Le point sur les gaz de shale

Publié: 4 novembre 2010 dans Uncategorized

par Reynald Du Berger

L’ingénieur géologue Jean-Yves Lavoie, Président de JUNEX, fait le point sur l’exploration et l’exploitation des gaz de shale au Québec. Il est une voix rassurante derrière les trop nombreux messages alarmistes qui nous inondent à travers les médias québécois. Je suis fier de l’avoir eu comme élève dans les années ’70 à l’Université du Québec à Chicoutimi. Bonne écoute!

commentaires
  1. Luc Chartrand dit :

    Dès que je lis gaz de shale, je déconnecte. Je me dis : « un pédant »…

    Je suis totalement pour l’exploitation du gaz de schiste et du pétrole au Québec ceci dit.

    • Sébastien dit :

      Il n’y a rien de pédant à appeler les choses par leur nom, surtout quand l’alternative consiste à commettre une erreur.

  2. Reynald Du Berger dit :

    Si vous connaissiez l’objet géologique dont on parle, au lieu de dire « un pédant! » vous diriez plutôt « un géologue! »
    Dommage que vous ayez « déconnecté » mais j’espère que vous n’allez pas disjoncter si vous écoutez M. Lavoie vous expliquer dans l’extrait sonore que je vous propose, que partout ailleurs qu’au Québec on parle de shale gas ou gaz de shale. Dès que je lis ou entends gaz de schiste je me dis: « tiens un Québécois! » et dans ce contexte particulier, ça veut dire « tiens, un ignorant total en géologie! ». Combien de fois devrais-je rappeler ici qu’un schiste ne peut contenir de gaz? Bonne écoute et ne faites pas d’urticaire!. Voici un petit cours pour les nuls en géologie, donc pour la vaste majorité des Québécois, sur les shales de l’Utica, gracieuseté de Junex. http://www.junex.ca/fr/oilgas/shale-gas.php

    et le dernier éditorial de la Présidente de l’Ordre des ingénieurs du Québec http://www.bulletinsoiq.qc.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=887:energie-eolienne-gaz-de-shale-hydroelectricite-pensons-complementarite-&catid=436:edito&Itemid=399

  3. Isabelle Robillard dit :

    « Shale » vs « Schiste » c’est comme « Moraine » vs « Till ». De subtiles différences entre la terminologie européenne et la terminologie américaine, ce qui engendre beaucoup de confusion…

    Voici ce qu’en dit le ministère des Mines et Ressources du Québec à ce sujet, dans ce document (à la page 3):

    Cliquer pour accéder à developpement_gaz_schiste_quebec.pdf

    « Un schiste est une roche composée de très fines particules et qui se caractérise par
    son aspect feuilleté : elle peut se débiter en plaques fines ou feuillets. Selon la
    Commission générale de terminologie et de néologie de France, il peut s’agir soit d’une
    roche sédimentaire argileuse (schiste argileux), soit d’une roche métamorphique
    (schiste). Pour éviter la confusion, les géologues canadiens1 préfèrent utiliser le terme
    « shale » lorsqu’il s’agit d’une roche sédimentaire et réserver le terme « schiste » à la
    roche métamorphique. »

    Remarquez, je ne suis pas d’origine européenne et je ne suis pas à même d’être bien certaine de ce que le ministère avance.

    C’est quand même bizarre: M. Du Berger nous propose d’écouter un spécialiste que Radio-X a eu l’intelligence de faire venir (bravo pour cette radio, vous êtes des gens allumés), et tout ce qu’on trouve à faire c’est d’émettre le commentaire que « gaz de shale » est une expression pédante.

    Je vais dire comme mon ado: C’est quoi le but?

