Un enseignant de sciences du secondaire, croisé à l’Expo-science régionale la semaine dernière, m’a invité courageusement à présenter à ses élèves de sec V mon point de vue sur l’évolution du climat à l’occasion de cette semaine des sciences du 7 au 11 avril. Il a du courage car il sait très bien que ce point de vue est à contre-courant, puisqu’il suit mon blogue et mes chroniques radiophoniques.
Il sait que ce que je raconterai à ses élèves contredit des textes de leur manuel de science et technologie de sec IV. Il prend le risque car il sait que la science climatique, pas plus que la science géologique, n’est résolue, contrairement à l’affirmation d’Al Gore « Science is settled! » et à la majorité des textes scientifiques des manuels de sciences de l’enseignement secondaire québécois. Je le rassure en lui précisant que je termine toujours mes présentations scolaires sur l’évolution du climat par « si on vous pose une question à ce sujet dans l’examen officiel du Ministère de l’éducation des sports et loisirs (sic) , il faudra répondre ce qui est écrit dans votre manuel et non pas ce que je vous ai expliqué ».
Cet enseignant a le souci de développer l’esprit critique chez ses élèves et aussi de leur faire réaliser qu’il existe souvent plusieurs hypothèses pour expliquer un phénomène. La science ne sera jamais totalement résolue… heureusement, car autrement les scientifiques seraient inutiles et désoeuvrés. Les textes de nos manuels scolaires québécois ne reflètent pourtant pas cela. On dit que la nature a horreur du vide, et j’ajouterais que les élèves ont aussi horreur du vide, donc du doute. Ils aiment qu’on ne leur présente que des vérités. Ils exigent des réponses fermes et rassurantes à toutes leurs questions. Ces manuels présentent donc par exemple la photo d’un ourson polaire isolé sur son glaçon fondant avec une légende suggérant que c’est le CO2 atmosphérique d’origine anthropique qui est responsable du mauvais sort que subira l’adorable ourson. À l’appui de l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique (RCA), ils brandissent la crosse de hockey de Mann, pourtant démolie depuis belle lurette par deux statisticiens canadiens. J’arrive alors avec mes gros sabots de scientifique sceptique en leur présentant des études sur les populations d’ours polaires qui montrent plutôt une croissance de la majorité des populations. Je leur présente des observations récentes satellitaires et par ballons sondes sur les températures qui placent les disciples d’Al Gore et les rédacteurs des textes scientifiques de leurs manuels scolaires dans l’embarras pour expliquer par exemple, comment la température globale de la basse troposphère stagne depuis 15 ans, en dépit d’une augmentation monotone et continue de la teneur en CO2 atmosphérique. Y aurait-il d’autres facteurs que les gaz à effet de serre qui affectent la température du Globe? Ces facteurs sont-ils tous bien connus, bien compris, et s’ils affectent la température, dans quelle mesure? Et je déborde de la science en leur montrant que ce problème du changement climatique est faux comparé à ceux biens réels et aigus de l’accès à l’eau potable pour plus d’un milliard d’êtres humains et à cet autre tout aussi urgent de la gestion des déchets urbains.
Mais au cours de cette semaine des sciences, j’irai aussi parler de tremblements de terre dans une classe de maternelle. Le défi est ici encore plus grand. Pas question de leur parler de plaques tectoniques ni de magnitude comme j’ai fait à l’émission de Paul Houde hier. Il faut procéder par analogie, avec des images. Le bol de jello posé sur la table qu’on agite, le mouvement du jello sera plus fort que celui du bol. Voilà pourquoi il vaut mieux être sur le roc solide que sur un sol argileux. J’apporterai un sismographe portable, ils sauteront et verront l’aiguille bouger. Évidemment la démonstration se terminera par la leçon de prévention et de sécurité. Je leur dirai aussi que l’état actuel de la science ne nous permet pas de prédire le prochain tremblement de terre. Se pourrait-il que l’esprit des jeunes de la maternelle soit davantage ouvert sur la science non résolue que celui des jeunes de sec V?
Note : Sur l’illustration de ce billet, la foudre en boule qui s’attaque au professeur Tournesol, est un phénomène météorologique rare et encore inexpliqué.
Un jour, tous ces livres basés sur de la propagande devront être jetés aux poubelles. On va finir par revenir aux livres qui aident à développer le raisonnement et non pas à entrer de force dans la gorge du matériel politique.
Les fameux ours polaires qui devaient disparaitre en raison de la fonte des glaciers. Parce qu’ils devraient, soi-disant, nager trop loin pour aller chercher leur nourriture. Selon un article de Jacques Brassard (Journal de Québec). Les ours étaient 5000 il y a quelques années et ils sont rendus 25 000. La raison principale, c’est qu’il y a beaucoup plus de phoques (qui est leur nourriture principale). Selon les Norvégiens, il y aurait au delà de 8 millions de phoques, que l’on ne peut chasser à couse de cette même gang d’Imam environnementalistes. En plus de manger la morue, les phoques lui transmettent une bactérie qui les tue.
Quand je pense qu’ils ont attribué le prix Nobel de la paix à ce Al Gore…Les Américains l’ont échappé belle!
P.S: Bonne chance avec les étudiants…Faites leur ma règle de trois. C’est facile à comprendre et ça frappe!
Robert
Robert, et s’il y a autant de phoques, c’est qu’il y a déjà trop d’une espèce qui ne compte plus qu’un individu, une femelle vieille et ratatinée, Brigittatus Bardotensis, qui fait partie de la chaîne animale, en voie d’extinction, mais farouchement protégée. Ah! si Darwin revenait, il reverrait sans doute sa théorie…
;Reynald;
Est bonne…LOL
Mettre Jacques Brassard et Al Gore dans le même article sur le sujet des RCA me semble tout à fait inapproprié .
Je ne suis absolument pas de votre avis.
Je suis tout à fait d’accord. C’est déshonorer M. Brassard.
Bonjour à tous,
Il y a une « playlist » sur Youtube regroupant divers vidéos défendant des points de vue divergeant du GIEC…
youtube.com/playlist?list=PL11D4E50213231A81
Par rapport aux commentaires avancés, je vous recommanderais particulièrement :
Video #10 – Al Gore and Global Warming – Is He a Hypocrite?
Probablement rien que vous ne savez déjà, mais une des plus belle démonstration de l’hypocrisie des Éco-Élites (10:27 minutes)… à faire écouter à tout jeune qui croit que Al Gore (et autres moralisateurs) sont sincères et cohérents (anglais).
Video #31 : Another Global Warming Hoax exposed
Démonstration éloquente de la manipulation entourant les ours polaires.
Éco-élites hypocrites : Le passage avec Robert F. Kennedy Jr (à 4:00 min) est particulièrement savoureux, surtout quand on considères qu’il à fait des déclarations comme :
« Environmentalist Robert F. Kennedy Jr. lashed out at skeptics of 2007 declaring “This is treason. And we need to start treating them as traitors”. »
« In 2009, RFK, Jr. also called coal companies “criminal enterprises” and declared CEO’s ‘should be in jail… for all of eternity.” »
youtube.com/watch?v=yLFitZNE6oU
Très bon texte. J’aime ce professeur qui a été capable de laisser ses élèves juger par eux mêmes
Monsieur Du Berger, pour la semaine des sciences, je vais publier sur mon blogue 2 articles sur le traité de l’optique de « La divine proportion« de m. Léonard De Vinci et m.Luca Bartolomes Pacioli. Je pense que ces concepts n’existent pas, en tout cas sur Wikipedia.
Allez faire un tour sur le site de l’organisation météorologique mondiale. Vous apprendrez peut-être quelque chose: https://www.wmo.int/pages/index_fr.html
Antoine, on connait bien l’OMM organisation aussi « respectable » que l’ONU – ironie- qui sont toutes deux à l’origine du pauvre GIEC qui perd de plus en plus de plumes et de crédibilité. Demandez donc à l’OMM comment il se fait que les événements météorologiques dits « extrêmes » ne sont ni plus abondants ni plus sévères que ceux d’antan. Comment expliquent-ils que c’est durant les décennies les plus FROIDES GLOBALEMENT qu’on a connu le plus grand nombre de typhons sur l’ouest du Pacifique et vice versa. Aucun typhon depuis 1991… l’OMM a-t-elle une explication autre que le RCA? Même chose pour l’Atlantique nord, les tempêtes et ouragans sont le fruit du hasard, absolument aucune corrélation entre CO2 et nombre ou sévérité des événements. Même chose pour sécheresses et périodes humides sur le continent américan de 1900 à 2010, que le hasard…aucune augmentation… l’OMM n’a aucune explication, vous en avez une?
L’OMM contredit vos affirmations. Les catastrophes naturelles ne sont peut-être pas plus nombreuses, mais elles sont plus dévastatrice selon eux. La cause: la remonté du niveau de la mer qui aggrave considérablement les inondations. Quelles sont les organisations respectables qui étudient les changements climatique M.? Celles qui disent la même chose que vous?
« Les catastrophes naturelles ne sont peut-être pas plus nombreuses, mais elles sont plus dévastatrice selon eux. » FAUX! et si comptez séismes et glissements de terrain, qui sont aussi des phénomènes naturels, c est encore plus faux. Ni plus abondants ni plus sévères. Ragardez juste pour l’Atlantique nord et le pacifique, les typhons , leur nombre, nombre de victimes… un typhon en 2014 fait plus de morts que le typhon de MEME FORCE en 1900 simplement parce qu il y a plus de monde…l’OMM pas plus que vous n’avez pensé à ça? Demain je fais 2 conférences à Lévis sur le RCA.. et présenterai ces données scientifiques sur les tempetes et ouragans inondations etc.. si ca vous intéresse… venez… gratos… la 1ere à 9h la deuxieme à 13h00 devant des jeunes de secV. Vous verrez que votre affirmation est fausse.
