités via la recherche…) qui font que de la richesse est créée.

    C’est cette manie que vous avez de constamment vous en prendre aux pétrolières. Une pétrolière n’est pas pire qu’une aluminerie ou une compagnie de fer…par exemple.

  14. jean-luc dit :

    Wow comparez les quelques compagnies multi-milliardaires du pétrole avec les compagnies éoliennes ! Shit j’aurai tout lu sur votre blog.

    La compagnie Marmen de Trois-Rivières a fabriqué un bon pourcentage des mats des éoliennes qui ont été implanté au Québec. Sans compter les compagnies de transport, de béton, etc, etc…Vous êtes contre les emplois de qualité au Québec ? deux poids deux mesures.

    • Reynald Du Berger dit :

      « Shit j’aurai tout lu sur votre blog. »…. vous n’avez ni tout lu… et encore moins ni tout appris….et encore moins compris… Que vous faut-il encore comme preuves,chiffres, images, sons etc… pour admettre que ces vire-vents sont une catastrophe financière, sociale, technologique et écologique? On ferme des ces parcs éoliens à tours de bras en ce moment aux USA et en Europe… en Allemagne on construit des centrales au charbon. Vous avez des lunettes roses par dessus vos lunettes vertes…et cela donne la couleur de ….. la merde. – tiens celle -là faites-moi penser de la servir à Paris à la Contre-COP22 en décembre !

    • Robert dit :

      Et les compagnies qui font le béton….Quest-ce que vous en faites? Ça ne semble pas vous déranger (Équation du béton: CaCO3 + Chaleur = CaO + CO2)!

    • Robert dit :

      « Vous êtes contre les emplois de qualité au Québec ? deux poids deux mesures. »

      Quelles qualités ont ces emplois que les autre n’ont pas?

  15. Robert dit :

    « Wow comparez les quelques compagnies multi-milliardaires du pétrole avec les compagnies éoliennes !  »

    Moi, j’aime mieux des compagnies multi-milliardaires que des petites compagnies de broche à foin qui n’apportent rien!

  16. jean-luc dit :

    Robert: et en plus vous me dite que l’énergie renouvelable ça n’existe pas ?

    Vous ne connaissez pas ce concept ou ne le comprenez pas?

    Vous connaissez des endroits dans le monde ou il y a des puits de pétrole qui vont ou qui ont produits pendant des centaines d’années sans jamais se tarir ?

    si c’est le cas gardez ces informations pour vous et vous serez riches à l’infinie 🙂 🙂 !!

    Moi de mon côté je connais plusieurs endroits ou le vent est tout le temps présent (ou presque) et c’est la même chose pour un très grand nombre de rivière, mais je garde secret cette information : hahaha !!!!

    • Reynald Du Berger dit :

      « énergie renouvelable » ?… combien coûte un vire-vent gaspésien (à fabriquer et à installer) , il tourne quand? il dure combien d’années dans les climats de merde québécois? En effet renouvelable car vous devez renouveler le vire-vent à tous les 15 ou 20 ans max. Je vais présenter les chiffres sur la catastrophe éolienne québécoise à mes amis d’outre-mer à la Contre-COP22 à Paris le 1er décembre… vous pouvez venir y présenter les vertus vertes et roses de vos éoliennes .

      • jean-luc dit :

        Allez vous parler de l’impact social du pétrole ? et toutes les guerres (Irak, Koweit, Afghanistan, etc..) et tous les impacts sur l’environnement de cette énergie… non renouvelable ? ou juste faire semblant que les énergies fossiles n’ont pas d’impact ?

      • Reynald Du Berger dit :

        venez nous en parler vous ! et à pied ou à la nage ou en chaloupe à rame ou voilier… svp ! car avion et bateau = pétrole sale = CO2= pollution selon VOUS…. vos bottines devront suivre vos babines ! On verra bien si vos actes sont consistants avec votre discours…. c’et certains qe vous ne conduisez pas de voiture et vous déplacez à pied ou à bicyclette n est-ce pas? ou je me trompe? les bottines ne suivent pas les babines? hon!!!! zavez pas honte?

    • Robert dit :

      « Vous ne connaissez pas ce concept ou ne le comprenez pas? »

      Vous avez raison…C’est juste un concept!

  17. jean-luc dit :

    C’est vous qui prenez la parole en public, c’est vous qui dites que le pétrole et les combustibles fossiles c’est mieux que les énergies renouvelables. C’est à vous de faire la démonstration.

    Est-ce que vos babines suivent à ce point vos bottines que vous pouvez affirmer n’avoir jamais reçu d’argent de l’industrie fossiles ?

    Est-ce que l’organisme (contre-Cop22) qui vous invitent à présenter paient votre déplacement ?

    Est-ce que vos chroniques à la radio sont payés ?

    Est-ce que les organismes qui organisent les conférences que vous nous mentionnez n’ont pas de lien avec l’industrie des combustibles fossiles ? Est-ce la même chose pour votre blogue ?

    • Reynald Du Berger dit :

      « Est-ce que vos babines suivent à ce point vos bottines que vous pouvez affirmer n’avoir jamais reçu d’argent de l’industrie fossiles ? »…. en tant que chercheur je n ai jamais reçu un cent de « l’industrie fossile » comme vous dites, mais j’en ai reçu de l’Alcan , une industrie encore très vivante sous le nom de Rio Tinto. Eh non, je n’ai jamais reçu un cent d’aucune pétrolière ni gazière. Je ne touche aucun cachet pour mes chroniques à la radio et à ma connaissance, Le Collectif des climato-réaliste n’a aucune subvention de l’industrie et ne vit que sur les contributions de ses membres volontaires. Mon blog n’est pas subventionné non plus. Eh oui, on a jugé ma contribution à la Contre-COP22 suffisamment intéressante pour m’offrir de payer mon déplacement… proposez-nous une présentation sur la diabolisation des hydrocarbures qui soit convaincante et on vous invitera je suis sûr. Mais vous pouvez venir sans invitation et vous aurez la chance de rencontrer des personnes comme Claude Allègre et Vincent Courtillot… http://www.skyfall.fr/2016/10/28/bulletin-climato-realistes-n-48/

      • jean-luc dit :

        juste une question : C’est lequel de vos deux spécialistes qui a présenté à plusieurs reprises le concept de terre plate (comme si la terre était un disque au lieu d’une sphère) pour calculer les échanges thermiques avec le soleil ?

      • Reynald Du Berger dit :

        ça va pas non ?

      • jean-luc dit :

        Une première référence sur les propos de Claude Allègre.

        http://sciences.blogs.liberation.fr/2010/04/01/climat-400-scientifiques-signent-contre-claude-allegre/

        De plus je vais vous trouver à quel de ces conférences il a fait ces erreurs de calculs confondant la terre à un disque plutôt qu’à une sphère.

      • Reynald Du Berger dit :

        Votre lien est une farce, et de Libération en plus. Soyez plus sérieux. Claude Allègre est un géochimiste mondialement reconnu. Une sommité inattaquable en géologie (je vous rappelle que la géologie est l’étude de la Terre). Il a été ministre de l’éducation nationale sous Mitterand, un brasseur de cage , de professeurs paresseux et de syndicaleux. Un homme extraordinaire que j ai bien hâte de rencontrer à Paris le 1er décembre. Je serais étonné que vous soyez de taille mon pauvre ami, pour vous mesurer à lui. Vous pouvez toujours essayer.

      • jean-luc dit :

        Qui vous a dit que je m’attaquais à C. Allègre. Je ne fais que constater que 400 scientifiques en climatologie ont signé une lettre qui montre ces lacunes. Ce sont eux qui questionnent les arguments de C. Allègre. Je ne fais que vous informer. Si vous ne prenez pas la peine de lire ce que ces scientifiques en pense ce n’est pas mon problème.

      • Reynald Du Berger dit :

        Ouvrez vos yeux, ce canular vient de Libération allo ? Libération allo? Readers Digest a un comité de lecture plus gros que le leur, et vos 400 canards que vous appelez « scientifiques en climatologie »… vous avez vu leur cv ? Armez vous lourdement avant de vous attaquer à ce monument de la science géologique qu’est Allègre. Vous avez loisir d’envoyer vos commentaires de désapprobation aux éditeurs des revues à comités de lecture dans lesquelles il a publié ses centaines de papiers et ensuite vous nous ferez part de ses réponses… on attend. cela s appelle « comments on etc… » et « reply by the author on etc… « 

  18. Robert dit :

    Jean-Luc;

    C’est votre gang, appuyée par des gouvernements de gauche (qui ont troqué le communisme pour la vertitude) qui a décidé que les éoliennes étaient des énergies renouvelables. Je vous répète que le pétrole est aussi une énergie renouvelable puisque lorsqu’un puits se tarit, il en existe bien d’autres. Énergies fossiles, non-renouvelables…C’est votre jargon. C’est quoi cette histoire que le pétrole a un impact social. S’il y a des guerres…Le pétrole n’a rien à y voir, ce sont principalement des guerres de religion. Le Canada est un des pays possédant les plus grosses réserves en pétrole (172 milliards de barils) …et pourtant il n’y a pas de guerre ici. Le Vénézuela a les plus grosses réserves (301 milliards de baril) et pourtant ce pays est pauvre en raison de stupides décisions gauchistes.

  19. jean-luc dit :

    même au Canada il y a des problèmes sociaux avec l’exploitation du pétrole.

    Au Québec il y a combien de citoyens et de municipalités qui sont contre le passage de l’Oléoduc d’Énergie Est ? Ne me dites pas que vous n’avez jamais entendu parlé de cela ?

    L’impact environnemental de cette conduite est immense comparé aux parcs éoliens qui se sont mis en place de manière relativement harmonieuse.

    Savez vous combien d’éolienne sont déjà en fonction au Québec ?

    Je pense que les lunettes Roses ce vous Robert et Reynald qui les portez quand vous parlez du pétrole. Si notre pétrole devenait stratégique (et exploitable à un meilleur coût) c’est certain que nous deviendrions un pays plus à risque pour les conflits.

    Connaissez vous des pays qui ont des problèmes de conflits avec les énergies renouvelables (les vrais , pas le pétrole).

    Mettre le pétrole dans la catégorie des énergies renouvelables……je suis bouche béééé !!!

    • Robert dit :

      Jean-Luc;

      La carte qui suit vous montre la myriade de pipeline existant aux USA. Être contre ce petit pipeline qui passe au Québec est totalement stupide…Un bel exemple d’ignorance:

      • jean-luc dit :

        Je trouve vos propos insultants pour les milliers de citoyens et de conseils municipaux qui se sont prononcés contre ce type de projet. Vous souvenez vous que le projet a été rejeté par Obama ainsi que par la Colombie Britannique.

        Dire que ce type de projet n’a pas d’impact sociale c’est ce mettre la tête dans le sable.

        Je crois que c’est bien différent des conduites de gaz naturel qu’une conduite comme celle de l’Oléoduc d’énergie Est.

        Il n’y a rien dans votre map qui rend ce projet plus crédible ou acceptable !

      • Paul S. dit :

        En Norvège, aux USA, au Brésil et ailleurs on est capable de creuser des puits profonds de plusieurs kilomètres, sur le fond marin, lui-même à plus d’un kilomètre sous le niveau de la mer.
        Ensuite on y installe un goulot, un train de vannes, une station de pompage au besoin (parfois en “retrofit” pour puiser tout le contenu du puits) et une pipeline de transport.
        Des exploits technologiques comparables à l’exploration spatiale.

        Au Québec on est certain que l’on ne pourrait pas maîtriser une conduite banale, ni creuser des puits, ordinaires partout ailleurs, pour exploiter des ressources énergétiques.
        Ici, tout est différent…

        Se pourrait-il que les “milliers de citoyens et de conseils municipaux” ne soient pas au courant de ce qui se fait ailleurs, soit par ignorance volontaire, soit par paresse intellectuelle ou parce que : “NOUS, ON VEUT RIEN SAVOÈRE”.

        Les bourdes du président Obama sont innombrables, y compris en matière énergétique. Ce n’était pas sage de motiver un allié à exporter vers la Chine plutôt que de le garder dans un état d’interdépendance.

      • Stéphane dit :

        Je pense que c’est Jean-Luc qui se met la tête dans le sable. J’ai repéré cet article de Time magazine écrit en janvier 2012 qui mentionnait l’alternative aux pipe-lines était…. le chemin de fer!
        http://business.time.com/2012/01/24/railroads-the-unlikely-green-alternative-to-the-keystone-pipeline/ Cet article fut écrit un an avant la tragédie de Lac-Mégantic et au cas où Time supprimerait cet article, il est archivé à http://archive.is/if1DQ

        Le site American Thinker a quelques billets sur le sujet qui vaut le détour.
        http://www.americanthinker.com/articles/2016/10/you_need_oil_to_protest_oil.html
        http://www.americanthinker.com/articles/2015/11/warren_buffett_and_the_keystone_decision.html

  20. jean-luc dit :

    http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio-actuel/L-avenir-du-climat-enquete-sur-les-climato-sceptiques

    Vos amis climato-septiques ne semblent pas si au courant de la base scientifique de la science du climat selon les dires de Stéphane Foucart, journaliste scientifique au journal Le Monde.

    Vous devriez lire le livre que je vous ai mis en référence, vous seriez étonné, c’est le moins qu’on puisse dire !

    À moins que votre préférence soit de garder vos lunettes roses ?

    • Robert dit :

      Jean-Luc;

      Il n’y a aucune base scientifique qui démontre que le CO2 fait augmenter la température. Au contraire toutes les données scientifiques du climat démontrent que c’est exactement le contraire (Je vous l’ai démontré tant et plus).
      Stéphane Foucart n’est qu’un journaliste du même acabit que les Villedieu et Tisseyre….Rien à cirer!
      Vous devriez écouter le vidéo que je vous ai posté.

    • Robert dit :

      Jean-Luc;

      Vous avez écrit:

      « Vos amis climato-septiques ne semblent pas si au courant de la base scientifique de la science du climat selon les dires de Stéphane Foucart, journaliste scientifique au journal Le Monde. »

      Cette histoire de réchauffement ou de changement climatique (appelez le comme vous voulez) n’a aucune base scientifique. S’il y en a des bases, quest-ce que vous attendez pour nous les démontrer?
      (*) Stéphane Foucart n’est qu’un journaliste sans aucune formation scientifique!

      • jean-luc dit :

        Robert : Avez vous écrit votre papier pour une revue scientifique sur la climatologie ? Vous avez essayé de me convaincre de vos arguments pendant des mois ! Mais vous n’avez pas réussi.

        Il n’y a qu’une seule solution faite une publication et on verra ce que des spécialistes en pense.

        Je vous propose d’envoyer votre texte au blogger Tamino qui est un spécialiste de la statistique. On verra bien ce qu’il en pense ?

  21. Robert dit :

    Je vous ai juste montré qu’il y a des milliers de pipelines aux USA sans aucun problème environnementaux. Le pipeline est le moyen de transport le plus sécuritaire.

    Vous vomissez constamment sur le pétrole. Pourtant, il doit y avoir, en Amérique, 400 – 500 millions de véhicules qui fonctionnent au pétrole. Et je ne parle pas de la pétrochimie qui nous apporte une bonne partie de notre bien-être.

    Les maires des municipalités etc sont des politiciens de bas-étage (Regardez le comportement de l’opportuniste Couillard avec Anticosti). Libre à vous d’écouter leurs niaiseries!

    Vous semblez aimer mieux le pétrole de la dictature de l’Arabie plutôt que notre pétrole…à nous?

    Vous oubliez que grâce à ce pétrole de l’Ouest le Québec retire 10,5 milliards de $ en péréquation….Mais, vous êtes probablement séparatiste et rêveur!

  22. Robert dit :

    Jean-Luc ;

    Vous devriez écouter: https://www.youtube.com/watch?v=zBLTDscToOo

  23. Robert dit :

    Pour ceux qui veulent savoir où en est la fameuse patente du climat:

    Cliquer pour accéder à CFACT-Climate-Truth-File-2016.pdf

    • Paul S. dit :

      L’article rappelle, entre autres choses :
      « Obama’s EPA regulations (including the Clean Power Act) bypassed Congress and imposed domestic climate regulations on America without a single vote of Congress. Obama’s Harvard Law School Professor Laurence Tribe said the EPA climate regulations are akin to “burning the Constitution.” »

      Le candidat Trump promet, dès le premier jour au pouvoir, de : « Repeal every single Obama executive order. »

  24. Robert dit :

    Jean-Luc;

    « Robert : Avez vous écrit votre papier pour une revue scientifique sur la climatologie ? Vous avez essayé de me convaincre de vos arguments pendant des mois ! Mais vous n’avez pas réussi. … »

    Deux choses:

    1)Les « Climatologues »…comme vous les appelez, n’existent pas en tant que tel. Ils n’existent pas parce qu’ils ne sont pas doté d’un ordre professionnel (C’est une sous-branche de la géographie domaine faible du coté mathématique, entre autre)…Donc, n’importe qui peut s’attribuer le titre de « Climatologue »…Et c’est ce qui se produit effectivement! Ne confondez pas avec « Météorologue » . Pascal Yacouvakis est un météorologue. Je ne l’ai jamais entendu parler de changement climatique…By the way!

    2) Vous ne comprenez rien à mes arguments scientifiques…Pour vous, toute cette histoire est une religion.

    • jean-luc dit :

      Les climatologues des sciences de l’atmosphère ont toutes les qualifications nécessaires en mathématiques, physiques, etc… Donc ce ne sont pas n’importe qui. C’est vous qui confondez les choses en comparant les climatologues avec les géographes !

      • Robert dit :

        Totalement faux, ce que vous dites: Les climatologues sont d’abord des géographes (à tout le moins en France et au Québec…Informez- vous). La climatologie est un domaine nouveau, généralement non-doté d’un ordre professionnel. Les départements de géographie sont des départements de science molles qui ont été créés pour accommoder les étudiants qui voulaient s’inscrire dans un domaine où il y avait un peu de science mais qui, malheureusement, n’avaient pas les bases, principalement en mathématique, en chimie et en physique. Comme il y avait peu d’ouvertures en géographie, ces départements ont créé des sous programmes comme par exemple, l’Urbanisme et la climatologie. Nommez moi un seul prix Nobel en climatologie (comme pour la Chimie, la Médecine, la Physique). Les météorologues sont d’abord des Ingénieurs, ce qui est très différent. Par contre, considérant les énormes subventions que les climatologues reçoivent, certains vont surement finir par développer de bonnes expertises. En passant, mon but n’est pas de vous convaincre de quoi que ce soit!

      • Reynald Du Berger dit :

        jean-luc,
        1- définissez ce que vous entendez par « climatologue » avec des exemples de personnes (les noms)
        2- « ont toutes les qualifications » … alors dressez la liste de ces « qualifications »
        3- lisez ceci et commentez , que vous soyez ou non d’accord. https://duberger.me/2012/12/25/quest-ce-quun-climatologue/

  25. Robert dit :

    Erreur de ma part: Les météorologues ne sont pas ingénieur mais ont une scolarité en math, chimie et physique qui se rapproche de celle d’un ingénieur. Principalement du point de vue mathématique, il n’y a pas une grosse différence aussi d’avec les chimistes et les physiciens.

  26. Paul S. dit :

    La COP22 !

    À peine digérée et ratifiée la COP21, déjà on continue les Pow-wow Verts à Marrakech.

    Le supplice de la goutte ?
    Éventuellement, selon le plan, les élites gouvernantes voudraient rendre la “patente” contraignante et “faire payer les riches”. C’est à dire les pays industrialisés occidentaux.

    La grande question que la COP22 doit se poser aujourd’hui : que fera le nouveau président des USA ?

    Il avait bien dit ne pas croire que les changements climatiques étaient le plus grand danger pour son pays.
    Bien entendu, selon Obama : « Trump ne comprenait pas la Science ».
    S’il comprend l’argent, va-t-il continuer le gaspillage ?

    La corollaire : si les USA revenaient à la raison, les folies à 89,000,000,000,000 $, seraient-elles envisageables sans le plus grand contributeur ?

    • Robert dit :

      Je pense que Trump n’embarquera pas dans cette folie mensongère de la COP22…Le peuple Américain le lui a clairement demandé. En plus les référendums qui se sont tenus en même temps que l’élection démontre que les Américains sont contre la taxe du carbone!

      • Reynald Du Berger dit :

        les jours du GIEC et des écocondriaques qui freinent le développement sont compteés. Voyez ce billet de mon amu Benoît Rittaud

        Le Titanic climatique va rencontrer l’iceberg Trump

      • Paul S. dit :

        M. Robert :

        M. Trump est porté au pouvoir en tant que porte-voix des gens ordinaires : “Government by the people, for the people an NOT by the people for the elites !”.

        L’opposition aux taxes-carbone fut unanime aux élections des représentants au Congrès partout, y compris dans l’état de Vermont verdoyant.

        Chez nous, les élites avaient décidé que le québécois devait être un exemple d’éco-responsabilité sans le consulter.

        La taxe carbone sur l’essence fut introduite en catimini par notre élite politique, sous le silence radio complet avec la complicité de l’élite journalistique.
        Cette taxe pourrait nous coûter jusqu’à 10 ¢/litre vers 2020.

        Nos élites ne veulent surtout pas qu’il y ait un débat, parmi nous les gens ordinaires, sur le coût de la vertitude, y compris la facture des vire-vents laids et inefficaces.

        Il est significatif que celui qui a parti le bal n’est nul autre que cet exemple de probité absolue, notre ancien premier ministre M. Jean Charest.
        Aujourd’hui il est un expert en éco-fiscalité : http://plus.lapresse.ca/screens/31ea4789-dbb8-4efd-b7df-d67d83862cf9%7C_0.html

        Le “LOCK HER UP” des partisans de Donald Trump à l’endroit de Mrs. Clinton résonnerait encore plus juste chez nous, mais nos politiciens sont INTOUCHABLES.

  27. Les éoliennes ; une des plus grosses arnaques du siècle : google a mis des milliards avec des chercheurs pour en conclure= arnaque : L’énergie renouvelable ne fontionne tout simplement pas ..
    Confirment 2 Ingénieurs en aerospéciale, (PhD) de Stanford , apres 4 ans et des milliard$(http://www.prosperitefrontenac.com/images/pdf/Renewableenergysimplywontwork.pdf); l`homme le plus riche de l`amérique du nord Bill Gates pense que les énergies renouvelables ne sont pas viables ni sur le plan écologique, ni sur le plan économique
    Read more at http://www.contrepoints.org/2015/07/02/212580-bill-gates-ne-croit-pas-aux-renouvelables#WkUw5UFBBqMegQTe.99 ; et en plus 30 000 scientifiques déclarent que le réchauffement climatique catastrophique est une arnaque et un mensonge scientifique : http://www.prosperitefrontenac.com/images/pdf2/Over30oooscientistsclimatehoax1.pdf .En plus de rendre les gens malades , de diminué leurs équités , de leur enlevé la tranquillité et d`augmenté sans cesse leur compte d`électricité et d`avoir un taux de couverture de production d`environ 3% voir http://www.prosperitefrontenac.com/images/pdf/Tauxdecouvertureeolien0.pdf ; en plus de servir de blanchiment de l`argent de la drogue en achetant des érablières voir http://www.prosperitefrontenac.com/images/pdf/Eocorruptiondocx.pdf . Au sud du fleuve le vent est d`environ 3m/s tandis q`au nord la vitesse est de 10m/s ; les allemands plantaient des éoliennes à manic tandis que les politiciens et le crime organisé les mettre au sud = toujours appauvrir le citoyen .Trump veut couper les subventions aux éoliennes , c`est une bonne affaire car il y a présentement 20, ooo éoliennes d`abandonnés au usa ; le bon vent n`y est plus comme au qc, Pour tout savoir sur les éoliennes au qc. voir la réalité : http://www.prosperitefrontenac.com/index.php

    • Paul S. dit :

      M. Labranche :

      Voici un discours du pape Al Gore partagé avec nous par un disciple et admirateur :

      POURQUOI IL N’EST PAS POSSIBLE DE CROIRE LE GIEC

      Après des litanies peurologiques éculées, vers 13:00 minutes du discours, le pape passe aux victoires “exponentielles” de la secte, à commencer par les éoliennes.
      Au Québec les vire-vents sont des monuments démesurés à la déesse Gaïa, dont ses disciples nous refilent la facture en passant par les politiciens irresponsables.
      ET RIEN D’AUTRE !

      Vous pouvez vérifier ce triomphalisme, montrant les éoliennes gigantesques sur de nombreux sites militant pour la lutte aux changements climatiques.
      Autre époque, autres symboles de domination.

    • Robert dit :

      Pierre Labranche;

      Très bon résumé!

  28. jean-luc dit :

    et Al Gore s’était encore faites « fourré » que Clinton puisqu’il avait battu Bush par plus de 500 000 votes mais sans obtenir la présidence.

    La vraie affaire c’est que les candidats démocrates ont presque toujours battu les candidats républicain depuis 20 ans.

    il y a une sérieuse réflexion à faire sur le système électoral américain qui donne le droit de vote pour chacun des citoyens de se choisir un président.

    • Paul S. dit :

      M. Jean Luc :

      Au Québec aussi, un parti peut être porté au pouvoir lorsque l’on élit plus de ses députés, tout en ayant récolté moins de voix globalement dans la province.
      Les comtés ruraux ont généralement moins d’électeurs par siège de député que certains comtés montréalais. Parfois la marge est énorme.

      Peut être que ces divisions permettent de donner de l’importance aux enjeux régionaux.
      Il paraitrait que la Gaspésie, peu peuplée, serait en amour avec les éoliennes…

      Moi aussi, je me demande parfois si les élections portent la voix du peuple ou le bruit du vent dans les épinettes, peuplées par la buse à la queue rousse.
      Eh bien, pourvu que le bruit de ce vent n’étouffe pas complètement la voix du peuple.

      Nombreux sont ceux qui croient que c’est le “spoiler effect”, soit la présence de Ralph Nader sur les bulletins de vote, qui avait fait élire G.W. Bush en l’an 2000 :
      https://www.washingtonpost.com/opinions/how-nader-cost-gore-an-election/2015/02/05/3261cc22-abd2-11e4-8876-460b1144cbc1_story.html

      Vous Jean-Luc, auriez-vous voté pour Al Gore ou pour Ralph Nader ?
      La victime de ce “fourrage” (votre terme) déchirant pour un croyant comme vous, votre Pape Vert mercantile ou un prophète, plus sincère celui-là ?

      • jean-luc dit :

        Je n’aurais pas voté pour Trump c’est certain !

        Est-ce que j’aurais voté pour H. Clinton ? je ne sais pas , mais avoir cette femme ça aurait été certainement mieux que ce toupet jaune orange !!

        A. Gore aurait été un bien meilleur choix que G. Bush et sa gang de pétrolier !

        un croyant ?? moi ???

        à lire les commentaires de plusieurs ici , j’ai plutôt l’impression que vous êtes un petit groupe fermé (secte) !

      • Paul S. dit :

        Bonsoir M. Jean-Luc,

        En répondant à côté, vous avez évité de faire un choix délicat : Gore ou Nader ?
        Vous aurez bientôt à faire un tel choix électoral chez nous : choisir un “Vert de hooker” Couillard ou un “Vert Caca d’oie” Lisée.
        Mais, il faut respecter le secret de l’isoloir.

        En disant “… avoir cette femme ça aurait été certainement mieux que ce toupet jaune orange …”, vous nous confirmez ne pas être fétichistes et avoir des préférences sexuelles conventionnelles.
        Tout le monde ne peut pas être parfait.

        Enfin, vous amalgamez : “à lire les commentaires de plusieurs ici , j’ai plutôt l’impression que vous êtes un petit groupe fermé (secte) !”.

        En attendant notre déportation vers Ungawa, permettez moi de vous faire remarquer, qu’au sens large, la définition d’appartenance à une secte présumerait le partage d’une idéologie par les visiteurs du professeur Du Berger.
        Vous demander des preuves TANGIBLES sur le réchauffement climatique causé par l’homme, ni l’expression d’un doute en absence des dites preuves, n’est pas une idéologie.

        Respectueusement,
        Paul S.

  29. Robert dit :

    Jean-Luc;

    Vous êtes effectivement un croyant car vous acceptez toutes ce que disent ces soi-disant experts SANS AUCUNE PREUVE. Personnellement, je vous ai demandé de nous donner, ne serais-ce qu’une preuve qu’une augmentation en CO2 a fait ou va faire augmenter la température de l’atmosphère?

    • Reynald Du Berger dit :

      En effet, il n’y a toujours AUCUNE preuve du RCA… absolument AUCUNE et bonne nouvelle: Trump vient de confier la direction de la Environmental Protection Agency au climato-sceptique bien connu Myron Ebell… il est lié au charbon, pétrole et va te faire un sacré ménage ! Les moumounes écocondriaques et climato-alarmistes qui parasitent la société et nos gouvernements ont les fesses serrées ! Myron Ebell était à la CONTRE COP21 à Paris, l’an dernier, et j’ai été invité à faire un exposé à la CONTRE COP22 cette année aussi à Paris. C’est Jean-Luc qui doit jubiler… Je parlerai de ces bonnes nouvelles à CHOI Radio-X (Maurais et DH) cette semaine.

      • jean-luc dit :

        Si vos dires s’avère vraie et que Trompe fait ce vous mentionnez, il devra un jour répondre de ces actes. Puisque vous êtes dans son camp, vous devrez vous aussi répondre….

        Je gage que vous n’aurez pas le courage d’écouter les témoignages des climatologues émérites suivant qui ne partage pas du tout votre avis !

        http://www.skepticalscience.com/climate-scientists-react-to-potus-trump.html

        Ces scientifiques sont encore libres de parler.

        Mais peut-être que Troompe vas comprendre que si il ne cherche pas à trouver des solutions au RCA plutôt que de le nier eh bien il vas juste faire en sorte que les américains ne seront pas dans le peloton de tête pour développer des solutions environnementales comme les allemands, les français, les chinois le font à l’heure actuelle.

      • Reynald Du Berger dit :

        Ce sont les parasites écocondriaques qui métastasent l’état et les ONG activistes à nos frais qui devront répondre de leurs actes, cités à procès quand on aura mis au jour et prouvé de façon non équivoque cette vaste fumisterie. Ces sangsues devront payer les 89 000 milliards que cette imposture aura coûté en 2030. Vous ne lisez donc pas mes billets ?

        LE PROCÈS DES RÉCHAUFFISTES

      • Paul S. dit :

        “..il devra un jour répondre de ces actes …” est un anathème, mot pour mot, au singulier, lancé par la grande Corinne Lepage.
        Cette gourou(ette) avait aussi soutenu que les activités humaines causaient des tsunamis et des tremblements de terre.

        Des endoctrinés et les membres des sectes répètent des préceptes que leur ont servis leurs maîtres à penser.

      • Paul S. dit :

        Donald Trump est un simpliste pragmatique. Ce n’est pas un simplet instable, raciste et misogyne, comme ses ennemis essayent de le décrire.

        Des procès, il en a tous les jours, d’intention pour la plupart.

        Dans l’article “Here’s how Obama’s trying to persuade Trump not to abandon the Paris climate deal” (attaché à la référence de M. Jean-Luc) on peut constater que M. Obama faisait un amalgame serré entre la vraie pollution et les émission des GES.

        D. Trump, en disant que la lutte aux changements climatiques profitait aux chinois, n’a pas tort : ils doivent de toute façon régler leurs problèmes de pollution et ils ne se gêneront pas pour produire des GES, y compris en brûlant les hydrocarbures spoliés dans la Mer de Chine, annexée de force.

        Pendant ce temps, l’Occident se ruine en SUBVENTIONNANT le développement et le déploiement des filières énergétiques inefficaces.

        Des solutions technologiques valables, soumises aux lois des marchés, survivront et fleuriront, tant aux USA qu’ailleurs.

        Les pseudo élites et les intellos sont facilement manipulables car ils prétendent pouvoir / devoir tout comprendre, y compris des concepts très pointus et ils ont honte d’admettre leur ignorance. Une aubaine pour des filous, capables d’instaurer des vérités absolues intouchables.

        Il y a une tradition aux USA de bons présidents, comme Abraham Lincoln, Lyndon Johnson, Ronald Reagan, etc.., guidés par leur gros bon sens, plutôt que par
        des cabrioles intellectuelles à la Clinton ou par la rectitude politique à la Obama.

        Pour Donald J. Trump on verra, mais on sait déjà qu’au grand dam des maîtres à penser, y compris ceux de la droite, il se fout de ce qu’ils peuvent penser.

  30. jean-luc dit :

    Si vous ne voyez pas l’idéologie que les climato-septiques partagent moi je la vois très nettement.

    Est-ce que j’ai besoin de vous l’expliquer Paul S. ?

  31. Robert dit :

    Jean-Luc;

    Je vous ai déjà envoyé un graphique de températures tel que publié dans Facebook par Michael A Mann:
    J’avais aussi utilisé la courbe de Keeling (CO2 Vs années) pour déterminer la variation du CO2 avec les années:

    LE PROCÈS DES RÉCHAUFFISTES

    J’avais comparé les deux périodes suivantes, selon le graphique de Mann:

    1) Période 1910-1944: La température augmente de 0,021 oC/Année. Durant cette même période, le CO2 a augmenté de 0,3 ppmv/année.

    2) Période 1978-2012: La température augmente aussi de 0,021 oC/ année pendant que le CO2 lui, augmente de 1,7 ppmv/année, soit presque 6 fois plus vite.(*)

    (*) Le fait que le CO2 augmente 6 fois plus vite durant la période 1978-2012 que durant la période 1910-1944 aurait du avoir une incidence sur l’augmentation de température pour la période 1978-2012. …En accord avec votre théorie stipulant que l’augmentation de la teneur en CO2 va faire augmenter la température. Vous êtes même prêt à appauvrir considérablement l’humanité pour que le CO2 n’augmente plus et même baisse.

    Pourtant, je n’ai pas utilisé un graphique de Roy Spencer mais bien d’un des plus proéminent défenseur du réchauffement climatique causé par le CO2, Michael A Mann.

    Des explications SVP??

    • Paul S. dit :

      Sur l’échelle de ma vie, 34 ans pèsent très lourd, mais sur l’échelle de vie de la planète ce n’est qu’environ un dixième de 1 % d’un cycle de précession d’équinoxe.

      Depuis sa naissance la planète a vu probablement entre 100,000 et 200, 000 de ces cycles et de nombreuses ères glaciaires avec un effet rémanent.

      34 ans à l’échelle de vie d’une mouche : moins que la durée de son pet.

      • Robert dit :

        Paul S.:

        Il faut prendre 34 ans deux fois (68 ans) plus la période 1944-1978 (30 ans) période où la température a baissée plus la période 1998 à maintenant 18 ans période où la température n’a pas augmentée. Ajouter à cela la période 1850 à 1910 période où la température a baissée. C’est cette période de 135 ans qu’ils prennent pour prétendre que le CO2 fait augmenter la température. La comparaison que j’ai fait permet de comparer des poires avec des poires et de démontrer que dans l’ère actuelle le CO2 ne fait pas augmenter la température. C’est plutôt le contraire. Ce que j’ai fait, ça s’appelle un échantillonnage!
        La température des océans a augmentée de 0,59 oC en 135 ans (Selon Argo). C’est ce 0,59 oC qui est en partie responsable de l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère. Ils n’ont absolument rien pour prouver qu’une augmentation en CO2 a fait ou fera augmenter la température. Par contre, beaucoup de données démontrent le contraire.

      • Robert dit :

        Monsieur Paul S.:

        Vous dites que 34 ans c’est rien dans l’histoire de la terre. Cependant, je dois vous faire remarquer qu’il y a 34 ans personne ne parlait de fonte de glaciers, réchauffement des océans, montée des eaux, températures…etc. Il y a 34 ans, nous étions en 1982 et le GIEC n’existait même pas. Tous ces énergumènes environnementalistes parlent de réchauffement climatique depuis à peine 1990 et de changements climatiques depuis le tournant des années 2000!

      • Paul S. dit :

        Cher Robert :

        À propos de l’intervalle de 34 ans.

        C’est clair que vous essayez de confronter vos adversaires sur leur terrain.
        Ils savent que pour motiver les indécis et obliger les politiciens à nous rançonner vigoureusement, il faut parler du danger imminent, donc du court terme.

        Le pape Gore, accroupi sur sa latrine climatique, chevauche son “TIPPING POINT” en permanence.

        Je m’interrogeais seulement sur l’inertie du système climatique à variables multiples, certaines encore inconnues, d’autres à pondération modulable.
        Je crois me souvenir que le professeur Du Berger, beaucoup plus qualifié que moi, avait déjà écrit sur ce sujet.

        Si un cardiologue voulait se prononcer sur ma santé en se basant sur un électrocardiogramme d’une durée de 0.1 sec, je serais inquiet.
        Un électroencéphalogramme de la même durée dans la salle d’opération du Dr. Couillard, me vaudrait un requiem ou une lobotomie, au choix du rigoureux neurochirurgien.

        Remarquez, nonobstant l’intervalle choisi, il se pourrait que l’intensité et le cumul des activités humaines entraîne à la longue des consequences graves, possiblement d’une manière autre que celle prédite.

        CORRECTION : Dans mon raisonnement par absurde j’ai voulu dire : “34 ans TRANSPOSÉS à l’échelle de vie d’une mouche …”

    • Paul S. dit :

      M. Robert affirme : “… je dois vous faire remarquer qu’il y a 34 ans personne ne parlait de fonte de glaciers, réchauffement des océans, montée des eaux, températures…etc.”

      Vous avez raison, mais cette observation relève plutôt de la sociologie ou de la constatation d’exploitation de la naïveté humaine.

      Combien de temps faudrait-il pour débusquer une manipulation à l’échelle planétaire, faite pour nous sauver de nous même ?

      Cependant, les actes individuels d’hommerie triviale peuvent être compris rapidement.
      Le discours d’Al Gore (référencié ci-haut), que j’avais écouté sur la recommandation de M. Jean Luc n’a duré que 25 minutes et 24 très longues secondes.

  32. Robert dit :

    Monsieur Paul S.:

    Vous avez écrit:

    « Vous avez raison, mais cette observation relève plutôt de la sociologie ou de la constatation d’exploitation de la naïveté humaine. »

    et

    « Combien de temps faudrait-il pour débusquer une manipulation à l’échelle planétaire, faite pour nous sauver de nous-même ? »

    Vous avez parfaitement raison. Cette gang de manipulateurs professionnels utilise des changements climatiques qui se sont produits à court terme. Jamais ils ne mentionnent des statistiques comme par exemple mentionner que le Groenland a presque totalement fondu durant les années 20 et 30. Comme l’ouragan Sandy qui a sévi en 2012 à New York a fait la même chose (Même force) vers la fin du IX ième siècle et le début du vingtième siècle sauf qu’en ce temps il n’y avait pas de tunnels de métro…et aussi une population beaucoup moindre….donc moins de dégâts.

    C’est pour toutes ces raisons que je me bats contre eux en utilisant leurs propres armes…des périodes assez courtes pour que les gens puissent comparer (Le CO2 est plus bas, donc la température doit être plus basse…ce n’est pas ce qui arrive). La fameuse histoire du bâton de hockey de Mann est encore en vogue même s’il fut démontré que c’était une fumisterie!

    • Paul S. dit :

      Monsieur le professeur Robert écrit : “C’est pour toutes ces raisons que je me bats contre eux en utilisant leurs propres armes…”.

      Et vous devez continuer, car c’est important et la reconversion des endoctrinés ne pourrait se faire que par l’action individuelle et volontaire.

      Ces messieurs ont prévu le coup : eux, ils parlent la science et ceux qui, comme vous, apportent des objections, n’offrent que des opinions obstructionnistes et ils devraient être muselés.
      Donc on revient à l’aspect sociologique de la Propagande Verte.

      J’aimerai quand-même m’entretenir avec vous de la science.
      Dans la réponse précédente j’avais mentionné : “Je m’interrogeais seulement sur l’inertie du système climatique à variables multiples, certaines encore inconnues, d’autres à pondération modulable.”

      Il y a une différence de 11.8 % entre l’apogée et le périgée moyens de l’orbite lunaire, ce qui causerait une variation de 25 % de l’attraction gravitationnelle correspondante agissant sur la Terre.
      Lorsque l’on considère le périgée minimal et l’apogée maximal, la variation de la force gravitationnelle serait de 30 %.

      Cette variabilité sur les marées et aussi sur les molécules d’air dans l’atmosphère est importante et elle doit forcément influencer les déplacements de ces fluides, ainsi que les tendances météorologiques.

      L’effet de la forme ellipsoïde de l’orbite lunaire, est-elle prise en charge par les modèles climatiques ?

      Aussi : l’effet d’attraction et de relaxation quotidiens sur les fluides terrestres est-il quantifié et les gains de chaleur sont-ils inclus dans les bilans thermiques avec des ajouts ou des soustractions aux valeurs calculées par les modèles climatiques ?

      Juste en passant : si l’on regarde votre graphique plus haut sur la page (https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-40222) on serait presque tenté d’y voir une périodicité de 18.6 ans (l’an 1998 correspond au périgée précédent).
      Mais cela appellerait une validation par un homme de science comme vous.

      • Paul S. dit :

        La thèse du docte Keven a-t-elle été publiée ?

        Dans son évaluation présumée de l’augmentation du niveau des mer due au réchauffement planétaire causé par les activités humaines, avait-il isolé l’augmentation du niveau des marées due à l’attraction gravitationnelle de la lune en croissance ces dernières années ?

  33. Paul S. dit :

    L’an dernier, Radio Canada avait louangé la Coopérative de la Forêt d’Arden, une entreprise d’endoctrinement des petits écoliers :

    HEUREUX LES CLIMATO-SOUMIS !

    Ces messieurs et dames, vaillants “agents de sensibilisation”, aiment voyager, alors la tétine gouvernementale avait payé pour le séjour du directeur à la COP21 de Paris.
    M. Maziade avait bien aimé et il avait exprimé l’espoir de récidiver à Marrakech.

    Eh bien, c’est fait, ils sont deux ou trois à la COP22, gracieuseté du Ministère des Relations internationales :
    https://boursescolere.com/nouvelle/cest-un-depart-cop22-cdp22/
    https://fr-ca.facebook.com/CoopForetdArden/
    http://www.foretdarden.com/nouvelles/cop-22-cdp-22/

    Apparemment, il y aurait 90 “représentants” du Québec là bas :

    Sûrement, plusieurs réclameront du gouvernement le remboursement de leurs “frais de représentation”.

    Pire encore, l’opposition reproche à Messieurs Couillard et Heurtel d’arriver à Marrakech (CAR IL FALLAIT ABSOLUMENT Y ALLER) les mains vides.
    En plus d’engagements irréalistes, M. Couillard avait “garroché” par la fenêtre 25 millions $ l’an dernier à Paris pour plaire au Pape Vert Al Gore.

    Pendant ce temps on impose dans les CHSLD du Québec des quotas sur la disponibilité de couches d’incontinence pour le aînés.

    Il serait temps de rappeler à ces dames et messieurs de l’Assemblée Nationale les missions prioritaires de l’état.
    Les proches, qui voient leurs parents souffrir, vont-ils faire livrer au Salon de la Race des caisses remplies de couches trop pleines, prêtes au recyclage éco-responsable ?
    Des volontaires pour ce recyclage utile ?
    Forêt d’Arden ?

  34. Paul S. dit :

    Certains pensent que le futur gouvernement central aux USA pourrait modérer les élans des climato-alarmistes américains.

    Chez nous, comme d’habitude, nous allons probablement accélérer dans le sens inverse.

    Au terme de son élection à la tête du PQ, M. Lisée s’était engagé à se réapproprier l’initiative dans la lutte aux changements climatiques.
    En cela l’on le comprend, M. Couillard n’avait pas abordé ce thème lors de la dernière campagne électorale et il est devenu un Vertissime par calcul politique.

    Dr. Couillard dominait Mme Marois et M. PKP par un certain ascendant intellectuel, mais surtout par ses prolifiques coliques verbales.
    Il en sera autrement avec J.F. Lisée, un sophiste aguerri et un stratège accompli. Il va déposer des pelures de banane nombreuses sur le chemin, jusque là tranquille, du docteur débonnaire.

    Il s’en ensuivra une surenchère pour séduire les cœurs et la raison (?) de la clientèle verte québécoise avec l’argent du contribuable.
    Donc, des dépenses d’ivrogne dans des patentes douteuses et la mise au rancart des opportunités de développement économique ne portant pas le sceau d’approbation d’Équiterre.