    En tout cas…pour ceux que ça pourrait intéresser, je suis tombée sur un superbe vidéo qui aide à visualiser ce qu’est la fracturation hydraulique du shale (oui, oui, du s-h-a-l-e):

    http://www.oerb.com/Default.aspx?tabid=242

    • Reynald Du Berger dit :

      Isabelle, vous ramenez avec raison et sagesse le débat à son enjeu fondamental: to drill or not to drill;! On doit permettre aux géologues comme vous de s’exprimer sur la question scientifique et économique. Personne n’a osé répondre à la question « y a-t-il du danger »? avec l’audace de J.Y. Lavoie , et il a répondu NON!!!

      Ah si la géologie était enseignée au secondaire avec la chimie et la physique , on n’en serait pas restés au vocabulaire, on aurait foré et on ne serait plus les BS de papa Alberta.

      • dernier recours dit :

        Depuis le début de la civilisation, les gens se sont rendu compte qu’ils ne pouvaient pas être experts en tout et se sont divisé les tâches. La confiance entre l’expert et celui qui le consulte donne la notoriété. Or, dans cet enjeu, l’expertise proposée n’est pas indépendante. Il ne faut pas se surprendre qu’aucun lien de confiance ne se soit construit entre la population et l’industrie. Je trouve maladroit de voir dans cet enjeu une simple question de nomenclature géologique.

        Je n’ai pas écouté l’extrait, mais un spécialiste en santé et sécurité ne prétendant qu’aucun danger n’existe lors d’opérations de forage industriel serait rabroué sur le champ. De même qu’un spécialiste en dispersion des contaminants ou un autre en opérations gazières.

      • Isabelle Robillard dit :

        Je ne comprend pas votre argument de l’expertise qui devrait être indépendante.

        C’est l’industrie qui a développé l’expertise!!! Ça me dépasse qu’on donne le bon Dieu sans confession aux ti-cailles de Greenpeace et que dès qu’une personne de l’industrie parle, elle est suspecte. Pire, on se bouche les oreilles et on ne veut même pas écouter…

        Vous ne savez donc même pas si M. Lavoie a dit qu’il n’y avait zéro danger.

        Quand vous allez faire le plein dans une station-service, avez-vous une idée de l’état des réservoirs souterrains de 5000 gallons et plus qui contiennent l’essence que vous faites boire à votre véhicule? Êtes-vous bien certain de l’état du sous-sol? Y a-t-il des petites phases flottantes locales sur la nappe phréatique juste au-dessous de la pompe à essence?

        Bref, avez-vous une confiance absolue de votre station-service? Sinon, allez-vous exigez qu’elles ferment toutes à la grandeur de la province?

        Des fois, ça prend un minimum de confiance. Les 33 mineurs chiliens ont fait confiance à l’expertise et à la technologie des foreurs, des topographes, des ingénieurs miniers. Oui, comme dans bien des domaines, il existe malheureusement de mauvaises compagnies, comme celle de la mine San Esteban qui était fautive et négligente.

        Mais c’est une foreuse d’un entrepreneur spécialisé en pétrole et gaz naturel qui a sorti les 33 mineurs du trou. C’est le plan B qui a marché…grâce à la foreuse T130XD de la compagnie de Schramm de la Pennsylvanie, endroit de prédilection pour le gaz de shale.

      • Remi C dit :

        Confiance ou pas confiance…

        Quand je me fais dépasser sur l’autoroute et que je roule à 115, je me dis que certains font très confiance au fabricant d’auto et au garagistes qui les entretiennent, malgré leur intérêt dans la production.

        De même pour les médecins: plus vite ils font tchique-tchique, et mieux se portent leurs fins de mois. On n’a pourtant pas le choix de leur accorder notre confiance et il y a pourtant très peu de mauvais traitement médical, grace peut-être au recyclage vers la politique solidaire!

        Devant autant d’intérêts et de « non indépendance », comment la société réussit-elle à fonctionner???