Les médias nous ont présenté le Typhoon Haiyan comme le plus destructeur de l’histoire…
Des nouvelles comme ;
« Le typhon Haiyan, le plus destructeur recensé dans l’histoire, pourrait être le précurseur de tempêtes tropicales de plus en plus violentes et de plus en plus fréquentes, sous l’influence du réchauffement climatique. »
Pourtant, avec ses 5,260 morts, il n’a même pas sa place dans la liste des 36 typhons/cyclones les plus meurtriers… et de loin !
http://www.wunderground.com/hurricane/deadlyworld.asp?MR=1
Quand les alarmo-réchauffistes font le décompte de ces événements « extrêmes » depuis 1850 jusqu’à 2010, ils introduisent deux biais:
1- Plus le temps passe, plus on peut détecter des événements petits ,donc le nombre d’événements augmente EN APPARENCE en fonction du temps
2- Les populations ont cru de façon importante, de sorte qu’un ouragan de force 5 en 2014 fait énormément plus de victimes que le même ouragan 5 en 1900.
Antoine, voici une analyse de Hayan et autres événements avec chiffres, observations, tableaux et publication à L’appui qui confirme que ces EME ne sont ni plus nombreux ni plus sévères.
Vous auriez avantage à laisser cette OMM et lire davantage de vrais publications et tableaux revus par comités de lecture comme ceux qu a colligés mon collègue Jacques Duran. http://www.pensee-unique.fr/news.html#typh
Reynald, je me demande pourquoi vous trouvez que les revues scientifiques à relecture sont crédibles lorsqu’elles disent ce que vous pensez, mais que lorsqu’elles vous contredisent vous n’en faites pas état. NATURE publie une section complète sur les changements climatiques. C’est pas crédible cette revue là? L’OMM est l’instance météorologique mondiale qui fournie les données météorologique aux différents pays du monde. Ce n’est pas parce qu’un ticoune scientophile du Québec me dit que l’organisation météorologique mondiale n’est pas crédible (sans aucun arguments pour le justifier) que je vais y accorder le moindre crédit. Ou encore les calculs nébuleux d’un vieux chimistes scpectrophotométriste (mot compliqué pour un appareil très simple d’utilisation). Vous et vos quelques sceptiques (des vieux déconnectés de la science actuelle et du progrès). Vous êtes dépassés les gars. Personne de crédible scientifiquement vous considèrent. Je le sais, je vis dans ce milieu.
M. Plouffe est réapparu!
Et d’habitude après pouffe… Ça cale!
Après le Plouffe ça cale! 🙂 je voulais plutôt dire…
Il me reproche de ne pas avoir d’argument, je lui en ai écrit un dans mon nouveau billet, mais est-ce qu’il est vaide? Cela existe t-il dans la littérature scientifique ?
http://lechampdelabstraction.com/?p=91
Je réitère donc ma question: Quels sont les organismes scientifiques crédibles en matière de changement climatique M. Duberger? Question simple, j’espère une réponse simple.
aucun et tous à la fois… vous trouverez autant de publications pour et contre le RCA dans TOUS ces périodiques. Le Cliamtegate a démasqué certains bonzes réchauffistes du GIEC qui en plus de « hude the decline » ont voulu éloigner des sceptiques de certains comités de lecture. Je n’ai aucun exemple de l’inverse, alors voilà pour la crédibilité.
De Robert;
@Antoine Plouffe :
7 avril 2014 à 1:46
Vous avez écrit:
» .. Ce n’est pas parce qu’un ticoune scientophile du Québec me dit que l’organisation météorologique mondiale n’est pas crédible (sans aucun arguments pour le justifier) que je vais y accorder le moindre crédit. Ou encore les calculs nébuleux d’un vieux chimistes scpectrophotométriste (mot compliqué pour un appareil très simple d’utilisation). Vous et vos quelques sceptiques (des vieux déconnectés de la science actuelle et du progrès). Vous êtes dépassés les gars. Personne de crédible scientifiquement vous considèrent. Je le sais, je vis dans ce milieu
Voici ma réponse:
1) Vous vous accrochez à des revues et à des organismes. Un nom d’organisme, ça ne veut rien dire. Ce sont les gens (Le contenu de ce qu’ils écrivent) au sein même de ces organisme qui doivent être jugées…Ce n’est pas parce que vous parlez au nom d’un organisme que l’on doit vous croire! Mais pour vous, qui ne possédez probablement aucune formation scientifique rigoureuse vous faites juste à vous accrocher à des noms d’organismes pompeux.
2) En plus, vous faites de l’âgisme en écrivant: « Ou encore les calculs nébuleux(*) d’un vieux chimistes scpectrophotométriste (mot compliqué pour un appareil très simple d’utilisation). Vous et vos quelques sceptiques (des vieux déconnectés de la science actuelle et du progrès) »
(*) Pourtant ces calculs sont simples!
D’abord il s’agit d’un chimiste spectroscopiste (apprenez à lire) de 40 ans d’expérience. Ensuite un « Spectrophotométriste » n’est pas un nom d’appareil mais un type de spécialiste;
3) Apprenez que les gens qui sont dépassés, ce sont souvent ceux qui, généralement ignorants et possédant une faible instruction scientifique, s’accrochent à des dogmes et croient les déclarations d’organismes sous prétexte qu’ils sont gros. Pour vous, vous croyez tous ce que dit le GIEC sous prétexte que c’est un gros organisme super financé;
Le problème de fond du GIEC, c’est son incapacité à prouver ce qu’il avance depuis 20 ans. Celui-ci a mis en place des modèles qui s’avèrent aujourd’hui de plus en plus faux. C’est la VRAIE VIE qui est en train de les rattraper. Ils utilisent l’équation (Anomaly (oC) = 0,8*5,35 Ln(C/Co). Or, cette équation ne marche pas(Lisez un de mes post). Prenez les données que vous voulez, cette équation (ils en ont 3 en fait) ne concorde jamais avec les observations sur le terrain. …Imaginez des gens qui ne savent pas que la chaleur ne circule jamais du froid au chaud (Une vraie hérésie)…Seul des gens comme vous croient de telles sornettes.
En passant, le mot CONSENSUS est un mot politique, ce n’est pas un mot scientifique. La science ne s’est pas bâtie à coup de consensus. Il n’y a que les ignorants qui croient que des consensus peuvent faire avancer la science!
En passant, ce n’est pas en insultant les gens, que vous même, vous allez vous rendre crédible.
Robert
blablabla has been
Pas de temps à perdre avec des vieux cons.
Voici un extrait de la référence suivante: http://www.pensee-unique.fr/news.html#typh
« Un contraste brutal
Vu sur un graphique des températures atmosphériques du globe, le hiatus contraste de manière saisissante avec le réchauffement rapide des deux décennies qui l’ont précédé (Ndt : voir graphique ci-dessous) Les simulations préalablement réalisées selon le GIEC suggèrent que le réchauffement aurait dû se poursuivre avec un taux moyen de 0,21°C par décennie de 1998 à 2012 au lieu du réchauffement observé qui est seulement de 0,04°C par décennie mesuré par le Met Office du Royaume Uni à l’Université de East Anglia à Norwich. »
Je vais y ajouter mon grain de sel:
Le GIEC prédisait une augmentation de 0,21 oC par décennie. Recalculé sur 16 ans, cela donne: (0,21/10)*16= 0,34 oC. Or la réalité donne 0,064 oC sur 16 ans. Si je vérifie avec l’équation du GIEC soit:
(*) Anomalie = 0,8 *5,35*Ln(397/366) = 0,35 oC, ce qui démontre que cette valeur concorde avec la formule utilisée.
En 2102 la teneur en CO2 est 397 ppmv tandis qu’elle était de 366 ppmv en 1998.
(*): http://en.wikipedia.org/wiki/Radiative_forcing
Scusez:
C’est 2012 au lieu de 2102!
Robert
Réponse de Robert;
@Antoine Plouffe dit :
8 avril 2014 à 4:43
« Pas de temps à perdre avec des vieux cons. »
En sommes, si je comprend bien, vous êtes un nul sans le début du commencement d’une connaissance en science et en mathématique. Vous préférez croire bêtement à une religion plutôt que d’utiliser votre matière grise…Dont vous ne semblez pas trop pourvu!
Sans rancune;
Robert
Cher Robert ne te laisse surtout pas décontenancer par ce troll qu’est Antoine Plouffe. Avec les trolls tout ce q’il y a à faire c’est de les ignorer. Fait une petite recherche Google concernant les trolls et tu comprendra très vite.
[…] Un troll désigne
, dans l’imagerie de l’internet, un personnage malfaisant dont le but est de perturber le fonctionnement des forums de discussion en multipliant les messages sans intérêt (ou, plus subtilement, en provoquant leur multiplication).
Les extraits ci-dessous proviennent de http://www.uzine.net/article1032.html.
Les catégories de trolls
Le troll débutant
Le troll débutant (ou : le troll qui s’ignore) est une façon de troller par ignorance de la nétiquette et du fonctionnement technique, sans véritable intention de nuire. Poster n’importe quoi n’importe où, par exemple : « Est-ce que vous avez le numéro de téléphone de Jacques Chirac ».
On peut considérer comme un troll débutant toute personne qui répond au message d’un autre troll.
