Quelques heures après l’assermentation du 45ième Président des Etats-Unis, Donald Trump, le grand ménage commençait sur le site web de la Maison Blanche qui annonçait , vendredi 20 janvier, l’abandon de la politique américaine de réduction des énergies polluantes (sic) et la reprise des forages de pétrole et de gaz de shale. On en estime les réserves à plus de 50 000 milliards de dollars en valeur. « L’administration Trump va embrasser la révolution des pétrole et gaz de shale pour créer des emplois et apporter de la prospérité à des millions d’Américains », dit le texte de la Maison Blanche.
Sur la question des changements climatiques, le site de la Maison Blanche précise que le président Trump « s’engage à éliminer les politiques non nécessaires et nuisibles tel le plan d’action pour le climat et les eaux », mis en place par Barack Obama. La Maison Blanche argumente que « Lever toutes ces restrictions aidera énormément les travailleurs américains, augmentera les salaires de plus de 30 milliards de dollars sur les sept prochaines années ».
La gauche et les médias fulminent. Le réchauffement climatique anthropique (RCA) , qui est passé en quelques années du statut de simple hypothèse scientifique à celui de dogme religieux en prend un sacré coup. Mais pas son coup de grâce, car même avec un climato-réaliste comme Scott Pruitt à la tête de l’Environmental Protection Agency (EPA), la tâche de déprogrammation de millions d’éco-cerveaux de citoyens qui ont subi des années d’endoctrinement vert sera colossale. Le lessivage vert, issu de scientifiques, de médias, de politiques et d’ONG qui exploitent la poule aux œufs d’or climatique, a laissé des traces profondes chez la majorité des citoyens. Il y a quelques mois, M. Pruitt déclarait dans la National Review « Les scientifiques continuent d’être en désaccord sur le degré et l’étendue du réchauffement climatique et sur son lien avec l’action humaine. Ce débat devrait être encouragé dans les salles de classe, les forums publics et au Congrès. On ne doit pas faire le silence sur ce sujet en menaçant de poursuites. La dissidence n’est pas un crime. ». Quel vent nouveau et rafraîchissant, surtout après que certains aient voulu en France, faire taire les climato-réalistes, à Radio-Canada, ne plus leur donner la parole -ils ne l’ont jamais eue- et aux États-Unis, les jeter carrément en prison !
J’ai salué avec bienveillance le programme de Donald Trump sur l’environnement. Il désire sabrer sévèrement dans des milliers de règlements, non seulement inutiles, mais causes de décroissance profonde et surtout nuisible à ses concitoyens. Il ne s’agit pas de cesser toute mesure de protection de l’environnement, mais plutôt d’alléger drastiquement un carcan qui est devenu au fil des ans un boulet énorme pour l’économie de son pays. Mais ce boulet est en même temps le pain et le beurre de combien d’américains, que j’appelle les « parasites verts »? Ces gens carburent à même votre peur, qu’ils doivent entretenir afin de maintenir leurs jobs ; peur de déversements de substances polluantes dans la nature, de grenouilles menacées par une nouvelle autoroute, de pollutions de nappes phréatiques par l’exploitation des gaz et pétrole de shale, etc. Il y a aussi ces millions de chercheurs, oeuvrant dans des universités, ministères ou agences gouvernementales qui ont depuis longtemps flairé la poule aux œufs d’or climatique. Ils savent que s’ils peuvent arrimer leur « problématique » de canards qui font leurs nids de plus en plus vers le nord, ou de leur nappe phréatique qui baisse de façon qu’ils jugent alarmante, au pseudo-problème du RCA, leurs chances de vous siphonner encore plus de dollars sous forme de subventions, augmentent fortement. Dans ce contexte de peur généralisée d’une apocalypse imminente qu’ils entretiennent, ils sont eux aussi des parasites verts.
Richard Lindzen, cet éminent climatologue du Massachusetts Institute of Technology, recommande que Donald Trump réduise de 80 à 90% les fonds accordés à la recherche sur le climat. Combinée à la réduction drastique du carcan des règlements sur l’environnement, dont des milliers de jobs verts dépendent, cette mesure ferait économiser combien de milliards de dollars aux Américains? Des milliards qu’on consacrera à la recherche vraiment productrice de bonheur et de richesse collective.