        La rogne envers les minières et les pétrolières n’est rien d’autre qu’une espèce de mode qui sort d’un chapeau. Si vous ne leur faites vraiment pas confiance arrachez tous les clous (fer) et fils électriques (cuivre) de votre maison, envoyez votre vélo (acier, molybdène, chrome) et votre auto (acier, alu, plomb…) au rancard, cassez votre vaisselle (les céramiques – porcelaines sont dérivés de feldspath exploité dans des mines) évitez les troitoirs (béton dérivé des exploitaitons à ciel ouvert de calcaire en plein Montréal et dans les environs) et ne vous réfugiez surtout pas à la rue (asphalte, un dérivé du pétrole).

        Bonne journée!

      • Reynald Du Berger dit :

        « La confiance entre l’expert et celui qui le consulte donne la notoriété. » pas du tout! La notoriété découle en premier lieu des diplômes dument reconnus pas les organismes d’agrément pan-canadiens tel Ingénieurs Canada qui certifie la compétence des ingénieurs. Si vous avez confiance en les propos de Céline Galipeau, Charles Tisseyre et Anne-Marie Dussault qui sont parmi la demi-douzaine de ténors et sopranos (à part les tartistes) responsables à plus de 90% de l’opinion négative que se sont faite les Québécois sur les gaz de shale, c’est votre unique et entière responsabilité. Et j’ajoute que vous avez alors un GROS problème, si vous faites confiance en ces trois-là et aucunement en J.Y. Lavoie. La notoriété s’affirme et s’affine par la suite par l’expérience dans le domaine. Et c’est exactement le cas de M. Lavoie que cela vous plaise ou non et que vous lui prêtiez ou non les pires intérêts capitalistes.. c’est comme ça.

      • Reynald Du Berger dit :

        … « ne prétendant qu’aucun danger n’existe lors d’opérations de forage industriel  » M Lavoie a répondu NON à la question est-ce dangereux?. Il a raison et ça ne veut pas dire que le risque est zéro. Il y a un risque et il est extrêmement faible. Le risque le plus élevé vient des groupes de pression : on risque de rester pauvres si on ne fore pas!

      • dernier recours dit :

        Les enjeux autours des gaz de shale ne découlent pas seulement d’une nomenclature inexacte et d’un traitement médiatique défavorable à l’industrie. Il faut reconnaître qu’il existe un décalage entre la société civile et le consortium gouvernement-industrie. Mon hypothèse est que le « consortium » refuse de concevoir que l’industrie doit tenir compte des environnements sociaux et écologiques dans lesquelles elles exercent ses activités.

  4. […] Le point sur les gaz de shale L’ingénieur géologue Jean-Yves Lavoie, Président de JUNEX, fait le point sur l’exploration et l’exploitation des gaz de shale au Québec. Il est une voix rassurante derrière les trop nombreux messages alarmistes qui nous inondent à travers les médias québécois. (tags: lcb 2010-11-04 #schiste environnement) […]

  5. lutopium dit :

    Ce dossier a été mal géré, autant par l’industrie que par le gouvernement libéral. Tout s’est fait en catimini et les citoyens n’ont pas été informés adéquatement ni consultés. M Lavoie est un honmme d’affaires et sa première préoccupation est de générer des profits pour Junex. Et c’est tout à fait normal. Cependant, lorsqu’on analyse le sujet dans un angle un peu plus large, il est légitime de poser les questions, lesquelles ont été d’ailleurs reprises par l’animateur de l’émission que vous nous suggérez ici.

    Personnellement, je serais plutôt favorable à laisser cette ressource là où elle est, en considérant qu’elle sera peut-être beaucoup plus utile pour les générations futures; surtout lorsque les réserves mondiales de pétrole auront été écoulées. Cependant, si l’utilisation de gaz naturel peut réduire les émissions de GES en permettant de l’utiliser convenablement et intelligemment dans le domaine du transport, je serais porté à croire qu’il y a peut-être là une piste à explorer.

    Pour ce qui est du débat sémantique, ça me laisse complètement indifférent. Le produit final de son extraction, c’est le gaz naturel.

    • Reynald Du Berger dit :

      Répétez après moi: UN SCHISTE NE CONTIENT PAS DE GAZ! et vous me le copierez 100 fois!