Le troll bête
Persuadé d’avoir une opinion valable sur tout, d’être de bonne foi, et que sa diarrhée verbale intéresse quelqu’un d’autre que lui, le troll bête prend l’apparence d’un message véritable. Assez redoutable en ceci qu’il refusera la qualification de troll. Exemple : « Amha, bon j’y connais rien, et je ne sais pas de quoi vous parlez, d’ailleurs j’ai pas lu vos messages, c’était trop long ! :-))) mais il me semble que vous avez peut-être pas tout à fait tort ni raison ;o) ».
Attention : le troll bête peut devenir méchant rapidement, puisqu’il est sûr de son bon droit. Comme le rappellent avec sagesse les vieilles légendes nordiques : « quand troll vexé, troll devenir encore plus chiant ».
Le troll méchant
C’est le troll le plus connu, et pour lequel on trouve la littérature la plus abondante. Son but est, consciemment, de tuer les forums (déclencher des flame wars). Par amusement, parce que le sujet du forum lui déplaît, parce que les administrateurs du forum l’ont vexé, parce que dehors il pleut et qu’il s’emmerde au boulot.
Ce qui, au final, nous donne le genre synthétique bien connu du « troll bête et méchant ». Il cumule tous les types détaillés plus haut. Un rapide profil psychologique de ce troll nous donne :
– mauvaise foi à toute épreuve,
– nullité conceptuelle,
– auto dérision de façade,
– tics de langage et smileys,
– bassesse inimaginable.
On retrouvera là les marques permettant de diagnostiquer que le sujet est atteint de « fufisme », décrit ainsi dans le Lexique des termes employés sur Usenet : « Maladie contagieuse d’origine virale (HFV : Human Fufismae Virus) dont les syndromes sont : mauvaise foi, perfidie dans les attaques « ad hominem », torpillage des processus de création de groupes, ergotage sans fin pour savoir s’il faut un « s » à maths, si un vote BLANC compte pour 1/4 de OUI ou 2/3 de NON, etc. »
Dites donc m. Du berger! Sur la base de cequi précède vous en avez identifié combien de trolls sur ce blogue? Moi! Au moins deux. Un troll bête assidu et parfois un peu méchant, et troll occasionnel très méchant et grossier. … Des noms vous sont venus en tête?
Merci Monsieur Larouche;
Je me rend compte que je ne vous ai pas enseigné pour rien…LOL!
Robert
P.S Quand même triste de rencontrer de telles personnes!
Personnages !
Alors si le chapeau vous fait, youppi & Plouffe. Bien le bonjour chers trolls. Chao! Hasta la vista! Auf Wiedersehen! Si on veux des nouvelles du GIEC, de l’OMM ou de Michael Mann, on vous appelle , promis.
J’ai tenté la pertinence sur ce blog, mais je me suis rapidement rendu compte qu’ici ce n’était pas la place pour se questionner. Je ne perdrai plus de temps à chercher des sources pour étayer mes propos ici alors que mes interlocuteurs n’y sont pas réceptifs. Youppi a été tellement pertinent ici et n’a suscité aucune remise en question chez M. Duberger. Ce »sceptique » devrait plutôt s’autoproclamer »convaincu ». Convaincu d’être sceptique.
M. Duberger,
Je trouve vraiment dommage que les messages de G.H. Larouche soient acceptés étant donné qu’ils sont complètement hors sujet. Certains des messages d’Antoine P. sont également hors propos bien qu’il amène une opinion différente et saine pour le débat.
Je comprends parfaitement pourquoi, A. Plouffe, Kevin, Martin, Youppi (moi-même), etc. soyons découragé de discuter dans ces conditions alors que des points de intéressant sont amenés par ces personnes.
Youppi, il est difficile de garder une discussion sur le RCA sur le strict plan scientifique. Vous devez reconnaître que ce sont les politiques et le GIEC qui ont amené le sujet sur les plans politique et ensuite idéologique. Il ne faut donc pas vous étonner des « dérives » que peuvent prendre certaines discussions. Antoine nous traite collectivement de « vieux cons ». Pour M. Larouche cela ne convient pas car il est un de mes anciens élèves ingénieur. Pour moi j’accepte bien « vieux » car j’approche 70 ans… mais j’imagine que des gens comme Jacques Brassard ne parleraient pas de moi dans leurs publications, ou Mario Dumont, Paul Houde et Dominic Maurais ne m’inviteraient pas sur leurs plateaux si j’étais con. Je vais dans les écoles, pas pour convaincre, mais pour présenter un point de vue différent aux élèves, et surtout discuter avec eux. Plusisurs mélangent pollution, CO2, GES, trou dans la couche d’ozone et pluis acides… en un cocktail environnemental que je dois analyser et séparer. Lors de ma dernière intervention, il y avait un crucifix dans la classe, que j’ai pointé en leur disant que cela ne représentait plus la religion de l’heure… un élève suggéra de le remplacer par une feuille verte… ou un ti-ourson polaire… On en est là dans nos écoles.
Vous êtes invité par eux parce que vous dîtes ce qu’ils veulent entendre. Surement pas pour vos publications sur le sujet, car vous en avez aucune.
Antoine, « ce qu’ils veulent entendre » Venez avec moi dans ces écoles ils n’ont entendu que Guilbault et Tisseyre, comme vous et ils ne jurent que par le vert, et vous me dites « Surement pas pour vos publications sur le sujet, » et vous m’avez déjà dit « pas de temps à perdre avec des vieux cons » voilà une de vos publications, sur mon blogue Aimeriez-vous que je l’affiche cette publication, avec votre signature et votre adresse email, en powertpoint devant le prochain groupe de jeunes de sec 5 dont l’enseignant en sciences aura été assez ouvert pour m’inviter dans sa classe, et exposer ses élèves à l’autre version? J’ai besoin de votre accord pour ça… alors?
En passant, on attend toujours une source crédible sur les 38 000 milliards de tonne de CO2 rejetés par les volcans.
Martin, svp un petit effort… la » source crédible » c’est votre Déesse, votre chère ONU, mère de votre ti-Jésus le GIEC!!! que Keven adore , et peut-être Antoine aussi.. j ai passé cette diapo de 38 000 à 40 0000 milliards de tonnes de tonnerres de Brest à l’école secondaire Marcelle Mallet lundi dernier… référence en bas de la diapo: UNEP… UNEP.. UNEP!!! : United Nations Environnemental Program… plus à gauche et réchauffo- alarmiste que ça, vous trouverez pas… allez un petit effort…Martin! revenez-moi si vous ne tropuvez pas la diapo sur Google…
Monsieur Du Berger, dans la documentation de l’UNEP que j’ai trouvée, ce 38000-40000 milliards de tonnes fait référence à la quantité totale de carbone dissous en profondeur dans l’océan (ce qu’on appelle un réservoir). Ce n’est pas du tout un flux par année, et c’est encore moins un estimé des émissions annuelles des volcans.
Vous faites bien référence à ces graphiques, n’est-ce pas?
http://www.grida.no/graphicslib/detail/the-carbon-cycle_a224
http://www.grida.no/graphicslib/detail/carbon-cycle_9d44#
Keven
UNEP le présente comme les autres échanges, i.e. comme un flux, mais de toute façon a n’a ni l’inventaire ni le bilan de ces appareils volcaniques, pas plus en H2O qu’en CO2 alors ce 38 000 à 40 000 est très hasardeux, ça paut être n’impôrte quoi… tout comme les autres chiffres représentant les « puits » de carbone – terme très inapproprié puisqu’on ne dépose rien dans un puits, on puise plutot. De fait, tous ces estimés ne font que renforcer ma conviction de la piètre valeur des modèles pour prédire le prochain climat.
Les sources que je trouve sur le sujet donnent une moyenne annuelle de 200 millions de tonnes de CO2 émis par les volcans (ça comprend les volcans terrestres et marins). C’est complètement négligeable comparé aux 30 milliards de tonnes de CO2 émis par l’activité humaine.
http://www.earthmagazine.org/article/comment-volcanic-versus-anthropogenic-carbon-dioxide-missing-science?page=1
Arrêtez de dire n’importe quoi s.v.p.
@ Martin, vous dites « Les sources »… au moins ce ne sont pas des « puits »… oubliez ces chiffres aussi arbitraires que farfelus. Le SEUL volcan monitoré sérieusement est celui de White Island en N.Z. que j’ai visité et encore H2O et CO2 varient énormément d’un jour à l’autre à White Island. Rendez-vous à l’évidence que ces modèles qui font « consensus » et qui portent l’imprimatur du vatican GIEC – qui ne retient que les écrits de ses cardinaux, les autres sont déclarés apocryphes- sont largement basés sur ces « estimés » … mais le mal économique que cette religion climato-alarmiste, sous-secte de la dominante religion verte, fait que les pénitences imposées aux nations, surtout dites riches, sont environ un milliard $ par jour… et ça ce n’est pas un estimé! La balle est dans le camp des alarmo-réchauffistes, et je souhaite un jour un Nuremberg climatique où ils seront cités à comparaître. On connait déjà l’énorme intérêt $$$ qui les motive, encore 15 à 20 ans de ce régime climatique et ils devront s’expliquer.
Franchement, monsieur Du Berger, je ne peux pas vous laisser dire de telles choses sans y répliquer!
C’est faux de dire qu’il y a un seul site d’observations sérieuses. Voyez Burton & Sawyer (Reviews in Minearology and Geochemistry, 2013) (www.minsocam.org/msa/rim/RiM75/RIM075_C11.pdf), qui font état d’au moins une trentaine de sites d’observations terrestres similaires à White Island, sans compter les observations par remote sensing.