Le pesticide Trump est arrivé ! Que tous les parasites verts se le disent, l’épandage est commencé ! Et quand on en aura mesuré les effets, nul doute que les Canadiens voudront l’homologuer…car nous avons aussi des sangsues vertes…
Dans le monde de moumounes dans lequel nous vivons, je dirais que vous avez un discours haineux.
Une définition : “Un discours de haine (ou discours haineux, discours de la haine) désigne un type de discours qui vise à intimider, à inciter à la violence ou aux préjugés contre une personne ou un groupe de personnes …”.
Au Québec, le projet de loi 59 voulait carrément l’interdire, au risque de limiter la liberté d’expression. On a éventuellement reculé, mais le désir de certains politiciens d’encadrer les opinions du citoyen doit être dûment noté.
Aux USA, depuis l’élection de M. Trump, la CNN (Coloured News Network) l’attaque à temps plein et le discours des intervenants est souvent carrément haineux.
Ensuite, lorsqu’il y a des manifestations ou des débordements, on accuse D. Trump de diviser l’Amérique.
Le discours du professeur Du Berger ne serait-il pas “haineux” que parce qu’il laisse entrevoir la possibilité que l’unanimité tribale québécoise sur le climat n’existe pas ailleurs que dans la tête de nos élites ?
Je n’incite nullement à la haine contre ceux que j’appelle les « parasites verts ». J’attire l’attention de mes concitoyens sur les coûts sociaux et économiques gigantesques qu’ils entraînent. Je ne prône nullement leur éradication, mais celle des postes nuisibles au développement qu’ils occupent. Je favorise leur ré-orientation vers des postes ou des carrières qui vont créer du bonheur et de la richesse collective , plutôt que la décroissance qu’ils créent. Je conviens cependant que la tâche ne sera pas facile, car Donald Trump a une énorme machine écolo, des médias gauchistes et une armada de chercheurs eco-dépendants contre lui. Souhaitons-lui bonne chance.
Tous ces groupes parasitaires et lobbies de gauche anti-capitalistes payés et subventionnés par nos taxes , sont le principal frein a notre croissance, et pendant ce temps old Harry se vide vers le Newfoundland, terre ouverte a l’exploitation,
Quelque soit le parti au pouvoir, les Verts se portent très bien au Québec.
Les politiciens médiocres vivent sous la règle de la rectitude politique absolue, alors la verdure a tous les droits.
D’ailleurs, le monde des affaires n’ose pas apporter des objections non plus. Dans le Modèle Québécois le poids du gouvernement est trop fort, alors il est préférable de se taire.
Pour les quidams québécois, il y a un coût rattaché à la stupidité collective.
Qui donc sont les vrais newfies au Canada ?
J’ai vu cette pub hier en français et j’ai été choqué. J’ai retrouvé la version originale en anglais.
Dawn a donné en 2016, 1 million de dollars pour sauver des canards à l’huile. Combien a-t-il donné pour sauver les pépés à merde qui croupissent dans la merde de leur couche qui n’a pas été changée depuis deux jours parce que le petit-fils, visé par cette pub, est trop occupé à nettoyer des canards?
J’appelle au boycot de Dawn qui fait passer les jeunes canards avant les vieux pépés. C’est le syndrome Brigitte Bardot ! Un bébé canard c’est cute et ça sentira bon une fois nettoyé, tandis qu’un pépé, c’est laid et tout ridé.. et ça pue, même nettoyé. Aussi longtemps qu’on tolèrera ce genre de pub, l’homme, surtout le vieux, sera considéré comme un prédateur à exterminer.
Cela revient aux petit fils d’accepter ce million de dollars offert par Dawn, mais ensuite leur faire un gros doigt d’honneur en l’utilisant pour changer les couches et laver les fesses de leurs pépés qu’ils ont dompés dans des CHSLD afin de mieux s’occuper des canards que leurs profs, les médias et Charles Effet D’Tisseyre leur ont dit en danger.
https://www.ispot.tv/ad/7nQN/dawn-cleaning-oil-spills?autoplay=1
Bravo Reynald pour ce message réaliste. Je suis content de l’élection de Donald Trump à la direction des USA et j’espère que le vent apportera ce pesticide sur le Canada.
Un point de vue arthuro-sociologique sur l’arrivée du “potus” Trump : http://blvd.fm/reecouter/3673-arthur-le-midi-trump-arrive-aujourd-hui#.WIKDAWdRFZU
Totalement d’accord, M. Duberger. Si Donald Trump réussit ne serait-ce qu’une partie de ce qu’il a promis, notamment dans le domaine de l’énergie, l’économie américaine reprendra du poil de la bête. Allons-nous être assez insignifiants pour laisser passer cette occasion ? J’en ai bien peur…
Le pesticide TRUMP est une solution temporaire…l’OGM TRUMP (déprogrammation des éco-cerveaux) en sera une plus élégante et surtout permanente.