  35. jean-luc dit :

    Vous dites « Ce sont les parasites écocondriaques qui métastasent l’état et les ONG activistes à nos frais qui devront répondre de leurs actes, cités à procès quand on aura mis au jour et prouvé de façon non équivoque cette vaste fumisterie. Ces sangsues devront payer les 89 000 milliards que cette imposture aura coûté en 2030. »

    mais votre idéologie est complètement faussée

    350 compagnies de niveau mondiale qui demande à Trump de continuer les efforts de réduction des GES… ce n’est pas ce qu’on appel un mouvement de gauche ou d’écondriaque comme vous dites.

    http://www.reuters.com/article/us-climatechange-accord-business-idUSKBN13B1E7

    avec le message du pm chinois les USA sont isolés dans leurs démarches si tel était le cas que vous nous prédisez et ce sans compter qu’il y a déjà des états (Californie) qui sont rentrés dans le marché du carbone.

    en plus comme le dis ce chroniqueur de la presse , trump devra choisir entre le gaz naturel et le charbon ! Trump va aussi comprendre que le développement des énergies vertes est aussi un moteur économique !

    http://blogues.lapresse.ca/sciences/2016/11/16/climat-trump-peut-il-vraiment-tout-faire-derailler/

    Moi je suis certain que c’est vous qui devrez répondre de vos paroles car la fumisterie est du côté des producteurs d’énergie fossiles, il n’y a qu’à s’informer pour bien le comprendre.

    Quand on constate que même des compagnies traditionnelles comme Porsch ou Jaguar ont dans leur carton des modèles électriques …. il ne faut pas être un grand clairvoyant pour prédire que l’ère des énergies fossiles est dans son déclin et que ce n’est pas Trump qui va y changer grand chose !

    • Reynald Du Berger dit :

      350 firmes qui jettent de la poudre aux yeux pour paraitre bien aux yeux des écocondriaques… vous n avez jamais vu cela? Vous êtes naïfs à ce point? c est comme le label « éco-responsable » qui figure sur leurs produits de pacotille.. de la poudre aux yeux pour enverdeurs. Ne soyez pas dupe de leur pub. Et je rappelle que ce sont les climato-alarmistes comme vous qui devrez répondre de leurs actes pour ce gâchis de 89 000 milliards$

      • jean-luc dit :

        Je sais très bien faire la différence entre le green washing et le message envoyez par ces trois cents cinquante entreprises.

        Mais vous, vous ne voyez pas de différences entre un investissement dans les énergies renouvelables, une police d’assurance pour un environnement de meilleur qualité ou des fonds pour enrichir les pachas de l’industrie des énergies fossiles ????

        Les chinois semblent mieux le comprendre que vous en investissant dans l’énergie solaire.

        Vous êtes tellement frustrés que vous vous sentez obligés d’insulter les alarmistes !

        Expliquez nous clairement comment investir dans la lutte au RCA est un gâchis économique !

        La ville de Dubai est construite de toutes pièces par les revenus du pétrole et ça ne sert qu’à enrichir des gens qui sont déjà archi riches alors que les énergies vertes crées de la richesse partout dans le monde !

        Si Trump choisi le clan des deniers, il sera le symbole du déclin de l’empire américain qui aura raté le virage des dernières années

      • Reynald Du Berger dit :

        « Expliquez nous clairement comment investir dans la lutte au RCA est un gâchis économique ! » Investir? ais-je bien lu investir? jeter de l argent par la fenêtre c est investir? 89 000 milliards $ que les climato alarmistes auront coûté en 2030 du gaspillage pur… les climato-obsédés doivent comparaitre et etre accusés… ils devront payer … 89 000 milliards $ une honte.

      • Paul S. dit :

        Messieurs Du Berger et Jean-Luc, vous êtes tous les deux des personnes privées qui expriment des opinions contraires.
        Je ne vois pas pourquoi vous devriez “répondre de vos paroles” de quelque façon que ce soit.
        Nous vivons dans un pays garantissant la liberté d’expression pour le moment.

        Par contre, les premiers ministres Charest, Marois et Couillard, ainsi que leurs cohortes de politiciens paresseux intellectuellement, devraient répondre de leurs actes motivés SEULEMENT par des raisons politiques.

        Dans une situation de surcapacité de production, l’érection des éoliennes à la gloire de Gaia, était un acte de gaspillage coûteux et néfaste pour l’environnement.

        Ce n’était pas un “investissement dans les énergies renouvelables”, ni “une police d’assurance pour un environnement de meilleur qualité”.

    • Robert dit :

      Jean-Luc;

      Pôve ti gars…Ces énergies vertes dont vous parles tant. Elles représentent moins de 1% du total. Les éoliennes sont vouées à l’échec. Imaginez faire tourner des aciéries avec des vire-vents…Quelle stupidité. Aux USA, 20 000 éoliennes ne fonctionnent plus!

      P.S: La Chine n’a encore rien fait. Ils sont toujours très majoritairement aux centrales au charbon!

    • Paul S. dit :

      M. Jean-Luc,

      Votre évocation de “ 350 compagnies de niveau “MONDIAL” ” porte une indication importante sur la motivation réelle de ce “360+ group”, regroupant des entreprises, ainsi que des grands investisseurs.

      Ces personne, dites morales, sont-elles loyales envers leurs employés qui les ont aidées à prospérer ?
      Ces derniers, bien que traditionnellement d’allégeance démocrate, viennent de porter Donald Trump à la présidence.

      Le vrai enjeu des années à venir c’est la globalisation.

      M. Sarkozy vient de menacer les USA de représailles économiques de la part de l’Union Européenne et d’autres pensent comme lui.
      Les affairistes ne veulent pas cela.

      Il y a aussi l’intention de rapatrier les jobs de la Chine “to make the America great again”.

      Plusieurs membres du “360+ group” ont des investissement importants en Chine et ils savent que le régime totalitaire chinois peut jouer très dur.
      La nationalisation et la spoliation de leurs technologies leur pend au bout du nez avec la confrontation menée par D. Trump ou sans elle, dans un avenir plus éloigné.

      Pour continuer à engranger, tout en augmentant la puissance d’un pays aux ambitions dominatrices prévisibles, le grand capital affrontera Trump sur toutes les tribunes disponibles pour le discréditer.

      Je crois que le libre échange est dans l’intérêt du capitalisme et des entreprises responsables, mais la globalisation, laquelle est basée sur l’utilisation d’une main d’oeuvre chinoise sans libre arbitre, ne l’est absolument pas.

      Salutations,
      Paul S.

  36. Paul S. dit :

    M. Jean-Luc admiratif : “Les chinois semblent mieux le comprendre que vous en investissant dans l’énergie solaire.”

    Les panneaux solaires vont occuper beaucoup d’espace pour remplacer une usine traditionnelle de production d’électricité.
    Cela enlève les superficies disponibles à la production de la nourriture ou à l’établissement des aires vertes de captation du CO2.
    Sans parler de l’aspect aléatoire de ce mode de production.

    Panneaux solaires sur les toits, pourquoi pas, mais avec le smog chinois ce serait futile.

    Utiliser des panneaux solaires et les éoliennes dans les villages et hameaux éloignés des réseaux de distribution d’électricité en Chine et dans les pays du Tiers Monde : A B S O L U M E N T !!

  37. Robert dit :

    À tous les climato-réalistes (*):

    Trump a nommé Myron Ebell (Un anti-réchauffiste notoire), entre autre à la tête de l’EPA. Cet organisme gouvernemental va enfin cesser de dire que le CO2 est un gaz polluant. L’EPA va aussi cesser de propager des faussetés!

    Avec Trump, on va voir tout un changement…Car il nomme les bonnes personnes aux postes clé!

    (*) En passant, je viens juste d’ajouter ce terme au dictionnaire!

  38. Robert dit :

    Jean-Luc;

    Quand allez-vous comprendre que l’on ne peut remplacer des centrales au gaz, au pétrole et au charbon qui coutent peu cher par des patentes (éoliennes, panneaux solaires) qui fonctionnent à 25% du temps et coutent une fortune en entretien? Oubliez ça, c’est l’argent qui parle. Vous avez beau leur donner des noms pompeux comme « énergie renouvelable », ce qui est totalement faux…Ça ne changera rien!

    • jean-luc dit :

      La filière pétrole est encore moins efficace. Lors de la combustion dans les moteurs de nos autos c’est 30 % d’efficacité. A cela s’ajoute comme perte d’efficacité le transport du pétrole de la raffinerie au poste à essence, ainsi que du puit à la raffinerie… par bateau, train ou autres et au puits il a encore du torchage … chacune de ces étapes émets du CO2 en plus de composés secondaires.. En plus il faut bâtir les raffineries et les démanteler à leur fin de vie, il faut nettoyer les fuites dans ces différents maillons de la chaîne de transformation ou encore utiliser des quantités phénoménales d’eau pour les sables bitumineux. Pour finir le bal les énergies fossiles sont subventionnés à cout de millions et de milliards. Les profits restes très peu dans les pays qui utilisent le pétrole. Sans compter toute l’énergie militaire qu’on prend pour tenter de contrôler l’exploitation du pétrole. et les conséquences sur la santé des citadins (smog, asthme, etc..).

      Je crois qu’en combinant soit la biomasse, la géothermie, l’hydraulique, l’éolien, le solaire comme énergie renouvelable il n’y a pas beaucoup d’endroit dans le monde qui ne pourrait pas s’auto suffire ou à tous le moins de pouvoir réduire d’au moins 50 % notre dépendance au pétrole.

      • Robert dit :

        Jean-Luc;

        Les rendements actuels des voitures à essence sont maintenant 38-40%. Pour une voiture diézel c’est 45%…Vous n’êtes pas à jour!

        Tout a changé
        1) Injecteurs commandés par ordinateur ce qui produit toujours le bon ratio Air/Essence. Allumage améliorée.
        2) Aérodynamisme amélioré
        3) poids considérablement réduit
        4) Performance des moteurs…forme des pistons pour améliorer la performance des pistons.
        5) Amélioration des systèmes antipollutions
        6) Additifs aux essences.

      • Paul S. dit :

        Chaque ingénieur, SANS EXCEPTION, doit connaître la différence entre la DISPONIBILITÉ OPÉRATIONNELLE et le RENDEMENT ÉNERGÉTIQUE de la machinerie.

        M. Jean-Luc, souffrez-vous du syndrome de déficit d’attention ?

        M. Robert parlait clairement de la première caractérisation, mais vous avez enchaîné sur la deuxième, avec une interjection présumant un lien.

        Une centrale thermique conventionnelle est disponible quand ses réservoirs de carburant (liquide ou solide) et d’eau sont remplis, quand les machines sont en état de marche, les opérateurs sont aux commandes et quand le réseau électrique est en ligne.

        Une éolienne est arrêtée quand le vent est trop fort (sans parler de tempête), trop faible ou absent, quand il fait trop froid, quand les laveurs nettoient les chiures de mouches ou brisent la glace sur les pales et quand on répare les convertisseurs brisés ou autres pannes.
        À chaque redémarrage et ils sont nombreux, il faut synchroniser avec le réseau, ce qui n’est pas instantané.

        L’énergie éolienne est aléatoire et la figure de 25%, citée par le prof, n’est pas assurée, même sur les bons sites.
        La solution préconisée serait l’interconnexion sur un réseau de très grande envergure (ex.: le futur réseau paneuropéen), car on présume que le vent souffle correctement quelque part et surtout, que quelqu’un possède un “backup” fiable. Les espagnols aimeraient pouvoir compter sur le nucléaire français prévisible.
        Bien entendu, les transferts d’électricité sur des grandes distances engendrent des pertes par “chaleur ohmique”.

        Sur un réseau discret, il faut prendre l’énergie éolienne lorsqu’elle passe et lui accorder un traitement préférentiel au détriment des usines traditionnelles en attente (turbines gardées au ralenti pour diminuer le temps d’atteinte du point d’opération optimal).
        Selon le quotidien allemand Handelsblatt : “Du fait qu’on donne à l’éolien et au solaire la priorité d’accès au réseau avant les énergies fossiles conventionnelles, les centrales électriques conventionnelles sont forcées de tourner à temps partiel et avec de mauvais rendements, ce qui les rend non-rentables.” Donc le privé subventionne indirectement l’éolien inefficace et trop cher.

        En plus de la nécessité d’adossement sur des moyens de production fiables pour éviter des coupures de courant (donc l’installation d’une surcapacité de réserve), il faut aussi sur-dimensionner les turbines éoliennes pour assurer le niveau de production promis lorsque le vent n’est pas optimal.
        Le facteur de capacité est défini ainsi : énergie totale produite / heures de production / puissance nominale.
        Pour une éolienne, les détracteurs parlent de 20 à 30% et les défenseurs de 30 à 40% en faisant probablement intervenir le calage variable des pales sur les éoliennes du haut de gamme.
        Le facteur de capacité pour des usines thermiques traditionnelles se situe typiquement entre 85 et 90%.

        Donc, pour tenir compte de variables opérationnelles, une éolienne doit avoir une surcapacité de 150 à 300%, tandis que la solution conventionnelle peut être beaucoup plus frugale.

        Vous savez sûrement qu’une usine thermique ne fait pas appel à votre moteur d’auto à 30% d’efficacité.
        Le rendement des turbines à gaz modernes peut atteindre / dépasser 60% et les gros moteurs diesel sur les génératrices d’urgence (comme celles dans les hôpitaux allemands qui dépannent les réseaux publics handicapés pas les parcs d’éoliennes trop nombreux) atteignent maintenant des rendements de l’ordre de 45%.

        Si vous vouliez parler du rendement énergétique d’une éolienne proprement dit, je vous avais remis un aide-mémoire l’an dernier (https://duberger.me/2015/10/27/heureux-les-climato-soumis/#comment-36662). Probablement en pure perte.

        Comprenez moi bien : les éoliennes sont une solution acceptable (et désirable) là où elles s’imposent sur des bases économiques non biaisées par des subventions directes ou indirectes. On doit aussi prendre en considération les arguments écologiques, mais à leur vraie valeur, non-biaisée par les interventions politiques.
        Je ne crois pas que l’éolien soit justifiable objectivement aujourd’hui dans beaucoup de contrées et sûrement pas au Québec.

        Dommage que l’on ne publiera jamais les évaluations de l’aventure éolienne faites par les ingénieurs d’Hydro Québec avant l’intervention opportuniste du premier ministre Charest.

        Il parait que les enseignants syndiqués font prescrire du Ritalin obligatoire aux élèves dissipés.

        Peut-être qu’un ingénieur souffrant du syndrome de déficit d’attention pourrait aussi régler son problème de cette manière.
        Les professeurs R&R, devraient songer à LE DIRIGER vers le Doc Mailloux pour une prescription salutaire.

  39. Robert dit :

    Paul S. et Jean-Luc:

    Voici un diagramme de température en fonction des années tel que publié par le GIEC:

    Comme vous le savez, le phénomène LNiNio fait augmenter les températures tandis que LaNiNia fait baisser les températures.Si vous regardez le graphique, vous constatez les choses suivantes:

    1) De 1947 à 1976, il u a eu 20 événements.. Il y a 6 années qui ont subi le ElNinio et 14 années ont subi LaNiNia. La température globale a donc baissée (Tell que l’on peut le voir sur le graphique.)

    2)De 1976 — 1998, il y a eu 10 ElNiNio et 3 LaNiNia la température s’était donc globalement réchauffée.

    3)Depuis 1998, il y a eu 7 ElNiNio et 7 LaNiNia. La température n’a donc pas changé…Nous sommes sur le dernier plateau.

  40. jean-luc dit :

    je vous donne raison Robert que les rendements des voitures ce sont améliorés. Mais ceux des éoliennes aussi…

    Est-ce que la consommation moyenne des véhicules s’est amélioré tant que cela ? Dans mon entourage ont dirait que les véhicules sont de plus en plus gros 4 x 4..

    Mais le fait demeure que la chaîne globale de production d’énergie à partir de combustible fossile n’est pas efficace et ce malgré plus de cents ans de recherche et développement

    • Paul S. dit :

      M. Jean-Luc magnanime : “je vous donne raison Robert que les rendements des voitures ce sont améliorés. Mais ceux des éoliennes aussi…”
      Je t’accorde quelque chose, mais tu dois réciproquer…

      On dirait que les observations objectives sur la performance des éoliennes seraient maintenant négociables, exactement comme le sont les observations climatiques pour le GIEC.
      Si M. Jean-Luc voulait ouvrir ses horizons à ce sujet, le billet de M. Jean-Pierre Bardinet, en tête de cette page, offre une excellente synthèse sur cette fraude.

      Maintenant, où exactement sont ces améliorations de la performance des éoliennes et de combien ?
      L’extraction maximale d’énergie cinétique du vent est limitée à environ 59% par la Loi de Betz.
      La vitesse du vent fluctue et l’ajustement rétroactif du pas de pales est pratiqué depuis longtemps.
      Les effet d’environnement dégradent la performance aérodynamique des pales, alors il faut les nettoyer.

      Même si les outils CFD (“computational fluid dynamics”), ainsi que les logiciels spécialisés dans la conception des éoliennes, permettent de bien comprendre les paramètres de conception, l’obstacle principal, la variabilité du vent, restera toujours hors du contrôle et l’ajustement du calage de pales ne pourra pas être anticipatif.

      Le malheur avec de nombreux écolos de salon qui conduisent les “gros 4 x 4”, c’est que pour eux parler de la vertu, les dispense de sa pratique.
      L’affirmation du statut social est plus importante pour ces fantoches que le sauvetage de la planète que l’on laisse aux autres.

    • Reynald Du Berger dit :

      jean-luc, Danny de Radio-x m envoie votre message ci-dessous auquel je veux répondre mais votre email est FAUX… comme le RCA…. votre email qui est sur ce message est jean-luc@gmail.com pourquoi ce mensonge? quel est le email auquel on peut vous répondre ?
      p.s un avis peut être faux mais pas « fausse »

      message de Dany Houle:
      Pour ton info
      De : RadioX – jean-luc [mailto:postmark@rncm.ca]
      Envoyé : mardi 15 novembre 2016 20:32
      À : Houle, Dany
      Objet : climatologue qui se prononce en défaveur du choix de Trump

      Je voudrais que votre invité R. Duberger réponde en quoi l’avis de ces climatologues émérites est fausse. Et surtout qu’il ne nous dise pas que des vrais climatologues ça n’existe pas étant donné qu’il est juste un géologue à la retraite !

      http://www.skepticalscience.com/climate-scientists-react-to-potus-trump.html

      EMAIL-SENT-FOR : jean-luc@gmail.com

      HTTP-CF-CONNECTING-IP : 76.71.209.253

      HTTP-CF-VISITOR : {« scheme »: »https »}

      HTTP-CF-IPCOUNTRY : CA

      HTTP-REFERER : https://radiox.com/nous-joindre

      HTTP-USER-AGENT : Mozilla/5.0 (Macintosh; Intel Mac OS X 10121) AppleWebKit/602.2.14 (KHTML, like Gecko) Version/10.0.1 Safari/602.2.14

      HTTP-X-FORWARDED-PROTO : https

      HTTP-X-FORWARDED-FOR : 108.162.219.227

      SERVER-ADDR : 10.136.5.65

      REMOTE-ADDR : 10.136.21.225

      • Paul S. dit :

        M. Jean-Luc verbatim : “… juste un géologue à la retraite !”

        Quelle suffisance chez cet ingénieur (véritable ou autoproclamé) …
        Il faut être sérieusement endoctriné pour penser qu’il y a une hiérarchie de sciences, avec la climatologie trônant au sommet.

        Avait-il seulement envisagé la possibilité que plusieurs de ces messieurs sur la page de skepticalscience.com puissent être en train de défendre leur gagne pain ?
        Bien entendu, plusieurs semblent et sont probablement sincères.

        Moi, j’avais regardé en entier les discours et lu les commentaires, dès la parution de l’exhortation de Jean-Luc (https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-40456).

        C’est ainsi que j’ai appris la signification d’un néologisme : “POTUS” = « President of the United States, ».

        Merci, M. Jean-Luc.

  41. Robert dit :

    Jean-Luc;

    Vous ne donnez que les inconvénients du pétrole (dont la majorité de vos énoncés sont faux). Vous nous rabâcher constamment les oreilles avec vos foutues énergies vertes (principalement les éoliennes). Il serait bon que vous preniez de solides informations concernant les éoliennes:

    Cliquer pour accéder à Presentation_JR_14sep2012.pdf

  42. Paul S. dit :

    Une séquence de points de vue intéressants de M. Guillaume : https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-40533

    Monsieur Guillaume,

    Vous exprimez des questionnements nuancés et en retour les réponses de M. Du Berger sont mesurées.
    Personne n’affirme que leur science a tout dit et que le débat est clos.
    On ne s’accuse pas de délit d’opinion passible de sanctions futures.
    Ceci, après deux commentaires de part et d’autre. Les choses peuvent changer, lorsque la passion prend le dessus.

    Il faut quand-même admettre que les climato-réalistes sont en minorité aujourd’hui.
    En tout cas, en considérant les opinions affichées publiquement. Pour le doute privé, devant la propagande alarmiste et devant le déni du droit de parole, je ne sais pas.

    La population ne peut pas être accusée de manque d’ouverture d’esprit.
    En parlant de ceux qui ont une formation scientifique, on pourrait peut-être parler d’aveuglement (involontaire et volontaire aussi), de crédulité, du manque de curiosité.
    Les autres écoutent les “leaders” d’opinion. Sont-ils pour autant des climato-soumis ?
    Dans les faits, ils sont des climato-taxés et des climato-exploités.

    Guillaume, vous reprochez au professeur Du Berger de ne pas être un arbitre désincarné du débat climatique. En effet, c’est ainsi que l’on se plaît imaginer les hommes de science.
    C’est pourquoi CE CONCEPT EST DEVENU POUR LES CLIMATO-ALARMISTES UN OUTIL DE PERSUASION IMPARABLE : IL Y A UN CONSENSUS DE 97% de scientifiques (arbitres impartiaux) sur le réchauffement climatique anthropique.
    Messieurs Obama, Couillard et autres l’affirment et ils inventent des taxes et autres prélèvements en conséquence.

    M. Guillaume, faites-vous une faveur et vérifiez la validité de ce consensus comme je l’avais fait ici : https://duberger.me/2015/12/29/bonne-annee-2016-a-mes-lecteurs/#comment-36816
    (“The Consensus Project” du Dr. Cook : “Search through the title and abstract of the 12,464 papers analysed in Quantifying the Consensus on Anthropogenic Global Warming in the Scientific Literature. You can restrict your search to different categories or endorsement levels.”)

    Je n’ai toujours pas trouvé de mot-clé, soumis à l’engin de recherche, qui ne sortait pas d’étude faussement attribuée à ce consensus.
    CETTE SUPERCHERIE AUTORISE TOUS LES ABUS ET DES FOLIES RUINEUSES POUR L’HUMANITÉ.

    Moi aussi, j’essaye de me faire une opinion sur l’aspect scientifique des phénomènes reliés aux changements climatiques (naturels et ceux attribuables à l’homme).

    Sur le détournement de la science, mon opinion est faite.

    Bien à vous,
    Paul S.

    P.S. : Pensez-vous possible de trouver des fonds publics pour des projets de recherche scientifique visant directement à remettre en question le RCA ?

    • Guillaume dit :

      M. Paul S.

      Vous noterez que dans mes échanges avec M. Duberger, j’ai soigneusement évité d’utiliser le mot « consensus » car je sais que c’est un terrain particulièrement glissant et que l’étude de 2013 de J. Cook est controversée. Bon, je n’ai pas fait le tour de toutes les études comme vous semblez l’avoir fait. Il semble cependant y avoir une étude récente (avril 2016) qui indique qu’il y a en fait consensus sur le consensus, après consolidation de plusieurs études à ce sujet. De plus, il s’avèrerait que plus le degré d’expertise est élevé, plus le consensus parmi ces experts est élevé. Je dois tout de même admettre que cette étude est du même fameux John Cook (mais aussi de 15 autres auteurs), donc elle est forcément biaisée, méthodologiquement fausse … et probablement financée par des intérêts climato-freaks.

      Bref, en nuançant un peu on pourrait presque affirmer du bout des lèvres qu’il semblerait qu’une certaine majorité d’experts seraient amenés à penser que les changements climatiques pourraient peut-être être dus à certains facteurs humains. Voilà, je peux pas être vraiment plus prudent que ça, mais il me semble que c’est déjà une position plus nuancée que la position de M. Duberger, qui ne veut pas bouger d’un iota.

      Mais de toute façon, j’abandonne le débat, je m’avoue vaincu, je ne réussirai jamais à lui faire admettre que le RCA est « possible » (je ne dis même pas « probable »), même si je ne l’affirme pas moi-même (contrairement à ce qu’il dit), et malgré les contre-arguments que je lui ai amenés. On est rendu dans un dialogue de sourds où chacun reste campé sur ses positions (malgré la bonne foi que j’ai essayé de démontrer).

      Merci et bonne suite de débat… sans moi.

      Guillaume

    • Paul S. dit :

      Conclusion d’une tentative de renversement du fardeau de la preuve par un Guillaume, scientifique : https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-40563

      M. Guillaume : “On a observé des changements climatiques au cours des dernières années (ou plutôt les dernières décennies). Pendant cette période, la quantité de CO2 émise par l’humain a augmenté de façon significative.”

      Justement, si le monsieur se donnait la peine, il verrait que le prof Robert débusque à répétition sur ce site la supposée corrélation triviale entre la température globale moyenne et le taux de CO2.

      S’il cherchait davantage sur le site, il constaterait des objections du prof Reynald quant à la fiabilité des EXTRAPOLATIONS de mesures de la dite température au niveau des océans.

      On avait parlé ici aussi d’autres périodes de réchauffement climatique AVANT la révolution industrielle. À postériori on pouvait constater des progrès pour les sociétés humaines pendant ces interludes plus cléments.

      M. Guillaume : “Si vous avez effectivement raison et que le RCA n’existe pas, cela signifie qu’on n’a aucun moyen pour contrer les changements …”.

      Dans l’éventualité d’un forçage naturel, est ce que la logique imposerait une augmentation continue de la température ou plutôt un retour éventuel à la normale historique et sa variance ?

      Quel était le véritable but de la visite de cet homme de science nuancé et poli ?

      Faire avancer le débat, tout en essayant à répétition de renverser le fardeau de la preuve, ou aboutir OBLIGATOIREMENT au Principe 15 de la Déclaration de Rio : « En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l’absence de certitude scientifique absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l’adoption de mesures effectives visant à prévenir la dégradation de l’environnement. » ?

      Que l’on soit d’accord ou pas, nous sommes rendus là de toute façon.

  43. Guillaume dit :

    M. Paul,

    Vous noterez que dans mes échanges avec M. Duberger, j’ai soigneusement évité d’utiliser le mot « consensus » car je sais que c’est un terrain glissant et que l’étude de 2013 de J. Cook est très controversée. Bon, je n’ai pas fait le tour de toutes les études comme vous semblez l’avoir fait. Il semble cependant y avoir une étude récente (avril 2016) qui indique qu’il y a en fait consensus sur le consensus, après consolidation de plusieurs études à ce sujet. De plus, il s’avèrerait que plus le degré d’expertise est élevé, plus le consensus parmi ces experts est élevé. Je dois tout de même admettre que cette étude est du même fameux John Cook (mais aussi de 15 autres auteurs), donc elle est forcément biaisée et méthodologiquement fausse.

    Bref, en nuançant un peu on pourrait presque affirmer du bout des lèvres qu’il semblerait qu’une certaine majorité d’experts seraient amenés à penser que les changements climatiques pourraient peut-être être dus à certains facteurs humains. Voilà, je peux pas être vraiment plus prudent que ça, mais il me semble que c’est déjà plus nuancé que les positions de M. Duberger.

    Mais de toute façon, j’abandonne le débat, je m’avoue vaincu, je ne réussirai jamais à lui faire admettre que le RCA est peut-être « possible » (je ne dis même pas « probable »), même si je ne l’affirme pas moi-même (contrairement à ce qu’il dit), et malgré les contre-arguments que je lui ai amenés. On est rendu dans un dialogue de sourds où chacun reste campé sur ses positions (malgré la bonne foi que j’ai essayé de démontrer).

    Merci et bonne suite de débat… sans moi.

    Guillaume

    • Reynald Du Berger dit :

      « possible »… « probable »… lisez le rapport AR5 du GIEC… ce n est pas de la science, c est une exercice de probabilités… « very likely.. extremely unlikely »… une tissus d incertitudes… je ne suis pas CAMPÉ comme vous dites sur une position car je me contente de POSER des questions, comme celles que je vous ai posées et toujours NON répondues de votre part ni de celle des réchauffistes. Je pose des questions à ceux qui AFFIRMENT le RCA.. je les mets en demeure de prouver une affirmation qu ils propagent et qui aura couté selon la Banque mondiale plus de 89 000 milliards $ en 2030 si on applique Paris COP21 !!!! Une calamité socio-économique et j ai le DEVOIR de demander des comptes, des justifications à vous et aux autres réchauffistes pour ce que je qualifie d’imposture pseudo-scientifique su siècle. VOUS affirmez, VOUS avez des comptes à rendre et des questions à répondre , pas MOI car je n ‘affirme rien.. je doute. On attend toujours vos réponses claires à mes 3 questions claires.

  44. Guillaume dit :

    À la une !

    En réponse à la fameuse question « Pourquoi la température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans malgré une augmentation continue du CO2 atmosphérique? », une nouvelle publication de la NASA :

    http://climate.nasa.gov/news/2521/study-sheds-new-insights-into-global-warming-trends/

    En résumé, pendant la période 1998 – 2013, le ralentissement (et non pas une pause, ou « hiatus ») du réchauffement de la surface terrestre s’expliquerait par une absorption de la chaleur supplémentaire (extra heat) par les océans.

    Dans un autre ordre d’idée, même le Donald remet en doute ses propres doutes !

    http://www.cnn.com/2016/11/22/politics/donald-trump-climate-change-new-york-times/

    President-elect Donald Trump conceded Tuesday there is « some connectivity » between human activity and climate change […]. « I think there is some connectivity. Some, something. It depends on how much. »

    Que de rebondissements aujourd’hui ! C’est très excitant… sans aucun doute !

    Guillaume

    • Reynald Du Berger dit :

      eh oui.. j aurais dû vous prévenir.. c est la bonne vieille chaleur perdue au fond des océans… allez-voir le site http://www.pensee-unique.fr pour « tout sur la chaleur perdue ».. c est vieux, usé à la corde et ne tient pas la route… Trump rejoint ma pensée et dit qu il peut y avoir un lien de causalité entre homme et climat mais insignifiant… oui insignifiant… et il déchirera l accord de Paris ou non, on verra selon ce qu on lui conseillera… à date son conseiller en environnement est Myron Ebell un climato-sceptique lui aussi… je souhaite qu’il déchire cette imposture de 89 000 milliards et que tous les responsables , donc les réchauffistes, soient accusés et paient la note.

      • Guillaume dit :

        Merci pour ces informations supplémentaire. Par contre, ce site est un peu un fouillis; j’ai fait une recherche sur « tout sur la chaleur perdue », mais sans succès. Pouvez-vous s.v.p. me donner un URL plus précis et/ou vérifier le titre de l’article ? Je suis vraiment curieux de lire ça en détail et de voir en quoi cette référence est plus crédible que la NASA (et je vais le faire pour vrai). Je suis cependant un peu perplexe par rapport à un site qui se dit contre la « pensée unique ». Dans son exagération, le scepticisme est une forme de pensée unique.

        Et si pouvez me vulgariser votre point de vue sur le sujet en quelques phrases, j’apprécierais. Est-ce que vous dites que ça ne tient pas la route car ce qu’avance la NASA est physiquement impossible ? Ou bien parce que leurs modèles et explications sont incomplets, et que, par conséquent, ils ne sont aucunement crédibles à vos yeux ?

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        Quand je disais que c est usé… cela date de 3 ans http://www.nature.com/news/climate-change-the-case-of-the-missing-heat-1.14525
        et voici le propos de Jacques Duran (Pensée unique) à ce sujet

        http://www.pensee-unique.fr/news.html#nature

    • Paul S. dit :

      Cette chaleur “supplémentaire” doit nécessairement augmenter la température du fluide qui l’a absorbée.

      Donc les océans sont en train de dégazer davantage du CO2 (par l’effet d’eau de Perrier du prof Du Berger).

      Donc nous aurons un emballement climatique avec ce gaz carbonique marin !

      Ce même fluide chauffé se dilate sans doute “à un rythme jamais vu”.

      Donc Miami sera submergée !

      Donc le lauréat Nobel Al Gore a vu juste.

      Donc il faut punir les pécheurs que nous sommes !

      Vite des taxes additionnelles, des éoliennes, des nouvelles façons de vivre ensemble – globalement, vite un Nouvel Ordre Mondial !

      Une nouvelle très excitante, dans un monde très excité.
      Des molécules s’excitent, lorsqu’elles sont chauffées et les hommes sans doute aussi.

      • Guillaume dit :

        Merci Paul pour ce bel exemple de pente savonneuse.

        https://fr.wikipedia.org/wiki/Pente_savonneuse

        Dans cette explication, pouvez-vous s.v.p. me rappeler quelle est l’origine de l’augmentation de la température des océans ?

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        « quelle est l’origine de l’augmentation de la température des océans ? » AUGMENTATION? où ça… dans TOUS les océans, partout dans chaque océan? à TOUTES les profondeurs de 0km à 8 km? répondez à ces questions ensuite je vous demanderai votre méthodologie qui vous permet de conclure et affirmer « l’augmentation de la température des océans « 

      • Paul S. dit :

        M. Guillaume, scientifique et philosophe :

        Si j’étais le seul à être engagé sur cette pente savonneuse, j’étendrai les bras pour reprendre l’équilibre et en les battant très fort, tel un Hulot, je m’envolerai peut-être.

        Depuis 1992, on nous lance tous graduellement, sur cette pente visqueuse, nommée en 1995 “Conference of the Parties”, de plus en plus abrupte et sans un aboutissement dans une plaine.

        J’espère seulement que les autres compagnons de glisse, pour la plupart involontaires, savent que dans certains lieux et dans certaines circonstances, il est déconseillé de se pencher pour ramasser les savonnettes.

        Vous m’interpellez : “… s.v.p. me rappeler quelle est l’origine de l’augmentation de la température des océans ?”
        Je ne la nie pas, c’est une possibilité à démontrer. Par contre, les enchaînements Al-Goriens que j’évoque pus haut sont une certitude.

        Il me semble que l’article de la NASA que vous citez n’offre aucune évidence quant à la séquestration accrue de la chaleur par les océans, ni des mesures probantes : « “arguably, ocean heat content — from the surface to the seafloor — might be a more appropriate measure of how much our planet is warming.” et “The scientists also called for continued support of current and future technologies for ocean monitoring to reduce observation errors in sea surface temperature and ocean heat content. ».

        Cela ressemble à un appel pour des fonds de recherche importants et ciblés dans un vaste domaine où l’on pratique des approximations pour le moment (tout en permettant de dériver des certitudes politiques).

        Espérons que les lectures de températures sous-marines seront publiées sans massages préalables, sans EXTRAPOLATIONS et sans corrections / retraits futurs (escamoter lorsque contraire aux objectifs d’une démonstration) auxquels nous ont habitués les registres de données atmosphériques non-satellitaires.

        Je me risque quand même, pour vous offrir une réponse directe : se pourrait-il que le soleil jouerait un rôle capital dans le réchauffement de tous les fluides et solides terrestres exposés à ses rayonnements ?

        Paul S., quidam

  45. Robert dit :

    Guillaume;

    Je ne sais pas si vous avez un peu lu mes différents post. Comprendre le climat, ou du moins la partie du réchauffement soi-disant lié à l’homme etc… ça demande une bonne compréhension de domaines comme la spectroscopie (absorption et émission de radiations), la thermodynamique, presque toutes les notions physico-chimiques de base, transfert de chaleur etc…

    À un des post que j’ai récemment envoyé, j’ai mis un graphique de la température en fonction des années 1850-2015:

    Si vous regardez attentivement ce graphique vous verrez que la période 1944-1978 (34 ans) affiche un refroidissement de 0,15 oC malgré le fait que le CO2 a augmenté de 1 ppm par année durant cette période. Si la température était liée à la teneur en CO2, celle-ci aurait du augmenter durant cette période et non pas diminuer. D’autres exemples démontrent constamment qu’une augmentation en CO2 ne fait pas augmenter la température mais plutôt le contraire. Une augmentation de la température des océans va inévitablement faire augmenter la teneur en CO2 dans l’atmosphère car comme vous l’avez mentionné, la solubilité du CO2 diminue avec l’augmentation de température. Selon les données du projet Argo, la température des océans aurait augmenté de 0,59 oC en 135 ans!

  46. Robert dit :

    Guillaume;

    Ces adeptes de l’apocalisme provoqué par le réchauffement du au CO2 vont constamment à l’encontre des principes physico-chimiques de base tels:

    1) Celui que je vous ai expliqué dans mon message précédent. Personne n’a jamais observé que l’augmentation de la teneur en CO2 faisait augmenter la température, le contraire est vrai;

    2) Prétendre que la chaleur qui émerge du sol voyageait exclusivement par radiation lorsqu’il est depuis des lunes démontré que cet air chaud, étant moins dense que les couches d’air supérieures vont plutôt monter par convection. Cette convection combinée avec la gravité s’amenuise à mesure que l’air se raréfie et finie donc par s’arrêter;

    3) En admettant que l’effet de serre des gaz tels H2O, CO2 et CH4 existe réellement, ces supposés experts ne considèrent que le CO2 et le CH4 comme contribuant à cet effet de serre. Ils balaient totalement l’Eau du revers de la main. Pourtant, la teneur en eau dans l’atmosphère est considérablement plus élevée que celle du CO2 (On parle de 400 ppmv pour le CO2 contre 15 000 à 40 000 ppmv pour l’eau)…En passant la capacité d’absorption des rayons Infra-Rouge thermiques d’une molécule d’eau est 50% plus élevée que celle du CO2.

    4) Ils prétendent qu’une molécule de CO2 demeure 1000 ans dans l’atmosphère. Complètement ridicule. Voici les raisons:
    4.1 Le CO2 est le gaz le plus lourd de l’atmosphère et tombe donc naturellement;
    4.2 Le CO2 est utilisé pour la photosynthèse et c’est ce gaz qui se transforme en sucre (dans les plantes) et remplace l’oxygène que nous, les humains et autres, avons consommé. Son rôle est donc de se situer au sol plutôt que dans les hautes atmosphères;
    4.3 Le CO2 est très soluble dans l’eau (2 g/Litre à 15 oc – 50 fois plus soluble que l’oxygène). Comme il y a dans l’atmosphère une molécule de CO2 pour 75 – 100 molécules d’eau, le CO2 se solubilisera automatiquement lors de sa fréquente rencontre avec une molécule d’eau.

    Ce que j’ai écrit ne constitue qu’une partie des stupides hérésies des individus qu’on appelle réchauffistes…C’est une énorme fumisterie!

    Robert

    • Paul S. dit :

      Monsieur Robert,

      Absolument : l’effet prépondérant de la convection et de l’eau dans les études sur le climat.

      Comme vous le dites, l’H2O peut capter le rayonnement infrarouge sur une largeur de bande plus importante que le gaz carbonique et ses molécules sont beaucoup plus nombreuses.

      Par ailleurs, lorsque condensée, ou solide dans les nuages, l’eau va augmenter la réflectivité du globe.
      La formation des nuages dépend de particules en suspension et aussi de rayonnements cosmiques.

      Voici une image composite d’ennuagement moyen global saisissante.
      “Cloudy-Earth” couvre 13 ans : https://www.nasa.gov/image-feature/cloudy-earth

      Si les climatologues pouvaient un jour sortir du “radio-centrisme” prévoyant une explication prédéterminée, peut-être que ce genre d’images serait utile dans la validation de leurs modèles et la “chaleur perdue” serait enfin débusquée.

      Paul S.

  47. Robert dit :

    Paul S:

    Merci pour votre site de la NASA extrêmement intéressant. Vous avez raison, les nuages jouent un rôle primordial (évidemment) dans le climat. Pourtant ces pseudo-climatologues sont toujours en train de minimiser les effets des nuages, de la vapeur d’eau, du soleil avec ses taches solaires (*) etc…Il n’y en a toujours que pour le CO2. Ces négligences qui sont en fait du déni pur et simple démontrent jusqu’à quel point ils trichent. Mais bon Dieu, pourquoi de tels comportements? Y a-t-il tant d’argent en jeu?

    (*): William Herschel au début du vingtième siècle avait très bien démontré la relation qui existe entre les taches solaires et la formation de nuages.

    https://en.wikipedia.org/wiki/William_Herschel

    Voir la section: Sunspots, climate, and wheat yields

    Robert

    • Reynald Du Berger dit :

      Le rôle des nuages et des aérosols a été sous-estimé… voyez l’ expérience CLOUD du CERN, 16 instituts scientifiques de 8 pays… l hypothèse de Svensmark est vérifiée. https://home.cern/about/experiments/cloud

      notez l’énorme incertitude 1,5C à 4,5C dans la sensibilité climatique… CLOUD va tenter de diminuer cette incertitude…

  48. Robert dit :

    Merci Reynald.

  49. Guillaume dit :

    Reynald, Robert,

    Il semble y avoir un problème d’interprétation de mon dernier message qui était en réponse à un message de Robert, désolé… Je n’ai pas présumé que la température des océans avait augmenté, j’essaie simplement de comprendre ce que vous essayez de dire et le raisonnement complet.

    Vous avez écrit :

    « C’est la T qui fait augmenter le CO2 atmosphérique et non l’inverse comme on vous force à le croire. Faites l expérience avec une bouteille de Perrier.. plus eau est froide et à haute P, (conditions des fonds des mers) plus l eau peut contenir de CO2 en solution. »

    […]

    « D’autres exemples démontrent constamment qu’une augmentation en CO2 ne fait pas augmenter la température mais plutôt le contraire. »

    Je comprends l’exemple du Perrier, mais je comprends peut-être mal ce que vous essayer de dire, donc voici ma question formulée autrement : si l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère est due à l’augmentation de la température des océans (et non pas l’inverse), qu’est-ce qui a fait augmenté la température des océans ?

    Guillaume

    • Reynald Du Berger dit :

      La T augmente naturellement , lentement et légèrement depuis la fin du petit age glaciaire (1850) , retour progressif vers des T normales. Aussi l’activité volcanique sous marine peut dégager suffisamment de chaleur (avec des milliards de tonnes de H2O et Co2… mais on n a ni inventaire ni bilan de cela) je n ose émettre aucun chiffre..

    • Robert dit :

      Guillaume et autres intéressés:
      Voici les éclaircissements suivants:

      1) Les sources de CO2 sont innombrables. Toutes les combustions (consommation d’oxygène) dégagent du CO2. On peut nommer Mammifères (humains), poissons, volcans…c’est sans fin.

      2) De ce CO2, une partie est relâchée dans l’atmosphère mais la majeure partie se dissout dans les océans. Ne pas perdre de vue que le CO2 réagit avec l’eau (CO2+ H2O=HCO3- + H+) et
      HCO3- + H2O = CO3– + H3O+. C’est le pH (acidité) de l’eau qui détermine laquelle de ces réactions va prédominer. Le pH moyen des océans est de 8,1 (donc basique) ce qui fait que le CO2 se retrouve surtout sous forme de HCO3- (bicarbonate). Mais il y a aussi des quantités de CO2 libre et aussi des carbonates (CO3–).

      3) Tous les gaz voient leur solubilité dans l’eau diminuer lorsque la température augmente. Par exemple, la solubilité du CO2 à 15 oC est 2.0 g/Litre. Celle-ci est de 1.7 g/litre à 20 oC. Donc, si de l’eau saturée de CO2 est chauffée de 15 à 20 oC, chaque litre d’eau enverra dans l’atmosphère 0,3 grammes de CO2 (2,0-1,7).

      4) Les océans ont une profondeur moyenne de 4000 mètres (Voir Wiki). Si la température est 15 oC à la surface, elle peut être de 4 oC à 4000 m (Le CO2 sera donc plus soluble). En plus, l’autre facteur qui fait augmenter la solubilité du CO2 est la pression. Donc, du CO2 soumis à une colonne d’eau de 4000 mètres reçoit une pression supplémentaire de 387 fois la pression atmosphérique. C’est pour ces deux raisons que le CO2 est plus soluble dans le fond des océans.

      5) Le projet Argo a déterminé qu’en moyenne les océans s’étaient réchauffés de 0.59 oC en 135 ans (Début de l’ère industrielle – maintenant). En utilisant la solubilité à 15,00 oC (1,996 g/L) et celle à 15,59 oC(1.959 g/L) ainsi que le volume total des mers (1,35 x 10^9 Km^3 – Voir Wiki), j’ai calculé que les océans, en raison de leur réchauffement, dégageaient 359 Gigatonnes de CO2 annuellement. Or, le GIEC dans son rapport AR4 publiait une émission de 332 Gigatonnes (Gt) par année. Mon calcul n’est donc pas si mal considérant toutes les approximations que j’ai faites. (7,5% d’écart.)