Je vous réfère aussi encore une fois aux estimés de flux de CO2 d’origine volcanique qui varient de 0.15 à 0.26 Gt (milliards de tonnes) par année (Gerlach, 2001: http://www.agu.org/pubs/pdf/2011eo240001.pdf).
Des incertitudes demeurent, certes, mais il reste que ces émissions sont environ deux ordres de magnitude (100 fois) inférieures aux émissions d’origine humaine, et environ 75 000 fois inférieures au chiffre que vous avez cité impunément! 75000!
Je vous invite aussi à revoir la notion de flux et de réservoir: vous semblez mêler ces deux concepts.
Quant à vos comparaisons du domaine scientifique avec la religion et vos insinuations gratuites sur les scientifiques impliqués dans le domaine, elles se passent de commentaire. Je ne peux juger de vos intentions, mais si les lecteurs y décèlent le caractère idéologique de votre argumentation, je ne pourrais les blâmer.
« Des incertitudes demeurent » …ça j’aime bien…et même j’adore!!! quelle réponse!!! de quelle taille ces incertitudes Keven? se peut-il qu’elles soient d’un ordre de magnitude de plus de 10? de 20? ou de simplement 2? et dans quel sens, celui qui sert votre cause ou le mien qui doute? …allez … sortez-moi un « estimé » Démontrez à vos concitoyens qui paient vos recherches, que les recommandations de réduction de GES aux conséquences terribles sociales et $$$$ que le GIEC nous inflige, sont basées sur des faits , des observations, des preuves et non pas sur des modèles aux pieds d’argile, qui ne peuvent même pas rendre compte des OBSERVATIONS contemporaines, à moins que les auteurs de ces modèles n’enfouient leur « chaleur perdue » gênante au fond des océans dont ils ne savent ni ne comprennent presque rien. À combien « estimez »-vous la quantité d’eau magmatique générée par les volcans sous-marins et qui contribue à la hausse du niveau des océans, auquel vous alarmez auusi vos concotoyens? je devine votre réponse: négligeable comparée à celle des glaçons qui fondent et qui engloutissent les ti-nounours polaires sur lesquels ils s’ébrouaient… c’est du moins l’image que les alarmo-réchauffistes propagent dans les écoles, dans les manuels et programmes scolaires, à ces jeunes endoctrinés, et que je dois déprogrammer avec de la science et surtout… du scepticisme.
On a montré plusieurs fois que vous dites n’importe quoi et son contraire, M. Du Berger. Vous ne répondez pas à ce qu’on vous apporte et vous sautez à un autre sujet.
Maintenant, auriez-vous au moins la décence de laisser les enfants tranquilles ?
1- « On a montré »… c’est qui ce On ?
2- » plusieurs fois » … combien ?
3- « vous dites n’importe quoi et son contraire » préférez vous que je dise Martin est climato-alarmiste et donc génial ou son contraire?
4- « Vous ne répondez pas à ce qu’on vous apporte » que m’a apporté ce « On » ?
5- « vous sautez à un autre sujet » Lequel?
6- « Maintenant, auriez-vous au moins la décence de laisser les enfants tranquilles ? » alors là, Martin, je risque de devenir féroce si « On » m’interdit de présenter aux jeunes du secondaire un côté de la médaille qui leur a été vicieusement et idéologiquement cachée, leur proposer de la science, des observations par ballons sondes et satellites qui contredisent ce que « On » leur enfonce de force dans la gorge et dans le crâne… venez avec moi pour ma prochaine présentation scolaire… les « enfants » nous écouteront tous les deux et jugeront …
Monsieur Du Berger,
Résumons tout d’abord la situation. Nous avons premièrement mis en évidence un chiffre complètement hors contexte que vous semblez utiliser dans vos interventions.
Je vous ai donné une gamme d’estimés des émissions volcaniques annuelles de CO2 tirée de la littérature qui est des dizaines de milliers de fois inférieur à ce que vous avez avancé. J’accompagne l’estimé de la gamme d’incertitude (un facteur 2) cité de l’article auquel je fais référence.
Suivant votre logique, comme j’admets qu’il y a des incertitudes dans cet estimé, il n’y aurait donc pas moyen de savoir quelle est l’étendue de ces incertitudes. En d’autres mots, comme il y a une incertitude rattachée au nombre avancé, on ne connaît rien sur le sujet!
Puis, vous bifurquez dans une série d’attaques sur mon financement et sur les modèles climatiques dans le but de changer le sujet. Avoir une discussion avec vous est pratiquement impossible pour cette raison.
Mais revenons aux incertitudes. Ce n’est pas parce qu’un chiffre est accompagné d’une marge d’erreur que l’on ne connaît rien à un phénomène, M. Du Berger. Au contraire, la quantification d’une incertitude nous en indique autant (sinon plus) sur l’état de nos connaissances qu’une seule valeur précise laissée à elle seule. Et si vous vouliez des détails quand à la nature de l’estimé de CO2 en provenance d’éruptions volcaniques, vous pouviez consulter les références mises en lien.
Vous aimez bien parler d’incertitudes et dites qu’il y a tant de particularités du système climatiques qui sont si incertaines qu’on ne connaît rien, ce qui est érroné. Cependant, quand vient le temps de parler des analyses de Courtillot, Duran, McKitrick et autres (j’en aurais long à dire sur eux…), qui pointent dans la même direction vers laquelle votre idéologie politique voudrait bien vous diriger, tout ce sens « critique » semble disparaître soudainement…
Qu’auriez-vous dit si j’avais mis de l’avant un chiffre 75000 fois supérieur à la littérature scientifique dans nos discussions sur un quelconque sujet? Vous auriez sans aucun doute mis en doute ma crédibilité sur-le-champ, et avec raison.
Je vais revenir sur vos interventions dans les écoles. C’est un sujet qui m’inquiète beaucoup.
Keven
Keven, je n’ai jamais prétendu qu’on ne connaissait rien sur les systèmes climatiques. Je trouve extrêmement hasardeux de tirer des conclusions et de construire des modèles
1- sur des paramêtres mal connus ou simplement ignorés
2- sur des « estimés » dont on ne connait pas les marges d’erreurs
J’ai posé la question sur le bilan H2O et CO2 des émisssions volcaniques sousmarines et je n’ai pas de réponse. Vous citez la « littérature » alors qu’en dit cette littérature? Les chiffres estimées éventuels d’émission H2O et CO2 sont entachés de quelles plages d’incertitudes? Quelles données (quantité et qualité) ont été utilisées pour générer ces chiffres.
J’habite au bord de la Monmorency Keven et nous venons de passer une nuit horrible où des embacles ont cédé, des propriétés ont été inondées des citoyens évacués. Un chercheur comme vous, mais en hydraulique prétend que c’est à cause du RCA. Je comemence à en avoir plein le casque de ces chercheurs qui mettent tout sur le dos du RCA. Qu’ils travaillent sur lHydaeulique de rivières, sur les ours, les marmottes ou les fôrets tropicales, c’est la faute du RCA et mettre ça dans leur propositions de recherche, augmente leurs chances de subventions. Le RCA a le dos large.
Et vous êtes inquiet de mes interventions auprès des jeunes. ILs sont endoctrinés par les prêtres de la nouvelle religion verte, dont le RCA est une sous-secte. On les a tous contaminés par le film de votre gourou suprême Al Gore. Leurs manuels scolaires sont bourrés de fautes ou inexactitudes scientifiques et de vicieux messages idéologiques sur l’environnement. Aucun n’a vu « The Great Global Warming Swindle » ou « The Boy who cried warming » – non encore traduits en français- . Je ne leur montre aucun de ces documents aussi entachés d’erreurs mais moins que le film de Gore. Je ne leur montre que des données publiées dans la « littérature » en leur disant que je ne veux leur imposer aucune vérité, contrairememt à celles propagées par les réchauffo-alarmistes. Je ne veux que semer un doute sain dans leur esprit. C’est la seule attitude correcte en sciences. Il y a énormément plus de choses qu’on ne connait pas sur la Terre que de choses qu’on connait. Il faut modestie et humilit en géosciences, vous devez le savoir. Pour ce qui du financement des recherches des réchauffistes, il continuera d’affluer sous forme de subventions tant que les citoyens auront la foi verte, et surtout seront tenus dans la peur par les politiques complices de cette arnaque.
Kevin m’a déjà écrit:
« » l’eau n’est pas un forcing, mais un feedback dans le système climatique, de par sa durée de vie courte dans l’atmosphère. »
Je parle toujours de vapeur d’eau qui absorbe de la chaleur lorsque ses molécules passent de vo —-v1.(Je vous fait grâce des transitions de rotation). Cibol, cela n’a rien à voir avec le temps de résidence. L’eau est toujours présente! Celle-ci peut varier un peu lors de changements climatiques!(*)
(*) Calculez la teneur en eau à 27 oC puis à 20 oC? Par rapport au CO2, ça ne change presque rien! L’eau a une durée de vie…COURTE??? Une chance que non…LOL
Robert
Robert,
Bien sûr que l’eau absorbe de la chaleur lors de telles transitions. Ce n’est pas du tout sur ca que je suis en désaccord avec vous. Ce que je dis, c’est qu’il y a une différence entre un feedback et un forcing dans le système climatique.
Un forcing (forçage) fait référence à une influence extérieure et/ou à long terme sur le climat. L’ajout de CO2 dans l’atmosphère est un exemple de forcing, car on ajoute un gaz qui y demeurera pendant pendant plusieurs centaines d’années, et qui agit directement sur l’équilibre radiatif de la planète.
