Depuis son élection, Donald Trump a aboli des centaines de règlements de l’EPA (Environmental Protection Agency) qui étaient créateurs de décroissance et de pauvreté.
On a aussi découvert que plus de 75% des activités de l’EPA ne concernaient pas l’environnement mais des sujets comme les relations de l’état avec les amérindiens etc… Donald Trump a décentralisé l’EPA en portant ses activités de Washington vers les états où il y a de véritables problèmes environnementaux.
Il a donné un sérieux coup de balai dans les Clean Air Act et Clean Water Act pour ne conserver que les mesures réellement protectrices de l’environnement.
Il a démarré le clean coal et levé les moratoires sur l’exploration et l’exploitation des gaz et pétrole de shale (et non de schiste comme disent Radio-Canada et les Français*) de sorte que son pays est devenu énergiquement indépendant , et n’a pas besoin d’importer l’énergie éolienne des vire-vents québécois , lesquels sont une catastrophe à la fois écologique et économique.
Donald Trump a aussi aboli à l’EPA, les postes de plusieurs centaines de parasites verts (en majorité des biologistes qui autrement auraient été au chômage). Ces sangsues vertes étaient à l’origine de tous ces règlements tatillons, inutiles et créateurs de décroissance. Il a presque atteint le fond du marécage putride et nauséabond qu’il a promis d’assainir (drain the swamp) où croassaient et se reproduisaient ces parasites verts aux frais des contribuables américains,
Parmi ces règlements, il a aboli le règlement climatique de la COP-21. Donc oui, le climat est bien déréglementé et non pas déréglé ! Les médias doivent donc corriger cette erreur de sémantique. Que les climato-alarmistes et climato-crédules se le disent !
*le schiste est une roche métamorphique, donc elle ne peut en aucun cas contenir de gaz ou de pétrole. Le shale (prononcer chéle) est une roche sédimentaire formée principalement d’argile et de silt lithifiés. Ces shales peuvent contenir gaz et pétrole comme les shales de l’Utica (Ordovicien moyen, 450 ma) , qu’on observe dans le Cap Diamant, sur la Terrasse Dufferin et au pied de la chute Montmorency à Québec.
Dommage que Legault ne suive pas l’exemple de Trump.
Bon résumé, M. Du Berger. Comme le dit mon prédécesseur, il reste un grand ménage des lois et règlements environnementaux à faire. Mais, ça regarde mal avec la réforme fédérale de la Loi Canadienne sur l’évaluation environnementale qui oblige les projets visés à demander la permission aux Premières Nations pour qu’ils se réalisent… C’est l’boutte d’la m…
Le gros de la “swamp” qu’il s’était engagé à nettoyer est ailleurs qu’à l’EPA, partout à Washington, y compris dans l’hiérarchie et les instances de son Parti Républicain.
Il s’agit de politiciens professionnels, en poste de père en fille, fils ou mieux, transgenre.
Le tout est appuyé sur un “Deep State” fonctionnarisé, penchant fortement à gauche après 8 ans d’embauches obamistes.
La tradition américaine ne voulait pas de dynasties, ni de politiciens immuables à la Ted Kennedy.
Là bas les meilleurs qui ont bénéficié de bienfaits du Modèle américain (“the American way of life”) devaient rembourser la société pendant un court temps en se servant de leur savoir-faire, puis laisser la place à d’autres.
Un politicien traditionnel américain qui se respectait ne devait pas retourner à la vie civile plus riche qu’il ne l’était au début de son mandat.
Ceci a changé depuis plusieurs décennies et les politiciens sont devenus abonnés aux largesses des lobbyistes (Y compris ceux de pétrolières, j’en conviens volontiers avec Rejean et son ancêtre Jean-Luc. Ces mécréants sont parmi les plus dangereux, pas pour le climat, mais pour le capitalisme) et de l’état sous la forme de privilèges (“entitlements”).
Il y a depuis peu, des produits du système d’éducation gauchiste, comme Alexandria Ocasio-Cortez, qui changent le visage du pouvoir américain, pas pour mieux, je le crains.
Voilà la “swamp” à drainer, maintenue en place par le grand capital qui se sert de ses larbins, élus avec ses fonds, pour y grenouiller. Tiens, je parle comme les deux Tremblay, maintenant.
Je doute qu’à un contre presque tous, la vaillant Donald réussisse à vider le marécage washingtonien.
Ah oui, contrairement au déni par le juge en chef de la Cour Suprême, la justice américaine n’est pas aveugle et les activistes de la gauche le savent très bien. Il est facile de se magasiner un juge sympathique à la cause qui va statuer obligatoirement dans le sens qu’ils désirent.