      6) Il y a aussi une bonne quantité de CO2 qui retourne dans les océans (338 Gt selon AR4). Les causes sont nombreuses: Pression partielle du CO2 dans l’atmosphère plus élevée que celle dans l’eau, eau plus froide, photosynthèse par les algues de surface qui reconvertissent le CO2 en oxygène et en sucre (Nourrir les algues)…l’oxygène se dissolvant dans l’eau pour la vie aquatique, le CO2 provenant de l’atmosphère qui fut dissout par les pluies.
      7) La végétation terrestre dégage 439 Gt de CO2 (Mort des arbres) (selon AR4) et consomme 450 Gt (Photosynthèse).

      8) La combustion des combustible fossiles dégageraient 29 Gt (Toujours selon AR4 du GIEC)

      9) Si on fait le bilan de tout ceci, 12 Gt de CO2 serait ajouté à l’atmosphère annuellement soit: (29+439+332 -450-338) = 12.

      MON ÉNORME PROBLÈME, C’EST L’ERREUR COMMISE SUR CHACUNE DES MESURES.
      Mon expérience en analyse chimique me fait toujours me questionner sur la précision des résultats obtenus. Vous savez le fameux PLUS OU MOINS, que l’on met après chaque résultat. Je sais que lorsque l’on inclut toutes les sources d’erreur (Calibrage, échantillonnage, instruments…etc), obtenir 1% de précision est un véritable tour de force. Alors imaginez tous les efforts magistraux qui ont dû être fait pour obtenir ne serait-ce que 5% sur chacune des mesures citées au paragraphe 9. Ça donnerait (29+/-1,5) – (439+/-22) – (332+/-16) – (450+/-23) – (338+/-16). Imaginez l’erreur obtenue sur le 12 Gt…Il ne veut strictement rien dire (*). Le 439 est en réalité une valeur réelle comprise entre 417 et 461 et même chose pour tout le reste. Et c’est dans ces hérésies de mesures que je rejoins Reynald…Lorsqu’il mentionne des sources de CO2 inconnues!

      N.B: Les points mentionnés, bien que véridiques, doivent être comme approximatifs et aussi incomplets.

      (*) Ensuite, ils (les réchauffistes) utilisent ce 12 Gt pour calculer l’augmentation de température produite en 2050!!!

      Robert

      Bonne lecture;

      • Guillaume dit :

        Robert,

        Je suis d’accord avec votre remarque sur les incertitudes. C’est un des grands problèmes du débat actuel. Les données mesurées actuellement sont forcément incomplètes, car on n’a pas la capacité de mesurer tous les paramètres en temps réel, et elles ont une incertitude plus ou moins importante. De plus, on n’a évidemment pas accès aux données historiques pour les dernières 100, 1000 et dizaines de milliers d’années. C’est pourquoi je crois que la recherche scientifique doit continuer, afin de mieux comprendre ce qui s’est passé et mieux prévoir ce qui va se passer dans le futur, peu importe l’origine des changements qu’on observe.

        Ceci étant dit, selon vous, quel phénomène, naturel ou non, peut expliquer une augmentation aussi rapide de la concentration de CO2 dans l’air ? Je fais référence à cette figure :

        http://climate.nasa.gov/vital-signs/carbon-dioxide/

        Guillaume

  50. Paul S. dit :

    M. Guillaume se réjouit (https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-40588) : “même le Donald remet en doute ses propres doutes ..” (quant aux chinoiseries climatiques).

    Pour un climato-alarmiste ce n’est pas nécessairement une bonne nouvelle.

    Avant même des annonces officielles et sur spéculations seulement, des politiciens opportunistes et calculateurs (comme Messieurs Couillard et Hollande), sans compter des koumbayistes (comme notre jeune prince à Ottawa) se sont précipités en grand nombre pour tenter de s’approprier le leadership mondial (ou sectoriel pour la francophonie) dans la lutte aux changements climatiques.

    Je n’ose pas imaginer la surenchère et le GASPILLAGE ADDITIONNEL tout azimut pour sauver la planète sans les américains qui aurait suivi leur retrait de la participation aux Dîner des Cons à venir.

    • Reynald Du Berger dit :

      La partie est loin d’être gagnée pour nous les climato-réalistes. Trump devra mettre de l eau dans son vin car les vautours alarmistes sont voraces et féroces. Leurs mensonges sont aussi gros que leurs moyens $$$$$$, la côte sera difficile à remonter… faire réaliser à des centaines de millions de climato-crédules qu’ils se sont fait berner par des , pas les, des scientifiques, la majorité des médias et des politiques… On verra ses 100 premiers jours puis on portera un jugement. Chose certaines ses nominations font rager la go-gauche hypocrite bien-pensante. CNN et NY Times en bavent de rage.

      • Robert dit :

        Reynald;

        Trump devra certainement tenir compte d’un certain Myron EBell. Je pense qu’il y a aussi beaucoup de républicains qui n’achètent pas cette stupidité. Trump devra aussi tenir compte de son électorat.

      • Reynald Du Berger dit :

        faut pas sous-estimer l’hypocrisie et la puissance de la go-gauche caviar… les médias ont montré qu elle pouvait même en nombre minuscule avoir le dessus sur les millions de fermiers et travailleurs non intellos de l Amérique « profonde » qu’elle méprise et qui ont voté Trump.

      • Robert dit :

        Reynald;

        Les soi-disant retournement de veste par Donald Trump seraient pour la plupart…de pures inventions (Principalement NY Times et CNN). Trump est bien décidé à rouvrir les mines de charbon…C’est sa promesse majeure. S’il le fait, il devra sabrer dans cette COP21 et autres…

  51. Robert dit :

    Guillaume;

    « si l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère est due à l’augmentation de la température des océans (et non pas l’inverse), qu’est-ce qui a fait augmenté la température des océans ? »

    Il y a eu une période que l’on appelle « LE PETIT AGE GLACIÈRE » (1550-1850)(*). Avec la fin du petit age glacière, les mers, de même que l’atmosphère terrestre se sont réchauffés. C’est peu…un minable 0,85 oC/année pour l’atmosphère et 0,59 oC pour les mers (Argo). Noter que la chaleur spécifique de l’eau (4000 J/Kg.C) contre 1000 J/Kg.C, pour l’air sec.(L’air humide= 1500 J/Kg.C). Il nécessite 4 fois plus d’énergie pour réchauffer 1 Kg d’eau que 1 Kg d’air sec. Dit autrement: Si vous envoyer 1000 Joules de chaleur dans 1 Kg d’atmosphère et aussi 1 Kg d’océan, l’air se réchauffera de 1 oC et l’océan de 0,25 oC.

    Robert

    • Robert dit :

      Correction à mon post de 11:27: C’est 0.85 oC sur 135 ans et non pas par année.

    • Robert dit :

      Guillaume;

      Par contre, moi, je suis de ceux qui pensent que la présence de l’homme peut être responsable d’une fraction du faible réchauffement observé depuis 135 ans (1850)(*). Quelle était la population mondiale en 1850? Probablement de l’ordre du milliard d’individus. Celle-ci est présentement proche de 7,5 milliards de personnes. Les villes ont grossi, l’arrivé de l’automobile qui a remplacé les chevaux etc… La terre reçoit l’énergie du soleil et disperse dans l’atmosphère la portion qui n’est pas utilisée pour notre survie. Est-ce que la présence de l’homme est suffisant pour ralentir cette déperdition de chaleur qui a pour effet de réchauffer notre atmosphère un peu plus. Nous ne le savons pas. Mais s’en prendre juste au CO2 et au pétrole est totalement stupide…C’est comme dire « Enfin, on a trouvé un coupable »!

      (*) Ce n’est cependant pas la catastrophe annoncée. Si l’homme a une influence, et, étant donné que la population continue d’augmenter, comment se fait-il que la température de l’atmosphère n’a pas augmenté depuis 1998? …

      Robert

      • Reynald Du Berger dit :

        je partage l avis de Robert sur le RCA… effet minime… et ce qui et grave c est qu en le montant en épingle ce pseudo-problème, – cout de plus de 89 000 milliards$ en 2030 – cela occulte des problèmes criants comme l’eau potable – plus de 1,5 milliards d humains n y ont pas accès et les déchets urbains… c’est criminel et voila pourquoi je veux que les responsables soient cités à procès… et paient les 89 000 milliards $

  52. Robert dit :

    Guillaume;

    Voici un paragraphe du site de la NASA que vous m’avez posté:

    « Carbon dioxide (CO2) is an important heat-trapping (greenhouse) gas, which is released through human activities such as deforestation and burning fossil fuels, as well as natural processes such as respiration and volcanic eruptions. The first chart shows atmospheric CO2 levels in recent years, with average seasonal cycle removed. The second chart shows CO2 levels during the last three glacial cycles, as reconstructed from ice cores. »

    Ce paragraphe est un énorme mensonge.

    Il mentionne les sources suivantes par ordre décroissant d’intensité d’émission: (Déforestation, Fossil fuels, Respiration, Volcanic eruption). Ils ne mentionnent même pas l’émission de CO2 provenant des forêts vieillissantes (morts des arbres=450 Gt de CO2 tiré de AR4). Le CO2 dégagé par le réchauffement des océans. En plus, on doit fortement remettre en question les carottes glacières dont les teneurs en CO2 ne concordent pas du tout avec les autres méthodes (Stomates fossilisées)(*). Le pire de toute cette foutaise c’est que les valeurs que je vous ai fournies dans mon post du 24 Nov. 2016 à 10:26 proviennent du quatrième rapport (AR4) du GIEC. Dans AR4, les combustibles fossiles apparaissent en dernière position (29 Gt). S’ils parlent de déforestation, ils devraient aussi parler des cultures, des forêts, des algues marines (qui en consommant du CO2 regénèrent l’oxygène qui nourrit nos poissons) etc…. Tout cela consomme du CO2 et renouvelle notre Oxygène jour après jour. Comment se fait-il que le % d’oxygène dans notre atmosphère et dans les plans d’eau ne baisse pas. (6CO2 + 6 H2O + Énergie lumineuse = C6H12O6 (Glucose) + 6O2). …C’est ce qui devrait arriver étant donné que le CO2 en se formant consomme de l’oxygène et comme il n’est pas redécomposé…

    Comme d’habitude, c’est de la vulgaire propagande.

    (*) Quand vous voyez sur leurs graphiques (teneurs en CO2 en fonction des années (milliers d’années) les valeurs se situant toutes sur une droite parfaite parallèle à l’axe des années à 250 ppmv. Vous devez remettre en cause toutes ces valeurs. Ils essaient de nous faire accroire que ce 250 ppmv a perduré pendant des milliers d’années. Il faudrait surtout parler d’un nuage de points dont ils ont enlevé ceux qui ne faisait pas leur affaire (Voir Callender). Aller donc aussi leur expliquer que la teneur en CO2 est considérablement plus faible à 40 000 m qu’au sol, qu’elle n’est pas de 400 ppmv partout.

    Robert

    • Robert dit :

      Monsieur robert,

      Personne ne conteste l’existence des cycles du carbone (cycles long et court). Posez vous cette question: « que devient le carbone des fossiles qu’on brûle ? » En se combinant avec l’oxygène il forme ce fameux CO2 supplémentaire qui vient augmenter l’effet de serre naturel.

  53. Paul S. dit :

    M. Robert (https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-40440) écrit : “Cette gang de manipulateurs professionnels utilise des changements climatiques qui se sont produits à court terme. Jamais ils ne mentionnent des statistiques comme par exemple mentionner que le Groenland a presque totalement fondu durant les années 20 et 30.”

    Le glacier de cette île énorme n’avait pas seulement diminué dans le passé récent, mais il aurait reculé encore davantage BIEN AVANT L’ÈRE INDUSTRIELLE, pendant le Réchauffement médiéval, entre l’an 950 et l’an 1250.

    Erik le Rouge, à la tête de vikings, avait colonisé (culture agricole) le sud de l’île vers l’an 985 en la nommant “Grønland” (“Greenland”), pas “Hvitland” (“Whiteland”).
    De cette Terre Verte, les vikings auraient poussé l’exploration jusqu’aux environs de New Jersey, et ils auraient nommée cette contrée “Vínland”, car la vigne (“vitis labrusca”) prospérait dans les conditions climatiques propices dans ce temps.

    Les milliers de vikings ont dû complètement abandonner leurs villages au Groenland vers le milieu des années 1400, lorsque le Petit Âge Glaciaire (1300 – 1850) avait ramené ce glacier indispensable que nos élites nous commandent de vénérer.

    Vous avez absolument raison Robert : on ne dit pas tout aux gens ordinaires, car on ne veut surtout pas que nous commencions à nous poser des questions et raisonner.

    • Jean dit :

      Ce que vous racontez sur les vikings est un mythe, une pure invention de l’esprit.

      https://www.les-crises.fr/le-mythe-du-groenland-vert/

      • Reynald Du Berger dit :

        avez-vous autre chose que ce blog à toute évidence gauchiste et climato-alarmiste à nous proposer pour nous démontrer que Paul S. a tort? un article dans une revue scientifique à comité de lecture? et que les proxies de carottes de glace mentent?

      • Paul S. dit :

        Monsieur Jean,

        Je ne connaissais pas les références au Groenland des messieurs Allègre et Courtillot.
        Pour un quidam c’est valorisant d’apprendre que des gens beaucoup plus instruits que lui ont possiblement fait les mêmes lectures.

        Mon intérêt pour les Vikings de Groenland date de longtemps.
        Des individus, issus d’un peuple, surtout décrit comme une horde de pillards violents, qui adoptent la foi chrétienne, tout en colonisant un nouveau monde.
        J’ai trouvé la structuration de leurs hameaux autour de petites églises inspirante et probablement essentielle pour la survie pendant quatre siècles d’une petite communauté agricole au bout du monde dans des conditions difficiles.

        Vous dites : “Ce que vous racontez sur les vikings est un mythe, une pure invention de l’esprit.”
        Donc, selon vous, les Vikings ne se seraient pas installés au Groenland, sur des terres propices à l’agriculture de survie ?

        Pourtant, la référence que vous publiez dit la même chose que moi : “… les Vikings découvrirent un pays couvert de forêts, de saules et de bouleaux qu’ils s’empressèrent de défricher pour créer des pâturages.”
        Il y a aussi plusieurs cartes montrant l’emplacement de fermes et d’églises, basées sur des fouilles archéologiques.

        Avez-vous lu le texte ou seulement répété son titre ?

        Pour ma part, j’avais écrit qu’à la faveur d’un réchauffement climatiques, les colons Vikings ont pu s’installer temporairement au Groenland dont les côtés verdoyantes leur ont plu.

        Pour ces gens : “L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté …”

        Paul S.

  54. Jean dit :

    L’argument de Paul S. provient directement des climato-menteurs Vincent Courtillot et Claude Allègre. Ils utilisent un argument basé sur la toponymie du lieu. On est très très loin du genre d’argument que vous exigez de ma part. Le poids de la preuve pour l’argument des Vikings (Greenland) repose sur vous.

    • Reynald Du Berger dit :

      Pourquoi insulter des scientifiques de haut calibre comme mes collègues Allègre et Courtillot – je les verrai tous les deux à Paris jeudi et vendredi prochain, vous voulez que je leur rapporte votre propos? vous a-t-on déjà parlé de carottes de glace? de proxies ? je vous laisse faire votre recherche sur le web. Et si vous croyez au RCA , VOUS avez le fardeau de la preuve, et non pas nous les climato-réalistes qui n affirmons rien sur le RCA, nous doutons et vous posons des questions et nous vous mettons en demeure de prouver votre hypothèse qui aura couté en 2030 plus de 89 000 milliards$ selon la Banque mondiale.

      • Jean dit :

        Duberger, Allègre, Courtillot, vous n’êtes pas des scientifiques du climat. Combien d’études publiées dans des revues à révision par les pairs avez-vous publié? Vous êtes des polémistes et les tribunes qui vous donnent de l’importance ne le font pas pour votre science ou pour votre crédibilité, mais plutôt parce que vous dîtes ce qu’ils veulent croire. Vous ne doutez pas. Vous n’êtes pas sceptiques. Vous êtes convaincu. Les arguments scientifiques n’ont jamais été au centre de vos interventions. Le ridicule argument sur les Vikings est un exemple flagrant du manque de votre manque rigueur et de sérieux.

      • Reynald Du Berger dit :

        « Duberger, Allègre, Courtillot, vous n’êtes pas des scientifiques du climat.  » et vous monsieur Jean qui êtes-vous? scientifique du climat? et combien de vos publications? … oui vous! … combien? que savez vous

        1- de la science et 2- du climat? et 3 croyez-vous au RCA et 4- si vous y croyez, donnez-nous une preuve… une seule! on attend vos 4 réponses M Jean…

        Dites-nous qui vous êtes et quelles sont vos qualités sur lesquelles VOUS prétendez pouvoir juger monsieur Jean, que nous Allègre Courtillot et moi ne pouvons émettre un avis éclairé sur le climat… et quelles sont VOS publications Mr Jean dans des revues à comités de lectures sur le climat… on attend. votre réponse Mr Jean.

      • Reynald Du Berger dit :

        Jean,
        zavez pas idée du nombre de tis-clins climato-crédules, climato-soumis, et incultes en sciences qui ont appris sur le net des expressions comme « revues arbitrées… comité de lecture.. pairs  » j ai même reçu « par les paires »… alors les nerfs… vous n etes pas le premier … loin de là … je suis habitué. Attaquez mes arguments.. pas moi.. mes arguments… lisez mon blog et discutez plutot que attaquer le messager.

      • Paul S. dit :

        Plutôt hargneux, ce Jean.

        Il parle de la science, mais, dans les faits, il veut éviter que le public ciblé par les activistes verts puisse commencer à relativiser l’argument de fonte rapide de glaciers, observé en direct à la télévision.

        Il sait que la science n’est qu’une mesure de confirmation d’une thèse sans preuve et que pour continuer l’entreprise verte il faut un vaste support populaire ou, tout au moins, un appui tacite de gens ordinaires. Sinon, les politiciens vont reculer.
        À ce niveau la propagande porte, pas la science.

        Les images de blocs de glace se détachant de glaciers au Groenland pour s’abîmer dans l’océan sont frappantes et elles sont la PREUVE DIRECTE NUMÉRO UN de la thèse du réchauffement climatique causé par l’homme.
        Sans ce CO2 industriel que nous émettons, nous ne perdrions pas cette glace précieuse et nous ne causerions pas les inondations côtières à venir !!!

        Donc, ne venez pas semer la confusion dans l’opinion publique en affirmant que les côtes méridionales de Groenland pouvaient être vertes avant l’ère industrielle, grâce à un réchauffement climatique naturel temporaire et même supporter une agriculture de subsistance.

        Imaginons ce que dirait monsieur Jean si un ingénieur géologue venant du Canada s’avisait d’expliquer aux gens ordinaires le mécanisme naturel d’avancement des glaciers le long de pentes douces et leur aboutissement, cumulatif dans une vallée ou éclaboussant dans la mer. Même lorsqu’il fait froid et sans le RCA.

    • Robert dit :

      Jean;

      Prenez donc connaissance de ce document:

      https://stevengoddard.wordpress.com/2015/12/14/cru-temperature-fraud/

      Ce sont des articles de presse de l’époque…Essayez donc de les contester?

      Robert (Qui ne passe pas son temps à changer de pseudonyme)

    • Paul S. dit :

      M. Jean interpelle (https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-40746) :

      “… la toponymie du lieu. … Le poids de la preuve pour l’argument des Vikings (Greenland) repose sur vous.”

      Selon la thèse accréditée par plusieurs, Erik le Rouge aurait inventé et grandement exagéré la verdeur au Groenland pour mousser la venue des colons au pays qu’il avait exploré lors de son exil.
      Comment expliquer alors que plusieurs vagues de colons Norrois ont suivi plus tard la venue de ceux qui ont accompagné Erik. Dommage pour lui, car les nouveaux venus ont propagé une épidémie qui l’avait éventuellement emporté.

      Connaissant la violence dans les gènes des Vikings, si Erik leur avait menti et ainsi mis en péril leurs familles et tout ce que ces gens possédaient, il n’aurait pas survécu longtemps à leur colère.
      Ensuite, ces aspirants colons, sans colonie “verte” à coloniser, seraient retournés en Islande dés que possible.

      Pourquoi nier la possibilité qu’un réchauffement climatique LOCAL, d’une intensité difficile à évaluer avec précision, ait pu rendre la côte sud, sud-ouest, de Groenland habitable pour une peuplade d’origine européenne et verte de vegetation ?
      Personne ne parle de disparition complète de glaces et leur remplacement par des pâturages, partout sur l’île, ni à l’intérieur des terres.

      Le fait d’avoir pu, lors de la crête de l’optimum climatique médiéval, ensemencer les terres, après leur défrichement, indique des températures propices à la verdure estivale : https://nda.revues.org/3135
      La culture limitée des champs ne fut reprise qu’au vingtième siècle, bien après la fin du petit âge glaciaire, avec des semences spécialement sélectionnées, des engrais et des moyens technologiques que les Vikings ne possédaient pas.

      Voilà pourquoi je pense que l’utilisation spontanée par Erik le Rouge du terme “groen” (“green” / vert) dans la désignation de la terre à coloniser est plausible.

      À l’opposée, certains prétendent, à partir de leurs observations de paysages mornes de Groenland d’aujourd’hui, qu’il y aurait eu une erreur de traduction. En fait, Erik aurait voulu dire “Gruntland”, car le pays qu’il aurait vu était “grunt” (“ground” / rocailleux).

      Cet ancien Trump (lui aussi rouge), apparemment exagérateur et bombastique, aurai-t-il voulu attirer les mouches avec du vinaigre ?

  55. Robert dit :

    Jean;

    Avant d’écrire n’importe quoi et d’insulter des scientifiques, commencez donc par vous informer:

    Voici une liste très partielle qui démontre que le pôle nord, le Groenland et les glaciers se réchauffaient et fondaient bien avant votre fameux RCA (Articles parus en 1922,1923, 1939, 1940,1947, 1952, 1956, 1961, 1955, 1970, 1976…)

    Voici une liste partielle: (Date-Identification de la revue-Grand titre)

    Nov 1922-Dans « Monthly Weather Review »-« The changing Artic- »
    29 Dec 1923- « Dans Medford Mail Tribune »-Glacier Park Melting at a Rapid Rate in Scientist’s… »
    17 Dec 1939-« Harrisburg Sunday Courrier »-« Greenland Glacier Melting… »
    23 Feb 1940-« Townsville Dayly Bulletin »-« The North Pole is Getting Warmer… »
    14 Dec 1940-« Auckland Star »-« Warmer Arctic DISAPPEARING ICE… »
    31 May 1947-« The Canberra Times »-« Temperatures Rising in Arctic Region »
    18 Feb 1952-« Cairns Post »-« POLAR ICE THAW INCREASING »

    Pourtant, à cette époque, personne ne parlait de changements climatiques.

    Source:
    https://stevengoddard.wordpress.com/2015/12/14/cru-temperature-fraud/

    Note: Il n’y a rien de plus valable que les articles de journaux de l’époque.

    Robert

    • Paul S. dit :

      M. Robert :

      La fluctuation de la couverture glaciaire au Groenland, maintenant et dans le passé, est peut être explicable par la variabilité du flux thermal à partir du “Gulfstream” (trajectoire principale, écoulements latéraux, intensité, variation de la salinité / plongée à gradient et emplacement variables dans le temps, etc…

  56. Paul S. dit :

    Monsieur le professeur Du Berger,

    Les gauchistes réclament toujours une liberté d’expression illimitée ET EXCLUSIVE POUR EUX.

    Je ne serai pas surpris que vous voyez des manifestations populaires “spontanées” perturber votre réunion de climato-réalistes à Paris.
    Il faut sauver la planète des mécréants après tout.

    La visite de(s) monsieur / messieurs Guillaume/Jean a bien pu n’être qu’une évaluation de votre turpitude climatique par des troupiers de la Dame Ségolène.

    Bon voyage,
    Paul S.

    • Guillaume dit :

      Robert,

      Pouvez-vous s.v.p. m’expliquer le lien que vous faites entre l’orientation politique gauche/droite et la recherche scientifique sur les causes des changements climatiques ?

      Guillaume

      • Paul S. dit :

        M. Guillaume,

        Mon prénom est Paul.
        Le professeur Robert l’a affirmé plus haut : il ne change pas de pseudonyme et moi non plus.
        Et vous ?

        Je parlais de ma crainte que des activistes climato-alarmistes puissent vouloir faire taire, par obstruction physique, les climato-réalistes assemblés pour leur « Contre-COP22 ».
        Remarquez, cela pourrait donner plus de visibilité à ceux que l’on tente de marginaliser dans l’opinion publique.

        Où voyez-vous une mention de la “recherche scientifique sur les causes des changements climatiques” ?

        Paul S.

      • Reynald Du Berger dit :

        QU appelez-vous « la recherche sur les causes du réchauffement climatique » ? Svensmark qui a proposé que les rayons cosmiques jouaient un rôle important sur le climat (refroidissement) et dont l hypothèse vient d etre vérifiée par l’expérience CLOUD fait-il partie de ces chercheurs? et son orientation politique est-elle à gauche ou à droite? Selon vous, y a t-il de bons chercheurs et de mauvais chercheurs sur le climat? Celui qui a besoin de $$$$$$ pour étudier les lemmings et qui prétend donc qu ils sont menacés par le RCA est-il plus ou moins crédible que celui qui prétend que le RCA, s il existe n est pas une manace sur la faune arctique? Autrement dit, les chercheurs alarmiste$$$$$$$ sont ils crédibles?

  57. Paul S. dit :

    Monsieur Du Berger;

    Pour la vraie recherche scientifique, le penchant politique du chercheur ne porte pas à conséquence.

    Mais la “Recherche scientifique AFFIRMANT les causes des changements climatiques” est à part.
    Souvenez-vous : il faut sauver la planète.
    C’est idéologique.

    Vous mentionnez les observations de H. Svensmark publiées en 1997.
    L’Organisation européenne pour la recherche nucléaire avait emboîté le pas rapidement [ CERN-OPEN-2001-028 / February 24, 1998 / Jasper Kirkby : Beam Measurements of a CLOUD (Cosmics Leaving OUtdoor Droplets) Chamber. ].

    Ce sujet est donc connu depuis longtemps, même par un quidam comme moi.
    Un astrophysicien ne devrait pas l’ignorer non plus.

    Je me suis posé ces questions sur l’homme de science engagé, M. Hubert Reeves :

    L’ÉVANGILE SELON RADIO-CANADA

    A-t-il parlé à son auditoire écolo d’influence du rayonnement cosmique sur le climat ?
    Cet homme de gauche, aurait-il commis un péché par omission ?

  58. Stéphane dit :

    Je dépoussière ce sujet en mentionnant cet extrait posté sur Radio-égo où André Arthur parle du climat et de la « religion environementale ». http://www.radioego.com/media/andre-arthur-sur-le-climat-avec-nathalie-normandeau

    • Robert dit :

      Intéressant de constater que André Arthur est du coté des climato-réalistes. Arthur, jouit quand même d’une bonne écoute dans la région de Québec…

      Robert

      • Reynald Du Berger dit :

        je ne partage pas tous ses points de vue, mais sur celui-ci, Arthur m’appuie.

  59. Robert dit :

    « Les USA, le Canada et la Chine ont signé l’accord de COP21 sur le climat. »

    Un instant: Les USA vont débarquer, la Chine ne respectera rien et le Canada…C’est rien!

    • Paul S. dit :

      M. Robert, vous l’avez tout faux : “… la Chine ne respectera rien …”.

      À la COP21, avec l’assentiment de l’ineffable Obama, la Chine s’était engagée à CONTINUER SA CROISSANCE DE PRODUCTION DES GAZ À EFFET DE SERRE, mais en modérant un peu.
      Dans les faits la Chine produira 5.4 fois plus de CO2 en 2030 qu’en 1990. Pendant ce temps, les autres doivent plonger bien en bas des niveaux de 1990.

      L’effet sur l’équilibre du pouvoir mondial est facile à calculer.

      La Chine respectera son NON-ENGAGEMENT et elle insistera pour que l’Occident respecte la parole de ses dirigeants, qui agissent en “idiots utiles” des chinois.

      Notre négociateur en chef était un travailleur social dont le mérite principal était la couleur de sa peau, mais du côté chinois il y avait des ingénieurs et des scientifiques qui savaient exactement ce qu’ils voulaient.

  60. Robert dit :

    «  » » »Inventer un nouveau processus physique, le forçage radiatif avec rétroaction, qui a la propriété étonnante de violer la seconde loi de la thermodynamique… » » » »

    J’aimerais qu’on m’explique (scientifiquement parlant) en quoi le forçage radiatif viole le second principe de thermo. J’ ai bien peur que l’auteur de cette phrase n’ait aucune idée du fonctionnement de ce qu’on appelle effet de serre.

    • Paul S. dit :

      M. Robert dit : “J’aimerais qu’on m’explique (scientifiquement parlant) en quoi le forçage radiatif viole le second principe de thermo.”

      Dans le film de Lelouch “Robert et Robert” il y avait deux bons diables, personnifiés par Jacques Villeret et Charles Denner, qui se complétaient merveilleusement.

      Le nouveau Robert sur ce blogue aurait avantage de demander conseil au professeur de chimie à la retraite, M. Robert (un habitué ici), avant de s’en prendre à l’ingénieur Bardinet.

      En plus d’expliquer la direction universelle du flux d’énergie thermique, le prof. Robert aurait conseillé à l’autre Robert, féru de sciences, qu’il est utile de faire un peu de recherche avant de sauter aux conclusions (voir la NOTE 2) :

      Cliquer pour accéder à synthese_bardinet_v33.pdf

      • Robert dit :

        Je ne vais pas changer de prénom… D’autre part J’ai lu « l’oeuvre » de Bardinet et je n’y ai vu aucune explication scientifiquement valable qui démontre que le forçage radiatif est contraire au second principe de thermo. Ce texte n’est rien d’autre qu’un fatras de choses mal comprises et empilées à la va comme je te pousse.

        J’ai posé une question précise, j’espère une réponse précise et argumentée.

  61. Robert dit :

    «  » » »Ou encore de postuler que la durée de vie du CO2 « anthropique » est de plus de 100 ans, » » » »

    Il ne s’agit pas de durée de vie mais de temps de résidence. L’auteur de cette phrase aurait intérêt à apprendre les base des cycles du carbone.

    • Paul S. dit :

      Et dans ce “cycle du carbone”, le “temps de résidence” du CO2 anthropique de 100 ans, postulé par les experts du GIEC, fut mesuré exactement comment ?

      • Robert dit :

        Réfléchissez un peu, je vous donne un indice on parle de cycles et pour vous aider sachez qu’on ne parle pas du temps de résidence d’une molécule mais d’un ensemble.

    • Robert dit :

      Vous avez écrit:

      « Il ne s’agit pas de durée de vie mais de temps de résidence. L’auteur de cette phrase aurait intérêt à apprendre les base des cycles du carbone. »

      Cybol. quelle différence y a-t-il?…Vous devriez prendre quelques cours de chimie de base. Le CO2 étant très soluble dans l’eau, il est très rapidement entrainé, par gravité et par sa solubilisation dans l’eau. Il tombe vers le sol (Pluie) car c’est là qu’il est utile…La photosynthèse, cela vous dit quelque chose?

      Robert

    • Robert dit :

      Le temps de résidence du CO2 (Si je comprend bien votre intervention) est éternel puisqu’il est constamment renouvelé et consommé….Il y a toujours du CO2 dans la troposphère principalement!

  62. Robert dit :

    Un individu utilise le même pseudonyme que le mien soit « Robert »…Comment cela se fait-il Reynald?

    Robert…Le vrai!

    • Robert dit :

      Merci pour le manque d’éthique, vous n’étiez pas obligé d’afficher mon mail, ll vous suffisait de confirmer mon prénom. merci d’effacer mon mail.

    • Paul S. dit :

      Peut-on exclure que ce même individu ne se morphe pas dans une autre identité, éphémère elle aussi, pour pratiquer un jeu de questions / réponses / affirmations / postulats ad-hoc / corrections éclairées, “persuasif” pour les provinciaux ?

      Un troll qui jouerait en quelque sorte au “good cop – bad cop” (un climato-ouvert, l’autre climato-rigoriste).

      Si tel était le cas, il faudrait souhaiter au cousin français de ne pas éventuellement sombrer dans la schizophrénie.

  63. Robert dit :

    À l’autre Robert:

    https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quivalent_CO2

    On parle bien de durée de vie du CO2 dans l’atmosphère. …Il est donc question d’UNE molécule de CO2 prise au hasard dans un ensemble qui selon cette « gang » persiste 100 ans dans l’atmosphère sans être perturbée de quelque manière que ce soit (J’ai même lu 1000 ans de la part de cette même gang). Autrement dit, cette même molécule que l’on a marquée, se retrouve intacte dans l’atmosphère 100 ans plus tard. Ne savez vous pas « Cher deuxième Robert » que le CO2 est très soluble dans l’eau (2 gr/litre à 15 oC) et que l’eau n’a jamais été considérée dans tous les papiers publiés par cette gang. En outre au niveau de la troposphère (là où l’effet de serre se fait vraiment sentir), pour chaque molécule de CO2 nous y retrouvons entre 50 et 100 molécules d’eau. Sortez de vos ornières réchauffistes et consultez donc la « Vraie science ». Informez vous donc sur la notion de « Libre parcourt moyen »?

    En passant, l’expression « Forçage radiatif » est une expression inventée par cette même gang.

    Vous ne savez pas de quoi vous parlez!

    Robert

    • Reynald Du Berger dit :

      sur le « forçage radiatif »… il y a des gens qui croient que parce qu’ils ont donné un nom à un phénomène qui n’existe pas, cela fait que le phénomène existe… c’est le cas aussi du réchauffement climatique anthropique…

      • Robert dit :

        J’attends votre démonstration de l’inexistance de ce fameux forçage. On parle aussi de forçage solaire ou volcanique….

        Vous êtes scientifique, ça ne devrait pas vous poser de problèmes

      • Paul S. dit :

        Monsieur Robert de France:

        Parmi les perturbateurs d’équilibre thermique de notre planète, il faudrait ajouter aussi celui qui pourrait s’avérer déterminant : le forçage galactique par des RAYONNEMENTS COSMIQUES (ref. : travaux de H. Svensmark, J. Veizer, N. Shaviv, et autres études, projet CLOUD à CERN, etc..).

        Quant aux éruptions volcaniques (terrestres et surtout sous-marines), le professeur Du Berger avait souligné à répétition le manque de données fiables (autres que des estimations ad-hoc, basées sur l’air du temps) concernant leur contribution aux changements climatiques.

        Pourquoi aller aux extrêmes et parler de l’inexistence d’un phénomène physique démontrable. Il s’agissait sûrement d’une remarque d’ordre rhétorique, concernant probablement l’importance pour certains d’un nouveau terme plus porteur, désignant l’effet de serre “désuet”.

        Il faut plutôt se pencher sur l’importance relative de chaque perturbateur d’équilibre thermique global.

        Pour vous le forçage radiatif par le gaz carbonique est celui qui importe le plus, même si la vapeur d’eau joue dans la même équipe et est capable de compter plus de buts.

        Est-ce parce que les autres forçages importants sont hors de notre contrôle ?

        Nous pourrions peut-être faire plus au rayon du reboisement (le déboisement étant un forçage anthropique), autant pour fixer le carbone que pour favoriser les espèces végétales produisant des aérosols naturels pouvant causer des précipitations de vapeur d’eau dans les nuages et ainsi augmenter la réflectivité dans des régions ciblées.

        Il y a des vastes étendues océaniques où il y a peu ou pas d’algues, surtout dans les régions très ensoleillées. Il y aurait sûrement des solutions à cela.

        L’affaiblissement de l’Occident par une REFONTE TOTALE de sa base industrielle, ainsi que par une vaste augmentation des coûts d’énergie et aboutissant éventuellement aux impasses sociales et à la réduction des libertés individuelles, est ce la seule avenue viable ?

        Respectueusement,
        Paul S.

    • Guillaume dit :

      Bonjour Robert ou Robert,

      « Il est donc question d’UNE molécule de CO2 prise au hasard dans un ensemble qui selon cette « gang » persiste 100 ans dans l’atmosphère sans être perturbée de quelque manière que ce soit » […] Ne savez vous pas « Cher deuxième Robert » que le CO2 est très soluble dans l’eau (2 gr/litre à 15 oC) et que l’eau n’a jamais été considérée dans tous les papiers publiés par cette gang. »

      Premièrement, d’où prenez-vous que « l’eau n’a jamais été considérée dans tous les papiers par cette gang. » Parlez-vous spécifiquement de l’eau dans la troposphère ou de l’eau en général ? De quelle(s) gang(s) parlez-vous? Et pouvez-vous s.v.p. me lister tous les papiers publiés par cette (ces) gang(s) et ainsi nous démontrer que l’eau, sous quelle que forme que ce soit, n’est jamais considérée ? (Généralisation hâtive).

      Ensuite, en toute bonne foi, j’essaie de comprendre la discussion sur cette « durée de vie » (j’utilise volontairement un terme flou) du CO2.

      https://www.skepticalscience.com/co2-residence-time.htm
      http://www.yaleclimateconnections.org/2010/12/common-climate-misconceptions-atmospheric-carbon-dioxide/

      “Determining the residence time of carbon dioxide in the atmosphere is a rather complex problem. A common misconception arises from simply looking at the annual carbon flux and the atmospheric stock; after all, with 230 gigatons absorbed by the oceans and land every year, and a total atmospheric stock of 720 gigatons, one might expect the average molecule of CO2 to remain in the atmosphere for only three to four years.

      Such an approach poorly frames the issue, however. It is not the residence time of an individual molecule that is relevant. What really matters is just how long it will take for the stock of anthropogenic carbon emissions that has accumulated in the atmosphere to be reabsorbed.”

      J’essaie de résumer. Dans un système à l’équilibre, donc disons dans les dizaines de milliers d’années qui précèdent l’ère industrielle, une molécule de CO2 émise dans l’atmosphère prendrait statistiquement, en moyenne, 3-4 années avant de faire un cycle et être réabsorbée. Mais puisque justement on n’est plus à l’équilibre car on émet une certaine quantité non négligeable de CO2 dans l’atmosphère, est-il possible que cette durée moyenne soit plus longue avant qu’on revienne à l’équilibre ? Si la quantité de CO2 en surplus est totalement négligeable par rapport à la quantité d’eau, effectivement ça n’a pas d’impact, mais si elle ne l’est pas ?

      Guillaume

    • Robert dit :

      Monsieur Robert

      «  » » »Autrement dit, cette même molécule que l’on a marquée, se retrouve intacte dans l’atmosphère 100 ans plus tard. » » » »

      Ca démontre que le CO2 est chimiquement stable, c’est tout.

      «  » » » Ne savez vous pas « Cher deuxième Robert » que le CO2 est très soluble dans l’eau (2 gr/litre à 15 oC) et que l’eau n’a jamais été considérée dans tous les papiers publiés par cette gang. » » » »

      Ben oui le CO2 est soluble (ou pas) dans l’eau, ça dépend (pas que mais principalement) de la température de cette dernière. Ca n’empêche pas qu’on parle de temps de résidence (wiki n’est pas une source scientifiquement fiable tout le monde pouvant y intervenir). D’où provient le surplus de CO2 atmosphérique si ce n’est de nos émissions, et quand on parle de temps de résidence, on parle du temps qu’il faudra au système pour éliminer ce surplus et revenir à l’équilibre.J’ajoute que vous n’avez pas du lire la littérature sur le sujet de la solubilité de l’eau c’est pourtant fortement documenté. Si vous pouviez laisser la théorie du complot de coté et ne parler que science ça serait mieux pour tout le monde.

      «  » » »pour chaque molécule de CO2 nous y retrouvons entre 50 et 100 molécules d’eau » » » »

      Argutie non recevable pour deux raisons : la première, la quantité d’eau dans l’atmosphère est contrainte par la température de la dite atmosphère; la seconde, la vapeur est condensable et son temps de résidence n’est que de quelques jours voir quelques semaines elle ne peut donc agir que comme rétroaction pas comme forçage. D’autre part ça n’empêche en rien le CO2 de « piloter » le climat du moins jusqu’à preuve scientifiquement parlant du contraire.

      «  » » »Vous ne savez pas de quoi vous parlez! » » » »

      Bah si et j’en dirai autant de vous.

      • Robert dit :

        Monsieur Robert #2;

        Mon expérience:

        50 ans en analyse spectroscopique (Tous les types de solution, XRF, UV/Vis, Infra-Rouge, AAS…) et thermodynamique (Enseignement et consultation). Imaginez vous donc que je connais les propriétés physico-chimiques du CO2 (Solubilité vs température, solubilité Vs pH…). Ben oui, le CO2 est entrainé vers le sol par la pluie (en bonne partie par dissolution) et la gravité. D’ailleurs, 80% de la photosynthèse totale se produit dans les océans (algues de surface). Il y a plusieurs problèmes majeurs dans toute cette histoire:

        6CO2 + 6 H2O +Énergie = C6H12O6 (glucose) + 6O2 (*)

        (*) Où pensez vous que les poissons prennent leur oxygène pour vivre? Le CO2 (votre gaz polluant) nous nourrit.

        1) La capacité d’absorption des rayons IR (Thermal) de la molécule d’eau est 50% plus élevé que celle du CO2. Dans le calcul qui suit, je vais assumer qu’elles sont égales;

        2) Imaginez une situation où coexistent 400 ppmv de CO2 et 30 000 ppmv de vapeur d’eau. Vous ne semblez pas avoir une idée claire de la notion de concentration. Votre temps de résidence n’a rien a voir.
        .
        3) L’effet de serre total est de 33 oC. Donc…contribution du CO2: (400/30 000)*33=0.4 oC. L’eau absorbe donc 99.6 % des radiations IR. C’est l’eau qui fait la job…Pas le CO2. Ce sont les lois de la spectroscopie…rien à y faire! Comme je le mentionne plus loin, lorsque de l’eau se condense à un endroit, d’autre eau s’évapore ailleurs!

        4) En plus cette « Gang » oublie totalement les autres modes de transport de chaleur soit: Convection et conduction. Ils ne mentionnent que le mode « Radiation ».
        Ça fait leur affaire. Je pourrais vous faire les calculs avec la première loi de la thermodynamique….Le temps me manque!

        Vous avez écrit:

        « Argutie non recevable pour deux raisons : la première, la quantité d’eau dans l’atmosphère est contrainte par la température de la dite atmosphère; la seconde, la vapeur est condensable et son temps de résidence n’est que de quelques jours voir quelques semaines elle ne peut donc agir que comme rétroaction pas comme forçage. D’autre part ça n’empêche en rien le CO2 de « piloter » le climat du moins jusqu’à preuve scientifiquement parlant du contraire. »

        Vous ne faites que servilement répéter toutes les âneries de cette « Gang ». Sachez que, à l’échelle planétaire, la teneur en eau dans l’atmosphère est aussi, à toute fin pratique constante. Lorsque l’eau se condense à un endroit, celle-ci s’évapore à un autre endroit. Mais, c’est tellement complexe que tous les rapports du GIEC font une abstraction totale de la vapeur d’eau dans leurs calculs. C’est leur épine dans le pied. En passant, expliquez nous donc (avec des calculs) cette histoire de l’eau qui fait une rétroaction? Aye!!! 0.04% versus 4% (le CO2 fait évaporer plus d’eau…LOL). La souris qui écrase l’éléphant!

        Robert premier;

    • Guillaume dit :

      Bonjour Robert,

       » En outre au niveau de la troposphère (là où l’effet de serre se fait vraiment sentir), pour chaque molécule de CO2 nous y retrouvons entre 50 et 100 molécules d’eau. »

      Questions pour améliorer mes connaissances…

      Est-ce que le CO2 peut-être « dissout » dans l’eau sous forme gazeuse ? Dans tous les cas, même si le CO2 est « dissout » dans l’eau de la troposphère, est-ce qu’il ne conserve tout de même pas ses propriétés et donc agirait quand même comme gaz à effet de serre (c.-à-d. transparent dans le visible mais absorbant dans l’infrarouge) ?

      Guillaume

      • Robert dit :

        Guillaume;

        De tous les gaz de l’atmosphère, c’est le CO2 qui est le plus soluble dans l’eau (2 gr/Litre à 15 oC). Celui-ci est 50 fois plus soluble que l’oxygène. Comme pour chaque molécule de CO2 on retrouve 50 -100 molécules de H2O lorsqu’il pleut, le CO2 est entrainé par dissolution et par gravité et aboutit dans les océans.