Un feedback est une réaction supplémentaire d’un système à un forcing. Deux exemples sont l’albédo et le forçage radiatif causé par la vapeur d’eau. Si la température est relativement stable, ces deux quantités resteront relativement stables (i.e. ces deux quantités ne changeront pas énormément si la température n’est pas perturbée par un phénomène extérieur). Cependant, si un changement de concentration des gaz à effet de serre impacte à long terme la balance énergétique de la planète, l’albédo et la vapeur d’eau s’ajusteront face à cette perturbation. Leur ajustement peut par la suite impacter encore plus la balance énergétique de la planète, ce qui causera un ajustement supplémentaire de ces quantités (plus de fonte de glace, et plus d’eau évaporée), et ainsi de suite. C’est ce qu’on appelle une rétroaction, qui peut être soit positive ou négative, selon si elle renforce (ou amenuise) la perturbation initiale du système.
Maintenant, par durée de vie courte de l’eau dans l’atmosphère, ce que je veux dire, c’est que l’eau ne reste pas longtemps dans l’atmosphère – elle tombe sous forme de pluie ou de neige en quelques jours, pour être remplacée par de l’eau évaporée. La quantité d’eau dans la troposphère s’ajuste donc rapidemement aux conditions extérieures et dépend au premier ordre de la température de la troposphère (elle suivra en gros la relation de Clausius-Clapeyron et une hausse d’environ 7% de la pression de saturation de l’eau dans l’atmosphère par degré Kelvin de réchauffement). Une telle hausse est non négligeable si la température est perturbée par un forcing, car comme vous l’avez mentionné dans le passé, la vapeur d’eau est un gaz à effet de serre extrêmement efficace.
Ce principe est actuellement modélisé. Pour plus de détails, notamment sur la modélisation de l’impact radiatif de l’eau dans l’atmosphère, je vous réfère à Held & Soden, 2000 (www.dgf.uchile.cl/~ronda/GF3004/helandsod00.pdf) et 2006 (https://courses.eas.ualberta.ca/eas570/h2o_cycle_global_warming.pdf).
Keven
Monsieur du Berger, vos propos sont frivoles et, à certains égards, relèvent du délire pur et simple.
Monsieur Beauderick, je tente simplement d’attirer l’attention – surtout des jeunes dont le cerveau est manipulé- sur la nécessité de ramener ce pseudo-problème du RCA sur le terrain qu’il n’aurait jamais dü quitter, celui de la science.
À Kevin;
Je m’excuse de ne pas avoir répondu plus tôt…Occupé ailleurs;
Vous me parlez de forcing et de feedback. Moi, je vous parlerai plutôt de spectroscopie que je considère être la base.
1) Je considère la terre comme la grosse lampe émettrice de radiations IR dans une gamme thermique variant de 4,5 à 40 um. L’émission de cette lampe prend sa source aux émissions solaires (UV-Visible et IR). Une partie de ces radiations solaires sont carrément réfléchies (albedo) et les autres sont absorbés par la terre puis réémise par celle-ci (gamme de 4,5-40 um). Puis, pour ces radiations (IR) c’est la course folle vers les zones froides (Tropopause -56,6 oC) puisque la chaleur voyage toujours du chaud au froid et jamais l’inverse (Contrairement aux prétentions du GIEC qui nous assure que ces rayons chauds qui se sont retrouvés en zone froide (-56 oC), finiront par retourner en zone chaude-Quelle hérésie);
2) Heureusement, une bonne partie de ces rayons IR chauds sont absorbés par des molécules d’H2O et de CO2 ce qui permet à notre troposphère de se maintenir à 15 oC en moyenne au lieu -18 oC (Tel que déterminé par un calcul simpliste des climatologues). Le reste de ces IR se dirige vers la tropopause (Qui sont mesurés par les satellites).
3) Que les molécules d’eau soient remplacées par d’autres en raison du cycle de vaporisation (endothermique) et de condensation (exothermique) ne change absolument rien. Contrairement à vos prétentions.
4) Maintenant, remplacez la terre par une grosse lampe qui émet dans l’IR (4,5-40 um) et qui subdivise son faisceau en deux portions de même intensité pour ensuite les diriger dans deux tubes de même grosseur.: 1- Dans le tube de droite vous avez mis un échantillon d’air constituée de 390 ppm de CO2 et 29000 ppm d’eau (Le reste c’est de l’O2 et N2).2- Le tube de gauche ne contient que du O2 et N2 sans H2O ni CO2. Aux extrémités des tubes vous installer des détecteurs Infra-Rouge et vous noter ce qui se passe. Noter que vous avez la possibilité d’ajouter du CO2 ou de la vapeur d’eau au tube de droite en tout temps.
5) Étant donné que la la teneur en vapeur d’eau est de loin beaucoup plus élevée (29 000 ppm) que celle du CO2 (390 ppm) il est évident que la part de l’énergie absorbée sera beaucoup plus élevé dans le cas de l’eau. Remplacez mon montage par un simple spectromètre Infra-Rouge et vous pourrez mesurer qu’à cette teneur, le CO2 absorbe 1-2% des radiations et l’eau 98 – 99%.
Puis-je aussi vous faire remarquer que lorsque vous dites que le CO2 demeure éternellement (100 ans) dans l’atmosphère est totalement faux. Le CO2 (à 20 oC) est soluble dans l’eau et est donc entrainé par la pluie ou d’autres moyens vers les océans.
J’aimerais que vous me disiez pourquoi le GIEC ne parle jamais de précisions de ses mesures? C’est vraiment une grosse lacune. Parce que s’il tenait compte de la précision de ses mesures, nous aurions une grosse surprise!
Robert
@Keven Robert pose un problème fondamental dans la compréhension de l’effet de serre que le GIEC prétend responsable d’un RCA. Il maîtrise une science qui est le noyau même de cet effet de serre, la spectroscopie, de laquelle je n’ai qu’une compréhension fragmentaire et élémentaire. De mon côté, j’examine plus attentivement les aspects méthodologiques, et éthiques de la question, qui est devenue honteusement politique et idéologique. Plus les observations s’accumulent, plus on est porté à aller vers la variabilité naturelle pour expliquer ce réchauffement qui est probablement bien en deça de celui projeté par les modèles. J’avoue cependant qu’il nous faut encore au moins 15 à 20 ans de ce régime de stagnation, afin de pouvoir envoyer paître pour de bon ces épouvantails climato-alarmistes. J’ai posé la question à propos de ces chiffres magiques de 95% et 97% brandis avec tant d’assurance, par le GIEC, par certains scientifiques et surtout par les organisations militantes vertes comme Équiterre et Greenpeace. Personne ne m’a encore exposé la méthodologie qui a mené à ces chiffres ni la marge d’erreurs. Par exemple, étant donné que l’écart entre observations et modèles s’est agrandi entre AR4 (2007) et AR5 (2013) sur quelle base le GIEC a-t-il fait passer son assurance de certitude le l’hypothèse du RCA de 90% à 95%? Quelle est la méthodologie du/des sondage(s) des « scientifiques » qui a mené à ce 97%?
http://dailygeekshow.com/2014/04/05/ce-film-danimation-porte-un-regard-pessimiste-mais-tres-realiste-sur-lavenir-de-notre-planete/?fb_action_ids=10203157664678409&fb_action_types=og.comments
Soyez assez honnêtes pour ne pas juste émettre des hypothèses sans appuie solide et après cela vous défiler.
Vous vous attribuez une tâche et un mérite que vous n’avez pas : vos écrits sur votre blogue le démontre clairement. Vous avez des réponses claires et complètes et chaque fois vous glisser vers un autre sujet.
‘à ces jeunes endoctrinés, et que je dois déprogrammer avec de la science et surtout… du scepticisme’:
Moi je pense que c’est vous qui êtes programmé, juste pour mettre du scepticisme, mais pas du tout avec de la science. De la scientologie comme la secte, mais pas de la science.
mon dernier commentaire était pour R. Duberger
Je répète la question et l’étends au-delà de Keven, donc question à tous:
À combien « estimez »-vous la quantité d’eau magmatique générée par les volcans sous-marins et qui contribue à la hausse du niveau des océans… la question est posée à tous… et la seule réponse inadmissible est « négligeable »…je n’accepterai que les « estimés » basés sur des observations solides.
/large?utm_source=fb&utm_medium=fb&utm_campaign=prutzenberg&utm_content=456311398038241280
LE PÈRE NÖEL VERT DES ÉCOLO-ALARMO-RÉCHAUFFO-TERRORISTES
Cette document de Greenpeace a été diffusé largement chez les enfants juste avant Noël. Je veux savoir si chacun des réchauffistes qui fréquentent mon blogue comme Martin, Keven et Antoine- et qui croient fermement ce qu’affirme le Père Noël i.e. que l’Arctique fond de manière alarmante à cause d’un RCA- je veux savoir si vous êtes d’accord que ceci soit diffusé chez les enfants. Et surtout vous Keven, qui dites être inquiet de mes interventions dans les écoles. Approuvez-vous cet éco-terrorisme? Des parents m’ont dit que leurs petits ne dorment plus à cause de cela. Regardez et écoutez bien! https://www.youtube.com/watch?v=wr2LCTdIzd4
à R. Duberger
C’est inadmissible de se faire traiter de terroriste. C’est tout le contraire des valeurs écologistes !!!
Ce sont les brownies qui sont des terroristes car ils nous exposent à leurs bombes à retardement…
S’il y a des enfants qui ne dorment plus à cause de la menace écologique c’est parce que leurs parents ne font rien. Ils n’ont qu’à prendre leurs responsabilités ces parents devant leurs enfants et agir pour diminuer l’impact environnemental de notre mode de vie. Ce n’est pas en niant le problème comme vous le faites qu’on va améliorer la situation.