Cela, Donald Trump le sait aussi, mais il n’aurait pas le droit de le dire, la rectitude ambiante oblige.
Cette partie intouchable de la “swamp” (le troisième pouvoir) n’est absolument pas nettoyable par le chef de la branche exécutive et elle est en mesure de contrer tout ce qu’il fait.
Bonjour,
Pendant ce temps, nos charmants Amerloques publient le National Climate Assessment, dont voici un extrait de l’introduction :
“Earth’s climate is now changing faster than at any point in the history of modern civilization, primarily as a result of human activities. The impacts of global climate change are already being felt in the United States and are projected to intensify in the future—but the severity of future impacts will depend largely on actions taken to reduce greenhouse gas emissions and to adapt to the changes that will occur.
[…] Decisions made today determine risk exposure for current and future generations and will either broaden or limit options to reduce the negative consequences of climate change. While Americans are responding in ways that can bolster resilience and improve livelihoods, neither global efforts to mitigate the causes of climate change nor regional efforts to adapt to the impacts currently approach the scales needed to avoid substantial damages to the U.S. economy, environment, and human health and well-being over the coming decades.”
Ce rapport n’est pas signé pas les méchants communistes-verts, mais par 13 agences de l’administration TRUMP (michant, michant TRUMP), dont le Département du Commerce, le Département de l’Énergie et par la déréglementale EPA, à la tête de laquelle se trouvait notre péteux et corrompu de service, Scott Prout.
Je vous invite fortement à lire ce rapport, ou à tout le moins les le sommaire des constats (summary findings). La section Frequently Asked Questions est aussi intéressante, on y répond à plusieurs questions telle que « Why are scientists confident that human activities are the primary cause of recent climate change?”
https://nca2018.globalchange.gov/
Bien à vous,
Guillaume
M. Guillaume se frotte les mains en parlant du “Fourth National Climate Assessment” publié récemment par le “U.S. Global Change Research Program” (USGCRP) : “.. Ce rapport n’est pas signé pas les méchants communistes-verts, mais par 13 agences de l’administration TRUMP (michant, michant TRUMP), dont le Département du Commerce, le Département de l’Énergie et par la déréglementale EPA ..”
A-t-il vraiment constaté les signatures des “secretaries” (ministres) “of these departments” ou a-t-il fait un saut mental associatif ?
Pourquoi ne pas ajouter la signature, par extension, de D.J. Trump, le patron de tous ces dames-messieurs ?
Vrai, parce que l’USGCRP est une initiative présidentielle remontant à George H.W. Bush, le rapport NCA4 devait transiter par la Maison Blanche.
Déjà le 10 août 2018, Mtre Guillaume nous avait servi du “michant Trump” en rapportant des affirmations probabilistes contenues dans le Rapport spécial sur la science du climat, appelé le CSSR 2017, publié lui-aussi par l’USGCRP, et non pas directement par l’administration du “michant Trump”, tel qu’il le mentionnait.
À cette occasion, M. Guillaume avait proclamé sa foi en CSSR 2017 : “Je n’ai connaissance d’aucune étude plus exhaustive, plus récente et plus crédible à ce sujet, donc j’y adhère à 100% jusqu’à nouvel ordre.”
Dans ma relance (https://duberger.me/2018/07/19/tribune-climato-realiste/#comment-62834) j’avais parlé du “fossé énorme qui sépare les faits consignés dans les études scientifiques et les commentaires éditoriaux du comité des apparatchiks qui ont rédigé le rapport.” (Concernant le CSSR 2017).
Ce n’était pas une phrase creuse, car je venais de me farcir en détail plusieurs études couvertes par les notes éditoriales où des affirmations à conditionnel variable des scientifiques ont été converties en quasi certitudes par les apparatchiks verts qui veillent au grain.
J’avais remarqué que l’USGCRP est assujetti à un “Science Steering Committee”, ce qui explique bien de choses.
Alors, maintenant M. Guillaume nous “.. invite fortement à lire ce rapport, ou à tout le moins les le sommaire des constats (summary findings). La section Frequently Asked Questions est aussi intéressante, ..”.
Assurément, les “summary findings” vont fidèlement épouser la ligne éditoriale du “Science Steering Committee”, peuplé par des apparatchiks d’obédience obamiste.
Je ne doute pas non plus que les FAQ, intéressantes pour Guillaume, reflètent parfaitement les “talking points” navrants de la gauche américaine.