M. Duberger,
Vos commentaires sont tout à fait à point, parce que l’on pense différemment des VERTS nous sommes jugés des personnes sans respect pour l’environnement. Il suffit de regarder la météo sur » météo média » pour constater que la température était très variable dans les années antérieures et pourtant beaucoup moins de voitures, moins d’ exploitations au niveau du sol.
Merci pour votre vision sur le climat.
Alain C.
Tenir le discours des soi-disant « Changements Climatiques » …Tellement facile. Tellement facile de dire que les glaciers ne fondaient pas … avant. Quand un individu vient de loin, que c’est facile d’exagérer et même de mentir. Imaginez : Réaliser que la fonte en arctique (depuis 2007) est largement compensée par la glaciation en antarctique, qu’il y a eu moins d’ouragans durant la dernière décennie que lors des décennies précédentes, que les températures enregistrées dans la décennie des années 30 étaient supérieures à celles que l’on observe maintenant. Maintenant, nous réalisons tous les dommages causés par cette foutue « Idéologie Verte ». Je suis allé au Nunavut (proche du pôle Nord) et les locaux m’ont certifié que le pergélisol était toujours présent et qu’ils continuaient toujours à construire directement sur le sol…Aucun solage. Dire, sans rire, à un chimiste rompu aux mesures de pH qu’une baisse de pH de 0,01 unités constituait une acidification notable lorsque le même chimiste sait depuis des lunes que la précision des mesures de pH est de l’ordre de +/- 0,05 unités de pH….et ce, dans les meilleures conditions.
Principalement de se rendre compte qu’il s’agit d’un énorme canular.
Ne vous en faites pas, Mr. Donald Trump en a vu d’autres.
Incroyable: Hier, j’ai écouté à TVA Denis Lévesque à « Le Québec Parle ». Denis était férocement anti-Trump comme presque 100% des journalistes. Croyez le ou non, mais 90% des interventions au téléphone étaient pro-Trump. Ça fait du bien!
On a le cynisme envers la classe politique. S’en vient celui envers la classe journalistique.
Denise Bombardier a déjà dit à la télé, aux Deux hommes en or, que les journalistes étaient des fabricants de l’opinion publique. «En êtes-vous conscients?» a-t-elle demandé? Devant scepticisme de Lagacé, elle a demandé s’il l’avait bien comprise.
Ces blancs becs de journaleux veulent nous faire avaler leurs grosses couleuvres.
Pas surprenant que les journalistes soient antiTrump. Il veut les remettre à leur place. De l’information et non pas de la fabrication. Ses moyens ne sont pas toujours élégants, mais efficaces.
Je ne suis ni pro ni anti Trump, mais pro vérité et anti bullshit.
Bonjour,
Effectivement, le Donald a commencé à déverser son fiel toxique un peu partout. Il a commencé en grande pompe en mentant de façon éhontée sur l’importance de la foule qui assisté à son investiture, ce qui a été repris par Sean Spicer, lui-même défendu à son tour par la conseillère Kellyanne Conway qui a invoqué des « faits alternatifs » pour le justifier. Ils ne manquent certainement pas d’imagination… J’ai l’impression qu’on n’a pas fini d’entendre cette nouvelle expression.
Si le narcissisme de Trump le pousse à mentir sur des sujets aussi banals que la taille d’une foule, imaginez avec quelle facilité il pourra tordre les faits et manipuler le peuple sur des enjeux qui ont vraiment de l’importance.
Guillaume
Narcissique : il l’est, au superlatif.
Porté sur l’exagération ? Aussi, car en Amérique “you think BIG !”.
Mais, ne vous trompez pas, le président Trump n’est pas un simplet, bien qu’il s’amuse à s’auto-caricaturer, il a le souci du plus petit détail et il sait se servir d’autorité.
Son jugement est rapide et sans appel.
Au bout de quelques secondes il vous dirait : “Billy or Bobby (dépendant de votre avatar du jour) – you are fired !”
Vous diriez : “Voilà- un dictateur !”
D’autres vous répliqueraient : “Peut-être un despote éclairé ?”