      « M Lavoie est un honmme d’affaires et sa première préoccupation est de générer des profits pour Junex. » Qu’en savez-vous?

      M. Lavoie est aussi un ingénieur géologue compétent , renommé et expérimenté. Personne au Québec ne possède son experise dans le domaine gazier. Il a des normes d’éthique qui font de lui un promoteur soucieux de protéger l’environnement et surtout soucieux du confort et du bien-être de ses concitoyens. Ces préoccupations ne sont pas en contradiction avec d’éventuels profits de Junex.

      « il est légitime de poser les questions, lesquelles ont été d’ailleurs reprises par l’animateur de l’émission »
      Ces questions ont toutes été répondues! en avez-vous d’autres? posez-les moi, ou à Mme Robillard, nous sommes également géologues et au pire on les refilera à M. Lavoie.

      Pour finir regardez et écoutez ça, Mme Robillard a attiré notre attention sur cet extrait qui vous instruira à défaut peut-être de vous convaincre: http://www.oerb.com/Default.aspx?tabid=242

      • lutopium dit :

        En tant que chef de la direction de Junex, M. Lavoie doit s’assurer que l’entreprise est profitable. Sinon, l’action de l’entreprise deviendra un « junk » et l’entreprise fera faillite. Je ne remets pas ici en question la mision de l’entreprise et le rôle de son directeur ni son expertise… J’ai dit: c’est tout à fait normal. Vous savez fort bien que je ne suis pas un « gauchiste » qui s’oppose à tous les projets. Mais je continue à me poser des questions sur la pertinence d’exploiter cette ressource MAINTENANT.

        Il est dommage qu’on donne l’information après le début des travaux. De là l’inquiétude des citoyens. J’ai lu beaucoup sur le sujet et il est clair que la majorité des citoyens n’est pas contre, elle tient simplement à être informée, rassurée tout en se demandant si les profits qui seront générés rapportront quelque chose à la société.

        J’ai regardé le vidéo. Très bien fait. Instructif.

      • Reynald Du Berger dit :

        « Mais je continue à me poser des questions sur la pertinence d’exploiter cette ressource MAINTENANT. »

        Tout le gaz naturel consommé au Québec en ce moment provient de l’Ouest canadien, tandis qu’on est assis sur d’énormes réservoirs. Donc en plus de nous fournir notre chèque annuel de BS dépendants et quêteux de 8,5 milliards, papa Alberta nous chauffe. La démarche vers l’autonomie commence MAINTENANT, et oui c’est urgent de forer. Les groupes environnementalistes financés par mes taxes sont un énorme frein à l’économie.

      • Isabelle Robillard dit :

        On voit bien à vous lire que vous n’êtes pas dans le domaine de l’exploration.

        Il n’y a AUCUN profit pour Junex présentement. Ce n’est pas un producteur de gaz naturel!!

        Placer son argent dans Junex est un placement hautement risqué car spéculatif sur de FUTURS EXPLOITATIONS POTENTIELLES. Il faudra 2 ou 3 ans pour savoir si les puits forés dans le shale de l’Utica sont rentables économiquement parlant.

        Pour l’instant, on est dans une période d’essais. Il y a juste au Québec où on est assez …(mot censuré) pour vouloir un moratoire sur quelque chose qui n’existe pas encore. Franchement, je vais me censurer ici mais il y a quelques qualificatifs peu élogieux qui me viennent en tête pour qualifier cela.

        Vous me faites bien rire avec les générations futures. Il y en a qui voient le prix de l’once d’or à 2000$ dans un future proche à cause de la dette colossale des U.S.A. (et de bien d’autres pays)…Devrait-on fermer les mines en Abitibi maintenant…au cas où l’or deviendrait plus cher plus tard?

        Vous devriez aller au salon de l’investissement demain au Palais des Congrès de Monréal. Ça ne coûte que 20$. C’est pas cher pour apprendre comment ça marche dans la vraie vie.