Vu à la télé tout à l’heure :
Les invités à la Joute chez LCN, viennent de se désoler de la réaction du président Trump, ce “michant” pour tous nos intellectuels, qui dit avoir lu quelques pages du rapport NCA4 et ne pas s’en faire.
Comment ce fait-il que le président américain ne comprend pas l’urgence de l’action et que visiblement il ne croit pas aux changements climatiques ?
On ne dit plus “causés par l’homme”, car tout le monde connait la chanson.
Mais, ces dames-messieurs qui savent tout, ont-ils fait un effort pour en apprendre un peu plus sur la question ?
Leur manque du culture en histoire et en sciences politiques les empêche de savoir que la manipulation des masses est possible, qu’elle fut pratiquée de tous le temps et que la science n’est pas automatiquement à l’abri de tout soupçon.
Surtout pas la science régie par un “Science Steering Committee” !
Paul,
Libre à vous de croire à une manipulation de masse mondiale basée sur… absolument rien. Je n’embarque pas là-dedans.
Guillaume
La prospection de ce gaz (shale) débuta dans les années 1970-1980 aux États-Unis mais le boom de la production se produit dès 2005. Selon un récent rapport de l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA), la production est passée de 30 milliards de m3 en 2006 à 85 milliards en 2009 et est estimée à 260 milliards en 2012. Tout ça bien avant Trump. Monsieur Duberger, ne soyez pas trop politico crédules avec les faits d’armes trumpistes. Ce vantard impuissant n’a fait que récolter ce qu’avaient semé ses prédécesseurs.
À son début de mandat, il y avait une opposition énorme au fracking donc règlements tatillons sur ce fracking à l’EPA. C’était l’époque du chalumeau qui sort du robinet… rappelez-vous. Trump a balayé tout ça et relancé le gaz et ensuite pétrole de shale. Obama n’a rien fait avant lui pour développer l’énergie fossile, il n a créé que décroissance. . Et ensuite le « clean coal » a suivi le gaz de shale. Un peu de lecture sur 289 de ses réalisations: – mais tous les anti-Trump à qui je l’envoie sont tellement haineux qu’aucun ne le lit… vous ne seriez pas l’exception… je vous le poste quand-même. https://www.dreuz.info/2018/11/04/de-la-trump-tower-au-trump-power/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
Absolument, Obama voulait étrangler le secteur énergétique pour favoriser les renouvelables, mais heureusement il n’avait pas la majorité au Congrès.
Toutefois, il a causé pas mal de dommages dans beaucoup de secteurs avec ses “executif orders”.
Obama a ramassé le dégat des républicains. la bourse US a eu une croissance soutenue à partir de 2009. Obama a du replacer la crise de l’industrie automobile, des banques et du secteur de l’énergie
9 mars 2009 l’indice dow Jones était à 6 500 points.
le 22 novembre 2016 l’indice était à 19 000 points.
Trump n’a fait que bénéficié du travail d’OBAMA. Je vous prédit qu’il n’aura pas le temps de finir son mandat avant que l’indice revienne au seuil de 2016.
Votre site Dreuz est un exemple frappant des larbins de Trump. Aucune crédibilité.
Ce n’est pas de la haine, c’est la réalité : ce site ne vaut rien en terme de qualité d’information.
Obama a été une catastrophe pour son pays en économie, mesures sociales et politique internationale. Il a causé de grands dommages par ses clean air et clean water acts, dommages largement réparés par Trump. Dreuz est crédible VOUS ne l’etes pas. Aucun des anti-Trump ne le lit mais je vous défie de contredire ces 289 promesses électorales remplies par Trump… mais je serais étonné que vous les lisiez https://www.dreuz.info/2018/11/04/de-la-trump-tower-au-trump-power/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
C’est comme pour l’économie, selon CNN et nos journaleux incompétents : Trump récolte les fruits d’actions de son prédécesseur.
Pour la gauche : hors d’Obama, point de salut.
« …qu’on observe dans le Cap Diamant, sur la Terrasse Dufferin et au pied de la chute Montmorency à Québec. » Dont on perçoit nettement l’odeur d’hydrocarbure lorsqu’on les fragmente!
Le prof, que bientôt les verts en résidence vont traiter de “michant”, clame sa satisfaction : “.. Donald Trump a aussi aboli à l’EPA, les postes de plusieurs centaines de parasites verts (en majorité des biologistes qui autrement auraient été au chômage). Ces sangsues vertes ..”.