        Lisez mon post du 9 Janvier 2017 à 11:58. J’explique avec force détails le comportement du CO2.

        Robert #1

  64. Guillaume dit :

    Bonjour,

    Article de lapresse.ca : « Le ralentissement du réchauffement entre 1998 et 2014 n’était qu’une illusion »

    http://www.lapresse.ca/environnement/dossiers/changements-climatiques/201701/04/01-5056566-le-ralentissement-du-rechauffement-entre-1998-et-2014-netait-quune-illusion.php

    « Pendant une quinzaine d’années, entre 1998 et 2014, un apparent ralentissement du réchauffement climatique a fait dire aux climatosceptiques que ce phénomène était « un canular », mais une étude publiée mercredi souligne que cette pause n’était qu’une simple illusion. »

    Je vous invite à lire la suite.

    S.v.p notez bien que je n’affirme moi-même absolument rien, je ne fais qu’alimenter le doute…

    Guillaume

    • Reynald Du Berger dit :

      « illusion »… montrez-nous alors
      1- la courbe indiquant l’augmentation des émissions de GES de 1998 à 2016
      2- la courbe qui montre que T épouse ou suit cette augmentation.
      3- Quelle quantité de CO2 émises par l’homme depuis 1850 jusqu à 2016 ?
      4- De cette quantité totale, quel pourcentage a été émis de 1998 à 2016 ?
      5- quelle augmentation de TMAG de 1998 à 2016 vs le % de CO2 ?

      • Guillaume dit :

        Bonjour Reynald,

        Vous posez régulièrement la question « pouvez-vous expliquer pourquoi la température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans malgré une augmentation continue du CO2 atmosphérique? »

        L’article auquel fait référence lapresse.ca est celui-ci :

        http://advances.sciencemag.org/content/3/1/e1601207.full

        Je vous en laisse la lecture. On y explique en détail pour quelle raison le taux de réchauffement a été sous-estimé (ou aurait été sous-estimé) au cours des dernières années. C’est tout. On n’y parle pas d’émission CO2, ni de RCA.

        Je voulais simplement souligner le fait que la soi-disant « pause » à laquelle vous faites souvent référence et qui vous sert d’argument n’aurait pas réellement existé.

        S.v.p. ne nous posez pas des questions qui n’ont pas de lien avec l’article initial et qui ne font que brouiller les cartes.

        Je vous pose à mon tour une question (en lien avec l’article) : pouvez-vous démontrer que la
        température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans ?

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        je ne brouille aucune carte, vous croyez au RCA significatif, moi je vous pose 5 problèmes qui jettent un sérieux doute sur votre affirmation d’un RCA significatif de 1998 à 2017 et vous demande d’y répondre. Et pour La Presse et les réchauffistes, y aura toujours de Ninos et Ninas ou autre phénomène qu ils n ont pas vus venir, pour expliquer que leurs modèles ne marchent absolument pas… la mauvaise foi leur sort par la plume et les oreilles. Mes 5 questions sont légitimes et claires et demandent des réponses claires.

      • Paul S. dit :

        Juste un petit exercice de gros bon sens (GBS) pour “alimenter le doute” (ou la certitude) de M. Guillaume :

        – Les scientifiques affirment : les mesures de températures de surface des océans par les navires furent erronées;
        – Une correction à la hausse de 71 % (soit 0.12°C d’augmentation, au lieu de 0.07°C) sera donc appliquée sur les températures mesurées après 1998 pour confirmer la tendance au réchauffement global;
        – Question de GBS #1 : Ne devrait-on pas corriger aussi les températures de surface des océans d’avant 1998 et de combien ?

        – L’article en référence, paru dans “Science Advances” affirme : “… reasonably spatially complete, instrumentally homogeneous SST (IHSST) measurements are available from drifting buoys, …”;
        – En apparence, le mot “reasonably” s’applique au domaine de mesures comparatives entre les navires sur les routes maritimes et les bouées de mesure dispersées dans les mêmes régions;
        – Le professeur Du Berger avait déjà souligné l’incertitude rattachée aux DONNÉES de températures de surface des océans (71 % de la surface du globe) en raison du manque de la couverture spatiale par les agents de mesure (concentration de routes de transport océanique) et des EXTRAPOLATIONS inhérentes;
        – Un peu plus sur ce sujet : https://bobtisdale.wordpress.com/2010/07/05/an-overview-of-sea-surface-temperature-datasets-used-in-global-temperature-products/;
        – Question de GBS #2 : Une correction de 71 % sur une EXTRAPOLATION, appliquée sur les 71 % de surface du globe, est-elle probante ?

        – Question de GBS #3 : Lorsque l’on considère un intervalle d’études remontant aux débuts de l’ère industrielle, peut-on CONTINUELLEMENT faire des corrections des bases de données (températures de surface, autant terrestres qu’océaniques) pour soutenir une THÈSE “SCIENTIFIQUE” ?

      • Guillaume dit :

        @ Reynald

        « je ne brouille aucune carte, vous croyez au RCA significatif, moi je vous pose 5 problèmes qui jettent un sérieux doute sur votre affirmation d’un RCA significatif de 1998 à 2017 et vous demande d’y répondre. »

        Premièrement, relisez tous mes commentaires, incluant le dernier, et vous verrez que « je n’affirme pas le RCA », contrairement à ce que vous avancez. J’essaie simplement de comprendre vos arguments, et je m’efforce justement de garder les portes ouvertes

        À cet effet, j’affirme que vous brouillez les cartes car mon commentaire et l’article en référence est relié seulement à la « pause » qui est fréquemment utilisée comme argument, et non pas à l’impact potentiel du CO2 sur la température, ni sur le RCA.

        Les réalistes affirment :
        – Les émissions de CO2 ont augmenté depuis 1998.
        – Or, on n’a pas observé d’augmentation de la température moyenne durant cette période.
        – Donc, l’augmentation d’émission de CO2 ne cause pas de réchauffement.

        L’article du Science Advances indique qu’il semble qu’il n’y ait pas eu de pause du réchauffement durant les 20 dernières années, contrairement à ce que certains pensent (ou pensaient). Le cas échéant, on ne peut donc plus conclure aussi facilement que l’augmentation d’émission de CO2 ne cause pas de réchauffement. C’est tout ce que j’avance.

        Je n’en déduis pas pour autant que l’augmentation de CO2 cause un réchauffement. Cette absence de pause n’est pas un argument pro-RCA en soit, mais c’est un argument de moins pour les réalistes.

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        Plus de 30% de toutes les émissions humaines l ont été depuis 1998 or, comment expliquez vous la stagnation de T (une augmentation de T de seulement qq centièmes de degrés qui n est même pas mesurable est une pause, ou stagnation) . Faites une régression des T de 1998 à 2017.. vous verrez comment T n’augmente pas avec le CO2 qui lui a pourtant jamais autant augmenté… avez-vous une explication?

  65. Guillaume dit :

    Bonjour,

    Puisque le débat semble avoir été relancé, je partage une réflexion sur Internet que je trouve intéressante, peu importe de quel côté on se positionne, et qui s’applique bien, je crois, au débat actuel.

    Voir ci-dessous, à partir de 7:39 :

    Traduction libre : « Plutôt que d’être rassemblés par Internet, plutôt qu’Internet nous aide à converger sur des faits, Internet nous incite à nous diviser en factions et à avoir cette évolution d’arguments, facilitée par les algorithmes de recherche, ce qui nous écarte de plus en plus l’un de l’autre. »

    Conclusion : on est possiblement déjà campés sur nos positions respectives et en débattre ici est probablement une perte de temps.

    Guillaume

  66. Robert dit :

    Guillaume;

    Vous avez écrit:

    « Je vous pose à mon tour une question (en lien avec l’article) : pouvez-vous démontrer que la
    température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans ? »

    Vous n’avez qu’à regarder de près ce graphique (Par satellite-méthode la plus fiable)(*):

    Nous sommes en plein dans La Ninia. Notez que chaque point représente la moyenne d’un mois. Dans quelques mois (lorsque La Ninia sera terminée), digitalisez ce graphique et faites une régression linéaire à partir de 1998 jusqu’en 2017 (Probablement Juin ou Juillet). Faites imprimer, non seulement la pente issue de la régression mais aussi l’écart-type sur cette pente. Vous verrez alors que cette pente n’est pas significativement différente de zéro…Un bon vieux plateau qui perdure depuis presque 20 ans.

    (*) N’utilisez pas les données des stations terrestres telles que fournies par GISS ou NOAA. Ces données sont constamment manipulées pour faire croire au bon petit peuple que la température augmente. La meilleure méthode est par satellite. …dont les valeurs ne peuvent être changées!

    Robert (Le premier)

  67. Robert dit :

    Guillaume @

    «  » » »Vous posez régulièrement la question « pouvez-vous expliquer pourquoi la température moyenne annuelle globale stagne depuis 20 ans malgré une augmentation continue du CO2 atmosphérique? » » » » »

    Tout d’abord il est confirmé qu’il n’y a pas de pause dans le réchauffement, mais c’est aussi oublier la variabilité interne tout comme l’inertie du système. Dans tout changement physique, il y a un temps de réponse plus ou moins long. Pour ce qui concerne l’augmentation des températures en regard de l’augmentation de l’effet de serre le temps de réponse est de peu ou prou 45 ans (capacité thermique des océans oblige).

    • Paul S. dit :

      Répondre à son alter-ego pour ajouter du poids à un argument …

      L’inertie énorme du système climatique ?
      Absolument !

      45 ans ?
      Pourquoi pas !

      Dépenser 89,000,000,000,000 $ sur 15 ans pour la lutte aux chimères ?
      Pas assez !

      Vue son inertie, le système à dompter par la COP21, aura–t-il assez de temps pour réagir en un tiers de temps requis pour une réponse?
      Non !

      Alors, par le principe de précaution, il faut dépenser, dépenser, dépenser, dépenser ….

      Il ne manque plus que M. Jean à la Trinité écolo française.

    • Robert dit :

      @ Robert #2;

      Vous utilisez constamment des phrases creuses vide de sens.

      « Tout d’abord il est confirmé qu’il n’y a pas de pause dans le réchauffement »…Totalement faux. Les graphiques non manipulés et falsifiés (UAH et RSS) démontrent clairement un plateau depuis 1998.

      « c’est aussi oublier la variabilité interne tout comme l’inertie du système »…De quelle inertie parlez vous. Montrez nous vos calculs?

      Vous répétez des phrases que vous avez apprise par cœur, ou que vous prenez dans des textes.

      Robert#1

      • Robert dit :

        Monsieur Robert,

        Apportez les preuves de cette soit-disante manipulation, sachant que les satellites ne mesurent pas la température de surface tout comme ils ne mesurent pas la température de la basse troposphère. Ces températures sont issues de calculs, les microondes n’étant pas un thermomètre.

        Pour le moment vous calomniez point barre.

        «  » » »Vous répétez des phrases que vous avez apprise par cœur, ou que vous prenez dans des textes. » » » »

        Non monsieur j’ai un cursus qui me permet de savoir de quoi je parle, ce qui ne semble pas être votre cas. si vous ne savez pas ce qu’est l’inertie d’un système ou temps de réponse, je ne peux rien pour vous.

  68. Robert dit :

    Robert#2 et Guillaume:

    Cet article met en pièce tous les arguments des réchauffistes(*):

    http://www.dailywire.com/news/2071/most-comprehensive-assault-global-warming-ever-mike-van-biezen

    (*): J’ai déjà expliqué beaucoup de parties de ce texte.

    Robert #1

  69. Robert dit :

    Monsieur robert,

    Veuillez je vous prie laisser l’argument d’autorité de coté je me fiche de ce que vous avez fait; seul le raisonnement que vous tenez m’intéresse.

    «  » » »Ben oui, le CO2 est entrainé vers le sol par la pluie (en bonne partie par dissolution) et la gravité. D’ailleurs, 80% de la photosynthèse totale se produit dans les océans (algues de surface). Il y a plusieurs problèmes majeurs dans toute cette histoire: » » » »

    Comment expliquez vous alors l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère et surtout l’augmentation de l’altitude d’émission, comment expliquez vous que pour chaque molécule de CO2 supplémentaire on ait une molécule de dioxygène en moins (le nombre d’Avogadro restant constant) ?

    «  » » ». Sachez que, à l’échelle planétaire, la teneur en eau dans l’atmosphère est aussi, à toute fin pratique constante. Lorsque l’eau se condense à un endroit, celle-ci s’évapore à un autre endroit. Mais, c’est tellement complexe que tous les rapports du GIEC font une abstraction totale de la vapeur d’eau dans leurs calculs. » » » »

    C’est très exact, merci de nous démontrer que la vapeur d’eau ne peut pas être à l’origine d’une augmentation de l’effet de serre qui je vous le rappelle est précisément mesurée et dont on connait parfaitement l’origine. D’autre part la relation de Clausius-Clapeyron fait que la teneur en vapeur d’eau de l’atmosphère est dépendante de sa température et que gradient adiabatique oblige la teneur en vapeur d’eau au dessus de 6000 mètres est très faible et c’est là que l’augmentation du taux de CO2 prend tout son sens. Même Richard Lindzen ne conteste pas ce fait.

    Quand à dire que cette gang dit des âneries, je serai heureux de comparer vos publications sur le sujet et les comparer à celles des milliers de scientifiques à travers le monde qui selon vous les profèrent.

    Puis je me permettre de vous soumettre ceci ?

    Cliquer pour accéder à radiatifNN.pdf

    • Robert dit :

      « …. merci de nous démontrer que la vapeur d’eau ne peut pas être à l’origine d’une augmentation de l’effet de serre… »

      Je n’ai jamais écrit cela. Vous racontez n’importe quoi!!

      • Robert dit :

        Monsieur Robert,

        Je vous cite : «  » » » Sachez que, à l’échelle planétaire, la teneur en eau dans l’atmosphère est aussi, à toute fin pratique constante. Lorsque l’eau se condense à un endroit, celle-ci s’évapore à un autre endroit. » » » »

        C’est bien vous qui avez écrit le mot constante, donc si la teneur en vapeur d’eau dans l’atmosphère est constante, comment pourrait elle être à l’origine d’un réchauffement (ou d’un refroidissement) sachant que la quantité de vapeur d’eau est contrainte par la température de l’atmosphère et que pour avoir une augmentation ou diminution de cette quantité de vapeur d’eau il faut D’ABORD une augmentation ou une diminution de la température de l’atmosphère.

        Nier ceci c’est nier les lois élémentaires de la physique.

        Qui raconte n’importe quoi ?

  70. Robert dit :

    @Robert #2;

    Je ne vous l’avais pas dit mais j’ai compté chacune des gouttes d’eau pour en arriver à un décompte nul….LOL

    Vous avez écrit:
    « …vapeur d’eau dans l’atmosphère est constante, comment pourrait elle être à l’origine d’un réchauffement (ou d’un refroidissement) … ».
    Si je comprends bien, selon vous, pour que l’eau retienne de la chaleur, l’univers doit en rajouter à la planète terre…Vous n’avez pas compris que lorsque je mentionne le mot « Constant », ça veut dire pour l’ensemble de la planète…Lorsqu’il y a condensation à un endroit, il y a évaporation à un autre. Mais, l’eau qui est à l’état vapeur, finit toujours par faire son travail d’effet de serre.
    La célèbre phrase de « Lavoisier »: « Rien ne se perd et rien ne se crée »…Cela vous dit quelque chose??
    Le climat peut être diamétralement opposé d’un endroit à l’autre. On a déjà vu la température plus basse en Floride qu’à Sept-Iles!
    En plus, vos notions de concentrations semblent quasi inexistantes. Vous ne faites pas la différence entre 1,7 ppmv (CH4) 400 ppmv (CO2) et 30 000 ppmv.(H2O).

    Regardez bien cette figure. C’est un spectre IR (Transformé de Fourier) d’un échantillon d’air à 27 oC et 75 % d’humidité. Prendre note: Il y a 380 ppm de CO2. La bande en plein centre, c’est de la vapeur d’eau. L’absorbance sur l’axe des y (Qui est en fait l’effet de serre) est en fonction de la fréquence. Le CO2 absorbe à 667 cm-1(15 microns) et l’eau est à 1492 cm-1 (6,7 microns). Les pics échevelés sont des bandes de rotation. L’ensemble de toutes ces bandes de rotation peut être recouvert d’une enveloppe qui constitue en fait une bande de vibration (déformation). La surface sous cette bande d’eau (1492 cm-1) est 75 fois plus grande que celle sous la bande de CO2. Ne vous occupez pas de l’autre bande de CO2, celle-ci étant à l’extérieur de la zone thermale IR. Comprenez – vous l’immense pouvoir d’absorption de la vapeur d’eau. Même si l’eau baisse à 10 000 ppmv (en raison d’un refroidissement quelconque), son effet de serre sera toujours largement supérieur au CO2 (400 ppmv) et au Méthane (1,7 ppmv).

    Robert #1

    (*) SVP: Ne m’arrivez pas avec des notions de base que j’ai apprises en secondaire IV.

    • Robert dit :

      Monsieur Robert

      Personne ne conteste le rôle de la vapeur d’eau en tant que premier gaz à effet de serre (en quantité) c’est écrit en toutes lettres dans les rapports du GIEC que vous n’avez jamais lu. Ce que vous refusez d’admettre c’est que la vapeur d’eau ne peut agir que comme rétroaction JAMAIS comme forçage. Vous pouvez vous présentez toutes les figures que vous voulez ça ne changera rien au fait. La vapeur d’eau réagit à un forçage (solaire, CO2, CH4, ou volcanisme) c’est tout ELLE NE PEUT EN AUCUN CAS ETRE A L’ORIGINE D’UN RECHAUFFEMENT QUELCONQUE. Elle l’amplifie rien de plus.

      J’ajoute que la présentation de votre courbe ne constitue en rien un argument scientifique étayant ce que vous prétendez.

      Le réchauffement que nous vivons actuellement est majoritairement dû à l’augmentation du taux de CO2 atmosphérique dû à la combustion des fossiles. Point barre.

      Je vous mes au défi de me démontrer de manière scientifiquement acceptable que j’ai tort.

      J’ai posé une question concernant le fait que le forçage radiatif serait contraire au second principe de thermo j’attends toujours ma réponse.

      • Robert dit :

        Robert #2;

        Le « Forçage » c’est une invention de votre gang.

        Vous avez écrit:

        « J’ai posé une question concernant le fait que le forçage radiatif serait contraire au second principe de thermo  »

        Facile à comprendre. La chaleur (quelle que son mode de transport: Radiative, Convective ou conductive) voyage toujours du plus chaud au plus froid. C’est le deuxième principe de la thermodynamique. Ce principe a très bien été démontré statistiquement par un dénommé Ludwig Boltzman (S=k Ln W) au début du vingtième siècle. Or, votre « gang » prétend que cette chaleur revient vers le sol à partir du froid, ce qui constitue pour eux, leur « Sacro-Saint » « Forcing ». Au sol il fait 15 oC et dans la tropopause c’est -56,6 oC. La chaleur ne peut donc pas, d’aucune façon, partir d’un espace à -56 oC et s’en aller vers un espace à 15 oC. La chaleur va donc toujours se disperser vers le plus froid….Et c’est tout à fait normal. Donc, la théorie du « Forcing » telle qu’élaborée par votre « Gang » n’existe pas!

        Robert #1

        (*) Noter qu’une molécule de CO2 excitée peut, par collision avec d’autres molécules plus stables communiquer son énergie par collision. Mais le principe est toujours le même. Il faut que ces molécules soient à des niveaux énergétiques plus bas et cela se produit en zone froide. En plus, le transfert de chaleur se fait par convection, principalement. La convection est lorsqu’une masse d’air plus chaude, étant moins dense, montera au-dessus des masses froides situées plus haut.

      • Paul S. dit :

        Et si le forçage radiatif n’était pas un “steady state process” ?

        Il y a des études mentionnant que la présence des nuages et leur type introduisait la source d’erreur la plus importante dans les modèles de rétroaction climatique.
        Ne s’agirait-il pas plutôt d’une variable imprévisible ?

        La variabilité de l’ennuagement dans les diverses régions du monde, ne serait-elle pas suffisante pour causer des augmentations ou des réductions de la température globale ?

        Même si le postulat d’une quantité totale de vapeur d’eau déterminée par la température globale moyenne était vérifié (les étendues d’eau évaporable ne sont pas uniformément distribuées et il y a des couches d’air discrètes non-mélangées – d’où l’importance de la convection et du vent), cette vapeur peut être présente dans l’atmosphère ou être condensée autour des aérosols ou des poussières dans les nuages.

        L’eau peut ainsi augmenter ou diminuer la rétention locale de la chaleur radiative, y compris selon le temps de la journée.

      • Robert dit :

        @Robert#2;

        Lisez mes autres post…Tout est expliqué!

  71. Robert dit :

    Monsieur Robert

    un peu de lecture :

    Cliquer pour accéder à Bu-Robert.pdf

  72. Robert dit :

    @Paul S. :

    Vous avez raison. La théorie du climat relève d’un domaine extrêmement complexe. Tout est tellement différent d’un endroit à l’autre de la planète. Selon moi, il est quasiment impossible d’expliquer les phénomènes climatiques en partant d’une simple moyenne. D’un endroit à l’autre de la terre, tout peut varier. Prenez seulement l’albédo: Il est proche de 90% en arctique et proche de 10% à l’équateur. C’est la même chose pour la température. Le degré d’humidité est très élevé en équateur mais très bas au dessus du Sahara. Le GIEC et la gang de suiveux ont élaboré une théorie beaucoup trop simpliste. Par exemple, ils ne tiennent jamais compte du phénomène de convection qui est pourtant prédominant et qui diminue en allant à des altitudes plus élevées car les molécules d’air se font de plus en plus rares. Plusieurs scientifiques croient que la convection l’emporte sur le transport de chaleur par radiation.

    Robert #1

  73. Robert dit :

    La fameuse « Rétroaction » ou « Feedback »:

    Le raisonnement du GIEC et leur gang, c’est que le CO2 réchauffe la surface de la terre (ce qui est totalement faux selon plusieurs scientifiques – dont moi). Cette chaleur additionnelle due au CO2 produirait l’évaporation de plus d’eau qui, elle, étant un gaz à effet de serre emprisonnerait encore plus de chaleur et réchaufferait ainsi encore plus l’atmosphère. Ça, c’est la sacro-sainte explication des adeptes du réchauffement. Mais, il y a juste un Hic!, IL N’Y A PAS ASSEZ DE CO2 DANS L’ATMOSPHÈRE pour supporter une telle explication. Pour 400 ppm de CO2 et 30 000 ppm de vapeur d’eau, le CO2 ne représente que 1,3% de l’effet de serre. Alors, comment une si faible concentration en CO2 peut-elle provoquer une si grande évaporation d’eau qui fera en sorte que l’on verra une différence notable de température de la troposphère. Pourquoi pensez vous que tous leurs modèles climatiques ne fonctionnent pas. Ce sont des politiques qui se sont mis le nez dans la science et qui se le sont carrément rivé!

    Robert #1

    • Robert dit :

      Monsieur Robert

      «  » » »Pourquoi pensez vous que tous leurs modèles climatiques ne fonctionnent pas. » » » »

      Vous ne savez pas ce qu’est un modèle, à quoi il sert, comment il est fait, comment on l’utilise et quelles en sont les limites. Plus je vous lis, plus je me rends compte que vous n’êtes pas dans un scepticisme de bon aloi mais dans une posture de déni idéologique.

      Une chose est certaine, vous n’avez pas les compétences nécessaires pour critiquer le travail de spécialistes de la question.

  74. Robert dit :

    Monsieur robert,

    «  » » »c’est que le CO2 réchauffe la surface de la terre (ce qui est totalement faux selon plusieurs scientifiques – dont moi). «  » » »

    Bah non, personne dans la communauté scientifique compétente ne dit que le CO2 réchauffe l’atmosphère, le CO2 n’est pas une source d’énergie. Le CO2 freine le refroidissement de la terre. Plus il y a de CO2 moins la terre se refroidit. La seule et unique source de chaleur c’est le soleil (la chaleur interne c’est peanuts).

    Je crois que vous avez de très graves lacunes dans la compréhension de l’effet de serre et que vous confondez savoir scientifique et vulgarisation pour le citoyen lambda ou schématisation si vous faites allusion au bilan radiatif de Trenberth.

    • Robert dit :

      Robert#2

      Vous ne comprenez rien de ce que j’écris. Notre discussion ne sert à rien. D’après moi, vous n’avez aucune formation en science…encore moins en spectroscopie/Thermodynamique.
      Notre discussion est terminée. Je perd mon temps!

      Robert#1

  75. Robert dit :

    Monsieur Robert,

    «  » » »Au sol il fait 15 oC et dans la tropopause c’est -56,6 oC. La chaleur ne peut donc pas, d’aucune façon, partir d’un espace à -56 oC et s’en aller vers un espace à 15 oC. » » » »

    Cette simple phrase est la preuve formelle que vous ne comprenez rien à l’effet de serre ni aux propriétés radiatives des différents gaz la composant. Le flux de chaleur vient du soleil (température de surface 5778K) Les GES captent le rayonnement émis par la terre et ce rayonnement finit par s’échapper dans l’espace au niveau de la tropopause. Où voyez vous une violation du second principe ?

    • Guillaume dit :

      Bonjour,

      M. Robert #2, je suis bien d’accord avec vous, M. Robert #1 ne nous démontre pas aujourd’hui qu’il a 50 ans d’expérience en analyse spectroscopique et thermodynamique.

      Robert #1 affirme que le forçage radiatif n’est qu’une invention d’une « gang ». Tout d’abord, j’ai appris quelque chose aujourd’hui, c’est que le terme « effet de serre » n’est pas utilisé correctement en climatologie. En effet, il a été démontré qu’une vraie serre en fonctionne pas à cause de phénomènes radiatifs, mais plutôt grâce la convection le long des parois qui bloque l’échange de chaleur entre la serre et l’extérieur.

      Par conséquent, il a fallu trouver un autre terme qui décrit mieux le phénomène nommé « effet de serre », soit le forçage radiatif. Définition simple : le forçage radiatif est approximativement défini comme la différence entre l’énergie radiative reçue et l’énergie radiative émise par un système climatique donné. Pour quelle raison ce phénomène existe ? Le plus drôle c’est que Robert #1 nous donne lui-même une courbe d’absorbance qui nous aide à comprendre. En voici une version légèrement différente qui montre en plus les courbes d’émission du Soleil et de la Terre (deux corps noirs à différentes températures) :

      La lumière du Soleil arrive jusqu’à la Terre sans être absorbée par le CO2. La Terre l’absorbe et la réémet dans l’infrarouge. Ensuite, le CO2 en absorbe lui-même une partie et, comme n’importe quel corps, il en réémet DANS TOUTES LES DIRECTIONS (et non pas juste vers un corps plus froid comme vous l’affirmez), donc une partie retourne effectivement vers la Terre, et une partie vers l’espace. Eh oui, une partie de la chaleur absorbée par le CO2 est réémise vers la Terre même si celle-ci est plus chaude que n’importe quelle couche de l’atmosphère. Il y a donc, au bilan, moins d’énergie qui retourne vers l’espace que celle qui est arrivée du Soleil, d’où forçage radiatif. La température du CO2 dans l’atmosphère en tant que telle n’a rien avoir là-dedans. Et le viol des lois de la thermodynamique non plus.

      Guillaume

      • Robert dit :

        Guillaume,

        «  » » »La lumière du Soleil arrive jusqu’à la Terre sans être absorbée par le CO2″ » » »

        Ce n’est pas tout-à-fait exact, le rayonnement solaire comprend toute la gamme de longueur d’ondes, donc un part du rayonnement infrarouge est absorbé à la descente mais c’est faible en regard de ce qu’émet la surface de la terre.

        «  » » »il en réémet DANS TOUTES LES DIRECTIONS » » » »

        Vrai mais le photon (le flux en réalité) sera capté par la molécule de GES la plus proche, la distance parcourue est au maximum de quelques centimètres et comme je l’ai dit en réponse à monsieur Robert seul 10% du rayonnement infrarouge capté est réémis sous forme de photons.

        Dans la troposphère (comme dans une serre) la convection est le principal moyen de transport de chaleur, c’est au niveau de la tropopause que le rayonnement prend toute son importance.

        «  » » »Eh oui, une partie de la chaleur absorbée par le CO2 est réémise vers la Terre même si celle-ci est plus chaude que n’importe quelle couche de l’atmosphère. » » » »

        Faux. On dit ça par analogie car il est extrêmement compliqué de décrire ce qui se passe réellement (explication dans ma réponse à monsieur Robert)

      • Guillaume dit :

        Robert #2 (je crois),

        Ok, il me manque probablement certaines précisions et détails sur le phénomène global. Entre autre, je simplifiais en disant que les rayons du Soleil ne sont pas du tout absorbés (c’est quand même assez faible).

        Mais en bout de ligne, pour simplifier, mon point est le suivant. L’augmentation de CO2 dans l’atmosphère n’aurait aucun impact net seulement si la quantité d’énergie provenant du Soleil était rigoureusement égale à l’énergie qui retourne dans l’espace (par exemple si l’absorbance était uniforme en fonction de la longueur d’onde). Or, puisque l’absorbance moyenne du CO2 est plus élevée pour les rayons qui quittent par rapport aux rayons qui entrent (à cause de la longueur d’onde), il y a inévitablement une partie de cette énergie qui reste dans le système « Terre-Atmosphère », plutôt que de retourner dans l’espace, peu importe les autres mécanismes (convection + conduction) qui entrent en ligne de compte. Donc, plus il y a de CO2 dans l’atmosphère, plus l’énergie du système « Terre-Atmosphère » augmente, donc plus la température moyenne de ce système augmente.

        Non ?

        Guillaume

      • Guillaume dit :

        Oups, une autre clarification.

         » …rigoureusement égale à l’énergie qui retourne dans l’espace (par exemple si l’absorbance était uniforme en fonction de la longueur d’onde) »

        En fait je me rends compte que même si l’absorbance est uniforme en fonction de la longueur d’onde, il y aurait quand même une différence nette d’énergie à cause de l’intégrale sous la courbe (car les courbes du Soleil de la réémission de la Terre ne sont pas les mêmes). Donc il n’y aurait aucun impact net seulement si l’absorbance du CO2 est de zéro partout. Mais pour le reste, mon explication/questionnement demeure.

        Guillaume

  76. Robert dit :

    @Robert#2

    Coudon;

    Comprenez vous quelque chose? J’essaie de vous faire comprendre une dernière fois.

    1) Le soleil bombarde la terre de ses radiations (UV, Visible et IR proche). Ces rayons ne sont pas chaud. Les rayons IR chaud sont ceux dont les longueur d’onde sont comprises entre 4,3 et 60 microns. Ces rayons chauds proviennent de la réémission de la terre qui ainsi disperse l’énergie qu’elle a reçue du soleil. On retrouve parmi ces rayons des longueurs d’onde telles que celles de l’eau (6,7 microns) et du CO2(15 microns).

    2) Ce sont ces longueurs d’onde qui sont captées par des molécules de H2O et CO2 qui s’adonnent à être dans leur niveau fondamental (non excités). Mais, inévitablement, les molécules excitées de H2O et CO2 réémettent ces mêmes radiations (qui ont la propriété d’être chaudes). Comme ces radiations sont chaudes, elles se dirigent inexorablement vers la zone froide, en vertu du deuxième principe de la thermodynamique. Toute votre argumentaire repose sur le fait que, selon vos prétentions, les radiations réémises par le CO2 retournent vers le sol terrestre (*) et c’est ce qui constitue votre fameux forcing.

    3) La seule manière d’augmenter l’effet de serre est simplement d’ajouter plus de molécules de CO2 et H2O.

    4) Des rayons du soleil incident il y en a une partie (30%) qui sont retournés vers l’atmosphère sans être absorbés par la terre c’est l’Albédo.

    Lorsque vous exposez votre bras au soleil, ce ne sont pas les rayons du soleil direct qui vous réchauffent le bras mais bien ceux (4 – 60 microns) qui sont réémis par votre bras et ainsi le réchauffe. Ces rayons IR, nous les nommons « Thermal Infra-Red »(TIR)! Les TIR émis par le soleil (il y en a) ont tendance à être absorbés par des molécules de l’atmosphère avant de nous atteindre.

    Quelle formation avez vous? Vous ne faites que répéter la même litanie et des choses que vous avec apprises par cœur.. Pourtant, mes explications sont claires.

    (*) Vous n’avez qu’à regarder vos propres graphiques pour constater que sur ces figures on voit bien ces mêmes radiations retourner vers le sol terrestre.

    Robert#1

    • Guillaume dit :

      @ Robert.

       » mais bien ceux (4 – 60 microns) qui sont réémis par votre bras et ainsi le réchauffe. »

      Hein ? S’ils sont réémis par le bras, cette énergie quitte votre bras et le bras se refroidit.

      Est-ce que vous voulez dire qu’ils sont réémis vers l’air autour, qui lui absorbe les TIR et qui à son tour réchauffe votre bras par conduction/convection ? Un peu trop complexe.

      À la base, votre explication est fausse. Un corps dans le vide va se réchauffer s’il reçoit la lumière du soleil. Exemple : la lune n’a pas d’atmosphère et n’est pourtant pas à 3 K comme le reste de l’espace, elle est donc réchauffée directement par le rayonnement du soleil.

      Guillaume

      • Guillaume dit :

        Après avoir relu Robert, une petite clarification car mon exemple de lune n’est pas adéquat.

        Votre bras ne réfléchit pas parfaitement le visible, sinon on s’y verrait comme dans un miroir. Il absorbe donc une bonne partie de l’UV-VIS-NIR qui réchauffe le bras directement, par radiation, et non pas par la réémission de TIR comme vous tentez de l’expliquer.

        D’ailleurs, pourquoi attrape-t-on des coups de soleil ?

        En fait,il est vrai que le corps réémet des IR, mais ça contribue à le refroidir, pas à le réchauffer.

        Guillaume

  77. Robert dit :

    Monsieur Robert,

    «  » » »Toute votre argumentaire repose sur le fait que, selon vos prétentions, les radiations réémises par le CO2 retournent vers le sol terrestre (*) et c’est ce qui constitue votre fameux forcing. » » » »

    Non, vous vous situez au même niveau que le béotien à qui on essaye de faire comprendre l’effet de serre. Ce n’est pas comme ça que ça marche. Les GES freinent le refroidissement de la terre RIEN D’AUTRE. En gros, 90% du rayonnement piégé par les molécules de GES sert à thermaliser O2 et N2 (cinétique des gaz) seul 10% sont réémis sous forme de rayonnement et ce également à l’intérieur des cellules de convection.

    «  » » »Comme ces radiations sont chaudes, » » » »

    Collector, vous en avez d’autre de cet acabit ? Le rayonnement électromagnétique n’est pas de la matière il ne peut donc pas être chaud ou froid… La température ce n’est rien d’autre que la mesure de l’agitation moléculaire d’un corps.

    Ne transférez pas votre ignorance sur les autres vous êtes juste ridicule.

  78. Robert dit :

    Guillaume et Robert#2:

    Sur la figure qui suit (Issue du GIEC), notez bien le retour vers la terre des radiations TIR(*):

    C’est là que le deuxième principe est violé!

    Robert #1

    (*):Thermal infra-red

    • Robert dit :

      Monsieur Robert

      Quand comprendrez vous qu’un schéma ne peut rendre compte de ce qui se passe dans les faits ce que tout scientifique compétent sait. Ce dessin est faux, c’est juste pour illustrer. Quand vous mettez un pull parce que vous avez froid, quel est son rôle ? De vous isoler et par conséquent de LIMITER LES DEPERDITIONS DE CHALEUR; le pull ne vous réchauffe pas puisque ce n’est pas une source d’énergie. C’est exactement le rôle de l’effet de serre, rien de plus.

      Vous n’y comprenez rien que voulez vous que je vous dise ?

  79. Robert dit :

    Robert #2

    Vous avez écrit:

    « …Les GES freinent le refroidissement de la terre RIEN D’AUTRE… »

    C’est ce que je vous chante depuis le début, les molécules de CO2 et d’eau qui se trouvent à leur niveau fondamental vont capter de l’énergie et ainsi ralentir la déperdition de chaleur vers les hautes atmosphères(*). Cependant, ça n’a rien à voir avec la théorie des adeptes du réchauffement qui prétendent que cette chaleur retourne vers le sol.

    Le graphique que je vous ai montré, il en existe des milliers. Ils ont toujours été publiés dans les rapports du GIEC et de leur semblables. Nous y retrouvons toujours cette histoire de la chaleur qui se trouve dans la haute atmosphère (basse température) et qui retourne vers le sol (15 oC).

    Ils ont même pondu une théorie selon laquelle, si la stratosphère refroidi plus qu’avant, c’est en raison du réchauffement de la troposphère qui formerait une couche chaude et ainsi empêcherait la chaleur de se rendre dans la stratosphère ce qui la ferait refroidir plus vite.

    Tout est cousu de fil blanc et non crédible…D’ailleurs, leur beau temps achève!

    (*) Cet effet est cependant minime car la teneur en CO2 est beaucoup trop faible pour justifier une telle captation de chaleur!

    Robert #1

  80. Robert dit :

    Monsieur Robert,

    Cessez de transférer sur les autres votre incompétence le fait que vous preniez un schéma au premier degré est la preuve que vous n’avez aucune connaissance de ce qu’est l’effet de serre.

    «  » » »Cependant, ça n’a rien à voir avec la théorie des adeptes du réchauffement qui prétendent que cette chaleur retourne vers le sol. » » » »

    Je vais vous faire inviter dans un congrès de spécialistes de l’atmosphère et vous irez leur sortir cette ânerie vous allez les faire mourir de rire.

    «  » » »Ils ont même pondu une théorie selon laquelle, si la stratosphère refroidi plus qu’avant, c’est en raison du réchauffement de la troposphère qui formerait une couche chaude et ainsi empêcherait la chaleur de se rendre dans la stratosphère ce qui la ferait refroidir plus vite. » » » »

    Vous n’avez rien compris du tout. Si la stratosphère se refroidit c’est parce qu’il y a plus de CO2 dans celle-ci et le CO2 stratosphérique à la propriété de refroidir cette dernière.

    Vous savez, d’un coté il y a les vrais spécialistes du climat de l’autre il y a les gens comme vous…

    Si les climatosceptiques veulent qu’on les prennent au sérieux il faudra relever le niveau parce qu’entre Bardinet et vous.. ça ne vole pas bien haut.

    • Paul S. dit :

      M. Robert Rigoriste s’esclaffe : “Je vais vous faire inviter dans un congrès de spécialistes de l’atmosphère et vous irez leur sortir cette ânerie vous allez les faire mourir de rire.”

      Invité, ou plutôt convoqué, il y a 600 ans, à une réunion de théologiens spécialistes dans la détermination du sexe des anges, j’aurais fait rire l’assemblée, avant d’être remis à l’Inquisition pour faire mesurer la profondeur de mon doute.

      Invité, ou plutôt convoqué, il y a 60 ans, à une réunion de planificateurs soviétiques spécialistes dans l’agronomie lyssenkiste, j’aurais fait rire les kamarades, avant d’être expédié au goulag pour faire rééduquer mon doute.

      La dame justicière, Corinne Lepage, fait-elle partie de congressistes invités par M. Robert Rigoriste ?

      Les initiés de la science officielle ont toujours eu un rire facile et des arguments puissants, mais en définitive, une durée de vie périssable.

  81. Robert dit :

    @Robert#2

    Le CO2 dans la stratosphère…Ouf!!…IL A LE DOS LARGE!

    « » » »Ils ont même pondu une théorie selon laquelle, si la stratosphère refroidi plus qu’avant, c’est en raison du réchauffement de la troposphère qui formerait une couche chaude et ainsi empêcherait la chaleur de se rendre dans la stratosphère ce qui la ferait refroidir plus vite. » » » »…C’EST EXACTEMENT LA THÉORIE DES ADEPTE DU RÉCHAUFFEMENT À TOUT CRIN!

    ESSAYEZ DE NE PAS VERSER DANS L’INSULTE svp?

    « Vous savez, d’un coté il y a les vrais spécialistes du climat de l’autre il y a les gens comme vous… »

    Et ça finit toujours par ce stupide argument…

    • Robert dit :

      Monsieur Robert,

      Dire que vous êtes incompétent et que vous ne comprenez rien à l’atmosphère et à son fonctionnement n’est pas une insulte, juste un constat basé sur les preuves que vous avez vous-même fourni. Quand on est capable de dire que le rayonnement infrarouge est chaud, on est vite catalogué.

      Je vais reprendre vos propres dires : «  » » »Ils ont même pondu une théorie selon laquelle, si la stratosphère refroidi plus qu’avant, c’est en raison du réchauffement de la troposphère qui formerait une couche chaude et ainsi empêcherait la chaleur de se rendre dans la stratosphère ce qui la ferait refroidir plus vite. » » » »

      Apparemment, vous ignorez qu’entre la troposphère et la stratosphère il y a la tropopause qui est la zone la plus froide de toute l’atmosphère et que dans la stratosphère le gradient thermique s’inverse. Si vous connaissiez les propriétés des gaz et notamment celles du CO2 vous comprendriez pourquoi le surplus de CO2 refroidit cette fameuse stratosphère

      Encore une fois il y a les spécialistes (les vrais) et les autres.

  82. Robert dit :

    Avant j’étais Charlie, maintenant je suis Robert!
    Il semble que ce soit devenu la mode sur ce blogue.

    « Vous savez, d’un coté il y a les vrais spécialistes du climat de l’autre il y a les gens comme vous… »
    Je pense qu’il y a plus que deux côtės å cette médaille. Il y a aussi les spécialistes auto proclamés du climat. Ce sont les plus fanatiques et et les plus dangereux.

    • Reynald Du Berger dit :

      Mon cher Gilles (alias Robert no.3) rappel d’un billet précédent

      QU’EST-CE QU’UN CLIMATOLOGUE ?

      • Robert dit :

        Reynald,

        J’ai lu votre billet et je suis désolé que vous soyez géophysicien ne vous autorise pas à juger du travail des « climatologues » vous n’en n’avez pas les compétences . Est ce que je demande à mon boucher quel fromage je dois choisir ? Les deux sont pourtant des commerçants alimentaires.

      • Reynald Du Berger dit :

        M Dumortier (Robert no.2) Vous me dites J’ai lu votre billet et je suis désolé que vous soyez géophysicien ne vous autorise pas à juger du travail des « climatologues »

        Vous êtes désolé que je sois un géophysicien… soit…

        « ne vous autorise pas à juger du travail des « climatologues » … qu’appelez-vous un « climatologue » ?

        « …du travail des « climatologues » … svp exemples de « climatologues » et le leur « travail » et ensuite comment ais-« jugé » de ce travail ?

        ais-je « jugé du travail » de quelqu’un ?

        avez-vous un exemple de ce que VOUS appelez « climatologue »… ensuite comparez MA définition de « climatologue » – un climatologue ça existe selon VOUS et pas selon moi…

      • Paul S. dit :

        Monsieur Robert Rigoriste,

        Vous-vous désolez (https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-41752) en parlant du professeur Du Berger : “… que vous soyez géophysicien ne vous autorise pas à juger du travail des « climatologues » vous n’en n’avez pas les compétences .”

        Et dire que le père Du Berger vous avait épargné son amalgame de 3ième sous-sol que vous auriez sûrement réfuté : https://duberger.me/2015/05/16/la-poule-aux-oeufs-climatiques/#comments

        En gestion d’affaires, chaque poste est défini par une description de tâches, adossée à des compétences requises. En avez-vous une pour les climatologues ?

        Par analogie sociologique on pourrait voir un climatologue au sommet de l’hiérarchie sacrée de la Science.
        N’est-il pas vrai que les meilleurs climatologues sont ceux qui prédisent les pires catastrophes comme le font les meilleurs chamans dans l’exercice de leur fonction tribale ?

        Dans les sociétés modernes les climatologues seraient les VALIDATEURS D’EXCÈS GOUVERNEMENTAUX (taxation et diminution de libertés et de l’autonomie personnelle) et les VALIDATEURS D’OCCASIONS D’AFFAIRES VERTES (inutiles ou contre-productives, mais très payantes comme dans chaque entreprise soumise à l’arbitraire gouvernemental).

        Une question existentielle : “Est ce que je demande à mon boucher quel fromage je dois choisir ?”
        Pourquoi pas ?
        En étant partie prenante des abattoirs, il se pourrait que le boucher en sache un bout sur la provenance et la qualité de la présure utilisée par les fromagers. Il pourrait vous
        avertir de pratiques nuisibles à votre santé.

  83. Robert-3 dit :

    J’avais justement compris de ce billet qu’un climatologue : quelqu’un qui maîtrise toutes les notions scientifiques nécessaires à la compréhension de l’évolution du climat, ça n’existe pas.