Monsieur Du Berger,
Vous faites encore du coq à l’âne, mais soit. Et pas question de répondre seulement par oui ou non: je ne tomberai pas dans votre piège d’éliminer toute nuance.
Mettons tout d’abord quelque chose au clair, car vous brouillez encore la conversation. Greenpeace est un groupe ACTIVISTE: ne les mettez pas dans le même bateau que la communauté scientifique, que le GIEC ou moi. C’est un groupe avec un agenda précis, et qui utilise des méthodes de diffusion médiatique de choc pour arriver à ses fins.
Le public ciblé par ce vidéo est clairement adulte – le site de la campagne en fait foi, et son but était de faire signer aux adultes une pétition en ligne. Le ton, la cinématographie et les plans de vue sont effectivement presque dignes d’un film d’horreur, et il va sans dire que ca pourrait faire peur à des enfants impressionnables, surtout s’ils croient au Père Noel.
Donc, non, à cause de sa forme, je ne serais pas d’accord que ce message soit diffusé en classe devant les enfants, de la même manière que je ne leur montrerais pas Dracula, Alien ou La Momie. Si ce dont vous craignez, c’est de faire peur aux enfants et que ca les empêche de dormir, je suis avec vous. Les films d’horreur n’ont pas leur place dans une classe de jeunes enfants.
Mais, sur le fond du message, en dehors de cette histoire de Père Noel épeurant, je suis d’accord avec la notion que l’Arctique est effectivement en proie à d’importants changements climatiques, comme tout scientifique sérieux qui travaille dans le domaine. Cette affirmation est supportée par une volumineuse littérature, et les changements sont observés (et escomptés de s’empirer) à travers de multiples indicateurs: température moyenne, couverture de glace de mer, fonte des glaciers de haute latitude, état du pergélisol, etc. (voyez le site de la NOAA pour plus de détails: http://www.arctic.noaa.gov/reportcard/). L’Arctique est en fait la région qui est, et qui selon toute vraisemblance demeurera, la plus affectée par les changements climatiques à cause d’un phénomène qu’on appelle l’amplification arctique (voyez ce lien de la NASA pour une carte montrant l’amplitude de cette anomalie pour 2000-2009 [http://earthobservatory.nasa.gov/IOTD/view.php?id=81214] – et cet article de Serreze et Barry (2011) pour un résumé de la science sur la question [http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0921818111000397]). L’article de Wikipédia sur les changements climatiques en Arctique est très bien fait aussi: http://en.wikipedia.org/wiki/Climate_change_in_the_Arctic . Il est crucial de conscientiser tant les parents que les enfants à ce problème important.
Keven
P.S.: Comment savez-vous que ce message a été diffusé « largement chez les enfants »? De qui/quoi tenez-vous cela? Que veut dire « largement »?
Des amis de Boston m’ont dit que des enfants de maternelle y ont été exposés, nons seulment à la télé mais à l’école. Un ami ingénieur québécois a un fils de 5 ans qui fait des insomnies à cause des visions terribles que son enseignante leur a décrite (RCA). Même sans ce clip horrible, on terrorise les enfants par des messages basés sur aucune science prouvée. Voilà pourquoi j’appelle cela de l’éco-terrorisme. Le message diffusé dans ce clip est essentiellement celui que vous propagez. Mais le vôtre est encore pire car il y ajoute des visions cauchemardesques de « réfugiés du climat », d’ événements météo de plus en plus sévères et nombreux, de désertification, de mort, de ruine de la Planète, le Père Noël au moins ne va pas jusque là. Vous brandissez le spectre d’une acpocalypse et accusez l’homme d’en être responsable. C’est ce même message propagé par Gore, Guilbault, Greenpeace, et des chercheurs climato-alarmistes qui terrorise les enfants. Vous dites ne pas être d’accord qu’on diffuse ce clip, mais qu’avez-vous fait pour empêcher sa diffusion? Greenpeace ou Équiterre, qui sont bien sur des organisations activistes carburent essentiellement aux recherches et aux messages diffusés par des scientifiques climato-alarmistes. Ils en font des pubs terrifiantes aussi bien pour le public que pour les enfants. Vous qui prétendez nuancer, or qu’avez-vous fait ou que faites vous pour empêcher cela? Dracula et Frankenstein ne sont pas comparables dans la tête d’un enfant, car même à 5 ans, ils savent que c est de la fiction… mais ce que ce clip leur montre et leur enseigne, c’est ce que vous prétendez comme étant la réalité que vous leur présentez comme implacable et terrifiante. Mois je fais le contraire. Je les rassure en leur disant qu’il n’y aura pas d’apocalypse et que ces événements ont toujours eu cours et sont naturels. Cela les calme. Je fais la même chose pour les séismes. Vous n’avez pas idée du nombre de mères qui m’ont téléphoné suite à mes interventions scolaires après le séisme du Saguenay: « mon fils a dormi seul dans sa chambre hier pour la 1iere fois depuis 1 mois. Vous l’avez rassuré, merci! » En tant que scientifique, je me sens aussi investi d’une mission auprès du public et des enfants en particulier et elle est à l’opposé du terrorisme environnementaliste. Mme Curie a dit « on ne craint que ce qu’on ne comprend pas ». Allez dans les écoles et vous constaterez comme moi, que les enfants ne sont pas instruits de la science, mais endoctrinés d’idéologies vertes. Ils mélangent tout en une bouillie verte : RCA, GES, couche d’ozone, smog, pluies acides, pour eux ca va tout ensemble… C’est le devoir du scientifique d’y aller mettre de l’ordre, et de « nuancer » comme vous dites… et surtout comme je fais. … et surtout pas de les terroriser.
If IPCC/GIEC are right and Global Warming is real… then explain that !

Poster un graphique sans aucune source et sans aucune description de ce qu’il représente n’a aucune valeur scientifique. Voici ce que vous êtes Normand, Larouche, Reynald, Robert: Des vieux individualistes de droite n’ayant rien à foutre des autres et donc de l’environnement qui sera légué aux générations futures. Nier les RCA vous donne bonne conscience avant votre trépas. De toute façon après tout, ce sont des problèmes du futur auquel vous n’êtes pas convié de par votre mort forcément imminente, vieillesse oblige. Alors à quoi bon. Je vous méprise.
Pour ce qui est de ce graphique qui est systématiquement sorti par les sceptiques, il a fait l’objet de mainte et mainte explications. Il semblerait que les sceptiques y sont sourd ou préfèrent ne pas les considérer. Nature a publié un article qui traite expressément du Hiatus des années 2000 et son explication. Voici ce qui en est dit:
Despite the continued increase in atmospheric greenhouse gas concentrations, the annual-mean global temperature has not risen in the twenty-first century1, 2, challenging the prevailing view that anthropogenic forcing causes climate warming. Various mechanisms have been proposed for this hiatus in global warming3, 4, 5, 6, but their relative importance has not been quantified, hampering observational estimates of climate sensitivity. Here we show that accounting for recent cooling in the eastern equatorial Pacific reconciles climate simulations and observations. We present a novel method of uncovering mechanisms for global temperature change by prescribing, in addition to radiative forcing, the observed history of sea surface temperature over the central to eastern tropical Pacific in a climate model. Although the surface temperature prescription is limited to only 8.2% of the global surface, our model reproduces the annual-mean global temperature remarkably well with correlation coefficient r = 0.97 for 1970–2012 (which includes the current hiatus and a period of accelerated global warming). Moreover, our simulation captures major seasonal and regional characteristics of the hiatus, including the intensified Walker circulation, the winter cooling in northwestern North America and the prolonged drought in the southern USA. Our results show that the current hiatus is part of natural climate variability, tied specifically to a La-Niña-like decadal cooling. Although similar decadal hiatus events may occur in the future, the multi-decadal warming trend is very likely to continue with greenhouse gas increase.
Cet autre article publié dans la revue Nature explique le Hiatus:
Despite ongoing increases in atmospheric greenhouse gases, the Earth’s global average surface air temperature has remained more or less steady since 2001. A variety of mechanisms have been proposed to account for this slowdown in surface warming. A key component of the global hiatus that has been identified is cool eastern Pacific sea surface temperature, but it is unclear how the ocean has remained relatively cool there in spite of ongoing increases in radiative forcing. Here we show that a pronounced strengthening in Pacific trade winds over the past two decades—unprecedented in observations/reanalysis data and not captured by climate models—is sufficient to account for the cooling of the tropical Pacific and a substantial slowdown in surface warming through increased subsurface ocean heat uptake. The extra uptake has come about through increased subduction in the Pacific shallow overturning cells, enhancing heat convergence in the equatorial thermocline. At the same time, the accelerated trade winds have increased equatorial upwelling in the central and eastern Pacific, lowering sea surface temperature there, which drives further cooling in other regions. The net effect of these anomalous winds is a cooling in the 2012 global average surface air temperature of 0.1–0.2 °C, which can account for much of the hiatus in surface warming observed since 2001. This hiatus could persist for much of the present decade if the trade wind trends continue, however rapid warming is expected to resume once the anomalous wind trends abate.
Là où Antoine voit des explications satisfaisantes pour expliquer le fait que les prévisions des rapports AR1(1990), AR2(1995), AR3(2001) et AR4(2007) de l’IPCC ne se sont pas concrétisées, je n’y voit qu’un entêtement à ne pas envisager que la prémisse de base ait pu être erronnée !