En bon chrétien et je suis sincère, je ne peux pas me réjouir du malheur personnel de ces gens congédiés (et de leurs familles), même si je déplore les dommages que leur travail cause à la société.
Toutefois, je me console, car les victimes à ce jour de Trump, ainsi que ceux de l’hécatombe contre la Science à venir, ont en main l’invitation ouverte à TOUS de président Macron (https://www.youtube.com/watch?v=-AHhc7DTIsg) :
“To all scientists, engineers, entrepreneurs, responsible citizens who were disappointed by the decision of the president of the United States, I want to say that they will find in France a second homeland.”
“Make Our Planet Great Again.” – dans la bouche du micro-napoléon français, ce n’est pas rien.
Mais, que diront les “Gilets jaunes” dépossédés lors de l’influx de hauts-salariés américains, les invités du président – prédateur fiscal, qui ne s’occupe pas de vrais problèmes de son pays ?
je vous ai donné un exemple R. Duberger de l’efficacité d’Obama alors que vous ne m’avez donné aucun fait. J’ajoute qu’Obama a été contraint de gérer le fiasco banquaire laissé par les républicains avant qu’il arrive au pouvoir. Et maintenant qu’est-ce que fait Trump ? il perd le contrôle de la dette en donnant des réductions d’impôt aux compagnies américaines même si elle n’en n’avait pas besoin.
Trump est capable de mettre les USA en faillite, il l’a déjà fait à deux reprises avec ces entreprises.
Obama a été d’une nullité déplorable et catastrophique pour son pays et le monde entier. Vous dites « alors que vous ne m’avez donné aucun fait »… je vous ai montré 289 « faits » réalisations , promesses électorales tenues bon sang… vous n avez même pas lu, tellement votre haine anti-Trump est féroce. Lisez ! puis dites-moi votre avis , mais LISEZ !
Puis-je suggérer une petite lecture pour alimenter le débat:
https://danfromsquirrelhill.wordpress.com/2013/08/15/obama-252/?utm_source=akdart
La Mer de Béring y paraît que la glace est plus mince depuis 2 ans ! Dû à ce *réchauffement climatique* ??
Tel que mentionné par le prof il y a quelques années, les behrings du globe terrestre sont durs à graisser par manque d’accès.
Lorsqu’un behring grippe, il chauffe. Rien à voir avec le climat.
Le rapport NCA4 rapporté par M. Guillaume, que celui-ci ne croit pas biaisé, nous invite à trembler et à $$ AGIR $$ :
“Earth’s climate is now changing faster than at any point in the history of modern civilization, primarily as a result of human activities. […] neither global efforts to mitigate the causes of climate change nor regional efforts to adapt to the impacts currently approach the scales needed to avoid substantial damages to the U.S. ..”
D’autres ont abondé dans le même sens, donc ça doit être vrai :
The Arctic Ocean is warming up, icebergs are growing scarcer and in some places the seals are finding the water too hot, according to a report to the State Department yesterday from Consulate at Bergen Norway.
Reports from fishermen, seal hunters and explorers all point to a radical change in climate conditions and hitherto unheard-of temperatures in the Arctic zone.
Exploration expeditions report that scarcely any ice has been met as far north as 81 degrees 29 minutes.
Soundings to a depth of 3,100 meters showed the Gulf Stream still very warm.
Great masses of ice have been replaced by moraines of earth and stones, the report continued, while at many points well known glaciers have entirely disappeared.
Very few seals and no white fish are found in the eastern Arctic, while vast shoals of herring and smelt which have never before ventured so far north, are being encountered in the old seal fishing grounds.
Extrait du Monthly Weather Review en date du 2 NOVEMBRE 1922 !!!
ftp://ftp.library.noaa.gov/docs.lib/htdocs/rescue/mwr/050/mwr-050-11-0589a.pdf
La peurologie appliquée était de tous les temps, plus amplifiée aujourd’hui par les médias omniprésents et des nombreux scientifigues en manque d’attention.
Clairement, en 1922 la Ford T menaçait gravement l’environnement, en remplaçant lentement les flatulences des chevaux attelés toujours aux tramways et les diligences.
Heureusement que le président Trump ne saute pas trop vite aux conclusions, suite aux rapports de ses bureaucrates.
Sa porte-parole, Mme Sarah Sanders dit en condensé : Climate Report Was « Not Based on Facts », “not data driven” but was based on most extreme MODEL derived interpretations to arrive to “most radical conclusions”.
La seule chose qui compte pour l’administration Trump sont l’air et l’eau propres et à ce chapitre les USA n’ont rien à envier aux autres.