N’avez-vous pas assez de politiciens médiocres comme le verbo-diarrhéique Obama, le président Cupidon Hollande et notre premier Narcisse – Castro Trudeau ?
et il va garder les poignées de main et sourires hypocrites au minimum… autrement dit la diplomatie traditionnelle , c est fini ! l’ère de la Trumpomatie commence et j’espère sera imitée par les autres.
Reynald,
C’est sûr qu’en terme de sourire hypocrite, Donald n’en a pas besoin, car sa femme Melania ne donne vraiment pas sa place !
Voyez plutôt lors de l’investiture…
http://www.snopes.com/2017/01/23/melania-trump-frowning-inauguration/
Guillaume
Pour Mme Trump : “sois belle et tais toi !”
C’est l’image que l’on va essayer de lui faire coller.
Quel contraste avec l’inspirante Michelle Obama, la coqueluche de CNN (Coloured News Network), cette grande patriote, la future candidate à la présidence des USA.
Avec un accent de sincérité la dame avait déclaré, peu de temps après l’élection de M. Barrack, que pour la première fois elle venait d’être fière de son pays :
(Notons à la fin de cette vidéo le geste de ponctuer et balayer auquel nous avait habitué son mari, un activiste social (et rien de plus).
Le même coach de parole en public ou c’était elle le vrai coach ?)
Parce que le couple devait quitter la Maison Blanche, selon Mme Michelle l’espoir allait disparaître du pays :
http://www.cnn.com/2016/12/16/politics/michelle-obama-home-oprah-interview/
Pour juger de sa sincérité, faut-il interpréter un sourire forcé et lire dans son âme ou plutôt se fier sur les discours d’un individu ?
Dans les entrevues accordées aux média, Mme Trump avait parlé d’une façon intelligente, mais cette personne effacée ne sera jamais la marchande d’espoir comme l’était Mme Obama.
La crédibilité de Snopes en a pris pour son rhume avec un des fondateurs pris la main dans le sac pour divers trucs peu orthodoxe.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-4042194/Facebook-fact-checker-arbitrate-fake-news-accused-defrauding-website-pay-prostitutes-staff-includes-escort-porn-star-Vice-Vixen-domme.html
Guillaume;
Premièrement on élimine la niaiserie:
La foutue foule: Ne savez vous pas que la ville de Washington vote presque à 80% Démocrate. Donc, pas surprenant qu’il y ait eu foule pour Obama?
Monsieur Trump a approuvé le projet Keystone…Quelle bonne nouvelle!
Autre bonne nouvelle…Trudeau est d’accord.
Une insignifiance…Suite à cette annonce Guilbault de Équiterre est invité à RDI…LOL
Robert,
Eh bien oui, je suis d’accord, c’est une effectivement une niaiserie et c’est tout à fait normal qu’il y ait eu plus de monde pour Obama… Pourquoi donc Trump a-t-il tant voulu nous faire croire le contraire ?
Accorder autant d’importance à une telle niaiserie nous montre que Trump (et son équipe) n’a pas toujours un jugement adéquat, du moins dans ses relations avec les médias (qui sont totalement biaisés, on le sait) et montre un manque de respect envers l’intelligence des gens qui l’ont élu… et le reste des Américains dont il est maintenant le président.
Guillaume
Eh oui, le président Trump n’a pas le poli de son prédécesseur, ni l’appui actif de la presse.
M. Obama, CNN, New York Times et les autres ont tout fait, par des allusions subtiles (dont le décompte physique) et des affirmations directes (dont l’odieux “unconfirmed report” sur une orgie à Moscou) pour délégitimer la présidence de Donald Trump.
Il devrait apprendre à laisser glisser et choisir ses batailles.
Autrement, les stratèges de ses opposants, ainsi que les media hostiles, vont l’occuper à temps plein par des broutilles et le détourner de son programme.
Pour le moment la délégitimisation n’a pas pour le but la révocation du président, il est trop tôt pour cela, mais on trouvera / fabriquera éventuellement des raisons pour entamer des procédures de destitution (“impeachment”) contre ce président réformateur qui devrait (selon les calculs des Démocrates) dans quelques temps trop irriter les hautes instances de son propre parti.
La manipulation de l’opinion publique que l’on a entreprise de bonne heure aura un aboutissement, déjà prévu, plus tard.
NOTE : le président Nixon avait abdiqué lorsque son parti l’avait laissé tomber.