Exemples :
« DESPITE the continued increase in atmospheric greenhouse gas concentrations »
« CHALLENGING the prevailing view that anthropogenic forcing causes climate warming »
« VARIOUS mechanisms have been PROPOSED for this hiatus in global warming »
« their RELATIVE importance has NOT BEEN QUANTIFIEED »
« present a NOVEL METHOD of uncovering mechanisms for global temperature change »
« our SIMULATION captures major seasonal and regional characteristics of the hiatus »
« it is UNCLEAR how the ocean has remained relatively cool »
« this hiatus COULD persist for much of the present decade »
« rapid warming is EXPECTED to resume once the anomalous wind trends abate »
P.S. Sans aucune explication, le fameux « Hockey stick » de Michael Mann a été retiré des rapports de l’IPCC depuis plus de 7 ans. Preuve que la RÉALITÉ finit toujours par vous rattraper… et ce sont les réchauffistes qui sont pris avec cette réalité rebelle à leur modèles informatiques.
» has NOT BEEN QUANTIFIEED » vous avez raison.
c’est leur affirmation « bien sûr il y a des incertitudes » comme affirme et précise avec raison mais témérité Keven sans jamais avoir osé nous préciser cette plage d’incertitude quand lui et le GIEC affirment haut et fort:
1- on est sûr du RCA à 95%
2- notre opinion est partagée par 97% des scientifiques.
je suis un scientifique qui n’a pas été « sondé » … je n’ai recu aucun questionnaire, ni de l’Université de Toronto où je crois que Keven étudie- il ne nous a pas révélé son sujet de thèse- ni de Greenpeace.
Alors, quelle est cette marge d’erreur sur le 95%… le 97% – c’est ce que VOUS affirmez climato-alarmistes, – et le 38 000 mégatonnes de C du fond des océans dont il semble que j’aie confondu comme échange plutot que réservoir… ces alarmistes nous confondent avec leur « puits » et « réservoirs »… jugez de la précarité de leur vocabulaire, mais ça peut séduire le tis-gars qu’on a déjà endoctriné avec le poumon de la planète. je ne mets ni guillemets ni majuscules tant les écolos ont consacré ces mots bidons et expressions écolo-alarmo-réchauffistes.
la question est posée à propos de la marge d’erreur de 95% et de 97%
et en tant que citoyen qui paie pour cette arnaque basée sur ces deux chiffres, j’EXIGE une réponse !
@Reynald Du Berger
Ce 95% est une marge d’incertitude en soit… Elle est basée sur une inférence bayésienne et détermine notre niveau de confiance sur l’attribution des changements observés…
Sans vouloir vous offenser, M. Du Berger, il est normal que vous n’ayez pas été contacté. Vos publications sont en sismologie, et non pas reliées aux sciences climatiques. Le 97% faisait référence aux scientifiques sondés actifs dans le domaine.
La précarité de notre vocabulaire? Je ne comprends pas votre commentaire. Après tout, c’est vous qui confondez deux mots associés à des phénomènes extrêmement différents (flux et réservoir)…
Et doutez-vous que je sois étudiant au doctorat à l’Université de Toronto? Je vous invite à consulter le site du Département de physique et y voir mon nom ou consulter mes publications dans la littérature.
Joyeuses Pâques!
Keven
« sur une inférence bayésienne »… wow !!! et vous dites-ça avec une telle assurance, un tel naturel apparent et en toute quiétude! un peu plus et on vous croirait. « On » étant moi, je laisse aux autres le soin d’apprécier cette réthorique et cette affirmation. « bayésienne »… wow! il ne me reste qu’à ravaler mes doutes!!!
« détermine notre niveau de confiance sur l’attribution des changements observés »… « notre » … c’est le vôtre, pas le mien et surtout pas celui de l’ensemble de la communauté scientifiques au nom de laquelle vous prétendes parler avec « notre ».
Pour affirmer en sciences que qq chose est certain à 95%, il m’en faut plus que cela. Que connait-on de TOUS les paramètres, de leur rôle, leur importance relative? Quels paramètres ont été écartés, ignorés, jugés insignifiants? quelle méthodologie, nombre d’observations? lesquelles ont été écartées car elles conterdisent l’hypothèse? – le cherry picking de M. Plouffe- et des dizaine d’autres questions auxquelle vous devez répondre avant d’affirmer 95%.
et votre 97%? il est de quelle agence de sondage ?
Qui doute de votre statut de doctorant? pas moi…
Pour les articles que vous me demandez de vous produire… désolé… pas le temps… ils existent, et une des tâches du gradué c’est de les repérer… j’ai été gradué ya longtemps…
le 95% n’a pas été répondu
et pour le 97% qui a été sondé » « actifs en recherche dans le domaine! » quelle prétention!
définissez le domaine, et actifs… les géologues retraités qui ont travaillé sur les iron formations vs climat sont disqualifiés?
le biologiste vert écocondriaque qui pleure sur les ours polaires? qualifié ou disqualifié? $$$$$
Bref pas besoin de vous faire un dessin sur la méthodologie de ce 97% non?
Joyeuses Pâques.
J’ai écouté le vidéo que vous avez mis en ligne..
Je ne vois pas en quoi ça empêcherait un enfant de dormir, comparer à toutes les films de violence qu’on voit aujourd’hui c’est de la petite bière. C’est juste une pub pour conscientiser les parents.
J’ai posé une question claire: approuvez-vous ? répondez svp par simplement oui ou non, sans commentaire.
Tiens encore ce clown youppique de mauvaise foi, qui fait semblant de ne pas voir la différence entre un film d’actions fictives et un film de propagande politique. « Juste une pub! » Pour conscientiser les parents? De quoi? Que la fin est proche. Que leurs enfants n’auront pas d’avenir?
Côme on youppi, you ought to know better…
Je répète ma question à vous tous: Approuvez-vous le message de ce clip qui s’adresse aux enfants de 5 ans des garderies? SVP simplement oui ou non.
M. du Berger, interpréterez-vous une absence de réponse èa votre question comme un acquiescement èa votre appréciation de la vidéo? Ou plutôt comme une appréciation d’autrui de la pertinence de votre question? Faire fausse route conduit èa privilégier la 1ère proposition.
absence de réponse veut dire:
1- je n’ai pas lu ou compris la question – elle est claire pourtant-
2- je ne veux pas me prononcer
3- je ne peux pas me prononcer
Ne t’en fait pas Rey, tout ça s’est du passé! Noël 2013 a eu lieu, la glace du pôle Nord est encore là, et Al Gore est disparu de honte. If Global warming is real, explain why?
M. Du Berger, votre participation à l’émission de radio a été suspendue à la suite d’un constat lié à votre crédibilité et votre compétence.
@pat beauderick « M. Du Berger, votre participation à l’émission de radio a été suspendue à la suite d’un constat lié à votre crédibilité et votre compétence. »
de quoi et de qui parlez-vous? quelle participation? quelle radio? quelle émission? et le « constat »… il est de vous… ou d’une personne compétente? laquelle? pas mal de questions auxquelles je vous demande de répondre. allez! bonne nuit!
M du Berger, pour répondre à votre question, je dirais ceci : il s’ agit du constat d’une personne compétente, soi moi!!! Sans blague, je constate que l’émission a tire la plogue, car je ne vous entends plus. Il s’agit donc d’une hypothèse plausible. Plus plausible qu’ une inférence sur le réchauffement climatique tirée de quelques données recueillies à partir d’une secousse tellurique.
Pat, J’ai cessé ma collaboration avec Dany du 5 à 7 parce que je suis trop occupé par une tâche qu’on m’a confiée… et Dany me dit qu’il est toujours ouvert à ma participation à son émission dans la mesure de ma disponibilité. J’ai diminué aussi le rythme et la durée de mes interventions à CIQI FM… mais merci de votre commentaire.
j’adresse cet email à Dany:
un auditeur qui ne partage pas mes opinions sur le climat prétend que CHOI m’a « tiré la plogue ». Peux-tu rétablir les faits sur mon blogue ? merci!
À H Plouffe et autres intéressés;
Voici un document pour meubler vos soirées.
http://www.climate4you.com/
Allez à « Global temperature » et vous verrez qu’entre 1998 et 2014 (Février)(16 ans), la température de la troposphère (C’est l’air que vous respirez) a baissée malgré une augmentation de la teneur en CO2 de 31 ppmv.
De 1945 à 1978, la température de la troposphère à baissée de 0,05 oC malgré une augmentation de 33 ppmv de la teneur en CO2.
Delta T = 0,8 * 5,35 Ln(C/Co) (A) est l’équation utilisée par GIEC pour le calcul du changement de température lorsque le CO2 passe de Co à C. La seule période où cette équation fonctionne est la période (1978-1997) pendant laquelle ils ont bâti cette équation. Pour toutes les autres périodes, celle-ci ne fonctionne pas. …C’est comme si je calibrait un instrument d’analyse avec 10 standards et que cet instrument ne donnerait de bons résultats que lorsque je relis les mêmes standards qui ont servi à la calibration. Pour les inconnus, ça ne fonctionne pas!
Ex: 1938: CO2 = 300 ppmv – Anomalie=-0,20 oC
2013: CO2=397 ppmv- Anomalie = +0,35 oC
Donc, le vrai changement de température est de +0,55 oC de 1930 – 2013. Selon l’équation du GIEC (équation A). LEUR VALEUR OBTENUE EST DE 1.20 Oc….UNE MAUDITE DIFFÉRENCE!
