(Contact via Courriel),
Ma dernière chronique à CHOI Radio X touchait un des problèmes majeurs qui assombrit l’avenir québécois. Je propose des solutions, contrairement à Jean Charest qui se contente d’en responsabiliser les parents.
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Ma dernière chronique à CHOI Radio X touchait un des problèmes majeurs qui assombrit l’avenir québécois. Je propose des solutions, contrairement à Jean Charest qui se contente d’en responsabiliser les parents.
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Dans le cadre d’une journée pédagogique organisée à leur intention par leur commission scolaire, j’enseignais les sciences de la Terre vendredi dernier à des enseignants en sciences au secondaire. Sur 18 enseignants, il y avait 14 femmes, ratio qui m’a étonné. Se pourrait-il que les garçons soient moins attirés que les filles par cette profession d’enseignant en sciences au secondaire? C’était pourtant l’inverse autrefois. (suite…)
Par Reynald Du Berger,
L’idée était intéressante : mettre en contact des jeunes du secondaire avec des gens de métiers et des professionnels afin de les aider à faire un choix de carrière. Je m’y suis laissé prendre il y a 2 ans, lorsque le responsable du projet pour la région de Québec sollicitait la participation des ingénieurs de la section régionale de notre ordre professionnel. À titre de responsable de la promotion de la profession d’ingénieur dans notre région, j’ai alors organisé une séance d’information à l’intention de mes confrères ingénieurs pour leur faire connaître le projet Academos et solliciter leur participation.
Par Reynald Du Berger,
J’ai été invité au FM 93 hier matin pour discuter de l’éducation des jeunes. J’attends vos commentaires avec impatience.
Par Reynald Du Berger,
Avec un pareil titre, je crée un néologisme et je poursuis la discussion déjà fertile en commentaires amorcée par Ian dans son billet sur la réforme scolaire.
Par Reynald Du Berger,
Nos finissants de secondaire V sont à préparer leur bal de graduation. C’est important pour eux. Ils ont franchi une première étape de leur vie et il y en aura bien d’autres. Les médias nous ont abondamment informés cette semaine de la plaie sociale qu’est devenu au Québec le décrochage scolaire. Une école de la région de Montréal présenterait un triste palmares record de 84% de décrocheurs.
Par Reynald Du Berger,
Le Québec a proclamé la semaine du 15 février, « semaine de la persévérance scolaire ». Quand aurons-nous la semaine de la persévérance conjugale? En sommes-nous arrivés au point où la chose normale devient un exploit et l’anomalie (le décrochage scolaire ou le divorce)serait maintenant la norme?
Par Reynald Du Berger,
La récente « semaine de la persévérance scolaire » me rappelle cette anecdote vécue il y a quelques années au Saguenay. On me demande un jour une conférence sur les tremblements de terre – comme j’en fais souvent- dans une école secondaire de Jonquière. C’était dans le cadre d’une demi-journée organisée afin de donner le goût aux jeunes de faire de la science et leur faire connaitre quelques professions scientifiques, dont celle d’ingénieur et de séismologue. Nous étions une demi-douzaine de professionnels à parler de sujets divers de la mycologie à l’ornithologie en passant par la physiothérapie.