Juste un rappel : pendant la campagne présidentielle, CNN et les autres, ne parlaient jamais de foules attirées par Mme Clinton, quelques centaines d’activistes politiques tout au plus, ni d’assistance aux assemblées de M. Trump, plusieurs milliers de personnes ordinaires chaque fois, y compris lors du marathon de la dernière journée avant les élections, à I:00 du matin au Michigan.
Voilà la vraie source de légitimité : le président Donald J. TRUMP A GAGNÉ CONTRE ET ENVERS TOUS, y compris l’argent, les media et les bonzes républicains dont il ne partage pas les doctrines fondamentales.
Guillaume;
« …du moins dans ses relations avec les médias (qui sont totalement biaisés, on le sait)… »!…Justement, tout cela n’a absolument aucune importance. Ce n’est pas ce que les gens intelligent regardent!
« … un manque de respect envers l’intelligence des gens qui l’ont élu… »…Vous avez bien raison, une bonne partie de ceux qui l’ont élu sont intelligent.
M. Guillaume (https://duberger.me/2017/01/21/le-pesticide-trump/#comment-42061) écrit : “.. la conseillère Kellyanne Conway qui a invoqué des « faits alternatifs » pour le justifier. … J’ai l’impression qu’on n’a pas fini d’entendre cette nouvelle expression.”
En effet, madame Kellyanne Conway aura une tâche difficile devant les médias gauchistes et hostiles.
Voici deux compte rendus typiques sur la Marche des femmes anti-Trump (“Women’s march on Washington”) :
– Radio Canada (un organe de propagande socialiste, syndicaliste et séparatiste) :
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1012226/marches-femmes-donald-trump-president-washington-etats-unis-washington?isAutoPlay=1
– Washington Post (“pro Democratic Party & left-wing bias”) :
https://www.washingtonpost.com/world/worldwide-people-rally-in-support-of-womens-march-on-washington/2017/01/21/bc232bd8-de69-11e6-8902-610fe486791c_story.html?utm_term=.78eec543a281
Curieusement, aucun organe de médias “officiels” ne fait même pas qu’effleurer les liens entre de nombreux organismes partenaires de cet “événement spontané” et un George Soros :
http://legalinsurrection.com/2017/01/more-than-50-soros-partners-behind-womens-march/
Ce milliardaire ne veut pas du bien aux États Unis, son pays d’adoption – il prône plutôt une gouvernance mondiale ONUsienne (“New World Order”).
Parmi beaucoup d’autres interventions directes et indirectes, il aurait tiré les ficelles du mouvement “Occupy Wall Street” – des démonstrateurs socio-activistes dont on entend moins parler aujourd’hui et il supporterait maintenant financièrement des fomentateurs de tensions raciales (blâmées sur Trump, bien sûr), le “Black Lives Matter movement”.
M. Soros aurait des liens directs avec le Pape Vert Al Gore :
http://www.washingtontimes.com/news/2016/aug/22/george-soros-al-gores-sugar-daddy/
Ceci, sûrement pour augmenter la puissance des USA par une lutte acharnée aux changements climatiques …
Bien entendu, M. Soros s’était bien positionné pour récolter gros en investissant massivement dans les compagnies favorisées par les subventions du président Obama dans les énergies vertes.
Le timing était parfaitement arrimé aux annonces présidentielles.
G. Soros était le support financier principal de la campagne à la présidence de Mme Clinton (auparavant, il avait ses entrées à la Maison Blanche de M. Bill Clinton) et il avait tenté de renverser les résultats des élection présidentielles récentes en payant pour les recomptages judiciaires initiés par le “Green Party”.
Enfin, est-il surprenant que monsieur Soros envisage un nouveau rôle de leadership mondial pour la Chine ?
http://yournewswire.com/george-soros-china-new-world-order/
Il y a beaucoup d’actes d’intervention malveillants ailleurs dans le monde de cet agent provocateur qui mise sur l’instabilité pour faire de l’argent.
Après avoir causé la ruine, M. Soros se défend : “I am basically there to make money. I cannot and do not look at the social consequences of what I do.”
Au lieu de prévoir des situations et investir en conséquence comme le font les autres financiers, M. Soros préfère des instabilité contrôlées dans le temps et dans intensité qu’il saupoudre de quelques millions pour récolter des milliards.
M. Barhacq Obama était piloté par M. Georges Soros dans son choix de l’Avenir Vert pour les USA, qu’il prévoyait être payant (mais pour qui ?).