    Telle que pratiquée la climatologie n’est pas une science, mais « very likely » un culte.

    Je jubile déjà de lire Robert-2 sur les paticularités du CO2 stratosphérique.

    Et je jure de le croire sur parole.

    • Robert dit :

      Jubilez, en attendant moi, j’attends depuis des années de voir les climatosceptiques avancer un argument scientifiquement recevable. Comme ils ne le peuvent pas, les pauvres sont contraints à employer la dérision de 3ème sous-sol.

      • Reynald Du Berger dit :

        « Jubilez, en attendant moi, j’attends depuis des années de voir les climatosceptiques avancer un argument scientifiquement recevable. Comme ils ne le peuvent pas, les pauvres sont contraints à employer la dérision de 3ème sous-sol. »

        Je ne jubile pas… et je n’ai aucune preuve à fournir…ni aucun argument à vous fournir, même si j’en ai de solides… je n’affirme RIEN, je doute de ce que VOUS affirmez… vous affirmez le RCA… VOUS avez le fardeau de la preuve, car VOTRE affirmation, partagée par des climato-crédules et climato-soumis comme vous, aura coûté plus de 89 000 milliards $ en 2030 …. je VOUS mets donc en demeure de fournir UNE seule preuve de ce RCA … la balle est dans VOTRE camp , pas dans le mien… VOUS affirmez, MOI je doute… PROUVEZ VOTRE affirmation.

      • Robert dit :

        @Robert#2

        Reynald vous a parfaitement répondu. Nul n’a besoin d’apporter une contre preuve à une théorie qui n’existe pas.

        Juste un point concernant les rayons IR (Thermal). Vous devriez savoir que ce sont les seuls ondes électromagnétiques qui sont détectable par des détecteurs thermiques (Thermopile, Golay, thermistances…)….Donc, Cibol, ils sont chaud.

        Ref: Instrumental Methods of Analysis, Willard,Merrit,Dean,Settle, 6 th ed. Page 190-210.

        Signé: Robert#1

  84. Robert-3 dit :

    Robert-2,

    Quelle mouche vous a piqué?

    Il semble que je n’aurai pas droit à vos lumières concernant le CO2 stratosphérique.

    Dommage !

    Ces connaissances sont-ellles exclusivement réservées aux climatologues?

    Si c’est le cas je veux être exempté de vos taxes carboniques.

    Mon CO2 à moi il ne cause pas de réchauffement.

    Alors si le vôtre en cause, assumez-en les conséquences, et épargnez nous vos doléances.

  85. Robert dit :

    Reynald @

    Les preuves de notre responsabilité dans ce réchauffement sont clairement indiquées dans les rapports du GIEC et dans la littérature scientifique servant de base aux rapports. Vous avez bien entendu le droit de contester mais dans ce cas C’EST A VOUS de présenter des arguments scientifiquement valables.

    • Reynald Du Berger dit :

      « Les preuves de notre responsabilité dans ce réchauffement sont clairement indiquées dans les rapports du GIEC  » clairement indiquées… OK… « les » rapports… lesquels? svp me dire lesquels et me produire les pages ou ces PREUVES sont « indiquées »…rappel: c’est à VOUS.. à produire des preuves car VOUS AFFIRMEZ le RCA, moi, je n affirme RIEN… je ne conteste RIEN je VOUS pose les questions et VOUS mets en demeure de répondre car VOUS affirmez le RCA… nous attendons … VOTRE réponse claire et non équivoque.

    • Robert dit :

      @Robert #2:

      Les rapports du GIEC n’apportent absolument aucune preuve. Si j’en avais le temps, je vous ferais une liste de toutes les faussetés que l’on peut lire dans ces rapports. Mais j’en ai amplement parlé dans mes autres postes.

      En passant: Je ne vous connais pas, vous ne me connaissez pas mais…Vous ne m’impressionnez guère. Vous devriez apprendre à mieux gérer vos réponses.

      Robert #1

  86. Robert dit :

    Monsieur Robert

    «  » » »Juste un point concernant les rayons IR (Thermal). Vous devriez savoir que ce sont les seuls ondes électromagnétiques qui sont détectable par des détecteurs thermiques (Thermopile, Golay, thermistances…)….Donc, Cibol, ils sont chaud. » » » »

    Et vous insistez en plus. Je vous rappelle que le rayonnement électromagnétique n’est pas quelque soit sa longueur d’onde (y compris le fond diffus cosmologique) il n’a donc pas de température et ne peut en aucun cas être chaud, froid ou tiède.

    Vous vous prétendez un spécialiste de la spectroscopie et vous ignorez ce fait ? On détecte la température par l’application de la loi du déplacement de Wien

    Un peu de lecture

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Thermom%C3%A8tre_infrarouge

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_du_d%C3%A9placement_de_Wien

    • Robert dit :

      erratum

      lire : Je vous rappelle que le rayonnement électromagnétique n’est pas quelque soit sa longueur d’onde (y compris le fond diffus cosmologique) de la matière, il n’a donc pas de température et ne peut en aucun cas être chaud, froid ou tiède.

  87. Paul S. dit :

    Monsieur Du Berger,

    Vous avez raison de vous désoler devant l’ampleur des dégâts potentiellement causés par l’hystérie climato-alarmiste.

    Le chiffre de 89,000,000,000,000 US$ est tellement hors normes qu’il faut le ramener à des valeurs un peu plus palpables :
    – Avec ce montant, la province de Québec pourrait couvrir TOUTES ses dépenses de fonctionnement d’état pendant 1,085 ans (ou jusqu’à l’an 3100);
    – Le gouvernement du Canada paierait TOUTES ses dépenses pendant 279 ans;
    – Les dépenses annuelles nettes de la France seraient réglées pendant 219 ans.

    Malheureusement, les conséquences sont prévisibles. Connaissant bien les régimes marxistes totalitaires, je crains le pire.
    La COP21 : Un marché de dupes dont le résultat serait un Nouvel Ordre Mondial.

    Pendant que l’Occident devra se saigner à blanc pour réduire ses émission de CO2, la Chine S’ÉTAIT ENGAGÉE À FAIRE CROÎTRE LES SIENNES, jusqu’à un sommet atteint en 2030.
    Après ce sommet, si sommet il y a, y aurait-il une descente ou un plateau ?
    Bien futés les ingénieurs et les titulaires de diplômes en sciences qui dirigent la Chine communiste.

    Tout un engagement : moi je continue sur ma lancée en modérant un peu, mais toi tu te ruines.
    D’où l’insistance chinoise sur le maintien du cap des autres à la COP22.

    Voici quelques unes des cibles pour 2030 de réduction d’émission des GES proclamées à la COP21 :
    Union Européenne (moyenne) : 40% sous les niveaux de 1990;
    Allemagne : 55% sous les niveaux de 1990;
    France : 40% sous les niveaux de 1990;
    Royaume Uni : 40% sous les niveaux de 1990;
    Finlande : 40% sous les niveaux de 1990;
    Suède : 40% sous les niveaux de 1990;
    Pays Bas : 40% sous les niveaux de 1990;
    Norvège : 40% sous les niveaux de 1990;
    Suisse : 50% sous les niveaux de 1990;
    Japon : 18% sous les niveaux de 1990;
    USA (moyenne) : 14% à 16% sous les niveaux de 1990;
    Vermont : 50% sous les niveaux de 1990;
    Californie : 40% sous les niveaux de 1990;
    Illinois : 31% sous les niveaux de 1990;
    Canada (moyenne) : 14% sous les niveaux de 1990;
    Québec : 37.5% sous les niveaux de 1990;
    Ontario : 37% sous les niveaux de 1990;
    Nouvelle Zélande : 11% sous les niveaux de 1990;
    Australie : 7% à 9% sous les niveaux de 1990;
    CHINE : 440% d’AUGMENTATION AU DESSUS DES NIVEAUX DE 1990.

    Pendant que les autres auraient réduit leurs émissions, la Chine produira 5.4 fois plus de CO2 en 2030 qu’en 1990.

    Déjà la Chine achète les actifs (biens immobiliers, terres agricoles, usines, technologies (dont AREVA), mines, ports, aéroports, etc.., etc..) un peu partout dans le monde.
    Après 2030, elle pourra s’offrir des pays exsangues entiers.

    Dans son dernier discours M. Obama était très fier de son “deal” climatique avec la Chine. Espérons que M. Trump sait mieux compter.

    Les journalistes qui réclament l’adhésion stricte aux engagement pris à la COP21, nous prennent-ils pour des débiles profonds ou eux-même n’ont pas regardé les détails de l’entente ?

    J’en profite pour vous souhaiter, ainsi qu’à vos visiteurs, une Bonne Année 2017.

    Paul S.

    • Reynald Du Berger dit :

      Cher Paul S. j’ai mis en demeure le réchauffiste Robert Dumortier de PROUVER son affirmation du RCA… son affirmation coûtera 89 000 milliards$, il DOIT donc fournir une PREUVE. Bonne année à vous aussi et à tous ceux qui fréquentent ce blog.

    • Robert dit :

      Paul S.

      Coté Chine: Un petit ajout. La Chine a décidé de ne pas déclarer le CO2 gaz polluant.
      USA: L’EPA avait déclaré le CO2 gaz polluant. Le nouveau président va congédier la direction actuelle de l’EPA.
      USA: Trump va réouvrir des mines de charbon et va probablement aller beaucoup plus loin. Comme sortir de cette entente signée à la COP21!

      Signé: Robert#1

      • Paul S. dit :

        M. Robert#1 (ou Robert Original) précise, avec justesse : “Coté Chine: Un petit ajout. La Chine a décidé de ne pas déclarer le CO2 gaz polluant.”

        En effet, pendant que l’Occident taxe le carbone, donc l’activité industrielle productive, la Chine taxe la véritable pollution, donc l’activité industrielle désuète :
        http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/487889/la-chine-taxe-la-pollution-mais-pas-le-co2

        À la faveur de la COP21, qui lui permet quand-même D’AUGMENTER C O N S I D É R A B L E M E N T SES ÉMISSIONS DES GES, ce qu’elle fera, la Chine réglera ses problèmes de pollution nocive, laquelle empoisonne sa population. Comme l’Occident industrialisé l’avait fait au siècle dernier.

        COP21 = UN MARCHÉ DE DUPES car : pour la Chine – seulement un passage obligé par la réelle dépollution, pour l’Occident – un suicide économique par la déconstruction industrielle.

  88. Robert dit :

    À tous:

    Je reviens avec la température des radiations. Imaginez les spectromètres suivants:

    1) Appareil à Rayons-x. Vous allez à l’hôpital et on vous fait une radio. Vous ne sentez aucun réchauffement. Gamme des R-X 0.01 – 10 nm

    2) UV: Dans un spectromètre, placez votre main devant un faisceau ultra-violet (300 – 400 nm). Vous ne sentirez aucun réchauffement. Votre peau va cependant brunir.

    3) Visible: Placez votre main devant le faisceau d’un spectromètre et balayez le domaine visible (400 – 750 nm). Vous ne sentirez aucune chaleur.

    4) Infra-Rouge: Placez votre main devant le faisceau d’un spectromètre IR (à longueur d’onde). Balayez 2,5 microns – 25 microns (4000 – 400 cm-1). Rendu vers la longueur d’onde de 4 microns, vous sentirez de la chaleur sur le dos de votre main. Normal, les rayons IR sont chauds.

    5) Vous pourriez continuer avec des micro-ondes et des ondes radio. Aucune chaleur ressentie sur votre peau. Les micro-ondes ne sont pas chauds par eux-mêmes. C’est l’eau dans les aliments qui est excitée et qui produit de la chaleur.

    J’ai enseigné la spectroscopie pendant 25 ans. L’expérience du dos de la main devant un faisceau IR, je la faisait à mes étudiants à chaque début de session.

    Signé: Robert#1

    • Robert dit :

      Monsieur Robert

      «  » » » vous sentirez de la chaleur sur le dos de votre main. Normal, les rayons IR sont chauds. » » » »

      NON, la chaleur que vous ressentez c’est à cause de l’augmentation de l’agitation moléculaire de vos cellules. Vous ignorez les bases de la physique quantique.

      «  » » »2) UV: Dans un spectromètre, placez votre main devant un faisceau ultra-violet (300 – 400 nm). Vous ne sentirez aucun réchauffement. Votre peau va cependant brunir. » » » »

      Et brûler si vous la laissez trop longtemps.

      «  » » »J’ai enseigné la spectroscopie pendant 25 ans. L’expérience du dos de la main devant un faisceau IR, je la faisait à mes étudiants à chaque début de session. » » » »

      Si c’est vrai ce dont je doute, je plains vos étudiants.

      Encore une fois le rayonnement électromagnétique quelle que soit sa longueur d’onde n’est pas de la matière (vitesse de déplacement => célérité, ce que la matière ne pourra jamais atteindre) et on ne mesure pas la température d’un photon car il n’en n’a pas, il a juste un niveau d’énergie (mesurée par la longueur d’onde.

      C’est du niveau lycée terminale scientifique.

      • Reynald Du Berger dit :

        « Si c’est vrai ce dont je doute, je plains vos étudiants. »…

        Vous racontez n’importe quoi… ce professeur a enseigné à mes élèves à l’université et il est un des meilleurs qu’ils aient eus.

      • Robert dit :

        @Robert #2:

        Incroyable: Vous n’avez rien compris de mon message à 4:55. Mettez vous le thorax devant un la fenêtre d’un tube à Rayons-x (50 KV-50 mA) pendant 2 minutes. Vous ne sentirez aucune chaleur…Mais « Bonne chance quand même »!

        Robert #1

  89. Robert dit :

    Je comprend que je me répète mais, dans un spectromètre Infra-Rouge, les types de détecteurs sont des thermopiles (assemblage de thermocouples) et des thermistances. Or, nous savons que ces composantes ont la propriété de détecter la chaleur. N’essayez pas d’utiliser une cellule photoélectrique pour mesurer des intensités IR….ça ne fonctionne pas mais ça fonctionnera en spectrométrie UV-Visible.

    Me semble que c’est clair;

    Signé: Robert #1

      • Robert dit :

        Un autre article plus compréhensible :

        Cliquer pour accéder à PHR101-IRTF-15-12-08.pdf

        J’aime particulièrement cette phrase :

        «  » » »Lorsque une molécule absorbe de l’énergie sous la forme
        d’un rayonnement IR, l’amplitude des vibrations des liaisons
        moléculaires augmente, le retour à l’état normal libère de la chaleur. » » » »

    • Guillaume dit :

      M. Robert #1,

      « Je comprend que je me répète mais, dans un spectromètre Infra-Rouge, les types de détecteurs sont des thermopiles (assemblage de thermocouples) et des thermistances. Or, nous savons que ces composantes ont la propriété de détecter la chaleur. N’essayez pas d’utiliser une cellule photoélectrique pour mesurer des intensités IR….ça ne fonctionne pas mais ça fonctionnera en spectrométrie UV-Visible. »

      Désolé mais il vous manque quelques connaissances en détection infrarouge, ce qui est un peu surprenant, considérant votre grande expérience en spectroscopie.

      Premièrement, un très grand nombre de spectromètres FTIR fonctionnent avec des photodétecteurs (photovoltaïque ou photoconducteur) qui utilisent des matériaux tels que le InSb, HgCdTe, InAs, InGaAs, et ce pour des longueurs d’onde allant jusqu’à 25 microns (ex : HgCdTe). Voir liens ci-dessous. Ce type de détecteur ne fonctionne pas seulement pour le UV-Visible.

      Ensuite, au sujet des thermodétecteurs, vous confondez la cause et l’effet. Ces détecteurs ne sont pas directement sensibles à la « chaleur » des ondes électromagnétiques qui l’atteignent. C’est un effet indirect : en frappant le matériau sensible, le photon perd son énergie et fait augmenter la température de ce matériau, et c’est en mesurant un changement de propriété de ce matériau en fonction de sa température qu’on mesure la puissance du faisceau.

      Par exemple, dans un bolomètre, la résistance électrique du matériau absorbant (ex : métal) change en fonction de la température, lorsque le matériau absorbe des photons, et c’est en mesurant cette variation de résistance que l’on détermine l’intensité du faisceau infrarouge. Donc ce n’est pas la « chaleur » de l’onde électromagnétique qui est mesurée (car l’onde n’est pas chaude ou froide…), mais plutôt celle du matériau absorbant.

      Maintenant, pouvez-vous admettre pour au moins une fois que vous avez tort ? Ça ferait ma journée.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9tecteur_infrarouge
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Bolom%C3%A8tre

      Guillaume

      • Robert dit :

        Guillaume;

        Je vous donnais simplement un exemple…Mon intention n’était pas de nommer et décrire tous les détecteurs IR!

        « Par exemple, dans un bolomètre, la résistance électrique du matériau absorbant (ex : métal) change en fonction de la température »

        C’est en plein ce que je vous dit depuis le début. Petite correction: la chaleur modifie la mobilités des électrons d’une façon différente dans les deux métaux (Cuivre-Constantin par ex), ce qui génère une ddp…Mais c’est toujours la chaleur provenant des radiations qui fait la job (*).

        (*) Méfiez vous de Wikipédia. Beaucoup d’extrémistes du climat y participent!

        Robert #1

      • Guillaume dit :

        @ Robert 14 janvier 2017 à 11:10

        « Je vous donnais simplement un exemple…Mon intention n’était pas de nommer et décrire tous les détecteurs IR! »

        D’accord, mais vous avez affirmé que les cellules photoélectrique (ou photodétecteur) ne fonctionnent pas dans l’infrarouge, ce qui faux. J’attends toujours une rétractation de votre part à ce sujet.

        Moi :« Par exemple, dans un bolomètre, la résistance électrique du matériau absorbant (ex : métal) change en fonction de la température ») Vous : « C’est en plein ce que je vous dit depuis le début. […] Mais c’est toujours la chaleur provenant des radiations qui fait la job (*). »
        Enfin, vous avez dit quelque chose de vrai : la chaleur peut se transmettre par radiation (ou rayonnement), c.-à-d. par ondes électromagnétiques. Cependant, ça ne correspond pas tout à fait à ce que vous dites depuis le début et à ce que vous continuez d’affirmer. Vous dites que les ondes elles-mêmes (ou photons) sont « chaudes » ou « froides », ce qui impliquerait qu’on peut mesurer directement leur température. Encore une fois, c’est faux et ça le restera toujours.

        Ça peut sembler subtil et sans intérêt tout ce débat sur la chaleur/température/énergie des rayons infrarouges, mais je crois que ça affecte grandement votre compréhension du transfert thermique par rayonnement et, par extension, votre compréhension de l’effet de serre, ou forçage radiatif, en plus de vous faire penser que le 2e principe de la thermodynamique est violé par ceux que vous appelez les extrémistes du climat (ce qui n’est pas le cas).

        En terminant, même s’il est vrai qu’il ne faut pas toujours se fier à Wikipedia, dans ce cas spécifique je cherchais et j’y ai trouvé une référence simple, pertinente et précise. Avez-vous trouvé des faussetés dans mes références? Sinon, votre commentaire est inutile.

        Guillaume

  90. Robert dit :

    Reynald,

    Si vous le dites.. néanmoins monsieur Robert confond thermométrie à infrarouge avec spectroscopie infrarouge.

  91. Robert dit :

    Merci Reynald;

    @Robert #2

    Vous avez écrit:
    « « » » »Lorsque une molécule absorbe de l’énergie sous la forme
    d’un rayonnement IR, l’amplitude des vibrations des liaisons
    moléculaires augmente, le retour à l’état normal libère de la chaleur. » » » » »

    C’est ce que je vous chante depuis le début…mon cher!

    Je n’ai pas vu souvent un entêtement semblable au votre!

    Signé: Robert#1

    • Robert dit :

      Monsieur Robert,

      «  » » »C’est ce que je vous chante depuis le début…mon cher! » » » » »

      Désolé mais je sais lire, vous prétendez que le rayonnement infrarouge est chaud, or cette phrase parle de matière je vous rappelle que le rayonnement infrarouge (composé de photons de masse nulle au repos) n’en est pas.

      Essayez au moins d’être intellectuellement honnête.

  92. Robert-3 dit :

    Monsieur Robert-2,

    En ce qui me concerne, à ce stade de la discussion, vous m’avez convaincu: on ne mesure pas la température d’un photon car il n’en n’a pas, il a juste un niveau d’énergie (mesurée par la longueur d’onde).

    Pouvez-vous maintenant, m’éclairer sur les effets (de serre) du CO2 dans l’atmosphère. La question est large je sais. Mais le reste de nous, en l’occurence moi, aimerait bien vous lire.

    • Robert dit :

      Il ne faut pas perdre de vue le dualisme onde-particule. l’onde transporte l’énergie et lorsque cette onde frappe elle devient alors particule. L’effet photoélectrique en est un bel exemple.

      • Robert dit :

        Robert X

        Ne mettez pas les pieds dans un domaine dont vous ignorez tout, la phrase que vous avez écrit en est la breuve.

      • Robert-3 dit :

        Et cette particule, quelle en est la température ou qu’est-ce qui endétermine la température?

      • Paul S. dit :

        Combien de Roberts y-a-t-il sur la piste de danse ?

        En titubant, un Robert s’exclame : “… la phrase que vous avez écrit en est la breuve.”
        S’abreuvent-ils tous au même bar et à la même cadence ?

  93. Robert dit :

    @ Robert #2:

    Dans votre document de 7:05, allez voir à la page 39 titrée « Spectromètre à
    Balayage «double faisceau»(*)

    En haut à gauche, vous allez lire le mot « Thermocouple »…C’est le détecteur. Un détecteur nommée « Thermocouple » DÉTECTE DE LA CHALEUR…Monsieur Dumortier. C’est la même chaleur qui provient de la terre, sous forme de radiation IR (Dont vous prétendez que les radiations ne sont pas chaudes) et qui « INEXORABLEMENT » se dirige vers les zones froides. Elles NE RETOURNERONT JAMAIS vers les zones plus chaudes (la terre).

    Cliquer pour accéder à PHR101-IRTF-15-12-08.pdf

    (*) Noter qu’il y a deux réseaux dos à dos. Un des deux est probablement utilisé pour la gamme 600 – 200 cm-1 (16,6 – 50 microns).

    J’aime la façon que l’auteur a prise en introduisant l’interféromètre de Michelson et ensuite arrive au spectromètre à transformé de Fourier.

    Signé: Robert #1

    • Robert dit :

      Monsieur Robert,

      Bravo pour l’honnêteté intellectuelle. mais bon, avec les climatosceptiques on sait à quoi s’attendre. Vous êtes un as du strawman.

      Je reprends la question posée par Robert 3 : «  » » »Comment mesure t’on la température d’un photon sachant que ce dernier n’est pas de la matière et vous m’expliquerez la différence entre un photon infrarouge chaud et un photon de rayon X froid.

      Vous me donnerez aussi la définition de la chaleur.

      «  » » »C’est la même chaleur qui provient de la terre, sous forme de radiation IR (Dont vous prétendez que les radiations ne sont pas chaudes) et qui « INEXORABLEMENT » se dirige vers les zones froides. Elles NE RETOURNERONT JAMAIS vers les zones plus chaudes (la terre). » » » »

      Apprenez ce qu’est un corps noir et les lois d’absorption et d’émission de ce dit corps et apprenez qu’un corps peut recevoir un rayonnement provenant d’un corps plus froid, c’est le flux net qui ne peut faire ça.

      Vous avez peut-être enseigné la spectroscopie mais vous n’avez jamais fait de physique et encore moins de thermo.

      • Robert dit :

        Vous avez écrit:

        « Vous avez peut-être enseigné la spectroscopie mais vous n’avez jamais fait de physique et encore moins de thermo. »

        J’ai enseigné encore plus la thermodynamique (niveau collégial et universitaire). Je vous le redemande…Vous, qu’avez vous comme back ground?. Facile de chier sur la tête d’un individu sans le connaitre!

        « Apprenez ce qu’est un corps noir et les lois d’absorption et d’émission de ce dit corps et apprenez qu’un corps peut recevoir un rayonnement provenant d’un corps plus froid, c’est le flux net qui ne peut faire ça. »…Totalement faux!

        Nous parlons ici de transfert de chaleur…Vous ne semblez pas comprendre cela!
        En passant, vous ne parlez jamais de convection??

  94. Robert dit :

    @Robert#2

    Je vais continuer d’être poli envers vous…Mais, vous parlez encore au travers de votre chapeau.

    J’ai au delà de 45 ans d’enseignement et de consultation dans le domaine de la spectroscopie. Vous, qui êtes vous?

  95. Guillaume dit :

    M. Robert #1

    Encore un point au sujet de votre incompréhension des ondes électromagnétiques (suite de mon commentaire 13 janvier 2017 à 9:58).

    Vous affirmez que les rayons infrarouges, plus particulièrement les Thermal Infrared (TIR), sont « chauds » car justement on les nomme « thermal ». Ce n’est pas parce qu’ils sont « chauds » qu’on les appelle « thermal » ou « thermique ». C’est plutôt parce qu’ils sont émis par un corps lorsqu’il perd de la chaleur (et que sa température diminue). Cette perte de chaleur est convertie en énergie électromagnétique, transportée par les photons. Mais ces photons (ou ces ondes) ne sont ni « chauds » ni « froid », ils transportent plutôt une certaine quantité d’énergie électromagnétique qui varie selon la longueur d’onde, de façon inversement proportionnelle. Ainsi, les photons UV-visible sont en fait plus énergétiques que les photons infra-rouges.

    Guillaume

  96. Robert dit :

    Monsieur Robert,

    Merci de rester poli. Je ne chie sur personne, je ne fais que souligner votre ignorance. Je vous ai posé deux questions j’attends les réponses).

    Un photon a un niveau d’énergie mesurée en électron volt, comme ce n’est pas de la matière (composée d’atomes) il est tout simplement impossible qu’il soit chaud ou froid. Ce n’est pas parce qu’on appelle cette fraction du rayonnement « infrarouge thermique » que ce rayonnement est effectivement chaud, c’est juste une image. Comme celle de l’effet de serre qui renvoie le rayonnement vers la terre.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Relation_de_Planck-Einstein

    Puis que vous prétendez avoir enseigné vous devez avoir vos petites entrés à l’université, je vous suggère de poser la question à un professeur de physique quantique, il vous dira exactement ce que je vous dis.

    Qui je suis ou ce que j’ai fait ne vous regarde pas, seul ce que je dis importe. Mais vous pouvez me croire sur parole. Je n’en dirai pas autant des climatosceptiques.

  97. Robert dit :

    Monsieur Robert,

    J’oubliais,

    Publiez vite votre théorie du rayonnement infrarouge chaud alors que le reste est froid, vous allez révolutionner la physique quantique et vous êtes bon pour le Nobel de physique

    • Robert dit :

      @Robert dit :
      14 janvier 2017 à 8:18

      « Publiez vite votre théorie du rayonnement infrarouge chaud alors que le reste est froid, vous allez révolutionner la physique quantique et vous êtes bon pour le Nobel de physique »

      Allez faire un tour dans un labo où se trouve un appareil IR (Longueur d’onde…Il doit bien y en avoir en France). Positionnez le réseau à 5 – 60 microns et crissez – y votre main dans le faisceau. Vous verrez bien!

      Robert #1

      (*) Vous pouvez toujours continuer à vous amuser avec vos histoires de chaleur qui vont de -56 à +15 oC.

  98. Robert dit :

    Guillaume;

    Vous mélangez « Énergie » avec « Chaleur ». Lorsque les TIR frappent un thermocouple, est-ce que le corps perd de la chaleur? Absolument pas. Le thermocouple réchauffe. Envoyez un faisceau de rayons gamma, Rayons-x, UV, Visible, ondes radio et le thermocouple ne détectera aucune chaleur. Envoyez un faisceau IR dans la gamme (5 microns – 60 microns) et celui-ci génèrera de la chaleur, détectable par le voltage généré par le thermocouple.
    En passant, il existe trois modes de transfert de chaleur:

    1) Mode CONVECTION: Lorsque la terre réémet de la chaleur (5 – 50 u aussi par agitation thermique des molécules de N2, O2 etc…) l’air ambiant devient moins dense. Comme l’air en altitude est plus froide (donc plus dense), l’air chaud va donc monter. La raison est toujours la même. Cette convection se poursuit tant et aussi longtemps que 1) Il y a une différence de densité entre l’air froid et l’air chaud 2) Il subsiste des molécules d’air (N2, O2, H2O, CO2…) pour maintenir la convection.

    2) CONDUCTION. Lorsqu’une molécule possédant beaucoup d’énergie en frappe une autre avec moins d’énergie (généralement plus lente), elle lui communique une partie de son énergie de proche en proche. Nous retrouvons ce mode de transport de chaleur principalement dans les liquides et les solides. Moins apparent chez les gaz.

    3) RADIATION: C’est la fameuse histoire des rayons IR (TIR) qui sont captés par des molécules dont les niveaux de vibration sont à leur niveau fondamental.

    C’est le mode CONVECTION qui prédomine largement!

    Première loi de la thermodynamique: DeltaU = Q – W

    N.B: Le mode convection peut être tellement fort que l’ascension de l’air chaud et humide monte rapidement en se dilatant, effectuant ainsi un travail positif contre l’environnement. La chaleur n’a pas le temps de compenser ce travail (Q=0) et l’énergie interne baisse (DeltaU = -W) (et la température baisse aussi). Ça devient tellement froid que l’eau se condense sous forme de cristaux de glace formant ainsi des Cumulus. C’est une détente adiabatique.

    W=Travail (+ si détente et – si compression)

    DeltaU= Changement d’énergie interne, fonction de la température. Si DeltaU est négatif, il y aura refroidissement. C’est ce qui arrive dans l’exemple que je vous ai soumis.

    Le mécanisme principal, c’est la CONVECTION!

    Toute cette histoire de rayons IR qui reviennent vers la terre…C’est de la bouillie pour les chat: Ceux que cela intéresse pourraient essayer de comprendre l’équation de Hoyt-Hottel dans « Perry Chemical Engeneering Handbook »

    https://www.accessengineeringlibrary.com/browse/perrys-chemical-engineers-handbook-eighth-edition

    Signé: Robert#1

    • Robert dit :

      Monsieur Robert,

      «  » » »Vous mélangez « Énergie » avec « Chaleur ». «  » » »

      Guillaume ne confond rien, c’est vous qui le faites. J’attends toujours que vous me donniez la définition de ce qu’est la chaleur.

      «  » » »C’est le mode CONVECTION qui prédomine largement! » » » »

      Dans la troposphère oui mais pas au niveau de la tropopause. Et je vous ai déjà dit que cette histoire de rayonnement renvoyé vers la surface n’était qu’une image. Apprenez que le phénomène radiatif se trouve également à l’intérieur d’une cellule de convection tout comme la conduction.
      Il serait temps que vous teniez compte de ce qu’on vous dit et que vous admettiez votre ignorance abyssale dans ce domaine.

      Il est vrai qu’un climatosceptique n’admettra jamais avoir tort son seul but étant de désinformer et de dénigrer le travail des vrais spécialistes de la question..

  99. Robert dit :

    Robert 3

    Pour vous expliquer l’effet du CO2 dans l’atmosphère je vais utiliser un analogie que j’emploie souvent (étudiants et autres).

    Vous prenez une autoroute à péage = atmosphère , un flot de véhicule constant = rayonnement électromagnétique émis par la terre. des cabines de péages = CO2

    Dans cet exemple le flot de véhicules est à l’équilibre c’est à dire qu’il y a autant de voitures qui arrivent au péage que de voitures qui quittent le péage. Ca c’est quand toutes les cabines de péage fonctionnent . Maintenant fermez quelques cabines, que se passe t’il ? le flux sortant du péage est diminué alors que le flux arrivant reste constant conséquence vous avez une augmentation du nombre de voiture avant le péage et vous finissez par obtenir un bouchon. Ce bouchon c’est le réchauffement.

    Le CO2 a la propriété de RALENTIR l’émission du rayonnement émis par la terre, plus vous en ajoutez plus vous ralentissez. c’est ça l’effet de serre.

    S’il y a une chose qu’on oublie trop souvent quand on parle d’effet de serre, c’est de prendre en compte le facteur temps. Un photon émis par la surface terrestre et dont la longueur d’onde correspond à la fenêtre d’émission de l’atmosphère rejoindra l’espace plus vite que le photon qui (je simplifie au maximum) va devoir faire autant de stations qu’il y a de molécules de CO2 qui le capteront et le réémettront

    • Paul S. dit :

      Cher Robert Rigoriste,

      Pourquoi ne pas informer vos étudiants que les préposés aux guérites du péage thermo-radiatif ne sont pas seulement affiliés à la Centrale CO2, mais aussi aux centrales CH4, N2O, O3, HCFC-22, CFC, CF4, SF6, mais surtout que les DEUX TIERS relèvent du puissant Syndicat H2O ?

      Si tous les nouveaux membres de votre Syndicat CO2 (ajoutés depuis 150 ans par l’activité industrielle) ne se présentaient pas au travail, on s’en apercevrait à peine, mais si les 10 % de membres du Syndicat H2O attrapaient la grippe en même temps ce serait autre chose.

      NOTE :
      Votre analogie va à contre sens de votre argument : vous fermez les postes de péage (donc vous enlevez du CO2) et vous amplifiez l’effet de serre.
      Donnez-vous enfin raison à Robert Original (Roberto Uno) qui dit précisément cela ?

      • Paul S. dit :

        M. Robert Rigoriste,

        Les deux tiers mentionnés, le sont dans le souci de ne pas exagérer. Il y a des sources établissant à TROIS QUARTS de l’effet de serre global, la portion causée par les molécules d’H2O (certains auteurs peuvent aller jusqu’à 95 %).

        Quant à l’importance relative de l’eau par rapport au CO2 anthropique, les auteurs J. Bu et D. Robert de l’article publié par l’Université Joseph Fourier de Grenoble, que vous avez eu l’amabilité de nous signaler, écrivent : “Quant au CO2, il a une contribution naturelle et anthropique de l’ordre de 25 %. Sur la figure 12, on voit que la part du CO2 anthropique est de 100 ppm, soit un forçage radiatif de 1,66 W/m², ce qui est faible devant le forçage de la vapeur d’eau qui est de 75 .”.

        On parle plus loin, sans préciser les chiffres, d’une rétroaction positive du CO2 anthropique (forçage radiatif) sur la vapeur d’eau.

        En même temps les auteurs n’ont pas inclus dans les 75 W/m², un autre 30 W/m² dû à la couverture nuageuse : “On estime que 30 W.m-2 sont dû aux nuages, et que les 125 W.m-2 restants sont dû aux GES, dont 75 W.m-2 à la vapeur d’eau, 32,5 W.m-2 au CO2, 10 W.m-2 à O3 et 7,5 W.m-2 à CH4 et N2O.”.

        Donc, les 10 % de la contribution d’H2O à l’effet de serre global (les molécules malades et absentes du service à vos guérites du péage thermo-radiatif), soit 10.5 W/m², dépassent largement la contribution du CO2 anthropique, même si l’on majorait la valeur publiée de 1,66 W/m².

    • Robert-3 dit :

      Robert-2,

      Peut-être parce que trop simpliste ou simplifié, cet exemple me semble boiteux.
      À quoi correspond le fermeture de quelques cabines?
      La diminution de CO2?
      Pourquoi ne pas dire les choses comme vous les avez apprises ou comprises?
      Je ne suis pas un enfant.
      Je peux même m’acheter des cigarettes dans un dépanneur, bientôt des joints…

      • Robert dit :

        A l’augmentation du taux de CO2 et cet exemple n’est pas boiteux, bien au contraire.

  100. Robert dit :

    Guillaume;

    C’est évident qu’un corps qui dégage de la chaleur sous forme d’onde électro-magnétique perd de l’énergie. Envoyez un faisceau d’électrons sur une cible métallique (sous vide) et les électrons soumis à un fort potentiel (disons 50 KV) en entrant dans le métal, vont subir une forte décélération dans le métal solide. 99% de cette énergie de décélération (Bremstralung(*)) s’en va sous forme de chaleur tellement intense qu’elle peut faire fondre le métal. Seulement 1% est émis sous forme de rayons-x.
    Je viens de vous décrire le fonctionnement d’un tube à rayons-x.

    (*) Mot Allemand qui veut dire: Énergie de décélération.

    Robert#1

    • Robert dit :

      Monsieur Robert

      «  » » ». Envoyez un faisceau d’électrons sur une cible métallique (sous vide) et les électrons soumis à un fort potentiel (disons 50 KV) en entrant dans le métal, vont subir une forte décélération dans le métal solide » » » »

      Encore un beau collector, que viennent faire les électrons dans cette histoire ?

      Merci pour ce bon moment de rigolade.

  101. Robert dit :

    @Robert dit :
    14 janvier 2017 à 10:08

    vous venez de me donner la preuve de votre totale ignorance. Vous pouvez toujours rigoler de votre insignifiance…

    Vous n’avez rien compris. Je vous donne simplement un autre exemple où de la chaleur est dégagée mais à partir de particules…communément appelée électrons (*)

    (*) Me semble que c’est bien ce nom que l’on donne en France?

    • Robert dit :

      Monsieur Robert,

      Mais on s’en fout c’est hors-sujet, Vous vous acharnez à défendre une position indéfendable.

      Un photon c’est un photon il a un niveau d’énergie (relativement faible) mais il ne peut en aucun cas avoir de température PUISQUE CE N’EST PAS DE LA MATIERE.

      En insistant comme vous le faites vous vous rapprochez plus du quidam bête et borné que du scientifique intelligent.

      En agissant comme vous le faites vous me faites penser à ceux qui jurent avoir vu des extraterrestres.

  102. Robert dit :

    robert #2;

    « Le CO2 a la propriété de RALENTIR l’émission du rayonnement émis par la terre, plus vous en ajoutez plus vous ralentissez. c’est ça l’effet de serre. »

    Cibol.
    Cela fait 5 heures que je vous le chante sur tous les tons. Les rayons viennent de la terre …pas de l’atmosphère…Vous venez de le dire!

    Signé: Robert#1

    • Robert dit :

      Monsieur Robert,

      Non vous prenez un croquis au pied de la lettre alors que je vous ai dit 100 fois que ce n’était pas la réalité. Ce que je vous reproche c’est de faire dire aux scientifiques ce qu’ils ne disent pas et ça c’est malhonnête.

      • Robert-3 dit :

        Roberto Deuxio,

        Vous avez écrit à Uno : « Mais on s’en fout c’est hors-sujet, Vous vous acharnez à défendre une position indéfendable. » et « En insistant comme vous le faites vous vous rapprochez plus du quidam bête et borné que du scientifique intelligent. »

        Et à Tercio (i.e. moi-même) : Que dans votre exemple, la diminution des postes de péage (qui représentent le CO2) correspondent une augmentation du CO2.

        Ce qui est totalement incohérent.

        Et après cela, vous osez affirmer que : « cet exemple n’est pas boiteux, bien au contraire. »

        Tentez vous de démontrer que les scientifiques intelligents peuvent eux aussi être bête et borné? Si c’est le cas, c’est réussi.

        Est-ce pour cela que vous insistez qu’il ne faut pas prendre un croquis au pied de la lettre, que ce n’est pas la réalité? Que c’est faire dire aux scientifiques ce qu’ils ne disent pas et ça c’est malhonnête.

        Eh bien, le quidam que je suis, il se demande: À quoi il sert le croquis d’abord?
        Et pourquoi ces scientifiques ne disent pas ce qu’ils ont à dire?

  103. Robert dit :

    Monsieur Robert,

    J’avais loupé ça :

    «  » » »Mode CONVECTION: Lorsque la terre réémet de la chaleur (5 – 50 u aussi par agitation thermique des molécules de N2, O2 etc…) l’air ambiant devient moins dense. Comme l’air en altitude est plus froide (donc plus dense), l’air chaud va donc monter. «  » » »

    Vous n’avez rien compris à ce qu’est la convection. Sachez qu’une parcelle d’air chaude peut avoir la même densité qu’un parcelle plus froide il suffit pour ça que la pression de la parcelle froide soit inférieure à celle de la parcelle chaude. En général l’air en altitude est moins dense qu’au niveau de la surface gravitation oblige.

    Cessez donc de parler de choses dont vous ignorez tout.

    Au fait comment se réchauffent N2 et O2 ?

  104. Robert dit :

    Paul s

    «  » » »Donc, les 10 % de la contribution d’H2O à l’effet de serre global (les molécules malades et absentes du service à vos guérites du péage thermo-radiatif), soit 10.5 W/m², dépassent largement la contribution du CO2 anthropique, même si l’on majorait la valeur publiée de 1,66 W/m². » » » »

    Ce que vous oubliez de prendre en compte c’est que la vapeur d’eau est condensable et que sa quantité dans l’atmosphère DEPEND de la température de cette dernière. Elle ne peut par conséquent pas agir comme forçage comme peuvent le faire CO2 CH4 etc.

    La vapeur d’eau amplifie le réchauffement elle ne le crée pas.

    Quand aux nuages, c’est un peu plus compliqué car ils sont à la fois réflecteurs (albédo) et absorbeurs (effet de serre). A première vue le coté absorbant serait plus important que le coté albédo mais ça demande encore à être creusé et il n’ a pas de consensus fort sur ce sujet.

    • Robert dit :

      @Robert #2;

      « Ce que vous oubliez de prendre en compte c’est que la vapeur d’eau est condensable et que sa quantité dans l’atmosphère DEPEND de la température de cette dernière. Elle ne peut par conséquent pas agir comme forçage comme peuvent le faire CO2 CH4 etc.  »

      Toujours la même RENGAINE des réchauffistes.

      Ça change quoi que la vapeur d’eau est condensable? Sa teneur moyenne est de l’ordre de 20 000 ppmv comparé à 400 ppmv pour le CO2 et 1,7 ppmv pour le méthane. Essayez donc d’avoir une une idée des notions de CONCENTRATION!

      Note; Le FORÇAGE est une invention des réchauffistes!!!

  105. Robert dit :

    « Sachez qu’une parcelle d’air chaude peut avoir la même densité qu’un parcelle plus froide… »
    Lorsqu’à l’école la notion de convection fut couvert…Vous deviez être absent.
    Si ce n’était de me faire couper, je vous enverrais une parcelle de quelque chose que vous n’aimeriez surement pas!

  106. Robert dit :

    @Robert-2;

    Vous ne comprenez pas une notion aussi simple que la CONVECTION…Vous pouvez bien dire que la chaleur part de la tropopause pour venir réchauffer la stratosphère!

    • Robert dit :

      Oh que si je sais ce qu’est la convection et sans aucun doute possible bien mieux que vous.

      A propos de densité de l’air vous m’expliquerez pourquoi au delà d’une certaine altitude on commence à manquer d’oxygène alors que sa fraction molaire est toujours la même ? Réponse l’air est moins dense du fait d’une pression plus faible.

      Vous devriez commencer par apprendre ce qu’est l’atmosphère mon bon monsieur. C’est autre chose que la spectroscopie Vous êtes béotien en ce qui concerne l’atmosphère et le climat, je n’y peux rien c’est un fait indéniable.

    • Robert dit :

      Correction: Changer stratosphère pour troposphère!

      Merci

  107. Robert dit :

    Vous avez écrit:

    « A propos de densité de l’air vous m’expliquerez pourquoi au delà d’une certaine altitude on commence à manquer d’oxygène alors que sa fraction molaire est toujours la même ?  »

    « …Réponse l’air est moins dense du fait d’une pression plus faible…. »

    C’est LE CONTRAIRE mon cher monsieur Robert #2….La pression est plus faible parce que l’air est moins dense et l’air est moins dense en raison de la GRAVITÉ qui diminue avec l’altitude. Vous confondez souvent l’effet avec la cause.

    Une définition que vous ne semblez pas connaitre: Fraction molaire CO2 (% volume, PPMV) = Mole de CO2/ Moles d’air totale.) Lorsque l’on monte en altitude, les molécules de CO2 et d’air totales baissent mais leur rapport (fraction molaire) ne change pas.

    En raison de ma bonté, je vous donne des valeurs sous la forme (Altitude, mole de CO2, mole d’air)

    soit:(0, 16.9, 42 291) – (1000, 15.4, 38391) – (3500 (Mauna Loa), 11.9, 29 800) – (10 000, 5.7, 14250)

    Le rapport: (16.9/42 291)*1 000 000 = 400 ppmv. Calculé avec PV = nRT et les données moyennes de température et de pression en fonction de l’altitude. Aussi: (5.7/14250)*1 000 000=400 ppmv.

    Note1: Killing a fait ses courbes de calibrage avec des valeurs relatives. Mais ce qui est estomaquant, c’est l’explication qu’il a donné. Je résume en mes mots: La teneur en CO2 est la même sur toute la planète à n’importe laquelle altitude. Si des scientifiques ont obtenus des valeurs différentes, c’est en raison de mauvaises méthodes de mesures (non comparable avec nos méthodes modernes). Il ne savait pas que ses courbes étaient construites avec des valeurs (en CO2) relatives (Fraction molaire) et que c’était la raison pour laquelle elles étaient constantes.