    • Isabelle Robillard dit :

      « M Lavoie est un honmme d’affaires et sa première préoccupation est de générer des profits pour Junex. Et c’est tout à fait normal »

      Tant qu’à faire des jugements de valeurs et prêter des intentions, on pourrait tout aussi bien dire:

      M. Steven Guilbeault est un anti-capitaliste et sa première préoccupation est de s’opposer systématiquement à tout développement économique. C’est comme ça qu’il justifie sa job et l’existence de son groupe de pression Equiterre. C’est donc tout à fait normal.

      • lutopium dit :

        Ben voyons donc… qu’avez-vous mangé ce matin vous deux? Ce n’est pas un jugement de valeurs! Sans vouloir défendre ici M. Guilbeault et son style particulier, comment pouvez-vous prétendre à votre tour qu’il est anti-capitaliste? Votre perception des gens qui travaillent dans le domaine de la protection de l’environnement est complètement démesurée. Voici comment s’exprime M. Guilbeault sur les gaz de schsite. Oups, de shale:

        «On n’est pas contre le gaz naturel, mais il y a plusieurs questions sans réponse, dit-il. On ne comprend pas l’urgence de se précipiter. Le gaz va rester là. On peut prendre un certain temps pour étudier la situation. Il faut se donner les moyens de ses ambitions. Si c’est vrai que le gaz de schiste (oups) peut jouer un rôle, comme le dit l’industrie, mettons toute l’info sur la table.» La Presse, 14 septembre 2010

      • Isabelle Robillard dit :

        Personnellement, j’ai beaucoup de misère avec des gens qui tiennent un double discours.

        Vous nous rapportez les paroles de M. Guilbeault, s’exprimant sur le gaz de schiste, comme quoi il n’est pas contre le gaz naturel. Je ne met pas en doute qu’il ait dit cela.

        Toutefois, ce que je déplore c’est que à l’occasion du congrès de l’énergie qui se tenait à Montréal au mois de septembre dernier, voici le genre de pancarte qui était collé sur les poteaux du Centre-Ville de Montréal et autour du parc du Mont-Royal:

        http://www.greenpeace.org/canada/fr/actualites/Les-petrolieres-et-gazieres-debarquent-au-Quebec-/

        Vous remarquerez (bien que ce soit écrit très petit!) que l’organisme d’Equiterre figure à la quatrième ligne des très nombreux organismes cautionnant cette affiche.

        Alors…faudrait se brancher. Si on n’est pas férocement contre, voulez-vous bien m’expliquer pourquoi on met son nom sur une affiche comme ça?

        Des clowns, rien de plus que des clowns qui se prennent au sérieux.

  6. Reynald Du Berger dit :

    « Voici comment s’exprime M. Guilbeault sur les gaz de schsite. Oups, de shale:..  »

    demander un avis éclairé (qui tient compte de la technologie, de l’économie, et des risques environnementaux) sur les gaz de shale à Guilbeault, c’est comme demander l’avis de Françoise David sur les bienfaits du libre marché et du capitalisme.

    Guilbeault selon vous aurait dit: «On n’est pas contre le gaz naturel, mais …  » ça vous rappelle pas tous les débuts de phrases des antisémites comme « j’ai rien contre les Juifs mais…  »

    et vous parlez de Guilbeault et son « style particulier »… qu’a-t-il de particulier son style?

  7. williams Pq dit :

    Je suggère de contacté Bradon Fraser pour nous informer sur le gaz de shale. Sa crédibilité est très bonne il a joué le premier rôle dans le films » Voyage au centre de la terre »

  8. Reynald Du Berger dit :

    ” Voyage au centre de la terre” on en est loin.. très loin… les gisements se situant entre 600m et 3 000m de profondeur… trouvez-nous un autre film… voyez l’émission Huis Clos de ce soir à TeleQuébec c’est sur les gaz de shale.

  9. williams Pq dit :

    C’était une farce j’essayais seulement de vous trouver un artiste compétent.

    Écoutez cette audio, Steven Guilbault parle des septiques de RLQ et de Jaque Brassard à la fin de l’extrait.