Les péchés par omission des media malhonnêtes – voilà les “faits alternatifs” (“alternate news”) dont pourrait s’occuper la très capable Mme Conway.
Peut-être que les consommateurs de « faits avérés” servis par les médias traditionnels pourraient éventuellement réaliser que la lutte aux changements climatiques de certains politiciens, de M. Obama en particulier, serait possiblement motivée par des encouragements financiers intéressés de quelques malfrats, plutôt que par les impératifs imposés par la Science.
Nous leur avons envoyé notre meilleur .
M. David Heurtel apporte la bonne nouvelle du Québec aux écolos californiens en guinguette ( http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/infuseur/communique.asp?no=3636 ).
Voici le communiqué du Ministère DDELCC (!) :
“Devant un parterre attendu de plusieurs centaines de participants, le ministre aura l’occasion d’expliquer les grandes lignes du marché du carbone et la manière dont les revenus sont utilisés pour financer le Fonds vert, l’outil grâce auquel le gouvernement du Québec soutient diverses initiatives pour accompagner les citoyens, les municipalités et les entreprises du Québec dans leurs efforts de lutte contre les changements climatiques et pour moderniser son économie sur les bases de l’innovation et de la décarbonisation.”.
Fort de son expertise en changements climatiques, le ministre Heurtel devrait aussi entretenir ses auditeurs du sujet qu’il maîtrise le mieux : la fermentation des matières fécales dans les canalisations montréalaises et l’évitement d’explosions catastrophiques par la dérivation et l’enrichissement du biotope fluvial.
http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/10/07/deversement-eaux-usees-david-heurtel-lapsus-eau-potable_n_8258730.html
Fonds vert – une réussite !! Vraiment ?
Peut-être – pour quelques profiteurs qui ont flairée la bonne occasion.
M. Michel Juneau-Katsuya donne son opinion éclairée sur les prétendus liens du président Trump avec les agents secrets russes : http://www.985fm.ca/lecteur/audio/campagne-presidentielle-de-donald-trump-des-conta-352646.mp3
Ce fin analyste suggère que D. Trump “.. aurait eu des liens avec les services secrets” (russes) “et que là, en ce moment, il serait beaucoup plus perçu comme un agent de la Russie que président des États Unis”.
En conclusion, l’illuminati enfonce le bouchon : “.. Washington serait contrôlé à distance par Moscou.”
M. Paul Arcand, s’il avait du jugement et s’il suivait la politique américaine de près, aurait pu facilement relancer le pitoyable ex-agent secret canadien.
C’est clair, CNN, New York Times, Parti Démocrate et beaucoup d’autres, essayent à temps plein d’associer Donald Trump à l’ennemi, tout en invoquant le potentiel d’une trahison, SANS AUCUNE PREUVE.
Ceci, afin de susciter des réflexes d’autodéfense, hérités de la guerre froide, avec l’espoir de rejet de président Trump par les républicains et par sa base électorale.
Il y a beaucoup de fonctionnaires obamistes, encore en poste, pour organiser des fuites et donner une apparence de vérité aux insinuations.
Comme d’habitude, ces insinuations, en arrivant ici, deviennent des faits avérés, repris par nos grands experts.
Personne ne parle de la vraie trahison, là où ça comptait : la cession par le duo Barhack Hussein Obama – Hillary Clinton de 20 % de réserves d’uranium américain aux russes (affaire “Uranium One”).
Bill Clinton avait reçu en retour directement un cachet de $600,000 pour un “speech” (aux russes en anglais) à Moscou et la Clinton Foundation, aurait reçu une commission (sous un autre qualificatif) de $2.5 millions.
Parions, que notre James Bond de service n’y trouverait rien à redire…
Un vrai Machiavel le président Obama : faire acheminer par le “Justice department” des USA, l’argent (US$ 3 milliards) provenant des ententes hors-cour, aux ONG et autres groupements gauchistes.
http://www.dailywire.com/news/14017/report-obama-admin-funneled-billions-left-wing-amanda-prestigiacomo
Les bénéficiaires de l’argent facile n’étaient pas les parties lésées par les contrevenants.
Toutes ces sangsues sociales doivent maintenant à cet activiste socialiste leur loyauté et obéissance : il y aura des manifestations “spontanées” contre Trump pendant des années et Mme Michelle aura des chances de bientôt être élue la première femme, président des USA.
Clairement, il s’agit d’un détournement des fonds au détriment du Trésor public et son instigateur devrait répondre de ce racket.