    Note2: Je comprends que c’est votre habitude, mais, cesser donc d’insulter des gens que vous ne connaissez pas.

    Signé: Robert #1

    • Robert dit :

      Monsieur Robert,

      «  » » »En raison de ma bonté, je vous donne des valeurs sous la forme (Altitude, mole de CO2, mole d’air) » » » »

      Hors sujet on parle de l’oxygène. Dans un cours en fac vous auriez déjà pris la porte depuis longtemps.

      Dites vous allez rebondir longtemps comme ca ? on dirait un ballon de baudruche. Vous pouvez vous raccrocher aux branches, ça ne change rien au fait que vous nous avez sorti une belle ânerie et que vous n’y connaissez rien sur le sujet; la preuve c’estg que vous remplacez une ânerie par une autre.

      Puis vous donner un conseil ? Apprenez à lire correctement ce qu’écrivent vos interlocuteurs.

      Quoi qu’il en soit pour moi, vous serez toujours l’homme qui a inventé le rayonnement électromagnétique chaud.

      Comme j’en ai marre de ce qui devient un troll, je vais vous laisser ce que vous voulez cad le dernier mot. Le lecteur intelligent saura faire le tri.

      Il est beau le climatoscepticisme…

      • Robert dit :

        Robert #2

        Avec l’oxygène, c’est exactement la même chose qu’avec le CO2 ou tout autre gaz de l’atmosphère. C’est un mélange de gaz idéaux (PV = nRT). Le ratio par rapport à l’air totale ne change pas mais la masse réelle (su le mont Éverest par exemple) diminue de 66%.

        Ne vous en faites pas, vous ne manquerez à personne. Ce blogue est civilisé et on ne traite pas les gens de boétiens!

        Robert #1

    • Robert dit :

      On va quand même démontrer q’une fois de plus vous êtes à coté de la plaque :

      «  » » »L’air étant un gaz compressible, sa masse volumique (en kg/m3) est fonction de la pression, de la température et du taux d’humidité. » » » » »

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Air

  108. Robert dit :

    @Robert #2;

    Comme l’air est compressible, sa masse volumique est fonction de la pression…Ha!Ha!Ha…LOL

    Quelle découverte. Vous vous ridiculisez de plus en plus!

  109. Robert dit :

    Correction: C’est plutôt BÉOTIEN que ce monsieur Robert#2 a utilisé pour me qualifier. Un terme très impoli. Non utilisé au Québec mais probablement utilisé en France.

    Définition du Wikitionnaire:
    « Qui est d’un esprit lourd, qui manque de goût, peu lettré, rustre.
    Offrir un chef d’œuvre à des béotiens semble être du gâchis dans ces circonstances. »

    Je pense que ce langage ne devrait pas être utilisé. Ce gars la (Je pense que c’est un gars) n’a aucune idée de qui je suis…En plus!

    • Paul S. dit :

      Monsieur Robert Uno,

      Je crois que vous l’aviez eu juste la première fois.
      En effet, c’est El Secundo qui avait mal épelé et écrit par erreur : “béotien”.

      Il voulait vous qualifier réellement de boétien – un compliment.

      Dérivé de E. de La Boétie, un grand érudit français du 16ième siècle.

      Peut être qu’il voulait vous lancer ainsi une invitation à la pratique d’une “amitié virile” dont le grand homme connaissait les vertus.

  110. Guillaume dit :

    Bonjour Robert 1er,

    Repartons à zéro. À 0 K, pour ainsi dire.

    Imaginons une Terre qui est un corps noir parfait et, pour l’instant, disons que cette Terre n’a pas d’atmosphère. Plaçons la Terre dans le vide total sans Soleil ni autre étoile. Puisqu’elle ne reçoit aucune énergie, sa température est près de 0 K.

    Plaçons maintenant cette Terre devant le Soleil. Puisque c’est un corps noir, sans atmosphère, la Terre absorbe tous les rayons du Soleil qui l’atteignent et réémet des radiations selon la courbe de Planck. Rappelons que la radiance émise par un corps noir est proportionnelle à sa température. Au tout début, c.-à-d à partir de 0 K, la Terre ne réémet presque rien, elle emmagasine donc l’énergie qui lui provient du Soleil, et sa température augmente. Au fur et à mesure que sa température augmente, elle réémet de plus en plus de radiance vers l’espace, et il arrive un point où la puissance réémise par la Terre est égale à la puissance qu’elle reçoit du Soleil. À ce moment, sa température se stabilise.

    Ajoutons-lui ensuite une atmosphère formée d’un gaz quelconque (appelons-le gaz X). Supposons que cette atmosphère a une certaine épaisseur et un donc un volume définis et fixes. Supposons aussi que ce gaz X est parfaitement transparent dans le visible, mais a une certaine absorbance dans l’infrarouge. Que se passe-t-il ? La radiance réémise par la Terre est en partie absorbée par l’atmosphère et, par conséquent, la puissance réémise dans l’espace diminue. Il y a donc un déséquilibre car la puissance qui parvient du Soleil n’est plus égale à la puissance retournée dans l’espace. En absorbant la radiance qui provient de la Terre, l’atmosphère se réchauffe progressivement. Et, puisque la Terre n’est pas parfaitement isolée thermiquement de l’atmosphère, il y a aussi un échange de chaleur entre l’atmosphère et la surface de la Terre, à l’aide d’une combinaison des différents mécanismes de transfert thermique (conduction, convection, rayonnement). La température de l’atmosphère et de la surface de la Terre se réchauffe progressivement, jusqu’à atteindre un nouveau point d’équilibre où ils deviennent suffisamment chauds pour que la puissance qui est émise par la Terre (et aussi par l’atmosphère elle-même) et qui réussit à retourner dans l’espace redevient égale à la puissance qui parvient du Soleil.

    Vient ensuite la prochaine étape : ajoutons une quantité supplémentaire de gaz X dans l’atmosphère, ou bien d’un autre gaz ayant des propriétés similaires (c.-à-d. transparent dans le visible et absorbant dans l’infrarouge). Que se passe-t-il ? Au moment où on ajoute ce nouveau volume de gaz, l’équilibre est à nouveau rompu car l’atmosphère (à laquelle on a ajouté une certaine quantité de gaz) absorbe maintenant plus de radiance provenant de Terre qu’avant l’ajout de ce gaz. Par conséquent, encore une fois, l’atmosphère se réchauffe, ce qui mène à un réchauffement de la surface de la Terre (via conduction/convection/radiation), jusqu’à ce que l’atmosphère et la Terre atteigne une certaine température (plus élevée qu’avant l’ajout de gaz) où l’équilibre entre la puissance qui parvient du Soleil redevient égale à la puissance retournée dans l’espace.

    Remarquez que la quantité de gaz ajoutée n’a pas besoin d’être comparable à la quantité de gaz initiale (ou même très significative) pour qu’un déséquilibre soit créé.

    En conclusion, toutes choses étant égales par ailleurs, l’ajout d’un gaz qu’on appelle « à effet de serre » dans l’atmosphère va entraîner un réchauffement de l’atmosphère et de la surface de la Terre, sans violer quelque principe de physique que ce soit. Donc s.v.p. arrêtez de nous casser les pieds en affirmant qu’il est impossible que du CO2 « froid » ne peut transférer en aucune façon de la chaleur avec des rayons infrarouges « chauds » (!) vers une Terre « plus chaude », ou peu importe comment vous essayez de l’expliquer, car ce n’est pas du tout comme ça qu’il faut le comprendre.

    Guillaume

    • Robert dit :

      Guillaume;

      Vous n’avez pas à me réexpliquer l’effet de serre et tout le tra, la, la, . Le dessin que j’ai fourni provient du GIEC lui-même. La théorie des réchauffistes est basé sur l’histoire du fameux « Forcing »
      qui fait appel au transfert de chaleur de la tropopause (-56 oC) vers la terre (15 oC)…C’est la base de leur théorie du forcing. Deux choses ne fonctionnent pas:

      1) La chaleur ne peut être transférée du froid au chaud (Deuxième principe de la thermodynamique);
      Quelle que soit la FORME DE TRANSPORT D’ÉNERGIE.

      2) Comparée à la vapeur d’eau (10 000 – 40 000 ppmv), la teneur en CO2 (400 ppmv) est beaucoup trop faible pour jouer un rôle significatif.

      3) Nous pourrions même en rajouter une troisième puisque toute cette histoire est basée sur une augmentation pour la période de 1850-2000 de l’ordre de 100 ppm (0,01%.) Mais même ces valeurs sont à remettre en question. On a retrouvé en 1850 des valeurs de CO2 pas mal plus élevées que 250 ppmv.

      Robert #1

      • Robert dit :

        «  » » »Le dessin que j’ai fourni provient du GIEC lui-même. La théorie des réchauffistes est basé sur l’histoire du fameux « Forcing » » » » »

        J’aimerais avoir la référence exacte de la provenance de cette figure, je serai fort étonné qu’elle soit dans un rapport du GIEC quel qu’il soit.

      • Guillaume dit :

        Robert,

        Vous ramenez encore ce %*&%$ (et je reste poli) de 2e principe de la thermodynamique, j’en conclus donc que vous n’avez rien compris à mon explication, et qu’en fait vous n’avez même pas pris la peine de la lire. En fait, vous n’avez en fait trouvez aucun contre-argument à mon car vous avez simplement référé à une figure qui ne reprend même pas les éléments que j’essaie d’expliquer. Je vous donne une explication différente de l’effet de serre et vous me répondez qu’une certaine figure du GIEC est fausse alors que je n’y fais même pas référence ! Quelle paresse intellectuelle ! C’est totalement ahurissant. Comment voulez-vous qu’on avance…?

        « Comparée à la vapeur d’eau (10 000 – 40 000 ppmv), la teneur en CO2 (400 ppmv) est beaucoup trop faible pour jouer un rôle significatif. » Au passage, ça représente quand même 1% et oui, c’est significatif car c’est suffisant pour modifier l’équilibre. Sans faire de calcul complexe, 1 K par rapport à 288 K, ce n’est pas une variation particulièrement élevée (en valeur absolue) et ça ne nécessite absolument pas que la quantité de gaz à effet de serre soit comparable à la quantité de vapeur d’eau.

        « Vous n’avez pas à me réexpliquer l’effet de serre et tout le tra, la, la »

        Oui, et il faudrait que je recommence, car vous ne comprenez toujours pas.

        Mais rassurez-vous, j’abandonne. Pour l’instant.

        Guillaume

      • Guillaume dit :

        Robert #1,

        Ah et puis zut ! J’avais dit que j’abandonnais mais c’est plus fort que moi.

        Encore une fois, un corps émet de la radiation DANS TOUTES LES DIRECTIONS ! Attendez, je recommence : DANS TOUTES LES DIRECTIONS ! Désolé, je m’emporte.
        Les photons émis par un corps ne peuvent pas décider eux-mêmes si la direction vers laquelle ils se dirigent est plus chaude ou plus froide. Ils sont émis DANS TOUTES LES DIRECTIONS (désolé, je dois insister, ça va finir par rentrer)… Mais on dirait que vous avez un sérieux problème avec ce concept. Le 2e principe ne dit pas qu’absolument aucune chaleur ne peut être transmise d’un corps froid vers un corps chaud, il dit plutôt que l’effet NET est du chaud vers le froid.

        « A cooler body may reduce net heat loss from a warmer one”

        Imaginez cette figure sans le corps froid à droite. Dans ce cas, le corps chaud perd plus de chaleur (car aucune ne lui est retournée) et il devient donc plus froid (par rapport au cas où il y a un corps froid à sa droite). Ça commence à faire du chemin ? Sinon, prenez le temps de regarder la figure bien attentivement… Et là ? On commence à piger ?

        Puisque je suis paresseux à mes heures (moi aussi), je vais citer quelques passages pour vous aidez à comprendre. Voir les références plus bas.

        “I have lost count of the number of people claiming that global warming is impossible because the atmosphere is colder than the surface and thus cannot return heat to the surface since that would contravene the second law of thermodynamics. This is wrong and is based on an incorrect interpretation of the second law. The second law does not say a cold object cannot pass heat to a warmer object, it states that NET heat flow is always from warmer to colder.”
        http://joannenova.com.au/2011/05/why-greenhouse-gas-warming-doesnt-break-the-second-law-of-thermodynamics/

        “[…] But the train of logic above has a subtle problem in its over statement of the constraints this law places on energy flow. Given a warmer and a cooler body exchanging energy either through convection or through radiation, the fact is, energy is constantly being exchanged in both directions. The second law of thermodynamics does not apply to individual molecules, it applies to the net flow of energy in the entire system. How could it be otherwise?
        When an excited molecule of CO2 releases a photon, it does not somehow “know” which way to send it. It can not aim it towards a cooler body. It is simply released in a random direction. In the case of CO2 in the atmosphere, having absorbed some of the energy radiating towards space from the surface of the earth, this random choice of direction means that, roughly speaking, half of that energy is sent back. An individual molecule is not influenced at all by the temperature of the earth’s surface.”

        http://grist.org/article/greenhouse-theory-violates-the-laws-of-thermodynamics/

        Je reprends un passage : « MAUVAIS INTERPRÉATION DU DEUXIÈME PRINCIPE DE THERMODYANMIQUE». Ah oui, les radiations sont émises « DANS TOUTES LES DIRECTIONS, de façon aléatoire ». Encore une fois désolé pour mon emportement, c’est plus fort que moi.
        Je n’ai pas pris la peine d’inclure toutes les autres références pertinentes.

        Bref, s.v.p. oubliez cet argument. Et acceptez d’avoir tort.

        Guillaume

  111. Robert dit :

    «  » » »Ce gars la (Je pense que c’est un gars) n’a aucune idée de qui je suis…En plus! » » » »

    Nul besoin, il suffit de vous lire pour s’en rendre compte.

    Et je vous retourne cette magnifique phrase (vous seriez très surpris).

    En conclusion et avant de quitter définitivement ce sujet j’ajoute que vous me faies penser à Jean Casault autre « célèbre » québécois.

    Adieu monsieur et merci pour ces bons moments de franche rigolade que je vais bien entendu partager (ça va hurler de rire dans les amphis).

  112. Robert dit :

    Reynald,

    J’ai écouté attentivement votre intervention lors de cette assemblée au retentissement international (une centaine de personnes c’est énorme) que fut la contrecop 22. Je n’y ai trouvé aucune trace de science…

    Un cadeau pour vous (concentrez votre attention sur ce que dit Bardinet, c’est Ennoorrrrmmmmeee).

    https://www.franceinter.fr/emissions/le-moment-meurice/le-moment-meurice-02-decembre-2016

    • Reynald Du Berger dit :

      Mon but n’était pas de « faire de la science »… avez-vous écouté et compris l’introduction à mon exposé? à mon avis vous n’écoutez pas plus attentivement que vous lisez… je voulais dresser le tableau des climato-crédules comme vous vs les climato-réalistes comme moi au Québec, dans les écoles et médias, l’endoctrinement, la crédulité des gens, l’exploitation que les médias et écoles en font … écoutez les autres interventions, vous en entendrez de la science. Faites un recherche skyfall ou association des climato-réalistes pour les autres exposés. Bonne ÉCOUTE !

      • Robert dit :

        Reynald,

        «  » » »Mon but n’était pas de « faire de la science » » » » »

        Vous auriez été fort en peine de le faire, même Courtillot était plus que léger…Quand au reste laissez moi rire….

        Le jour où les climatosceptiques y compris Curry (qui est une vraie scientifique) auront un argument pertinent à faire valoir, il fera – 50° en juillet à midi à Tamanrasset.

      • Reynald Du Berger dit :

        « Vous auriez été fort en peine de le faire, même Courtillot était plus que léger »… .. « plus que léger  » !!! quelle prétention ! Non mais qui etes-vous pour oser juger ce grand scientifique? lui allez-vous à la cheville ? svp monsieur, dites-nous qui vous êtes… vous semblez ne savoir ni lire, ni écouter… vous jugez le messager car incapable de critiquer le message. VOUS affirmez le RCA NOUS doutons et posons des questions à VOUS le climato-crédule et réchauffiste. Nous vous mettons en demeure de PROUVER votre affirmation… nous n’affirmons rien… VOUS affirmez… alors svp répondez .. est-ce clair? J’ai un souci de transparence sur ce blogue, vous savez qui je suis, on ne sait pas qui vous êtes et je veux savoir qui vous êtes.. alors svp un bref cv de ce que vous avez accompli en science dans votre vie.. qui vous permet de juger Courtillot. Et aussi on vous met en demeure de PROUVER votre AFFIRMATION d’un RCA… ais-je été assez « scientifique » et clair?

        « Le jour où les climatosceptiques y compris Curry (qui est une vraie scientifique) »

        non mais pour qui il se prend? NOUS ne sommes pas des VRAIS scientifiques Courtillot et moi? quel prétentieux vous êtes ! et VOUS ? vous êtes qui ?

        « auront un argument pertinent à faire valoir, il fera – 50° en juillet à midi à Tamanrasset. » ah oui ? VOUS affirmez le RCA NOUS vous mettons en demeure de prouver! nous, on n’affirme RIEN .. non mais pour qui vous prenez-vous pour nous exiger des arguments ? Nous, on VOUS met en demeure de PROUVER votre affirmation… est-ce clair? et combien de fois devrais-je vous le répéter? … alors elle vient cette preuve?

      • Reynald Du Berger dit :

        RAPPEL… nous les « béotiens » attendons votre cv de « VRAI » scientifique monsieur Robert Dumortier … ce cv qui prouvera votre supériorité de VRAI scientifique comparé aux pauvres géophysiciens « plus que légers » que Courtillot et moi sommes , du moins a vos yeux.. nous attendons avec empressement monsieur le scientifique Dumortier…

    • Reynald Du Berger dit :

      Voici en 7 min quelque chose pour détendre nos amis climato-crédules crispés par l’apocalypse qu’ils attendent avec angoisse… https://www.youtube.com/watch?v=BB0aFPXr4n4

      • Paul S. dit :

        Merci M. Du Berger, pour ce témoignage lucide et rato-dilatateur.

        Maintenant, de quoi nous faire pleurer :

        L’identité fictive du “premier ministre” Jim Hacker est interchangeable avec des dizaines, réelles, de politiciens irresponsables en fonction, un peu partout dans le monde et très certainement on y reconnait parfaitement le président français, monsieur F. Hollande.

        N’en déplaise-t-il point à M. Robert Rigoriste, le débat scientifique n’est pas important, tout ce que l’on attend de climatologues c’est la validation de mesures normalement impopulaires, mais, espère-t-on, acceptables pour sauver la planète.

        Les gouvernements et l’ONU se chargent du reste.

    • Reynald Du Berger dit :

      Voici comment la NASA ajuste les données aux modèles plutot qu’ajuster les modèles aux données… la NOAA a fait de même ainsi que HadCrut… les seuls aux données non « filtrées, corrigées, ajustées, dé-trendées… » enfin non-bullshitées sont celles de l’univ d’Alabama. http://notrickszone.com/2017/01/16/massive-data-tampering-uncovered-at-nasa-warmth-cooling-disappears-due-to-incompatibility-with-models/#sthash.wwrzipLG.AIE9fy8y.dpbs

      • Robert dit :

        Reynald,

        Soyez sérieux, le site que vous citez n’e’st pas loin s’en faut le plus honnête qui soit On peut même dire (jusqu’à preuve du contraire) qu’il fait régulièrement dans le calomnieux.

      • Reynald Du Berger dit :

        encore et toujours uniquement de l’attaque de messagers? donc le « vrai » scientifique est toujours incapable de démolir le message du messager ?

      • Reynald Du Berger dit :

        Robert Dumortier, enfin j’ai repéré votre page facebook et constate que vous avez mis à jour votre photo de profil… je vous encourage à ne pas décrocher de l’école.. plus vous apprendrez de la « vraie » science, moins vous serez climato-crédule et pourrez un jour être des nôtres, les climato-réalistes…Ne décrochez surtout pas comme trop de gamins font… – et j’aime bien votre cartable… https://www.facebook.com/robert.dumortier.79

  113. Robert dit :

    Robert-3

    «  » » »Eh bien, le quidam que je suis, il se demande: À quoi il sert le croquis d’abord?
    Et pourquoi ces scientifiques ne disent pas ce qu’ils ont à dire? » » » »

    Je me dois de vous apporter une réponse, elle est simple, il s’agit de simplifier à l’extrême un phénomène extrêmement complexe. Cette simplification n’a pas pour but d’instruire les gens mais de leur permettre un début de compréhension.

    Plus haut j’ai fourni un lien vers un cours de 3ème année de licence, il comprend encore un bon paquet de simplifications et pourtant je gage que vous n’y comprendrez pas grand-chose, c’est pourquoi il est nécessaire de simplifier à l’extrême quand on s’adresse à des personnes n’ayant aucune connaissance sur le sujet et qui sont les plus nombreux dans la population.

    le lien

    Cliquer pour accéder à radiatifNN.pdf

    • Robert dit :

      Robert #2

      Votre post du 16 Janvier 2017 à 8:05:

      Est bonne celle-la. D’abord, vous n’êtes pas en France . Vous n’avez pas à simplifier quoi que ce soit. Vous croyez avoir affaire à des imbéciles…Ce qui n’est pas du tout le cas. Lorsque vous écrivez sur un blogue, vous devez toujours assumer que votre interlocuteur a des connaissances suffisantes pour discuter. Vous semblez croire que vous êtes le seul intelligent. Comme beaucoup de votre gang de réchauffistes, vous croyez être en possession tranquille de la vérité!

      Robert #1

      • Robert-3 dit :

        À Robert #1,

        Robert-2, est peut-être en possession de la vérité, mais si c’est le cas il en fait un bien mauvais usage.

        Avec une telle attitude, il peut bien se la garder la vérité. Et se la mettre à l’abri de la lumière.

        Ces insultes n’auront servi sommes toutes qu’à le discréditer de mon point de vue.

        Pour ce qui est d’être connaissant, il me semblait pourtant l’être pas mal.

        Je n’ai pas eu le temps de le tester à mon goût?

        Dommage !

        Il ne m’a pas ébranlé vis vis de vous en tout cas.

  114. Robert dit :

    Reynald,

    Courtillot tout comme vous n’est pas compétent en matière de climatologie, Les études qu’il a produit ont été réfutées par les pairs. Quand à son intervention, de son propre aveu elle « date ».

    Si c’est avec ça qu’il espère être crédible..

    Je le redis, quand les climato ect.

    • Reynald Du Berger dit :

      « Courtillot tout comme vous n’est pas compétent en matière de climatologie,  » et c est Robert Dumortier, qui LUI est compétent en climatologie, qui AFFIRME que Courtillot et Du Berger ne le sont pas… et nous attendons toujours SA preuve du RCA avec SON cv qui démontrera ses compétences en sciences du climat.. pour le moment, nous n’avons que sa page facebook qui nous le montre allant à l’école avec son cartable… Allez Robert! ca vient ce cv et cette PREUVE de votre affirmation du RCA ? https://www.facebook.com/robert.dumortier.79

      • GH dit :

        Reynald,

        Je trouve qu’en ce qui concerne Robert-2mortier, tu attaches beaucoup trop d’importance à son CV. Il a montré la valeur des arguments, c’est tout ce qu’il devrait y avoir à savoir.

      • Reynald Du Berger dit :

        « Il a montré la valeur des arguments, « .. quels arguments? les arguments de qui ? et de quelle valeur ? et comment en a-t-il démontré la « valeur » ? ça te fait à toi ou à lui 4 questions auxquelles j’attends des réponses claires.

        le gars prétend que Courtillot connait moins que lui sur le climat… toute une prétention !!! on attend des preuves de sa prétention et du RCA et si possible son cv…

      • Robert dit :

        Reynald,

        C’est comme ça et pas autrement. Un ophtalmologiste n’est pas un neurologue bien qu’ils soient médecin tous les deux.

        Pour votre gouverne, la science se fait dans les labos et au travers des publications dans les revues à comité de lecture, lisez la littérature vous aurez toutes les réponses à vos questions.

        ps je n’ai pas de page facebook, ni de compte twitter ou autre et Dumortier n’est peut(être pas mon véritable nom.

        J’ai une question, qu’est ce qui vous permet de dire que Courtillot est compétent en climatologie ? Où est donc passé le scepticisme que vous affichez ?

      • Reynald Du Berger dit :

        « Pour votre gouverne, »… quel ton prétentieux et condescendant! ma « gouverne »… Non mais !!!…le gars prétend nous faire la leçon sur l’éthique et la déontologie en science et en recherche ! … et pretend nous apprendre des expressions comme « revues à comité de lecture », allo ? allo ? le VRAI scientifique que vous prétendez être? « Pour votre gouverne ! » quel culot ! et il est lâche au point de nous cacher son nom et son cv… sur mon blog s’affiche le email robert_dumortier@yahoo.fr et j ai trouvé votre page facebook… Donc nous attendons toujours que vous nous confirmiez votre identité du gamin qui marche à l’école avec son cartable et fournissiez votre cv d’écolier monsieur Robert Dumortier…

      • Reynald Du Berger dit :

        « J’ai une question, qu’est ce qui vous permet de dire que Courtillot est compétent en climatologie ? Où est donc passé le scepticisme que vous affichez ? »

        Réponse: ses centaines de publications et mes échanges avec lui.

        question: qu’est-ce qui vous permet d’affirmer que vous êtes un VRAI scientifique et que Courtillot et moi n’en sommes pas?

      • Paul S. dit :

        Selon Robert Rigoriste (https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-41929) : “Un ophtalmologiste n’est pas un neurologue bien qu’ils soient médecin tous les deux.”

        Spécialisation étroite ? Absolument, pour traiter des problèmes pointus.

        Par contre, l’un comme l’autre, ainsi que tous les médecins généralistes, sauraient qu’un repas de cassoulet chaque jeudi, suivi de quelques flatulences, ne peut pas causer la cécité due à la paralysie du nerf oculaire.
        (J’ai exclu arbitrairement (voir la notion d’Art ci-après) la possibilité d’un choc au crâne pouvant résulter d’un écoulement supersonique des gaz flatulents).

        Plus à propos, M. Robert précise : “.. la science se fait dans les labos ..”.
        Mais ce labo de climatologie, où est-il ? Qu’est ce qu’il englobe ?
        Peut-être qu’une future station spatiale pourrait partiellement remplir ce rôle, mais rien aujourd’hui.

        En génie, pour couvrir les cas spéciaux ou difficiles à cerner par des formules standard, on introduit la notion d’Art, celui-ci adossé à la Science.

        Justement, le professeur Du Berger est un ingénieur, en plus d’être un scientifique.
        Cela lui donnerait la capacité de relativiser et de simplifier les choses qu’un praticien de sciences pures, habitué de travailler avec des absolus, pourrait ne pas avoir.

  115. Robert dit :

    @Robert-3:

    Je suis d’accord avec vous. Malgré que j’ai noté certaines lacunes du coté de ses connaissances concernant la convection, de la pression atmosphérique et des transferts de chaleur. La majorité des gens qui parlent de science ne réalisent pas que lorsqu’il est question de ppmv de CO2 ou autre, il s’agit en fait de fractions molaires (Moles CO2/Moles d’air totales) mais que si le nombre de moles de CO2 diminuent, les moles d’air diminuent aussi. C’est ce qui expliquerait la constance des teneurs en CO2 quelque soit l’altitude (*). Mais, pour une même hauteur, la concentration en CO2 au dessus de Los Angeles est certainement plus élevée qu’au dessus du parc des Laurentides (Route 175 vers Chicoutimi).
    Si maintenant nous considérons l’O2. S’il y a 21% de O2 au sol, il y en a 8 – 9 % au sommet du mont Éverest…Mais il ne faut pas que ce soit exprimé en fraction molaire. Autrement dit, si on prend 1 mètre cube au sol, il faut aussi prendre un mètre cube au sommet de la montagne.

    En fait, le gars, lorsqu’il nous écrivait, faisait de la politique. C’est dommage car il laissait son intelligence de coté pour exercer sa fichue politique…Ils sont presque tous comme cela?

    .(*) C’est ce que Killing disait en prétendant avoir fait une découverte extra-ordinaire.
    (**) J’ai vu que Reynald avait trouvé sa page Facebook.

    Robert#1

    • Reynald Du Berger dit :

      (**) J’ai vu que Reynald avait trouvé sa page Facebook.

      en effet et il confirme que c’est bien sa page.

      • Paul S. dit :

        Monsieur Robert #1,

        À la pression atmosphérique sur Terre, les molécules constituantes de l’air sont suffisamment éloignées entre elles pour que les seules interactions à considérer soient les chocs élastiques occasionnels.

        Si vous ameniez un chien basset dans une grotte où il y avait une accumulation de gaz carbonique, il se pourrait que l’animal meure, tandis que vous ne seriez nullement incommodé.
        Les molécules de CO2 étant plus lourdes (ρ=1.53) que celles d’azote (ρ=0.97) et d’oxygène (ρ=1.11) dans un mélange d’air standard, en absence de perturbations spatiales ou thermiques, l’attraction gravitationnelle serait plus importante que la tendance à la diffusion sur une période longue, ce qui causerait une stratification fatale au basset.

        Quelles seraient les fractions molaires en CO2 de l’air respiré par le chien et de l’air respiré par le professeur dans le “système fermé” de la grotte ?

        Dans la troposphère il y a le vent pour mélanger l’air, mais il devrait y avoir, pour une température donnée, quand même une tendance à l’accumulation d’un peu plus de CO2 au niveau du sol et d’H2O (ρ=0.625) dans les couches supérieures de l’atmosphère.

        La Nature favorise ainsi les cycles importants à la vie : CO2 est mis au contact de plantes pour recycler l’oxygène et produire les sucres et la vapeur d’eau, évacuant la chaleur, est mise en mouvement vers le haut (les zones froides) pour une éventuelle condensation et chute vers le sol accompagnée d’une redistribution du fluide vital.

        Comme vous le dites, le mélange d’air n’est pas exactement le même partout, bien que la diffusion et le vent ont une action uniformisante.

        En particulier, les isotopes comptés pour la différentiation entre le CO2 “légitime” et le CO2 attribué à l’activité industrielle, soient le carbone-13 (13C) et le carbone-14 (14C), plus lourds que le carbone-12 (12C), dit naturel, devraient être un peu plus nombreux dans les échantillons d’air prélevés aux basses altitudes que sur la Mauna Loa.

        La réalité physique du monde versus la réalité d’un laboratoire avec ses conventions et sa prévisibilité.

        Un modèle climatique, va-t-il répliquer la réalité physique ou celle d’un laboratoire plus facile à contenir ?

        Paul S., béotien
        (et fier de l’être)

    • Paul S. dit :

      Cher Robert Uno,

      J’ai besoin d’éclaircissement à propos de mélanges gazeux dans la nature (versus le laboratoire).

      Vous écrivez : “Lorsque l’on monte en altitude, les molécules de CO2 et d’air totales baissent mais leur rapport (fraction molaire) ne change pas.”
      et : “C’est ce qui expliquerait la constance des teneurs en CO2 quelque soit l’altitude (*).”

      À contrario vous ajoutez : “Mais, pour une même hauteur, la concentration en CO2 au dessus de Los Angeles est certainement plus élevée qu’au dessus du parc des Laurentides (Route 175 vers Chicoutimi).”

      Voici un problème pour les étudiants de nos Roberts, professeurs en Sciences (un “thermo”, l’autre dynamique).

      Ces deux professeurs ne possèdent pas d’atomes crochus, l’un est très grand (physiquement) et l’autre l’est beaucoup moins.

      Ils se donnent un rendez-vous, dans une cave non-éclairée (ils ne veulent pas se voir) abritant des cuves de Beaujolais nouveau en fermentation primaire pour discuter pourquoi le boson de Higgs n’a pas de relation chaleureuse avec les photons, ces petits agités si chers à un des Roberts.

      Après un échange cordial, le silence.
      Le grand Robert quitte, mais le petit Robert reste sur le carreau : ils ne respiraient pas le même air.

      Pourrait-on porter des accusations contre le survivant ?
      Après tout, qui pourrait remettre en cause la fraction molaire du CO2 dans la cave ?

      Cordialement,
      Paul S.

      • Robert dit :

        @Paul S. :
        16 janvier 2017 à 2:46 (*)

        Au niveau du sol il y a 16,9 mole de CO2 pour 42291 moles d’air. Ce qui donne: (16,9/42291)*10^6= 400 ppmv pour t=15,1 oC et P=101,3 Kps. pour 744 g de CO2

        À 10 000 m d’altitude, il y a 5,7 mole de CO2 pour 14253 moles d’air. Ce qui donne:(5,7/14253)*10^6 = 400 ppmv pour t=-50 oC et P=26,66 Kpa pour cette fois-ci: 258,8 g de CO2.

        Vous pouvez voir que la teneur relative est constante (400 ppmv) mais que la masse de CO2 n’est pas du tout la même à 10 000m qu’au sol: (744 g vs 259 g).

        Mais si vous êtes au dessus de Los Angeles (10 000 mètres). Vous aurez surement plus de CO2 qu’au dessus du parc des Laurentides (aussi à 10 000 mètres) même si le nombre de molécules d’air est le même dans les deux cas.

        Tout ces calculs démontrent que de dire que la teneur en CO2 est la même partout, est totalement faux. Elle peut être la même lorsque exprimée en ppmv ou être différente dans d’autres circonstances.
        Ils ont mesuré le CO2 sur la montagne Mauna Loa (3500 m) et en Antarctique (mettons 10 000m). Étant donné qu’il n’y a pas de perturbation (comme à Los Angeles) ils vont probablement trouver toujours 400 ppmv dans les deux cas!

        (*) L’air est considéré comme un mélange de gaz idéaux. Nous pouvons donc utiliser l’équation des gaz idéaux (PV = nRT) pour faire les calculs (R = constante des gaz).

        C’est la raison donnée par Killing qui m’a fait dresser le poil…Je l’ai expliqué dans un autre post!

        Robert #1

  116. GH dit :

    La valeur de ses arguments concernant l’effet de serre.

    Quant aux attaques ad hominem, je m’en tapes.

    • Reynald Du Berger dit :

      J ai posé 4 questions claires et c est la réponse que tu me fais? et de quelles attaques parles-tu ? décris-mo9i ces attaques.. et attaques de qui envers qui.. ça te fait des questions supplémentaires.. ça devient laborieux pour toi n’est-ce pas? mais à l’université, on ne t’a pas appris à justifier tes affirmations ou accusations par des arguments ou réponses claires ?

    • Robert dit :

      GH;

      En fait, il disait la même chose que moi. Imagine un spectromètre dont la source est le soleil et l’échantillon est la terre. La terre reçoit de la lumière (principalement visible et IR proche). 30% de cette lumière est réfléchie par la terre et est retournée dans l’espace (c’est l’albédo). Le 70% qui reste est absorbé par la terre pour être ensuite réémis par des radiations qui tombent dans le domaine des Infra-rouge thermiques (TIR). Ces rayons IR ie ceux avec des longueurs d’onde de 5 et 15 microns sont absorbés par la vapeur d’eau et les molécules de CO2. C’est cette chaleur qui est trappée et qui fait augmenter la température de l’atmosphère. S’il n’y avait pas de vapeur d’eau et de CO2, la température moyenne sur terre serait de – 18 oC au lieu de 15 oC. JUSQU’ICI, ON S’ENTEND BIEN. Malgré le fait qu’il manque beaucoup de facteurs (Convection, conduction…etc)

      Mais, il y a tellement peu de CO2 dans l’atmosphère comparée à la vapeur d’eau ( 400 ppmv vs 20 000 ppmv) que la gang de réchauffistes ont du pondre une théorie prétendant que des rayons IR qui transportent de la chaleur reviennent vers la terre pour empirer l’effet de serre. Ça produit de la surchauffe ce qui augmente la température…selon eux. Or, plus on monte en altitude, plus la température baisse. Il est donc logique, en raison du deuxième principe de la thermodynamique, que la chaleur monte toujours pour se disperser dans les hautes atmosphères (Celle-ci ne revient pas).

      En plus, ils ne tiennent pas compte de la vapeur d’eau (*) en prétendant que celle-ci ne fait qu’amplifier le problème en servant de feedback au CO2. Il y a les nuages aussi, le soleil et une panoplie d’autres facteurs…dont ils se foutent royalement!

      Robert#1

      (*) Ils ont publié des tables des différents gaz à effet de serre…l’eau est toujours absente?

  117. Robert dit :

    Pour faire suite à mon message du 16 Janvier 2017 1:22:

    J’aimerais bien remettre la main sur l’article où Killing mentionnait que le CO2 étais constant en n’importe lequel endroit de l’atmosphère terrestre. En fait Killing travaillait pour une compagnie qui avait été engagée par le Gouvernement Américain pour y effectuer des études sur les effets de l’explosion de la bombe atomique aux iles Bikini. C’est à ce moment que celui-ci s’est intéressé au CO2.
    Comme je l’ai déjà mentionné, il a dit que les valeurs mesurées par d’autres scientifiques étaient fausses en raison du piètre équipement utilisé et qu’en réalité la teneur en CO2 était constante quel que soit l’endroit où on le mesure….Ils ont tous achetés cette histoire.

    Mesurer le CO2 dans l’air est une analyse très simple (Un étudiant de première année avec l’équipement peut le faire). En voici les grandes lignes (1).

    1) Préparer une solution de Ba(OH)2 mettons 0,100 Molaire. Le pH de cette solution est très basique (supérieur à 10).
    2) Utiliser un échantillonneur en verre (mettons (4 litres) avec des vannes pour faire barboter l’air dans la solution d’Hydroxyde de baryum.
    3) Pousser cette air contenant le CO2 dans la solution de Ba(OH)2. Comme la solution est très basique, le CO2 va former du BaCO3 insoluble.
    4) Filtrer et analyser le filtrat (Titrage acide – base-tourne au rose).
    5) Par différence, calculer la masse de CO2 qui a formé le CO3– dans le volume d’air connu (4 litres).
    Je sais qu’ils ont aussi effectué des mesures en Antarctique et les valeurs obtenues étaient les mêmes qu’à Mauna Loa (3500 mètres). C’est sûr, s’ils se calibraient avec des fractions molaires (ou % volume) ils obtenaient toujours la même chose..

    Le CO2 ne peut pas être constant. ..C’est impossible! Remarquez que ce n’est pas mauvais de faire des mesures relatives…Ça donne une bonne valeur de la montée du CO2 avec le temps. Moi, ce qui m’intrigue, c’est la raison que Killing a donné?

    Robert#1

    (1) Textbook of Quantitative Inorganic Analysis, Arthur L Vogel, Third Ed., Page 249.

    (2) Des énormités, j’en ai vu de toutes les sortes…Alors!

  118. Robert dit :

    @Robert :
    16 janvier 2017 à 2:10

    @ Robert #2:

    Ce que vous dites concernant le fait que l’on doit être climatologue pour avoir le droit de parler de climat est totalement faux. Le prix Nobel de médecine (1995) est allé à deux individus qui n’étaient pas médecin du tout. Un était Physicien et l’autre était…Chimiste.

    Louis Pasteur a découvert rien de moins que les Vaccins. Pourtant il n’était pas médecin. Il était aussi…Chimiste.

    Robert#1

    * J’en ai raz-le-bol d’entendre ce stupide argument!

    • Reynald Du Berger dit :

      Et toute la communauté des géologues s’est moquée d’Alfred Wegener et de sa « dérive des continents » pendant plus de 50 ans… parce qu,il n’était qu’un météorologue.. « de quoi se mêle-t-il » ? mais il avait raison et eux , le « consensus » avaient tort.. cela a fini par la plus grande révolution en sciences de la Terre, la tectonique des plaques… grâce à Wegener… qui n’a jamais été géologue. Que Robert Dumortier réfléchisse là-dessus.

  119. Robert dit :

    Reynald

    Merci de faire une belle entorse à la nétiquette. Après tout je ne devais pas m’attendre à autre chose venant de votre part d’où une adresse poubelle et un nom d’emprunt. J’ai un peu fouillé le net et j’en ai appris pas mal sur votre compte en fait vous êtes peu recommandable. Je vais donc vous laisser, je n’aime pas la boue.

    • Reynald Du Berger dit :

      Quelle entorse? La nétiquette concerne les gens polis, et non ceux qui insultent les gens en les accusant d’incompétence. Je n’ai aucun remords à révéler la véritable identité des gens qui se cachent sous une fausse identité pour mieux dénigrer les autres. Ceux qui sont tellement à cout d’arguments qu’ils attaquent les personnes plutot que les idées. Vous ne nous manquerez pas.

  120. Paul S. dit :

    Une certitude québécoise : Hydroélectricité = énergie propre !

    Vraiment ?
    https://news.wsu.edu/2016/09/28/reservoirs-play-substantial-role-global-warming/

    À quelle hauteur, les messieurs Couillard et Guilbeault, ont-ils estimé la contribution de barrages d’Hydro-Québec à la production des GES, avant de prendre l’engagement à la COP21 de réduire nos émissions de 37.5 % en 2030, par rapport à 1990 (ce qui est pire que de prendre 2015 comme point de départ) ?

    Nonobstant l’idiotie (PLQ & PQ) de subventionner la construction de la cimenterie à Port Daniel.
    Surproduction de ciment au Québec ? Alors nous exporterons vers les USA !

    Et si le président Trump allait contrecarrer ce plan, qui paiera la note ?

    Même sans un Trump protectionniste, l’argent public remis aux petits amis ne pouvait pas passer inaperçu aux USA : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/668250/cimenterie-port-daniel-elus-americains-demande-intervention-washing

    • Robert dit :

      @Paul S :
      20 janvier 2017 à 7:46

      En plus, les forêts que l’on a noyé et qui sont disparues étaient autant de consommateur de CO2 (Et donc de sources d’oxygène grâce à la photosynthèse) qui ont été remplacées par des générateurs de méthane (Tel que démontré dans votre article). Par contre, que serait-il arrivé si nous avions laissé vieillir la forêt? Beaucoup plus d’arbres morts émetteurs de méthane et de CO2. Personne ne parle des métaux lourds (Plomb, Mercure, Arsenic…) qui lentement se dissolvent dans l’étendue d’eau et contaminent la chaine alimentaire rendant la pêche quasiment impossible. Les Inuit ont dû cesser leurs activités de pêche qui était pour eux une source de nourriture et un passe-temps. Que font ces gens en lieu et place? Posez-vous la question?….

      Je pense que cette histoire de gaz à effet de serre est une des plus grandes conneries que l’espèce humaine n’auras jamais inventé…On crée de la pauvreté pour régler un inexistant problème!

      Comme le disait Reynald dans une de ses chroniques, en parlant des étapes que cette histoire a suivie: À peu près: Science – Science vulgarisée – Politique – Religion…Des fois, les religions ont la couenne dure surtout s’il y a de l’argent au bout.

      Robert#1

      N.B: Je ne suis pas contre l’hydro-électricité…Mais, en même temps, je me dis qu’il y a un prix à payer à tout. Le pétrole n’est pas pire que l’hydro-électricité!

      • Paul S. dit :

        Modification locale d’un écosystème, avec un effet possible sur les chemins du vent, plus étendus – absolument.

        La filière énergétique la moins intrusive, le nucléaire, fut abandonnée par l’Hydro Québec (je pense à tout jamais) suite à l’incurie et à la voracité de SNC Lavalin (détenteurs des droits sur CANDU d’Énergie Atomique du Canada) et à la sagacité de Mme Martine Ouellet, ing.

  121. Paul S. dit :

    À propos du forçage radiatif, monsieur Claude Villeneuve, biologiste (*), nous rassure : “.. aujourd’hui, on est clairement bien assis sur une science solide ..”.
    [audio src="http://www.985fm.ca/lecteur/audio/entrevue-claude-villeneuve-349439.mp3" /]

    Espérons pour lui, que sa latrine à 89,000 milliards $ soutienne bien le poids.

    Évidemment, aucune relance de la part de M. Paul Arcand : une fois de plus, la vérité absolue venait de couler de la source.

    NOTE (*) : http://ecoconseil.uqac.ca/claude-villeneuve/

    • Reynald Du Berger dit :

      Le Cardinal Villeneuve vous vend des indulgences boréales pour racheter votre péché carbonique annuel

      LES FIDÈLES VERTS DEVANT LA POMPE

      • Paul S. dit :

        “ .. racheter votre péché carbonique annuel ..” – ça c’est les indulgences ordinaires, le petit tarif pour nous tous les petits pécheurs.

        Il y a aussi la vraie clientèle, beaucoup plus payante, visée par l’éco-conseil : les grandes entreprises en mal d’éco-blanchiment.