    Je vais écouter huis clos ce soir!!

    http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=83875

    • Isabelle Robillard dit :

      J’ai écouté votre lien!

      Comme ça, M. Claude Allègre s’est rallié à la thèse du réchauffement climatique, selon M. Guilbeault.

      Eh ben!!! 😦

  10. Pierre L. dit :

    Bonjour vous dites que les questions ont été répondus, ben.. à propos de gasland..
    C’est quoi l’histoire de l’eau qui prend en feu ? Les produits pour fracturer le shale sont-ils hautement cancérigène? L’eau utilisée pour fracturer le shale peut-elle être facilement récupérée et dépolluée??

    • Reynald Du Berger dit :

      Bonjour vous dites que les questions ont été répondus, ben.. à propos de gasland..
      C’est quoi l’histoire de l’eau qui prend en feu ? C’est un maladroit montage cine pour faire peur aux moumounes écolos.

      Les produits pour fracturer le shale sont-ils hautement cancérigène? Pas du tout

      L’eau utilisée pour fracturer le shale peut-elle être facilement récupérée et dépolluée??Oui.

      Vous avez oublié la question la plus importante:
      Qu’arrivera-t-il si vous laissez encore dormir vos ressources minérales, gazières et pétrolières sous vos pieds sans les explorer puis exploiter?
      1- Vous restez les BS de papa Alberta (8,5 milliards/année)
      2- Vous continuez d’attendre 21 heures dans vos urgences
      3- L’Alberta se tanne de vous voir dormir au gaz en peureux et paresseux et se tanne aussi de payer vos garderies à 7$ et vous envoie promener.
      4- Vous demeurez un des peuples les plus respectueux de l’environnement de la Planète, un des plus sous-développés, des plus endettés et le champion des moumounes peureuses et pleurnichardes. Vous héritez éternellement de chefs comme Charest et Marois qui réflètent votre paresse et votre fixation sur l’environnement . Et alors moi, je ne veux pas faire partie de votre club.

    • papajohn dit :

      Pierre ,les questions ont été répondus sauf que ce n’était pas les réponses que vous vouliez, alors vous nous revenez avec la même rengaine que les questions n’avaient pas été répondues

  11. Pierre L dit :

    Pourtant ce sont tous des peurs que je trouve quand je fais des recherches sur le gaz de shale…
    Je crois que le gaz naturel est probablement la ressource la plus sous-utilisée des énergies. Je pense que pour le chauffage c’est la ressource la plus approprié qui soit mieux que l’électricité surtout dans les cas de pannes.
    Avoir un terrain , j’aurais moins de problèmes avec un puit de gaz qu’avec une inutile éolienne.

    PS. Où restez-vous? danms notre coin l’urgence de l’hopîtal est de plus de 24 heures à tel point que les infirmières de l’acceuil nous suggère d’aller à Québec ( 3 heures aller)

  12. Reynald Du Berger dit :

    « ce sont tous des peurs que je trouve quand je fais des recherches sur le gaz de shale… »
    cherchez chez les vrais, ceux qui ont des couilles, les USA qui n’ont pas froid aux yeux… et pas peur d’exploiter leurs richesses, http://www.oerb.com/Default.aspx?tabid=242

  13. Reynald Du Berger dit :

    @ dernier recours qui dit « Mon hypothèse est que le “consortium” refuse de concevoir que l’industrie doit tenir compte des environnements sociaux et écologiques dans lesquelles elles exercent ses activités. »

    On en tient compte et c’est facile. Les conditions géologiques et environnementales des dizaines de milliers de puits gaziers de shale aux USA et ailleurs déjà forés sont suffisamment semblables à celles du Québec. On examine la quelque demi-douzaine d’accidents environnementaux et sociaux dont on a tiré des leçons et on fait en sorte que ça n’arrive pas ici, ce qui évidemment ne baissera jamais le risque à zéro. Que vous faut-il de plus?

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