        En parlant d’une papetière, Mgr. Villeneuve a dit : “On travaille avec ces gens-là depuis plusieurs années et quand vous allez sur le terrain, ce ne sont pas des criminels endurcis qui ont juste envie de polluer l’environnement .. “.

        Le forfait indulgences pour les grandes entreprises comprend aussi la défense contre des vendeurs d’indulgences concurrents :
        http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/697814/claude-villeneuve-greenpeace

        Un vrai racket mafieux d’abonnement OBLIGATOIRE à la protection contre d’autres clans criminels.

    • Robert dit :

      @Paul S :
      20 janvier 2017 à 10:04

      Villeneuve…De quelle science parles-t-il donc? J’ai hâte qu’il nous le dise. Quelles sont les équations, quels étalons utilise-t-il (certifiés par qui?)? Quels sont ses paramètres de calibrage? Qu’en est–t-il de ses précisions et justesses? Il doit bien exister des modèles en laboratoire?
      Mario Molina, Sherwood Rowland et Paul Crutzen en 1995 ont écrit les étapes de la réaction de l’Ozone avec les chlorofluorocarbones. Cela leur a valu le prix Nobel de Chimie. Le tout a été fait en laboratoire. C’est un mécanisme que j’ai eu la chance d’enseigner à l’UQAC. Plus personne ne conteste ce mécanisme même s’il n’est pas prouvé que les mêmes réactions se produisent dans la stratosphère. Cependant, plus personne ne conteste ce mécanisme réactionnel. Par contre les faux scientifiques du climat n’ont même pas réussi à prouver qu’une augmentation en CO2 provoquait une augmentation de température…Le contraire, à l’aide de données réelles fut démontré tant et plus.

      Mais, que faire avec deux mots vagues « Changement Climatique » qui ne veulent rien dire?

      (*) https://www.nobelprize.org/nobel_prizes/chemistry/laureates/1995/press.html

      Robert#1

      • Paul S. dit :

        “Villeneuve…De quelle science parles-t-il donc?”

        D’une science payante : éco-conseil à l’UQAC vend des indulgences aux individus et aux entreprises rançonnées par la Mafia verte.

        Avez-vous noté que cela dispense M. Villeneuve, professeur titulaire, de faire de la recherche à son université ?
        Qu’elle soit vraie ou biaisée, elle exigerait un effort de travail.
        Le « scientifique de l’année 2001 » préfère des fioles plus structurantes pour lui (Ouranos, etc ..) : http://ecoconseil.uqac.ca/claude-villeneuve/

        Est-ce que les revenus de l’éco-conseil reviennent à l’UQAC ou elles enrichissent l’homme de science ?
        Dans cette dernière éventualité, les dépenses, sont-elles assumées par lui ou par l’université ?
        Des questions que les journalistes ne creuseront jamais.

  122. Paul S. dit :

    Hier, c’était la journée de cris et gémissements parmi tout ce qui s’appelle la gauche à la radio.

    Ce fut un choc pour eux de constater que la page web du président sortant Obama traitant de changements climatiques était la première à disparaitre : http://www.cnbc.com/2017/01/20/the-white-house-websites-page-on-climate-change-just-disappeared.html

    En haut de la nouvelle page “TOP ISSUES” du président Trump :
    “America First Energy Plan” : https://www.whitehouse.gov/america-first-energy

    • Robert dit :

      Paul S.

      « … Obama traitant de changements climatiques était la première à disparaitre … »

      C’était une jouissance!

      Robert #1

  123. Guillaume dit :

    Bonjour,

    Une « foire aux questions » (FAQ) qui résume bien la situation. Une lecture intéressante, selon moi, pour tous ceux qui s’intéressent à ce sujet (et particulièrement pour les réalistes) :

    https://www.climate.gov/news-features/understanding-climate/global-warming-frequently-asked-questions#hide2

    Cliquer pour accéder à Climate_gov_GlobalWarming_FAQ_15Aug13.pdf

    Bonne lecture !

    🙂

    Guillaume

    • Paul S. dit :

      M. Guillaume,

      En effet, votre FAQ (“Updated February 25, 2014”) résume bien la situation climatique, telle que prônée par l’ex-président Barhacq Obama.

      La chaleur “perdue” est cachée dans les océans, on extrapole les mesures de la température d’eau d’une manière insensée et on (la NOAA) refuse de répondre au Congrès des USA :
      http://www.nature.com/news/us-science-agency-refuses-request-for-climate-records-1.18660

      Avec le nouveau président (celui qui n’est pas porté sur les “sciences”), les choses pourraient changer :
      http://climatechangedispatch.com/taking-control-away-from-official-disinformation-agencies/

      Si cela arrivait, les hommes de science, dont vous, vont crier à l’assassinat de leur “Science”.
      La vraie s’en porterait d’autant mieux.

      Paul S.

      • Guillaume dit :

        Bonjour Paul,

        J’ai l’impression de tourner en rond mais…

        Une étude indépendante récente publiée dans Science Advances indique que la NOAA n’a pas falsifié ses données et qu’il n’y a pas eu de pause dans le réchauffement.

        http://advances.sciencemag.org/content/3/1/e1601207

        De plus, les données de la NOAA des 20 dernières années sont cohérentes avec celles de la NASA, du Met Office et de l’Agence météo japonaise

        Ensuite, sur quelles données ou études vous basez-vous pour affirmer qu’ « on extrapole les mesures de la température d’eau d’une manière insensée » ? Les données de ce graphique sur les 20 dernières années ne me semblent pas extrapolées.

        Finalement, je n’accorde pas beaucoup de crédibilité à ce Tony Heller, alias Steve Goddard, ou vice-versa (« Goddard wrote pseudonymously until 2014 when he revealed his true real identity on his blog »). Il a fait un graphique répertoriant le nombre d’après-midi au-dessus de 95 deg F pour démontrer qu’il n’y a pas de réchauffement. Tout d’abord, on ne sait pas d’où viennent ces données (où sont les références ?) et, dans tous les cas, ce paramètre ne peut en aucun cas être considéré comme étant représentatif d’un réchauffement moyen global. C’est anecdotique, tout au plus.

        Finalement, Trump semble vouloir ÉLIMINER complètement la science plutôt que de vouloir l’améliorer.

        Bref, même si les FAQ auxquelles j’ai fait référence datent d’un certain temps, je n’y trouve rien qui a été contredit par des recherches subséquentes (c’est même plutôt l’inverse), et vous ne m’en avez pas convaincu non plus.

        Bien honnêtement, je fais réellement un effort pour me faire l’avocat du diable et pour essayer de voir les choses d’un point de vue plus « réaliste », mais j’ai vraiment de la misère à trouver des contre-arguments au RCA et des références qui me semblent réellement crédibles.

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        « Finalement, Trump semble vouloir ÉLIMINER complètement la science plutôt que de vouloir l’améliorer. »….. Comment peut-on « éliminer » la science ? On peut cependant couper sévèrement (Richard Lindzen du MIT suggère une coupure de 80% à 90% !) les crédits alloués à un domaine jugé non seulement non prioritaire mais dont les débouchés attendus ne se sont pas produits. J’affirme que les milliards consacrés à la recherche sur le climat en plus de 30 ans, ont été incapables de trouver une seule preuve du RCA. Ces milliards sont été dilapidés et des organismes tels la NSF auraient dû les consacrer à la recherche sur des problèmes plus aigus tels les eaux souterraines (1,5 milliards d’humains n’ont pas accès à de l’eau potable). Mes deux collègues et moi avons par exemple réussi à porter de 2% à 75% les succès des forages d eau au Burkina Faso et nous en sommes bien fiers, et ceci avec une subvention de moins de 400 000$.

      • Guillaume dit :

        Bonjour Paul,

        J’ai poursuivi mes recherches et je viens de réaliser que ce Steve Goddard est lui-même à l’origine, en 2012, du canular (qu’on pourrait maintenant appeler « fait alternatif »), selon lequel la NASA aurai falsifié ses données pour « faire croire à un réchauffement climatique qui n’existe pas en réalité ».

        Ceci a été repris par Steve Doocy sur Fox and Friends en 2014 et, à cette occasion, ça a été totalement déboulonné par Politifact qui a qualifié cette affirmation de « Pantalons en feu ! » (traduction libre de « pants on fire » !), soit le niveau de vérité le plus bas.

        http://www.politifact.com/punditfact/statements/2014/jun/25/steve-doocy/foxs-doocy-nasa-fudged-data-make-case-global-warmi/

        Guillaume

      • Guillaume dit :

        Bonjour Reynald,

        « Comment peut-on « éliminer » la science ? »

        Mon choix de mot était délibérément exagéré pour aller dans le sens du Donald.

        Est-ce que les 30 G$ (si c’est bien 30 G$) auxquels vous faites référence ont été utilisés de façon 100% efficace ? Sûrement pas. Je travaille en R&D et j’observe couramment des dépassements de coûts, de l’inefficacité, des dépenses inutiles, des projets qui résultent en échecs ou qui n’aboutissent à rien, de l’argent qui devrait être dépensé différemment, etc.

        Est-ce à dire que ces 30 G$ n’ont servi absolument à rien ? Vous avez droit à votre opinion, mais je ne suis pas de cet avis. C’est comme si on affirmait que dès le jour 1 où on a commencé à avoir des inquiétudes au sujet du climat, on aurait tout de suite conclure que l’homme n’y est pour rien et/ou qu’il n’y a pas de changement et/ou qu’il n’y a aucun impact. Comment pourrait-on arriver à cette conclusion sans les recherches qui ont été faites jusqu’à maintenant ? Vous faites vous-mêmes références à des données et des études pour démontrer (ou du moins douter) que le RCA n’est pas une réalité. Est-ce que les budgets accordés en ce moment pour le climat sont trop élevés ? J’en ai franchement aucune idée, mais à mon avis il ne faut pas sabrer autant que le suggère votre chercheur du MIT, ni autant que Trump s’apprête probablement à le faire.

        Enfin, vous opposez les budgets de recherche sur le climat à des causes qu’on pourrait considérer plus critiques ou plus urgentes comme l’accès à l’eau potable, comme s’il fallait nécessairement choisir entre les deux. Je vous félicite au passage pour votre accomplissement au Burkina Faso. Mais l’un n’exclut pas l’autre, surtout si on élargit le débat un peu et qu’on considère l’utilisation de l’ensemble du budget des gouvernements, plutôt que se limiter aux budgets pour la recherche scientifique. On n’aurait alors pas fini d’argumenter sur les dépenses qui pourraient être considérées par plusieurs comme moins prioritaires et qui pourraient être attribuées à d’autres fins, telles que la défense, les subventions aux entreprises et aux banques, les subventions pour les artistes, le gouvernement en tant que tel, etc.

        Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        « nfin, vous opposez les budgets de recherche sur le climat à des causes qu’on pourrait considérer plus critiques ou plus urgentes comme l’accès à l’eau potable, comme s’il fallait nécessairement choisir entre les deux. »… EH OUI… les $$$$$ sont limités et il FAUT faire des choix. Compte tenu des résultats lamentables en 30 ans et le milliards gaspillés, et ZÉRO retombée, afin d essayer de prouver le RCA, on constate un échec total donc oui aux crédits de recherche sur l eau souterraine et problèmes comme déchets urbains, faim dans le monde, OGM , cancer etc.. et on coupe le climat $$$$ de 80% à 90% comme le recommande Lindzen… oui aux coupures sévères en climat.. des dizaines de milliers de « chercheurs » au chomage ou en ré-orientation … c est ce que Trump va faire et c est bien.

  124. Robert dit :

    @Guillaume :
    26 janvier 2017 à 11:21

    Effectivement, des organismes bien connus ont manipulé les lectures de température passées pour éliminer celles qui étaient trop basses à leur gout.
    Vous ne vous donnez pas la peine de comparer les anciens graphiques qui donnaient tous des augmentations de température de l’ordre de 0,012 – 0,014 oC/année. J’ai vu des valeurs modifiées à 0,021 oC/année pour les périodes 1910-1944 et 1978-1997.

  125. Guillaume dit :

    Bonjour,

    Un article intéressant dans leSoleil…

    http://www.lapresse.ca/le-soleil/vivre-ici/la-science-au-quotidien/201702/04/01-5066405-le-rechauffement-qui-refroidit.php

    « Mais voilà, c’est justement ce qui est le plus intéressant dans toute cette histoire : le refroidissement de la stratosphère est une belle preuve que l’hypothèse du réchauffement d’origine solaire (le climat serait plus chaud parce que le Soleil rayonnerait plus fort), si chère aux climatosceptiques, est fausse.

    […]

    De la même manière, un Soleil plus chaud augmenterait la température moyenne davantage le jour que la nuit, mais c’est l’inverse qu’on observe : les températures moyennes augmentent 24 heures sur 24, mais davantage la nuit que le jour. C’est cohérent avec un effet de serre accru – les infrarouges et l’effet de serre sont la principale source de chaleur durant la nuit -, mais c’est parfaitement incohérent avec les histoires de Soleil plus actif qu’avant.

    Si les journalistes choisissent d’«ignorer» les thèses climatosceptiques, c’est parce qu’elles sont extrêmement minoritaires parmi la communauté scientifique. Et si elles sont à ce point minoritaires, c’est parce qu’elles sont largement démenties par les faits comme ceux que nous venons de voir. Tout simplement. »

    Guillaume

    • Reynald Du Berger dit :

      « Si les journalistes choisissent d’«ignorer» les thèses climatosceptiques, c’est parce qu’elles sont extrêmement minoritaires « … et les mêmes jounaleux ont aussi choisi d’ignorer les thèses « extrêmement minoritaires » du peuple américain .. et s’entêtent encore… alors vous savez où je me mets l’opinion des journaleux.. et je me la mettais au même endroit bien avant l’élection de Trump.

    • Paul S. dit :

      Monsieur Guillaume,

      Quel argument puissant servi par M. Jean-François Cliche, l’auteur de votre article fétiche dans Le Soleil :
      “.. les journalistes choisissent d’«ignorer» les thèses climatosceptiques, … parce qu’elles sont largement démenties par les faits comme ceux que nous venons de voir. Tout simplement.”

      Après ses 3 ans d’études en Histoire à l’Université de Laval (ref. LinkedIn), M. Cliche sait sûrement de quoi il parle avec cette belle condescendance.

      Un quidam, ne douterait jamais de la valeur d’un bac en Histoire. Après tout, M. Marc-Yvan Côté, avec la même éducation, était un ministre prolifique, ainsi que vice-président influent chez les ingénieurs Roche et Ass. L’Histoire, ça mène à tout, y compris la climato-science.

      Par contre, si j’étais un journaliste objectif, je me garderais une petite gêne avant de faire appel à l’Ouranos en tant que référence scientifique ultime : ce serait un peu comme inviter Dracula à faire l’inventaire d’une banque de sang laissée sous sa garde.

      Maintenant parlons de votre couette climatique Ouranos : en régime continu, elle bloquerait les rayons infrarouges (il me semble qu’il n’y a pas longtemps, vous préconisiez une réémission multidirectionnelle immédiate et cela incluait aussi la direction verticale) et ainsi l’on causerait un refroidissement de la stratosphère.
      Donc, la troposphère accumulerait plus de chaleur (en régime continu !) sans l’augmentation de la température, ainsi que du rayonnement correspondant.
      Avec un apport, minimal de CO2 additionnel, pensez vous que la chaleur spécifique de l’air ait changé pour accommoder votre thèse ?

      L’échange de chaleur en provenance du soleil, se fait principalement (sur 71 % de la surface du globe terrestre) dans l’interface eau – air, alors je me permets de vous suggérer de lire le chapitre 12 de cette référence : “Environmental Fluid Mechanics” par H. Rubin & J. Atkinson, publiée chez Dekker 2001 (ISBN: 0-8247-8781-1).

      Les auteurs y approfondissent les mécanismes de la réception et de la ré-transmission de la chaleur, sans se préoccuper de changements climatiques. En somme, de la science fondamentale, sans aucune éditorialisation.
      Ils traitent de l’effet prépondérant du vent et de la convection, sans pour autant oublier le rayonnement et l’évaporation (2264.8 kJ/kg de H2O, la chaleur latente, cette grande oubliée ..).
      Cela vous aidera à réévaluer l’argument d’un échauffement nocturne significatif, qui n’est peut-être qu’épisodique. Pensez d’abord en termes de la convection et dispersion, au lieu du seul rayonnement.

      Avant la couette climatique d’Ouranos, on croyait que la température de la stratosphère, dépendait de réactions de formation et de bris de molécules d’ozone (mécanismes décrits par S. Chapman). La photolyse et la réformation d’ozone en succession rapide, principalement sous l’effet de rayons ultraviolets causerait l’inversion de la température dans la stratosphère (il fait plus chaud là bas que dans la tropopause, la voisine du bas).

      Juste une question en passant, vos amis d’Ouranos, réunis sous leur couette, ont-ils considéré la réformation récente accrue d’O3 (les trous d’ozone remplis depuis quelques années) dans leur évaluation du refroidissement de la stratosphère ?

      Il y a une autre variable, galactique et solaire, qui influencerait la température de la stratosphère, soit l’énergie portée par le rayonnement cosmique.

      Correlation demonstrated between cosmic rays and temperature of the stratosphere

      Pas si simple à cerner, la température de la stratosphère ou préférez-vous plutôt la couette et chanter Kumbaya avec M. Cliche et Ouranos ?

      À propos, dans un autre ordre d’idées, que pensez vous de théories de H. Swensmark, concernant l’effet du rayonnement cosmique sur l’albédo et le climat terrestre ?

      Placidement,
      Paul S.

      • Reynald Du Berger dit :

        « Par contre, si j’étais un journaliste objectif, je me garderais une petite gêne avant de faire appel à l’Ouranos en tant que référence scientifique ultime : ce serait un peu comme inviter Dracula à faire l’inventaire d’une banque de sang laissée sous sa garde. »

        Votre comparaison est encore plus géniale que ma « poule aux oeufs d’or climatique » . Imaginez un instant un chef politique comme Trump au Québec qui décide des crédits désormais accordés aux parasites climatiques, à ces sangsues vertes dont les subventions prélevées de nos impôts, seront désormais coupées de 80% à 90%…

        Quand on aura mesuré l’effet Trump sur la science climatique et donc sur le climat (qu’on prétend déréglé et qu’on veut régler), et qu’on verra le résultat, nul doute que la médecine de Trump s’étendra au reste de la planète. On devine comment vont réagir les climato-parasites mais comment réagiront les médiasquand ils réaliseront leur errance qui a duré des années? probablement de la même façon qu’ils ont réagi suite à l’élection de Trump qu’ils n’ont pas vue venir.

      • Paul S. dit :

        “Quand on aura mesuré l’effet Trump sur la science climatique et donc sur le climat (qu’on prétend déréglé et qu’on veut régler), et qu’on verra le résultat, nul doute que la médecine de Trump s’étendra au reste de la planète.”

        Cela prendrait des décennies et, de toute façon, on dira que la température globale ne monte plus, malgré Trump, grâce aux actions concrètes des autres chefs d’état éco-responsables.

        Il est prévisible que ces cancres se rebiffent et en fassent encore plus pour compenser le désengagement américain. Pourquoi se gêneraient-ils, nous subissons les ponctions fiscales sans protester.

        À propos, savez-vous où vous pourriez rencontrer vos amis Jean-Luc, Guillaume, Keven et autres porteurs de la vérité climatique, le 22 avril ?

        Un pow-wow vert monstre démontrera aux peuples la turpitude de Trump : http://www.iflscience.com/editors-blog/a-march-for-science-will-take-place-around-the-world-on-april-22-heres-how-to-get-inolved/

        “The march for science” serait une autre démonstration spontanée et pour le souligner on insiste sur l’impartialité éthérée des hommes de science.
        On parle de « March in Washington », au lieu de « March on Washington ».

        Peut-être que cette fois-ci les organisateurs pourraient même se passer d’argent de M. George Soros en utilisant les fonds discrétionnaires des facultés et des organismes de recherche publics.

      • Guillaume dit :

        Bonjour Paul,

        Vous pouvez remettre en question la crédibilité d’Ouranos (et/ou de J-F Cliche) si vous voulez, mais je doute qu’ils soient eux-mêmes exclusivement à l’origine de cette explication. On la retrouve d’ailleurs à d’autres endroits (ex : Met Office) :

        Cliquer pour accéder à Paper1_Observing_changes_in_the_climate_system.PDF

        “Conversely, under anthropogenic greenhouse g as (GHG) induced climate change, the stratosphere is expected to cool. This is mainly because with increased anthropogenic GHG concentrations, the stratosphere can radiate energy more effectively to space. In addition, GHGs trap some of the outgoing thermal (infrared) radiation within the troposphere, reducing the amount of outgoing thermal radiation reaching the stratosphere and therefore the absorption of this heat within the stratosphere. »

        Aussi :

        « en régime continu, elle bloquerait les rayons infrarouges (il me semble qu’il n’y a pas longtemps, vous préconisiez une réémission multidirectionnelle immédiate et cela incluait aussi la direction verticale) »

        J’ai de la misère à suivre votre point au complet, mais au sujet de ma « préconisation de la réémission multidirectionnelle immédiate », c’était pour faire comprendre à Robert que le rayonnement est émis dans toutes les directions (donc aussi vers des corps plus chaud), contrairement à sa compréhension. C’est tout à fait en ligne avec ce qui est cité dans l’article, car lorsque le CO2 absorbe et réémet dans toutes les directions (donc vers le bas mais auss vers le haut), il reste qu’au bilan il y moins d’énergie provenant de la Terre et de la troposphe`re qui se rend dans la stratosphère, d’où son refroidissement. Je ne vois pas où est le problème.

        Au sujet des rayons cosmiques, les observations (pas juste sur la stratosphère) ne semblent pas confirmer cette hypothèse; du moins, ils ne semble pas expliquer tous les changements observés :

        “In summary, studies have shown that GCRs exert a minor influence over low-level cloud cover, solar magnetic field has not increased in recent decades, nor has GCR flux on Earth decreased. In fact, if GCRs did have a significant impact on global temperatures, they would have had a net cooling effect over the past 50 years, especially over the past 50 years when global warming was strongest.”

        L’explication du CO2 me semble encore plus simple et plus crédible.

        O Lord Kumbaya,
        O Lord Kumbaya, Kumbaya

        Guillaume

    • Robert dit :

      @Guillaume :
      5 février 2017 à 10:20

       » le refroidissement de la stratosphère est une belle preuve que l’hypothèse du réchauffement d’origine solaire…. »

      Connaissez vous cette réaction: O3 + UV = 3/2 O2 + Chaleur

      La couche d’ozone absorbe les UV et ce-faisant, produit de la chaleur. C’est cette chaleur qui empêche la stratosphère de trop se refroidir(*). Or, depuis quelques siècles, cette couche d’ozone s’est amincie et dégage moins de chaleur ce qui accélère son refroidissement.

      La stupide explication des réchauffistes est de dire que c’est l’atmosphère qui étant plus chaude empêche la chaleur de s’en aller vers le froid et ainsi de ralentir le refroidissement de la stratosphère…QUELLE IDIOTIE…Qui va contre le deuxième principe de la thermodynamique! Cybol, c’est le contraire qui devrait se produire!

      L’IMMENSE MAJORITÉ DES SCIENTIFIQUES SÉRIEUX N’ACHÈTENT PAS CES THÉORIES (FAUSSES) ….

      (*) EXPLICATION SCIENTIFIQUEMENT ADMISE DEPUIS DES DÉCENNIES!

      Robert#1

      • Guillaume dit :

        Robert,

        « La stupide explication des réchauffistes est de dire que c’est l’atmosphère qui étant plus chaude empêche la chaleur de s’en aller vers le froid et ainsi de ralentir le refroidissement de la stratosphère… »

        Non, vous n’avez pas compris, ce n’est pas l’explication avancée par les réchauffistes pour expliquer ce qu’on appelle « effet de serre » par analogie avec une vraie serre (et non pas selon une comparaison strictement exacte des phénomènes physiques, qui sont différents). Les scientifiques n’affirment pas que c’est « parce que la troposphère EST PLUS CHAUDE que la température à la surface de la Terre se réchauffe et que la stratosphère se refroidit », ce n’est pas ça l’explication, ce n’est pas comme ça qu’il faut l’interpréter.

        Vous n’avez visiblement pas lu (ou compris) mes commentaires vous donnant des explications à ce sujet :

        L’idéologie du réchauffisme : le plus grand scandale de notre époque.

        L’idéologie du réchauffisme : le plus grand scandale de notre époque.

        Au risque de me répéter, aucune loi de la physique n’est violée par les réchauffistes (du moins pas dans ce que vous mettez en doute), pas même dans les explications apportées par M. Cliche dans son article (même s’il ne jouit pas suffisamment de crédibilité, selon certains).

        « L’IMMENSE MAJORITÉ DES SCIENTIFIQUES SÉRIEUX N’ACHÈTENT PAS CES THÉORIES (FAUSSES) …. »

        Vous pouvez toujours continuer à crier mais pouvez vous s.v.p. me donner une référence crédible qui indique l’immense majorité des scientifiques sérieux rejettent l’explication d’un effet de serre causé par le CO2 en invoquant le viol du 2e principe de thermodynamique ?

        Guillaume

      • Guillaume dit :

        Robert,

        J’essaie vraiment de trouver une analogie pour que vous compreniez, mais ce n’est pas évident car peu (ou pas…) de matériaux utilisés couramment ont les mêmes propriétés optiques que le CO2 et autres gaz à effet de serre.

        Imaginez un poste de police avec une salle d’interrogation et une salle d’observation juste à côté. Pour l’instant il n’y a pas de mur entre les deux salles. La salle d’interrogation est fermée avec 3 murs, plafond et plancher (il manque seulement le mur entre les deux salles). On place une fenêtre transparente à 100% entre les deux salles. Pour l’instant, c’est le noir total partout.. On allume une ampoule dans la salle d’observation. La lumière passe à travers la fenêtre et éclaire la salle d’interrogation. Une partie de la lumière frappe successivement les murs, planchers, plafond, etc. Cependant, une certaine partie de la lumière se dirige vers la fenêtre et retourne dans la salle d’observation. Il y a ainsi une certaine clarté constante dans la salle d’interrogation.

        On remplace la fenêtre 100% transparente par un miroir semi-réfléchissant (ça n’existe pas juste dans les films), qui laisse passer 100% de la lumière dans une direction et 0% dans l’autre (miroir parfait). Le côté miroir est du côté de la salle d’interrogation. On a la même ampoule que tantôt. À ce moment, la lumière qui est réfléchie sur les murs de la salle d’interrogation et qui retourne vers le miroir ne retraverse plus dans la salle d’observation ; elle est plutôt réfléchie à son tour et retourne vers la salle d’interrogation. Elle est « captée » ou « trappée » dans cette salle. Il y a par conséquent un plus grand nombre de photons qui demeurent à l’intérieur de la salle d’interrogation (par rapport à la situation précédente), il y fait donc plus clair. Et, du même coup, il y a moins de photons qui retourne vers la salle d’observation, il y fait donc moins clair.

        Mon analogie n’est pas parfaite, mais :
        – Remplacez le miroir semi-réfléchissant par le CO2. C’est similaire car celui-ci transmet bien le visible provenant du Soleil et absorbe une bonne partie de l’infrarouge réémis par la Terre.
        – Au lieu de « réfléchir » simplement la lumière (comme un miroir), le CO2 absorbe l’infrarouge et réémet de la chaleur par rayonnement dans toutes les directions (haut, bas, gauche, droite, bref, 4 pi steradians). Ça a un effet similaire à un miroir « imparfait » car une certaine partie de la lumière retourne vers la Terre au lieu de retourner directement dans l’espace (ou la salle d’observation). Ce n’est pas 100% (car, entre autres, ça va dans toutes les directions, donc aussi l’espace…), mais même si c’est une fraction plus ou moins importante (même seulement quelques %…), il reste que par rapport à la situation initiale, une certaine partie de l’énergie qui retournait initialement dans l’espace est maintenant redirigée vers la Terre. Certains disent qu’elle « trappée » ou « captée », d’où l’analogie avec une couverture.

        Vous remarquerez dans mon analogie que c’est indépendant de la température du miroir semi-réfléchissant. Ce n’est pas PARCE QUE le miroir se réchauffe qu’il éclaire mieux la salle d’interrogation et éclaire moins bien la salle d’interrogation. Par analogie, c’est la même chose avec la couche de CO2 : ce n’est pas PARCE QU’elle se réchauffe qu’elle aide à réchauffer la Terre et à refroidir la stratosphère (ce qui pourrait être interprété, effectivement, comme une violation du 2e principe de thermodynamique), mais plutôt parce qu’elle agit un peu comme un miroir semi-réfléchissant, d’une certaine manière, à cause de ses propriétés de transmission et d’absorption qui sont différentes selon la longueur d’ondes (visible vs. Infrarouge).

        Guillaume

      • Paul S. dit :

        J’espère que dans la salle d’interrogation de la police pour les climatosceptiques, proposée par M. Guillaume, il n’y ait pas de bottins téléphoniques trop épais qui traînent.

        Il faudrait pas trop endommager les profs Reynald et Robert, avant de les shipper au Camp de rééducation d’Ungawa.

        Mais j’estime, que les observateurs d’Ouranos, assis dans la salle d’observation, derrière le miroir sans tain, ne permettraient pas cela..

      • Paul S. dit :

        M. Robert Premier,

        Vous dites : “L’IMMENSE MAJORITÉ DES SCIENTIFIQUES SÉRIEUX N’ACHÈTENT PAS CES THÉORIES (FAUSSES) ….”
        Le terme clé : “SCIENTIFIQUES SÉRIEUX” !!

        Un journaliste formé en histoire et activiste en climato-peurologie, demande des faits probants pour son article de vulgarisation scientifique à l’autorité suprême – le consortium Ouranos :
        https://www.ouranos.ca/notre-histoire/
        http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/453978/changements-climatiques-quebec-accorde-5-17-millions-au-consortium-ouranos
        http://www.directioninformatique.com/financement-de-canarie-pour-le-crim-et-ouranos/43887
        (NOTE : SCANDALEUX, le gaspillage de fonds publics dans cet Ouranos INUTILE, pendant que le Gouvernement Couillard économise sur les couches pour les aînés dans les CHSLD. L’Ouranos ne fait pas de la recherche, leur business, c’est la vulgarisation / propagande.)

        Une dame Dominique Paquin, MSc (http://www.mrcc.uqam.ca/membre.php?pkMembre=42) s’exécute et pond un argumentaire bancal, comme la couette climatique, les nuits plus chaudes (où ?, humidité ambiante ?, présence de nuages ?, vents, etc.., etc..) et le refroidissement stratosphérique par manque de chaleur montante.

        Bien entendu, en constatant que cela ne tient pas debout, les scientifiques qui supportent la SUPERCHERIE CLIMATIQUE, nous affirmeront qu’il s’agissait de schématisation pour que les béotiens puissent comprendre des mécanismes beaucoup trop compliqués pour eux. Exactement, comme pour les croquis illustrant le bilan radiatif de la Terre.

        De la propagande triviale, qu’un scientifique en mission nous propose à titre de preuve béton.

        Paul S.

  126. Paul S. dit :

    Maître Guillaume,

    Vous dites : “.. il reste qu’au bilan il y moins d’énergie provenant de la Terre et de la troposphe`re qui se rend dans la stratosphère, d’où son refroidissement. Je ne vois pas où est le problème.”

    La couette Ouranos : le gaz carbonique, par son effet de serre, diminuerait au niveau de la stratosphère l’intensité du rayonnement infrarouge ascendant et ainsi réduirait la température ambiante.
    Ceci devrait concerner surtout la bande comprise entre 15 et 20 µm.

    La majeure partie d’ozone se trouve dans les couches inférieures de la stratosphère, entre 20 et 40 km, donc en première ligne d’interception des rayons ascendants.
    La bande interceptée par CO2 n’est pas très appétissante pour O3. Celui-là est plutôt excité par les photons groupés autour de 10 µm.

    Pensez-vous que la superposition mineure de bandes absorbantes (CO2 vs O3) autour de 5 µm justifie l’effet de couette Ouranos ?

    Il y a d’autres gaz en état de traces dans la stratosphère. Sont ils mis à contribution par l’Ouranos ?

    Pensez-vous vraiment que pour expliquer le régime calorimétrique dans la stratosphère on devrait faire plus confiance à l’Ouranos, des climatologues engagés, qu’à M. Sydney Chapman, parce qu’il n’était qu’un mathématicien ? Donc très bas sur le Totem de Sciences climato-sensibilisées.

    À moins de prétendre que le CO2 additionnel causerait une sur-activation de l’effet de serre par les molécules d’eau, pour absorber davantage les radiations autour de 10 µm.

    Je sais que comparativement, il y a beaucoup plus de molécules dans les basses couches de la troposphère, que dans toute la stratosphère, mais dans tout ça on parle d’effet différentiel, mesuré sur les dernières décennies, où justement la température atmosphérique dans la troposphère stagne.

    Salutations kumbayistes,
    Paul S.

    N.B.:

  127. Robert dit :

    Guillaume;

    Il y a trois formes de transport de la chaleur:

    1) Pa convection: Vous entrez dans votre chalet en hiver et in fait 5 oC. Vous chauffer le poêle à bois et vous générez de la chaleur qui réchauffe l’air au niveau du sol. Cet air étant plus chaude est donc moins dense. Étant moins dense, celle-ci monte au plafond ce qui réchauffe l’air au plafond. Ne pensez-vous pas que cela se produit aussi au niveau de l’atmosphère terrestre(*).

    2) Par conduction: Lorsque vous chauffez votre poêle, celui-ci émet de la chaleur et une bonne partie est captée par des molécules (O2, N2, Ar, H2O, CO2…) qui soudainement se mettent à voyager plus vite (transforment cette chaleur en énergie cinétique). Les molécules ayant plus d’énergie cinétique s’adonnent à rencontrer d’autres molécules (plus lentes) et qui donc, ont moins d’énergie. Par COLLISION, les molécules ayant plus d’énergie vont transférer une partie de leur énergie aux molécules lentes c’est le phénomène de la conduction. Dans un gaz, ce mécanisme est cependant moins important en raison de la distance intermoléculaire qui est beaucoup plus grande que dans un solide, par exemple.

    3) Par radiation: Maintenant, supposons que votre poêle a une vitre. Imaginons que cette vitre laisse passer une certaine partie des rayons infra-rouge. Remarquez que le verre bloque la majorité des rayons IR. Ces radiations constituent un autre mode de transport d’énergie. Sauf que ces radiations ont la propriété de provenir de transitions entre les niveaux de vibration et de rotation moléculaires. Imaginez juste un instant qu’il n’y a pas de CO2 dans l’air du chalet. Moi je vous dit que l’air va quand même se réchauffer et, …principalement par convection.

    Le gros problème de cette gang d’immature scientifique, c’est qu’ils ne considèrent que le mode de transfert de chaleur par radiation. C’est-à-dire le mode qui fait leur affaire. Si ces manipulateurs avaient dit que l’air chaud s’en allait en dessous de l’air froid (convection inversée) pour expliquer leur stupide avancée, personne ne les aurait cru. Alors, ils prennent un phénomène quantique (transfert d’énergie d’un niveau à un autre)…beaucoup plus difficile à comprendre et donc à réfuter!

    Robert#1

    (*) Le phénomène de convection se produit aussi sur la terre. Cependant, à mesure que l’on monte en altitude, il y a de moins en moins de molécules de O2 et de N2 pour entretenir la convection et celle-ci s’arrête à un moment donné. En fait, c’est peut-être ce qui constitue l’effet de serre…finalement?

    • Guillaume dit :

      Robert,

      « Imaginez juste un instant qu’il n’y a pas de CO2 dans l’air du chalet. Moi je vous dit que l’air va quand même se réchauffer et, …principalement par convection. »

      Vous avez parfaitement raison. L’air va se réchauffer et, en supposant qu’on continue à alimenter le foyer en bois de façon continue et uniforme, il va éventuellement s’établir un équilibre et le chalet va atteindre une certaine température, disons 20 deg C.

      Mais, si à ce moment on ajoute du CO2, on va briser cet équilibre. Il y aura effectivement moins radiations qui vont quitter le chalet (en supposant que les murs du chalet sont transparents aux infrarouges…). Et c’est là que la température du chalet va augmenter au moins un peu. Les autres mécanismes (conduction / convection) ont beau dominer largement, il reste que le CO2 va avoir un influence sur la température finale, à l’équilibre, du chalet.

      On peut se questionner sur la quantité de CO2 requise pour faire augmenter la température de quelques degrés, et certains argumentent que la concentration de CO2 dans l’air est négligeable pour avoir quelconque effet, mais il n’en demeure pas moins qu’à partir d’une certaine quantité de CO2, la température du chalet augmente.

      « Le gros problème de cette gang d’immature scientifique, c’est qu’ils ne considèrent que le mode de transfert de chaleur par radiation »

      Je suis convaincu que les climatologues n’ignorent pas complètement les autres mécanismes pour expliquer les phénomènes climatiques, de façon générale. Mais pour expliquer l’effet de serre, c.-à-d. le fait qu’un certaine quantité de chaleur supplémentaire est « trappée » dans l’atmosphère lorsqu’on y ajoute du CO2, c’est la uniquement la radiation qui intervient. La convection va entraîner des déplacements de chaleur à l’intérieur de l’atmosphère et à échanger de la chaleur entre l’atmosphère et la surface de la Terre, mais c’est un mécanisme indépendant de l’effet de serre « atmosphérique » (à ne pas confondre avec le « vrai » effet de serre d’une vraie serre où c’est la convection le long des parois qui contribue à garder la chaleur à l’intérieur de la serre).

      Guillaume

      • Reynald Du Berger dit :

        Je trouve cette discussion sur les modes de transfert de chaleur intéressante, mais elle dépasse mes modestes éléments de thermodynamique que j ai acquis à l’université. J’aimerais cependant connaître vos avis sur le résumé de Benoît Rittaud sur l’affaire K15 , qui va sûrement être sur la sellette à la conférence de Washington de mars sur le climat, à laquelle je serai présent. https://duberger.me/2017/02/10/plateau-de-temperatures-le-point-sur-la-nouvelle-controverse-k-15/

      • Paul S. dit :

        Mes modestes connaissances en “Transmission de la chaleur”, enseignée en tant que matière autonome à l’École Polyvalente de la Vie, me feraient croire que l’équilibre thermique dans la pièce de Robert Premier n’a pas besoin de radiation pour s’établir.
        C’est la température à l’extérieur qui produirait le différentiel du potentiel thermique (T2-T1) et la conduction à travers les murs se chargera du reste.
        La convection naturelle, le long des parois jouerait un rôle mineur, sauf si elle devenait forcée par l’effet du vent sur le mur extérieur. Pas de radiation ici.
        (NOTE : un des murs extérieurs, s’il était exposé au rayonnement solaire, pourrait être plus chaud que les autres et le flux thermique serait différent à travers ce mur là.)

        À l’intérieur de la pièce, le CO2 n’augmenterait pas la séquestration de la chaleur par un effet de serre radiatif (absorption de rayons infrarouges et leur réémission vers le poêle et les murs), mais plutôt par l’ajout de sa masse à celle de l’air déjà présent pour accumuler de la chaleur. Le CO2 ne peut pas la créer.

        Ref. en ce qui concerne la calorimètrie : Chimie – Secondaire 5. L’an dernier, j’ai aidé ma nièce à maîtriser cette matière.
        Voici un complément de connaissances pour M. Guillaume : http://www.alloprof.qc.ca/BV/Pages/c1025.aspx

      • Guillaume dit :

        Paul,

        Vos explications ne sont pas dénuées de sens, mais le problème c’est que l’analogie avec le chalet a ses limites… Il n’y a pas d’échange de chaleur par conduction/convection entre l’atmosphère et l’espace car l’espace est vide (ou presque). Le seul transfert de chaleur vers l’espace s’effectue par radiation. La température moyenne de la Terre se stabilise lorsque la radiation vers l’espace est égale à la radiation qui provient du Soleil, car si ce n’est pas égal, la Terre se réchauffe ou se refroidit par accumulation ou perte de chaleur, jusqu’à ce qu’un nouvel équilibre soit atteint et que la température se stabilise à nouveau.

        Revenons à notre chalet. Si une fois que la température s’est stabilisée on ajoute une couche d’isolant sur les murs, moins de chaleur quitte le chalet (par conduction), donc la température augmente jusqu’au point où il fait tellement chaud dans le chalet qu’il finit par y avoir suffisamment de chaleur qui parvient à traverser l’isolant à cause du gradient de température à travers l’isolant qui devient plus élevé (pour une même puissance de foyer). Un nouvel équilibre est alors atteint, où la température est quelques degrés plus élevée qu’avant de mettre l’isolant.

        Le CO2 agit un peu comme un isolant, en permettant de garder une quantité de chaleur supplémentaire dans l’atmosphère, mais via un transfert de chaleur radiatif et non pas conductif/convectif. Remarquez que j’ai bien écrit « en permettant de garder » et non pas « en gardant » la chaleur, car ce n’est pas la couche de CO2 qui est chaude en soit (et qui réchauffe à son tour l’atmosphère et la surface de la Terre), de la même façon qu’un isolant permet de garder la chaleur à l’intérieur du chalet sans être lui-même chaud…

        Je pousserai même l’analogie plus loin. Au moment où on ajoute l’isolant, l’air qui entoure le chalet va se refroidir car le chalet conserve mieux sa chaleur. C’est exactement ce qui est observé dans la stratosphère.

        Guillaume

      • Paul S. dit :

        Maître Guillaume,

        ref. : https://duberger.me/2016/10/16/lideologie-du-rechauffisme-le-plus-grand-scandale-de-notre-epoque/#comment-42478

        Je ne parlais que de votre affirmation “qu’à partir d’une certaine quantité de CO2, la température du chalet augmente.”, et que cela serait dû au ping-pong radiatif entre les molécules du CO2 et les parois du chalet.

        C’est faux, car votre gaz honni ne crée pas d’énergie.

        En très grande quantité (en remplacement d’une partie d’air standard), le CO2 modifierait la température dans la pièce, par la contribution maintenant plus importante de sa “capacité thermique massique” (“Ci”) : Tfinale = (Ʃ(Mi x Ci x TIi)) / (Ʃ(Mi x Ci)), i étant un indice (de 1 à n) associé à chaque gaz présent dans la pièce.
        Pas à cause du ping-pong radiatif, mais d’effet calorimétrique.

        Pourquoi, cela ne serait pas aussi le cas dans la basse troposphère ?

        Un isolant dans le mur est un ralentisseur passif et contrairement à votre affirmation on peut établir un profil de température à travers les diverses couches d’isolant. C’est la nature même de la conduction.

        Enfin, c’est carrément loufoque d’affirmer qu’un ping-pong radiatif joué par des molécules de CO2 à l’intérieur du chalet causerait une diminution de la température à l’extérieur des murs.

        Dans la même veine, vous dites à propos de l’atmosphère terrestre : “.. ce n’est pas la couche de CO2 qui est chaude en soit (et qui réchauffe à son tour l’atmosphère et la surface de la Terre), ..”.

        Il n’y a pas de couche discrète de CO2, ces molécules sont dispersées dans l’air et après quelques collisions avec les voisines (les plus probables étant l’azote et l’oxygène) leur température sera celle de l’air ambiant et elles participeront à la convection, comme les autres.

        Peut-être, pour y voir clair, un petit ressourcement, sous leur couette, avec vos amis d’Ouranos ?

        Bon repos,
        Paul S.

      • Guillaume dit :

        Paul,

        « ..et que cela serait dû au ping-pong radiatif entre les molécules du CO2 et les parois du chalet. C’est faux, car votre gaz honni ne crée pas d’énergie. »

        Non, le ping-pong n’est pas entre le CO2 et les murs extérieurs mais plutôt entre le CO2 et l’intérieur du chalet. En fait, non, désolé, c’est inexact : le ping-pong n’est pas entre les molécules de CO2 en tant que telles, mais avec les photons qui les atteignent. C’est ça qui semble difficile à faire comprendre. Ce n’est pas l’énergie cinétique des molécules de CO2 qui crée l’effet de serre.

        Le CO2 ne crée pas n’énergie, en effet, mais il contribue à bloquer et retourner une partie de l’énergie vers la Terre, par rayonnement. J’ai l’impression de me répéter, mais bon.
        Le CO2 est en fait lui-même le joueur de ping-pong, disons un joueur moyen, qui attrape une partie des balles (photons) qui lui parviennent de la surface de la Terre et les renvoie dans toutes les directions (comme tous les corps émettent par rayonnement dans toutes les directions). Il pourrait ne conserver aucune énergie supplémentaire et sa température pourrait rester stable, ça n’a aucune importance, l’effet serait le même. S’il n’y pas de joueur de ping-pong, toutes les balles finissent pas se retrouver dans l’espace. Si on met un seul joueur, certaines balles retournent vers la Terre. Plus on met de joueurs, plus de balles retournent vers la Terre. Au bilan, on se retrouve globalement avec plus de balles dans l’atmosphère et à la surface de la Terre, et même si les joueurs ne gardent aucune balle dans leur poche (et que leur température reste la même). Et les joueurs ne créent pas eux-mêmes de balles, ils ne font que les rediriger.

        Il me semble que cette analogie est assez facile à comprendre.

        Guillaume

    • Paul S. dit :

      Bonjour M. Guillaume,

      Restons dans le chalet, sans nous éparpiller. C’était ça l’analogie de Robert Premier.
      Dans le ping-pong radiatif improbable, les photons seraient les balles et les molécules de CO2 joueraient contre les molécules de la peinture sur les murs intérieurs, ainsi que sur le poêle.

      Souvenez-vous, dans sa sagesse, le Premier avait soumis : “Imaginez juste un instant qu’il n’y a pas de CO2 dans l’air du chalet. Moi je vous dit que l’air va quand même se réchauffer et, …principalement par convection.”

      M. Robert Premier avait inclus la radiation par un hublot transparent aux rayons infrarouges.

      Même sans l’hublot, les surfaces externes du poêle émettraient des photons vers la pièce. Le taux d’émission serait proportionnel à l’aire des surfaces, à leur émissivité (couleur) et à (Tpoêle)**4.

      En même temps, l’air en contact avec le poêle (et sa cheminée) recevrait de la chaleur par contact direct, principalement par la convection.
      Le taux de transmission par le mouvement convectif serait directement proportionnel à l’aire des surfaces, leur température – température de l’air ambiant et à la conductance convective (“Hc”) :
      Qc = A x Hc x (Tpoêle – Tair)

      Pour comparer l’importance relative des deux modes de transmission de la chaleur, on peut déterminer un coefficient de transfert radiatif “Hr” équivalent :
      Qr = A x Hr x (Tpoêle – Tmurs)

      Qt = Qc + Qr

      Sans aucun doute, Robert maximiserait le coefficient Hc en dirigeant le flux d’un ventilateur sur son poêle et la convection serait le mode principal d’extraction de la chaleur du poêle.

      Toutes les molécules d’air, y compris le CO2, vont avoir leur énergie interne plus élevée tel que prédit par M. Robert, sans la contribution d’un effet de serre radiatif dans la pièce.

      Il faudrait que vous invitiez monsieur Robert Premier chez l’Ouranos et peut-être qu’à force de l’assommer avec des kumbayas sous votre couette, il vous concéderait quelque chose, mais sûrement pas l’effet de serre radiatif (de ces réchauffistes honnis) dans son chalet.

      Kumbayament,
      Paul S.

  128. Robert dit :

    Guillaume;

    Vous avez bel et bien écrit:

    « Au moment où on ajoute l’isolant, l’air qui entoure le chalet va se refroidir car le chalet conserve mieux sa chaleur. »

    Ouf…Ayoye!

    Le froid n’existe pas…Le saviez vous. Si je comprend bien, il fait -10 oC dehors (Lu sur thermomètre sur une de vos fenêtre). Vous ajoutez de l’isolant sur vos murs intérieurs et lorsque la job est fini, la température dehors est de maintenant mettons -12 oC parce que le chalet est mieux isolé! C’est la température intérieure de votre maison qui dicte la météo qu’il fera dehors? Durant les années 70-80, les gouvernements ont lancé des programmes pour isoler les maisons et édifices. Normalement, selon vos dire, cela aurait du provoquer du refroidissement plutôt que du réchauffement.

    Dans le cas de la troposphère, une couche atmosphérique contenant plus de vapeur d’eau et de CO2 fera tout simplement ralentir le transfert de chaleur de la troposphère vers la tropopause (-56 oC), ce qui aura pour effet de réchauffer celle-ci…Ça ne refroidira pas la tropopause et la stratosphère! Au contraire, si la température de la troposphère est plus élevée, la différence de température entre la stratosphère et la troposphère sera plus grande ce qui aura pour effet d’augmenter la vitesse de transfert de chaleur et donc de réchauffer plus fortement la stratosphère …pas de la refroidir!

    • Guillaume dit :

      Robert,

      Encore une fois, l’analogie avec le chalet a ses limites. Je parle de la couche d’air qui entoure immédiatement le chalet et non pas de l’atmosphère au complet. La surface du mur extérieur sera plus froide si le chalet est mieux isolé et, par conséquent, la couche d’air qui est juste à côté du mur (les premiers centimètres) sera aussi plus froide qu’elle l’était initialement sans isolant (et non pas plus froide que l’air ambiant où se trouve le chalet… vous avez mal compris ce que je voulais dire).

      Par exemple :

      – Sans isolation : air du chalet à 20 deg C, mur intérieur à 20 deg C, mur extérieur à 10 deg C, air juste à côté du mur à 10 deg C (il n’y a pas de discontinuité dans les températures), et ensuite il y a un gradient jusqu’à la température extérieure, disons – 10 deg C.

      – Avec isolation : air du chalet augmente à 22 deg C, mur intérieur à 22 deg C, mur extérieur à 5 deg C (car gradient à travers le mur plus grand à cause de l’isolant), air à côté du mur à 5 deg C, et ensuite un gradient jusqu’à la température extérieure, -10 deg C.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Paroi_(construction)

      Guillaume

  129. Robert dit :

    Guillaume;

    Vous avez écrit:

     » Il n’y a pas d’échange de chaleur par conduction/convection entre l’atmosphère et l’espace car l’espace est vide (ou presque). Le seul transfert de chaleur vers l’espace s’effectue par radiation. »

    C’est totalement faux. Il y aura de la convection tant qu’il restera des molécules d’air. Au niveau du sol, il y a 42300 moles d’air( 15 oC et 101,3 Kpa 17 moles de CO2). À 10 000 mètres, il reste 14 000 moles d’air (-50 oC et 26 Kpa et 5.7 moles de CO2). De toutes façons, l’effet de serre se produit à des altitudes beaucoup plus basses que 10 000 mètres…Il en reste encore plus haut.

    Les nuages à cristaux de glace (cumulus?) se font par la détente adiabatique de l’air humide jusqu’à 5000 mètres!

    • Robert dit :

      Les données de mon post du 13 Février 2017 12:53 valent pour un volume de 1000 mètres Cube!

    • Guillaume dit :

      Robert,

      « C’est totalement faux »

      Dans cette analogie, « l’espace » auquel je fais référence est l’espace où il ne reste pratiquement plus de molécules de quoi que ce soit et qu’il n’y a donc pratiquement plus d’échange par conduction et convection.

      La température d’équilibre d’une planète est atteinte lorsque la radiance qui lui provient du Soleil est égale à la radiance qui retourne vers l’espace. Le modèle d’un corps noir peut être utilisé pour calculer la température d’une planète sans atmosphère. Pour une planète qui a une atmosphère, la convection et conduction rendre plus complexe évidemment le calcul de la température d’équilibre car le rayonnement réémis par la Terre ne va pas directement dans l’espace mais est absorbé en partie par l’atmosphère (eh oui, c’est le fameux effet de serre dans l’atmosphère qui nous permet d’avoir une température moyenne qui ne varie pas trop, contrairement à la Lune, par exemple). Mais le principe est le même, en bout de ligne c’est un équilibre entre les radiances qui entre et qui sort qui établit l’équilibre.

      Finalement, en 1ere approximation, l’altitude à la quelle se retrouve le CO2 n’a pas vraiment d’importance : peu importe où il se trouve (même au milieu de l’atmosphère), il contribue à retourner une partie de la radiance vers l’atmosphère qui se trouve sous lui et donc aussi vers la surface de la Terre (radiance qui autrement aurait continué son chemin vers l’espace, en passant à travers la couche d’atmosphère en plus haute altitude), ce qui en bout de ligne fait augmenter la chaleur (et éventuellement la température) de l’atmosphère, de la surface de la Terre, des océans, ou une combinaison quelconque de tout ça.

      Guillaume

      • Robert dit :

        Guillaume;

        À 10 000 mètres, est-on encore dans l’espace? Oui, c’est la frontière de la troposphère. Il y a encore 36% de l’air qu’il y avait au niveau de la mer. …Donc il reste encore une bonne concentration de O2 et N2. Le problème de cette gang, c’est qu’elle nous abreuve de faussetés depuis des décennies. Comme prétendre que le seul moyen de transport de l’énergie vers les zones froides de l’espace c’est par radiation…et pas n’importe laquelle radiation, la maudite longueur d’onde du CO2 et d’autres grenailles négligeable comme le méthane et le N2O. Tout le reste …On le balance.

        Vous, vous ne faites que répéter le crédo des verts (*).

        Robert #1

        *: Allez voir du côté de la théorie cinétique des gaz.

  130. Robert dit :

    Guillaume;

    La chaleur spécifique, cela vous dit quelque chose? Je vais vous la redéfinir:

    « La chaleur spécifique d’un composé donné (Solide, liquide ou gaz) est la quantité de chaleur nécessaire (Mettons en KJ/Kg*K) pour réchauffer 1 Kg de cette substance de 1 oC(ou 1 oK). Voici les valeurs pour les principaux gaz composant l’air à 288 oK:

    Azote: 1,04
    Oxygène: 0.918
    Argon: 0.523
    CO2: 0.824
    Eau: 1.86

    Vous voyez tout de suite que la capacité de capter et d’emmagasiner de l’énergie pour le CO2 c’est moins que la moitié de celle de l’eau. (1,86/0.824= 2,26). Maintenant, il faut aussi considérer les concentrations. La capacité totale, c’est égale au produit: (Concentration (%)*masse d’air*Chaleur spécifique (Cp)* delta t). Vous constatez que le CO2 est de loin très inférieur aux autres quant à son pouvoir de retenir de la chaleur. La chaleur spécifique de l’eau (océans) est de 4,0 Kj/Kg*K. En fait la chaleur spécifique moyenne de l’air contenant 50% d’humidité est de 1,5 KJ/Kg*K.
    Si vous faites de simples calculs (avec de l’air sec), et en utilisant le produit %*masse*Cp*réchauffement, vous constaterez que l’azote capte 80.4% de l’énergie, l’oxygène 19,1%, l’Argon 0.49% et le CO2, 0.03%. Enlevez le CO2 et cela ne changera absolument rien aux pourcentages. Pourtant, l’azote, l’oxygène et l’argon n’absorbent aucune radiation infra-rouge…tel que tant décrit par les réchauffistes. Ces trois molécules captent de la chaleur (car il s’agit bien de chaleur) pour réchauffer le chalet en augmentant leur vitesses de translations…principalement.

    J’ai des choses à dire à propos de l’article de Benoit Rittaud. Cet article de Rittaud démontre jusqu’à quel point toute cette histoire de réchauffement (rebaptisé changement) est truffée de tricheries. Leur argument massue: « Oh oui, nous savons que ça ne fonctionne pas mais nous avons des calculs beaucoup plus complexes qui prouvent nos avancées »…Ils ne les divulguent jamais. Comment une revue aussi prestigieuse que « Science » peut-elle embarquer dans de pareilles bouffonneries. Et le 0,12 oC qui représente le biais entre les valeurs des bouées (Les plus justes) et les bateaux (fausses). Au lieu d’enligner les valeurs fausses(bateaux) sur les valeurs fiables (Bouées) ils ont fait le contraire. Évidemment, cela a eu pour effet d’augmenter leur sacro-saint réchauffement! Et la déclaration du retraité John Bates du NOAA!

    Je vais y revenir;

    Robert #1

    • Guillaume dit :

      Robert,

      «La chaleur spécifique, cela vous dit quelque chose? […] Vous voyez tout de suite que la capacité de capter et d’emmagasiner de l’énergie pour le CO2 c’est moins que la moitié de celle de l’eau. »

      Il commence à se faire tard et il faudrait que je fouille un peu plus, mais il me semble que la chaleur thermique massique n’a aucune importance, ou du moins, les calculs que vous faites avec ne sont pas pertinents. La chaleur thermique massique indique l’augmentation de température d’une matière pour une certaine quantité d’énergie qu’on lui apporte, mais ça n’indique aucunement si cette matière est capable ou non d’absorber facilement le rayonnement (selon la longueur d’onde), et c’est ça qui est important.

      Ce qui est important, ce sont essentiellement les propriétés radiatives d’une matière (voir potentiel de réchauffement global). En effet, un gaz pourrait avoir une chaleur thermique massique très faible et quand même contribuer significativement à l’effet de serre s’il absorbe 100% des rayons infrarouges dans une certaines bande (et qu’il en réémet par conséquent une certaine quantité dans toutes les directions). L’augmentation de la quantité de chaleur et de la température du CO2 en tant que telle n’a pas d’importance.

      Quant aux concentrations relatives, encore une fois c’est un argument utilisé régulièrement par les réalistes, mais c’est encore une fois fallacieux et non pertinent. Premièrement, c’est l’augmentation absolue de la quantité de CO2 qui est importante, pas sa concentration par rapport aux autres gaz. Ensuite, même à de faibles concentrations, le CO2 peut (il a) un effet significatif. Prenez-le à l’inverse : éliminez complètement les 300-400 ppm qu’il y a présentement dans l’atmosphère et l’impact sur la température serait significatif (ex : forte corrélation entre la température et les variations naturelles de CO2 au cours des derniers 400 000 ans).

      Guillaume

      • Robert dit :

        Guillaume;

        SVP: Prouvez ce que vous avancez. Ce que vous avez écrit est un paquet de faussetés!

  131. F.gagnon dit :

    La part du co2 anthropique est plus proche de 20% et non 5% conne vous l’affirmez.

  132. Robert dit :

    Guillaume;

    Vous avez écrit:

    « La chaleur thermique massique indique l’augmentation de température d’une matière pour une certaine quantité d’énergie qu’on lui apporte, mais ça n’indique aucunement si cette matière est capable ou non d’absorber facilement le rayonnement (selon la longueur d’onde), et c’est ça qui est important. »

    Je récidive:

    « …indique l’AUGMENTATION DE TEMPÉRATURE D’UNE MATIÈRE pour une certaine QUANTITÉ D’ÉNERGIE qu’on lui apporte… »

    Puis;

     » …mais ça n’indique aucunement si cette matière est capable ou non d’absorber facilement le rayonnement (selon la longueur d’onde)… »

    Quelle différence y a-t-il?

    Je récidive-Bis;

    Trois modes de transport d’énergie:

    1) Convection (différence de densité). L’air chaud générée au sol étant moins dense va chercher à remonter au dessus des couches d’air froides situées plus hautes.
    2) Conduction (collision moléculaire. Une molécule à haute vitesse frappe une molécule plus lente et lui communique ainsi une partie de son énergie)…Associé au mouvement Brownien!
    3) Radiation (Une radiation IR (ou autre) avec la bonne bande de longueur d’onde est absorbée par transition dans les vibrations (ou rotations) moléculaires.

    On ne s’en sort pas.

    Enlevez tout le CO2 et la vapeur d’eau de l’atmosphère et vous aurez encore de l’effet de serre. En fait, c’est la masse de l’atmosphère qui constitue l’effet de serre. C’est cette masse enrobant la terre qui garde la chaleur!

    En passant: Le Dr Roy Spencer mesure la température de l’atmosphère en mesurant (Thermocouple au platine) l’intensité des micro-ondes émises par l’oxygène de l’atmosphère! Ses thermocouples sont calibrés au sol dans son laboratoire avant d’être envoyés avec le satellite ….Alors…PLEASE…Lâchez nous avec le CO2!

    Robert#1

    • rejean tremblay dit :

      POUR ROBERT OU R. DUBERGER:

      « Enlevez tout le CO2 et la vapeur d’eau de l’atmosphère et vous aurez encore de l’effet de serre. »

      R: Oui, parce que le N2O et le CH4 en sont aussi!!!

      « En fait, c’est la masse de l’atmosphère qui constitue l’effet de serre. C’est cette masse enrobant la terre qui garde la chaleur! »

      Q: si l’effet de serre est seulement une question de masse de l’atmosphère, pourquoi au Jurassique il faisait si chaud sur la planète malgré une luminosité plus faible du Soleil?

      NOTE: Je présume que R. Duberger adhère totalement au propos de Robert #1 car il ne critique aucun de ces écrits. c’est pour cela que je vous adresse aussi des questions

  133. Robert dit :

    Réjean Tremblay;

    « R: Oui, parce que le N2O et le CH4 en sont aussi!! »

    Il y a 0.00017% de CH4 et 0.000004 de N2O…À coté de cela, 21% d’O2 et 78 % d’azote…Vous ne trouvez pas que le méthane et le N2O font parents pauvres. …Il vous manque des notions de concentration. Le CH4, on ne le voit même pas sur un spectre IR d’air tellement il y en a si peu…Une insignifiance!

    Votre question n’a pas de sens…Soyez plus précis!

    Robert #1

    • rejean tremblay dit :

      c’est votre remarque qui n’a pas de sens…. le pourcentage de CO2, H2O, CH4 ou N2O par rapport à l’ensemble des gazs de l’atmosphère (N2 et O2 surtout) n’explique rien !

      je repose ma question

      Q: si l’effet de serre est seulement une question de masse de l’atmosphère, pourquoi au Jurassique il faisait si chaud sur la planète malgré une luminosité plus faible du Soleil?

      selon vous il n’y a pas d’effet de serre ni aujourd’hui , ni au Jurassique ?

      le PRG ça vous dit quelque chose ?

      • Paul . dit :

        Bien avant la très savante Radio Canada (http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/560574/dinosaures-flatulences-rechauffement), notre grand trésor national de sagesse, M. Ralph Klein, avait attribué le réchauffement climatique du jurassique aux pets de dinosaures (“dinosaur farts”).

      • Robert dit :

        Contentez vous du film « Parc Jurassique »

        Je vous ai tout expliqué en utilisant presque toutes les données dont nous disposions. Entre autre les modes de transport de chaleur. Je vous parle d’un déluge et vous m’arrivez avec l’influence d’un petit ruisseau sur ce déluge. ….Je ne peux rien faire de plus!

        Robert #1

  134. rejean tremblay dit :

    et les pets de dinosaures c’est quoi ? du méthane !

    mais ma question n’a pas été répondu par R. Duberger ou R. #1

    • Reynald Du Berger dit :

      quelle était cette question ? si je peux en un paragraphe je répondrai, sinon envoyez-moi un message privé avec votre email et je vous enverrai mon no. de téléphone afin de le faire de vive voix… j’ai le clavier paresseux…

  135. rejean tremblay dit :

    Je repose mes questions et vous demande juste un petit effort de clavier. Oui ou non … avec ou sans explication comme vous voulez.

    Q: si l’effet de serre est seulement une question de masse de l’atmosphère, pourquoi au Jurassique il faisait si chaud sur la planète malgré une luminosité plus faible du Soleil?

    selon vous il n’y a pas d’effet de serre ni aujourd’hui , ni au Jurassique ?

    le PRG ça vous dit quelque chose ?

    De plus s’il seulement question de transfert de chaleur par convection, conduction ou radiation comment expliquez vous cette prochaine figure. L’effet de serre par le H2O, CO2, CH4, N2O, etc.. n’existe pas ?

    • Reynald Du Berger dit :

      Je vous demande à mon tour:

      1- comment pouvez-vous affirmer que l’effet de serre contrôle la SST ?

      2- quelle est la relation entre votre effet de serre et la « masse » de l’atmosphère?

      3- comment évaluez-vous la TMAG au Jurassique?

  136. Paul S. dit :

    Un réchauffard cherche toujours ET EXCLUSIVEMENT ses gaz coupables pour appuyer sa thèse à conclusion UNIQUE et prédéterminée : celle du RCA.

    À moins d’une correction par le professeur Du Berger, il faut considérer AUSSI et probablement surtout, d’autres conditions, surtout d’ordre géologique, présentes à l’ère jurassique :

    – Une activité volcanique intense accompagnait le bris de la Pangée / formation accélérée des continents. Ceci pouvait, selon la composition des émissions, soit augmenter l’effet de serre (CO2) ou augmenter la réflectance globale (poussière et aérosols) et ainsi diminuer l’arrivée du rayonnement solaire au sol.

    – Une quantité importante de la chaleur interne du globe fut relâchée dans l’atmosphère par les “hot spots” pendant la fracturation de la Pangée et la dérive rapide des masses terrestres nouvellement formées. La température des océans augmenta considérablement et leur volume aussi.

    – La circulation des courants atmosphériques et marins fut différente à l’ère jurassique en raison de la configuration et de la position différentes des continents. D’où un climat différent, y compris la capacité de maintenir des masses de glace. Cela affectait la réflectance du globe.

    – Il y avait proportionnellement plus de surface couverte par l’eau (dont des étendues peu profondes) et moins de hautes montagnes pouvant supporter un couvert de glace. Un autre facteur affectant l’albédo global et le climat.

    – Dans l’éventualité d’une température ambiante élevée, il devait y avoir plus de vapeur d’eau dans l’air. Ceci aurait augmentée la retenue de la chaleur par les molécules d’eau (chaleur spécifique, mais aussi la chaleur latente de vaporisation 970 BTU/lb).

    – Il y a des chances qu’à l’époque, comme aujourd’hui, la plus grande portion d’interception du rayonnement infrarouge ait été l’oeuvre de molécules d’H2O (dépendant de sources, on considère que la vapeur d’eau contribue à notre époque entre deux tiers et 90 % d’effet de serre global).

    – Une composition différente de l’atmosphère terrestre, en particulier les fluctuations du niveau d’oxygène et aussi du CO2 pendant les 65 millions d’années du jurassique.

    – Étant donnée la température relativement faible du médium de réémission (sol ou eau) par rapport à l’air environnant, à l’époque, comme aujourd’hui, la convection était le moyen principal d’évacuation de la chaleur du niveau zéro vers l’altitude élevée de la troposphère. C’est calculable pour l’atmosphère, comme pour une salle de machinerie thermique.

    – Un type de végétation différent de plantes d’aujourd’hui en ce qui concerne les émissions de particules de nucléation des nuages (les pollens et les aérosols biogéniques).
    Le CERN avait démontré la nucléation par les émissions végétales : http://www.pnas.org/content/113/43/12053.abstract
    Les forêts étaient différentes à l’ère jurassique, donc on pourrait croire que leur effet sur la formation des nuages ait été différent. Avec l’évolution d’espèces végétales, cet effet devait varier en intensité au cours du jurassique.
    Par ailleurs, les continents naissants étaient peu distants, ce qui aurait minimisée la dispersion d’un “blue haze” éventuel.

    – Quelque soit la période géologique, outre l’albédo à la surface du globe, c’est la présence ou l’absence de nuages qui contrôle le renvoi du rayonnement solaire vers l’espace et par là le potentiel de séquestration de la chaleur par l’atmosphère et les masses solides ou liquides.

    – La Lune affecte beaucoup l’atmosphère et elle fut environ 2 % plus près de la Terre il y a 145 millions d’ans (donc, la Lune jurassique exerçait environ 4 % plus d’attraction gravitationnelle).

    – La luminosité solaire au jurassique pouvait être plus faible que celle d’aujourd’hui d’environ 4 %. Les effets de cycles de Milankowitch au cours du jurassique dépassaient en importance ce paramètre d’intensité de la source.

    – Un point de comparaison dans le temps doit être TOUJOURS jaugé par rapport à l’évolution cinématique du mouvement orbital.

    – Possiblement, une activité solaire moins intense, aurait été accompagnée par un champ magnétique solaire plus faible, ce qui aurait eu un effet sur la formation des nuages (albédo) selon les théories de Swensmark.

    – Le renversement du champ magnétique terrestres au début du jurassique aurait pu contribuer aux changements climatiques par un effet réduit sur les rayons cosmiques (ennuagement global – albédo).

    Comme aujourd’hui, le climat de l’ère jurassique n’était pas une fonction à variable unique.

    M. Robert Premier a absolument raison : la convection est le mode de transmission de la chaleur principal dans la basse et moyenne troposphère.
    Une radiation nette vers la stratosphère et l’espace par tous les gaz (pas seulement les GES) présents dans l’air chaud survient pendant le ralentissement du courant ascendant, juste avant l’inversion vers le mouvement descendant de la masse d’air refroidie.
    Dans la haute troposphère et dans la stratosphère, il peut y avoir un ping-pong radiatif entre les molécules excitables, jusqu’à l’exit de photons vers le vide sidéral.

    Parler du climat des temps passés ne peut pas se faire sans aborder l’aspect géologique. La disposition de masses terrestres, la profondeur des étendues d’eau et la hauteur de montagnes affectent le climat bien plus qu’un effet de serre hypothétique.

    Un globe terrestre, parfaitement sphérique, uniforme et à 15 °C, cela n’existe que dans les modèles réchauffardistes primitifs dont on se sert pour influencer l’opinion publique dans le but de rançonner les peuples.

    À propos, il faut noter que les conditions climatiques du jurassique furent très favorables à la vie : l’évolution accélérée d’espèces végétales et animales et la masse d’organismes vivants en témoignent.
    Nous devons plusieurs champs pétrolifères à cette ère bénie.

    • Robert dit :

      @Paul S;

      Excellent!

      Robert #1

    • rejean tremblay dit :

      Le jurassique a été une ère favorable (bénie comme vous dites) au grand reptile mais certainement pas aux mammifères qui ont dominés que beaucoup plus tard. À moins de faire comme les créationnistes et de mettre sur la même photo des humains et des dinosaures….

      et question RCA nous sommes plus préoccupés par le genre humain que les dinosaures…. 🙂

      mais Paul vous nous faites un grand détour sans répondre à ma question

      sur le site de wikipedia il est mentionné que la température était de +3 C (16,5 C… TMAG) et que le CO2 de 1950 ppm à l’ère du jurassique… c’est certainement une approximation.

      basé sur des proxies… tailles des arbres, et des animaux, etc… Bien que le débat ne soit pas à propos de comment les géologues sont arrivés à établir ce portrait

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Jurassique

      Mais c’est quand même une information intéressante à considérer dans la pertinence de la théorie du RCA ?

      Ce n’est pas en augmentant l’indice de « smog » par vos propos que vous allez nous convaincre du bien fondé de ceux-ci !

      je n’ai toujours pas de réponse de vous trois ??

      en passant je suis d’accord avec :

      « Comme aujourd’hui, le climat de l’ère jurassique n’était pas une fonction à variable unique. »

      merci de passer le message à Robert #1…qui nous affirme qu’il a tout compris !!!

  137. Robert dit :

    rejean tremblay dit :
    23 février 2017 à 8:38

    Avant de poser vos questions, relisez donc ce que j’ai RÉELLEMENT écrit?

    Enlevez tout le CO2 d’une pièce et celle-ci va quand même garder sa chaleur et même en gagner plus si vous lui en fournissez. Cependant, les plantes vertes vont mourir par absence de photosynthèse. Les lois de la physique et de la chimie sont incontournables!

    Robert #1

    P.S: La différence entre vous et moi, c’est que vous avez appris tandis que moi…j’ai compris. À chaque fois que je fais des lectures quelconques en science. J’essaie toujours de vérifier si les lois de la physique et de la chimie sont bien suivies!

  138. Paul S. dit :

    Voyez-vous monsieur Tremblay, je ne suis qu’un quidam aux moyens limités qui essaie de comprendre, mais qui se méfie énormément de la propagande.
    À l’évidence, les protagonistes qui imposent graduellement des changements radicaux au système économique et au régime de vie de la société occidentale, se comportent comme des propagandistes et je ne parle pas que de politiciens.

    Ceci étant dit, dans ma vie personnelle je fais tout pour réduire au minimum mon empreinte sur l’environnement.
    Bien plus et de loin, que ceux de mes connaissances et les personnalités bien en vue, qui pratiquent la Religion Verte. Nombreux sont ceux qui pensent que prendre conscience d’une question et d’en parler, car il faut bien donner dans la rectitude politique ambiante, cela les dispense de gestes concrets éco-responsables.

    Je me suis permis d’approfondir la réflexion sur le climat évolutif (65 millions d’années) de l’ère jurassique, car votre question insistante semblait avoir trouvée sa conclusion : l’arrimage direct de la température globale à la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère.

    Mes lectures passées m’ont appris qu’à certaines périodes de cette époque, le climat chaud était tributaire de la chaleur interne de la Terre car c’était la poussée du magma qui avait cassé en plusieurs morceaux le proto-continent de la Pangée. La chaleur ainsi libérée aurait causé un réchauffement de 8 à 10 degrés (la TMAG autour de 22 °C) pendant un temps.
    En passant, il se pourrait que la teneur en CO2 que vous rapportez (1950 ppm) ait été aussi largement dépassée par moments, gracieuseté de l’activité volcanique.

    Je suis désolé et prêt à planter un baobab pour me faire pardonner ce péché, si j’avais produit trop de smog étourdissant pour vous.

    Néanmoins, je vous invite à prendre mes arguments, un à un, juger de leur validité et décider si votre conclusion est la seule possible.

    Vous relancez le quidam : “.. Paul vous nous faites un grand détour sans répondre à ma question..”
    Malheureusement, je ne suis pas assez qualifié pour répondre définitivement.
    Je n’ai voulu qu’apporter des arguments élargis et des interprétations possibles pour permettre à d’autres, plus savants que moi, de formuler leurs réponses.

    Mais je crains, que vous n’aviez pas besoin de cela, pour arriver à vos conclusions.

    “The beauty is in the eye of the beholder” – Absolument.
    Notre ancêtre commun, probablement un petit rongeur, devait vivre des frayeurs épouvantables en voyant les reptiles géants autour de lui.

    Toutefois, objectivement, l’ère jurassique, haute et moyenne, grâce à la chaleur et au gaz carbonique nourricier abondant, avait permis à la vie de foisonner, ce qui n’était pas le cas pour les périodes de glaciation qui l’on précédée et qui l’ont suivie. Le dernier tiers du jurassique était beaucoup moins chaud, possiblement parce que l’apport de la chaleur interne de la Terre avait diminué.

    Pour moi, il est très simple de choisir entre le “réchauffement catastrophique de 2 °C” appréhendé par le GIEC et l’âge glaciaire qui devrait suivre selon les cycles de Milankowitch !
    Et pour vous ?

  139. rejean tremblay dit :

    Vous dites : « Pour moi, il est très simple de choisir entre le “réchauffement catastrophique de 2 °C” appréhendé par le GIEC et l’âge glaciaire qui devrait suivre selon les cycles de Milankowitch !
    Et pour vous ? »

    Je suis justement en train de lire le livre du professeur D. Archer (U. Chicago) que je recommande à vos lectures :
    The Long Thaw: How Humans Are Changing the Next 100,000 Years of Earth’s Climate (Science Essentials)

    Ce spécialiste des questions climatiques ne pense pas que le RCA sera un effet à court terme. ce livre est aussi disponible sur iBooks… sans gaspillage de papier..

    Pour moi aussi il est très simple de choisir entre la réduction de la pollution atmosphérique qui a un impact immédiat sur la santé des humains (les problèmes cardiaques et respiratoires sont directement proportionnelle à la pollution atm. des centres-villes) et limiter le RCA… par des énergies sans carbone. je ne comprends pas pourquoi votre position est à l’opposée de la mienne ??

    • Paul S. dit :

      “Pour moi aussi il est très simple de choisir entre la réduction de la pollution atmosphérique qui a un impact immédiat sur la santé des humains (les problèmes cardiaques et respiratoires sont directement proportionnelle à la pollution atm. des centres-villes) et limiter le RCA… par des énergies sans carbone.”

      Et vous n’avez rien vu.
      J’ai grandi dans un monde, chauffé par des poêles au charbon qu’il fallait monter à bras dans les escaliers.
      La neige était noire de suie en un jour et les cheminées empestaient partout, car la combustion n’était pas efficace.

      Aujourd’hui, au Québec, le chauffage électrique devient prévalent, il y a des normes industrielles strictes et les convertisseurs catalytiques de voitures sont performants.
      Bien entendu, la Chine a un grand rattrapage à faire dans la lutte à la pollution atmosphérique.

      Si j’interprétais textuellement, vous choisiriez la lutte à la vraie pollution de préférence à l’abandon des énergies fossile. Comme moi.

      Mais je soupçonne que dans les faits vous aimeriez aussi implanter des énergies sans carbone.
      Pourquoi pas ?
      Pour ménager les ressources épuisables, mais seulement si cela ne déplaçait pas des solutions fiables et abordables, si ces énergies étaient disponibles en temps réel, quand l’utilisateur en a besoin et sans la nécessité d’un “backup” permanent et coûteux.

      Mais aussi, avant de “scraper” des systèmes qui fonctionnent bien et que l’on a déjà payés, il me faudrait savoir pourquoi l’on doit le faire.

      Voici un exemple – la subvention de 13.35 millions $ au Port de Montréal pour remplacer deux grues mobile motorisées au diésel par deux grues électriques : https://www.transports.gouv.qc.ca/fr/salle-de-presse/nouvelles/Pages/port-montreal.aspx

      Le surdoué Heurtel (ce spécialiste en enrichissement du biotope fluvial par des matières fécales) remplace une machinerie thermique en état de marche et assujettie à une pénalité de 10 $ / tonne de CO2 produit, par une solution laquelle gaspillera 1000 $ / tonne de CO2 évité.
      Non seulement injustifiable économiquement (dixit M. Normand Mousseau, physicien et activiste dans la lutte au RCA), mais aussi en termes de production des GES dans la construction des machines de remplacement.

      Une autre démonstration de cette aberration appelée le Fonds Vert.

      Les comparses Couillard, Heurtel et Guilbeault sont comme des ivrognes dans une taverne. Le seul moyen de les arrêter, c’est de leur couper les vivres.

    • Robert dit :

      réjean Tremblay;

      « How Humans Are Changing the Next 100,000 Years of Earth’s Climate (Science Essentials)… »

      Il voit loin…Lorsqu’on pense que tous nos experts de la météo réunis ne peuvent que prédire à peine quelques heures d’avance?

      Ma conclusion est que vous n’avez toujours pas compris que c’est le CO2 qui nous nourrit…par la photosynthèse. Une bonne lecture: « Le Cycle de Calvin…prix Nobel 1961 ».

      https://simple.wikipedia.org/wiki/Calvin_cycle

      Robert #1

      • Paul S. dit :

        Je crains que les $17.95 demandés pour le livre de monsieur Tremblay : http://press.princeton.edu/titles/10727.html, ne seraient qu’un investissement dans un monologue de propagande peurologique.

        “David Archer predicts that if we continue to emit carbon dioxide we may eventually cancel the next ice age and raise the oceans by 50 meters.”

        Rien de moins que cela !

        Je devine déjà, dans ce livre, un “tipping point” sans retour, du méthane émis par le pergélisol partout, des migrants climatiques pour Couillard à la pelle et tutti-quanti.
        Je peux avoir cela en écoutant gratuitement les diatribes diarrhéiques d’Al Gore sur le YouTube.

        Pour me décider à lire ce genre d’ouvrages (ce ne sont pas des études scientifiques, mais des livres de dissémination d’opinions engagées) il faudrait que l’on réussisse à me démontrer la prévalence du pingpong radiatif réchauffant, en tant qu’agent du réchauffement climatique et que ce sont vraiment des GES, émis par l’homme, qui causent le déséquilibre.

        Enfin, il serait plus facile pour l’humanité d’occuper des continents plus petits, que de redevenir une poignée de chasseurs de l’ère glaciaire.
        Sachant que le froid s’en vient, ne devrions nous pas graduellement compenser, si le RCA pouvait le faire ?

      • rejean tremblay dit :

        la photo synthèse n’est pas une baguette magique..

        si c’était le cas pourquoi le CO2 atm. est passé de 280 ppm à plus de 400 ppm en environ 100 ans.

        plus de CO2 dans l’atmosphère ne sert à rien en hiver sous nos latitudes. il ne sert à rien d’avoir plus de CO2 atm. la moitié de la journée. plus de CO2 ne sert à rien dans le désert, même chose dans les villes et je crois que pour les lacs, rivières, Océans s’est la même chose ça n’a pas d’impact positifs sur la vie.

        il faut s’informer adéquatement. faire des rapprochements entre le dopage des serres en CO2 et l’atmosphère s’est simplifier à l’extrême une réaction aussi complexe.

        je serais curieux de faire une recherche des articles scientifiques qui mentionne qu’il y a un gain de rendement important de productivité végétale pour une augmentation du CO2 atm.

        Le gain de productivité des plantes commerciales vient principalement de l’azote et du phosphore dans le sol qui sont essentiels à la production de protéine (pour l’azote) et de cellule (ADN pour le phosphore). IL faut aussi avoir assez d’eau…

        à suivre….

      • Reynald Du Berger dit :

        « je serais curieux de faire une recherche des articles scientifiques qui mentionne qu’il y a un gain de rendement important de productivité végétale pour une augmentation du CO2 atm. »

        En voici une parmi des centaines du gouv. de l’Ontario … entrez CO2 vs plant growth sur google.. et vous serez inondé…

        http://www.omafra.gov.on.ca/english/crops/facts/00-077.htm

      • Paul S. dit :

        Monsieur Tremblay affirme : “ … plus de CO2 ne sert à rien dans le désert, même chose dans les villes et je crois que pour les lacs, rivières, Océans s’est la même chose ça n’a pas d’impact positifs sur la vie. il faut s’informer adéquatement. …”

        En effet, il faut s’informer adéquatement sur le rôle du phytoplancton : http://news.nationalgeographic.com/news/2004/06/0607_040607_phytoplankton.html
        La moitié d’oxygène régénéré provient des océans.

        Ce quidam croit qu’il y aurait un potentiel énorme de conversion additionnelle du CO2 dans les océans si l’on maximisait l’action du phytoplancton.
        Mais pour cela, il faudrait être sérieux, rechercher des solutions effectives, au lieu de générer de la propagande pour rançonner les peuples.

        Il y a des étendues énormes, mortes, faute de nutriments et elles sont pour la plupart situées là où il y le plus d’ensoleillement.
        En prime,cela serait bon pour les pêcheries.

        Comme le disait jadis Charbonneau : “C’est du Vitagro qu’il vous faut” !

        Je crois me souvenir d’une étude préconisant la pulvérisation de la rouille aux fins de la fertilisation marine.

  140. rejean tremblay dit :

    à Paul S. : allez lire le CV de D. Archer avant de le critiquer sans l’avoir lu !

    celui-ci offre un cours sur internet qui pourrait répondre à vos questions sur le CO2 comme GES.

    Je peux vous retrouver le chapitre qui en parle. Je crois que ce sont des capsules vidéos ..

    • Paul S. dit :

      “.. allez lire le CV de D. Archer avant de le critiquer sans l’avoir lu !”

      M. Tremblay, vous avez un point là.
      En prêtant des intentions on se ferme et on peut manquer des révélations capitales.

      Sur votre suggestion j’ai trouvé les coordonnées du professeur David Adler et de son cours : http://geosci.uchicago.edu/people/david-archer/
      J’essaierai de me faire une idée sur la matière offerte et ma capacité à la comprendre.

      Êtes vous inscrit au niveau “Global Warming I” ou GW II ?

      Merci de partager votre source.

      • rejean tremblay dit :

        je vous suggère plutôt cette présentation issus du livre en référence,,, comme cela vous n’aurez pas à acheter celui-ci. En plus la question de l’accumulation du CO2 et des limites de ce phénomène est abordé si je me souviens bien.

  141. Robert dit :

    @rejean tremblay :
    27 février 2017 à 5:36

    Vous devriez savoir que 80% du CO2 est absorbé par les algues de surface des océans. Sur ces algues se produit la photosynthèse qui permet aux lacs et océans de récupérer l’oxygène consommé par les poissons.

    Vous êtes rempli de préjugés envers le CO2…Normal lorsque un organisme d’état comme NOAA affirme que le CO2 est un gaz polluant. Mais ne vous en faites pas. Un certain président Américain va les remettre à leur place!

  142. Robert dit :

    @Réjean Tremblay;

    Lisez l’URL que Reynald vous a envoyé. URL dans lequel l’auteur parle d’ajouts de 1000 – 1500 ppm de CO2. Lorsque vous aurez lu cet article, vous allez cesser de faire des histoires avec un gain de 100 ppm de CO2 …sur 135 ans!

    Robert #1

  143. Robert dit :

    @rejean tremblay :
    27 février 2017 à 5:36

    « Le CO2 dans le désert, l’hiver qui ne sert à rien ». Êtes vous au courant que sur cette terre, nous avons 2 hémisphères. Les océans sont un vaste puits à CO2…Celui-ci étant très soluble dans l’eau. En plus, les océans ont des capacités de dissoudre 50 fois plus de CO2 qui l’atmosphère!

    Robert #1

  144. rejean tremblay dit :

    R. Duberger et Robert dit #1 n’avez pas compris mon propos.

    Je n’ai jamais parlé de l’effet positif d’ajouter du CO2 dans les serres. Il y a eu beaucoup de recherche d’effectué sur ce sujet.

    Je dis simplement que les effets de doper le CO2 dans les serres ne se reproduit pas nécessairement dans la nature, dans un environnement non contrôlée. Je vais essayé de retrouver la conférence du spécialiste en foresterie qui a fait une présentation sur ce sujet il y a quelques mois. Il y a plusieurs université Américaine qui ont faits des recherches dans ce domaine et qui doute d’un impact réelle d’ajouter du CO2 dans l’atmosphère sur la croissance des plantes alors qu’au départ l’idée semblait séduisante !

    Dans la nature (les forêts) ou en production agricole dans un environnement non contrôlé , en champs, je ne pense pas que l’augmentation du CO2 de 100 ppm ou 200 ppm aura un impact positif important (mesurable) sur la production végétale.

    merci de faire la différence entre environnement contrôlé (serre) et non-contrôlée….

    Pour ce qui est des océans et de leur capacité à prendre le surplus de CO2 il semble bien qu’il n’en ait pas la pleine capacité puisque le CO2 atm. continue d’augmenter et le pH de diminuer et ce malgré la hausse des températures atm.

  145. Paul S. dit :

    M. Tremblay avise Robert Premier : “.. plus de CO2 ne sert à rien dans le désert, ..”

    Au contraire, selon http://russgeorge.net/2014/06/28/global-greening/ :
    “The work reported in this recent GRL publication provides extensive satellite data corroborated with land based measurements that show rising CO2 levels caused a remarkable 11 percent increase in foliage in arid regions in just 30 years ..“

    Même la NASA (https://www.nasa.gov/feature/goddard/2016/carbon-dioxide-fertilization-greening-earth), d’habitude climato-alarmiste, admet : « Results showed that carbon dioxide fertilization explains 70 percent of the greening effect, said co-author Ranga Myneni, a professor in the Department of Earth and Environment at Boston University. “The second most important driver is nitrogen, at 9 percent. So we see what an outsized role CO2 plays in this process.” »

    Ça c’est des mesures, pendant que la propagande réchauffarde ambiante nous avertit que le RCA causerait une désertification poussée.

    M. Robert regarde les principes : CO2 (abondant) + Chaleur (accrue) + Photosynthèse => Production de cellules végétales accrue globalement.
    C’est logique, donc vrai et prouvé par des observations. Les traces de minéraux, dispersées un peu partout suffisent.
    Bien entendu dans une optique de production agricole optimale il faut un apport constant de fertilisants.

    Pourquoi, me faudrait-il croire plus un ‘StieVent Guilbeault que le professeur Robert Premier ?

    • Robert dit :

      @Paul S.

      J’ai pas le temps, mais plus tard, je vous parlerai de l’augmentation en CO2 dans l’atmosphère telle que décrété dans un des rapports du GIEC et du réchauffement de 0,59 oC des océans en 135 ans tel qu’extrapolé par Argo (*)…Peut-être que j’en ai déjà parlé sur un post? Moi, juste par le changement de solubilité du CO2, j’au obtenu 0,56 oC….Quand même pas si mal!

      Vos commentaires sont très justes!

      Robert #1

      (*) Cela me fait toujours penser à K15 qui a eu le front de prendre des bonnes données des bouées et de les aligner sur des anciennes prises à bord des bateaux (avec des chaudières qui contenaient peut être des tisons de charbon, ou collectés non loin de la chaufferie du bateau ou encore à un robinet qui passait pas loin de l’alimentation en eau chaude…). Si ils ont eu le front de faire une telle stupidité, quest-ce qu’il nous dit qu’ils n’ont pas fait de même avec les carottes glacières et les autres proxies (Style Callender)?

  146. Qu’il s’agisse de vérité inventée ou confirmée, n’allons pas nier qu’il est de notre devoir de citoyen de la terre de rationnaliser nos dépenses énergétiques. Moi, quel que soit le logo utilisé, j’encourage à 200% cette façon de voir (adopter un comportement d’utilisation plus rationnelle de l’énergie) ! Et même si vous estimez qu’on se moque de nous, faites l’effort juste pour vous même et pour en recolter le fruit financier des euros non investis en achat d’énergie !

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