Robert
J’ai copié-collé deux résumés d’articles scientifiques publiés dans la prestigieuse revue NATURE qui répondent à ce que vous avancez. La climatologie implique plusieurs processus complexes qui engendrent des anomalies dans la réaction de la planète face à l’effet de serre. Allez les lire et on pourra continuer la discussion.
Je signale aux lecteurs que Anoin et Antoine Plouffe sont la même personne et que Nature n’est pas une revue plus prestigieuse que Journal of Geophysical Research, ou Geophysical Research Letters. Nature a publié de nombreux articles mettant en doute le RCA.
@Reynald Du Berger:
Vous dites que « Nature a publié de nombreux articles mettant en doute le RCA. » Vous avez aussi dit précédemment que « vous trouverez autant de publications pour et contre le RCA dans TOUS ces périodiques », en parlant des publications sérieuses en géophysique.
C’est complètement farfelu, monsieur Du Berger. Sur quoi basez-vous cet énoncé? Cook et al. (2013) ont trouvé que parmi les articles prenant position sur le réchauffement et son lien possible à l’activité humaine, 97.1% des articles publiés entre 1991 et 2011 défendaient la position que l’activité humaine est responsable de la majorité de ces dits changements. James Powell tient aussi un décompte de ces articles: en 2013, sur 10885 articles publiés, seulement 2 défendent la position contraire (www.jamespowell.org). Vous ne pouvez lancer en l’air de telles affirmations sans les supporter avec des chiffres et des exemples!
Donc, je vous le demande pour une quatrième fois, M. Du Berger? Lesquels sont ces articles qui ne supportent pas l’impact de l’être humain sur le climat? Je vous mets au défi de m’en sortir 6 publiés au cours des 10 dernières années dans Nature. S’il y en a tant, ca devrait être facile!
Keven
@Kevin : Vous dites « Cook et al. (2013) ont trouvé que parmi les articles prenant position sur le réchauffement et son lien possible à l’activité humaine, 97.1% des articles publiés entre 1991 et 2011 défendaient la position que l’activité humaine est responsable de la majorité de ces dits changements »
Avez-vous vérifié si ceux qui sont étiquettés « Climato-sceptiques » ou « Deniers » ont été inclus dans ce 97% ?
SI OUI, QUEL POUCENTAGE DU 97% REPRÉSENTENT-ILS ?
Vous en doutez ?
Je vous invites à écouter le Dr Roy Spencer, INCLUS dans ce 97% à ce sujet à 3:20 du vidéo disponible à cette adresse : youtube.com/watch?v=kotqWXZkZS0
Concernant l’étude Cook et al. (2013) : Vous pouvez vérifier les chiffres de LEUR propre communiqué de presse officiel http://www.iop.org/news/13/may/page_60200.html
La logique est la suivante : 97% du TIERS (1/3) des études (4000 sur 11994)
ayant pris position sur le sujet, soutiennent (SELON EUX) la théorie
du réchauffement global de nature Anthropogénique.
Des 11,994 études révisées, écrites par 29,083 auteurs dans 1980 revues scientifiques,
– 32.6 % soutiennent (SELON EUX) la théorie AGW,
– 66.4 % ne prennent pas position,
– 0,7% la rejette
– 0,3% incertain
Maintenant, je vous invites à fouiller sur le Web pour trouver les sorties publiques de scientifiques qui réfutent les conclusions que le groupe de Cook leur attribuent.
Exemples : Dr. Nil Axel Morner, Willie Soon, Alan Carlin, Craig D. Idso, Nicola Scafetta, Nir J. Shaviv, Roy Spencer, John R. Christie, Pat Michaels, etc…
Ainsi, de nombreux scientifiques identifiés comme climato-sceptiques sont classés dans « soutiennent la théorie AGW »…
Quelques exemples :
http://wattsupwiththat.com/2013/05/17/to-john-cook-it-isnt-hate-its-pity-pity-for-having-such-a-weak-argument-you-are-forced-to-fabricate-in-epic-proportions/
http://wattsupwiththat.com/2013/05/21/cooks-97-consensus-study-falsely-classifies-scientists-papers-according-to-the-scientists-that-published-them/
http://www.climatedepot.com/2013/05/28/more-woes-warmist-john-cooks-97-consensus-study-falsely-classifies-3-more-scientists-dr-morner-soon-carlin-plus-round-up-of-analyses-of-cooks-study/
Encore plus :
The Latest Meteorologist Survey Destroys The Global Warming Climate ‘Consensus’
http://www.forbes.com/sites/jamestaylor/2013/11/20/the-latest-meteorologist-survey-destroys-the-global-warming-climate-consensus/
Le sondage original : http://journals.ametsoc.org/doi/pdf/10.1175/BAMS-D-13-00091.1
S’il y a quoi que ce soit d’erronné dans l’information que je vous tranmets, merci de m’en faire part !
svp Robert : Cessez de faire du cherry picking, ainsi vous perdez en crédibilité..
Youppi;
Je comprend très bien que vous ne compreniez pas mon coté scientifique , genre pragmatique avec les deux pieds sur terre (Cela nécessite une certaine formation scientifique). Cependant, ne vous en faites pas pour ma crédibilité!
Robert
Hey Robert, Quelle est votre formation scientifique? Je suis pas mal certain que, et moi et Youppi avons une formation scientifique plus avancée que la vôtre. Prendre des phrases individuellement, en les sortant de leur contexte pour critiquer un résumé qui se veut être compris dans son ensemble est de mauvaise foi et foncièrement non-scientifique.
@Robert:
Je suis un peu stupéfait. Vous étudiez l’évolution de la température moyenne entre 1938 et 2013 en comparant les valeurs des extrémités de votre courbe, et en ne considérant qu’une seule équation qui ne décrit qu’une seule infime parcelle de tous les échanges physiques et chimiques qui ont cours dans l’atmosphère.
Et vous espérez que cette seule équation capture l’évolution du climat sur 75 ans? Ca vous prendrait un meilleur modèle…
Keven;
J’en reviens.. pas. C’est quoi l’histoire? Ces équations(*) sont juste bonnes de 1998 à 2001? Bon Dieu, j’ai utilisé les équations du GIEC (Quoi, elles ne sont pas bonnes??). Une équation est sensé « fitter » partout. De toute façon, j’ai testé ces équations sur plusieurs gammes de concentration en CO2 à différentes époques et les équations du GIEC ne fonctionnent à toute fins pratique jamais. Comme je l’ai déjà mentionné, la seule fois où ces équations fonctionnent, c’est lorsqu’elles ont été fabriqués de 1980 à 1997.
C’est comme si j’utilisais des standards pour calibrer un instrument et que les analyses produites par cet instrument ne fonctionnaient que pour les standards utilisés pour la calibration mais pas pour les inconnus.
Si vous avez une autre équation qui marche…Faites nous en part…?
Sans rancune;
Robert
(*) Les équations du GIEC:#1 Delta t = 0,8*5,35 Ln (C/Co)
#2 Delta t =0,8*(4,841*Ln(C/Co) + 0.0906* (Racine (C) – Racine(Co))
#3: Trop long à écrire …
À tous;
Avez vous remarqué que nos fervents adeptes du réchauffement ne sont jamais capable de nous exécuter le moindre calcul (ou même des données pertinentes) pour prouver leur avancés! Ils ont cette fâcheuse habitude de toujours nous répondre avec leur sacro-saint « MODÈLE CLIMATIQUE » qui, ils semblent dire, est trop compliqué pour que l’on puisse comprendre. J’ai toujours l’impression que je parle avec des philosophes plutôt que des scientifiques!
Je m’attendrais pourtant d’un gars comme Keven (étudiant au Doctorat) qu’il fassent quelques calculs pour, à tout le moins, nous prouver l’effet de serre de 30% dans le cas du CO2? (Valeur du GIEC)
Est-ce qu’un expert en climatologie pourrait aussi nous expliquer pourquoi l’anomalie moyenne mesurée en 2007 par les satellites (UAH MSU, RSS MSU, GISS, NCDC, HadCRUT3) est de +0,5 oC et que une année plus tard, celle-ci fut mesurée à -0,1 oC?
J’aimerais que l’on nous parle de précision des mesures et attention…C’est un de mes dada (*)?
Robert
(*) Ça veut dire: Ne dites pas n’importe quoi!
Robert « ne sont jamais capables de nous exécuter le moindre calcul … » et certains vous balancent par la tête des liens à des articles scientifiques qu’ils n’ont pas lus et même s’ils les lisaient, ils ne les comprendraient pas… ils ont été accrochés par le titre – pas sûr qu’ils comprennent même le titre- et croient vous décocher ainsi un efficace « quin-toé!!!.. mais quand on leur pose des questions scientifiques, ou d’ordre méthodologique, en dépit de leurs recherches aussi fébriles que maladroites sur le web… ils restent sans réponse.
La différence entre l’anomalie moyenne globale de température entre 2007 et 2008 est principalement due à la transition entre 2007 et 2008 vers un épisode La Nina (http://www.esrl.noaa.gov/psd/enso/mei/). Lors d’un tel événement, les températures de surface de l’océan Pacifique sont plus froides que la moyenne dans la région équatoriale, anomalie négative qui se répercute dans de nombreuses régions du globe (à cause des téléconnections présentes dans l’atmosphère).
Je vous trouve bien comique de dire que je suis incapable de vous éxécuter le moindre calcul. Je vous rappellerais que j’ai passé une bonne semaine à essayer de vous expliquer comment faire correctement une dérivée (pour les autres lecteurs – voir le post précédent de M. Du Berger).
Vous semblez aussi avoir de la difficulté avec le concept de modèle climatique.
Vos calculs Excel ne sont qu’une version extrêmement simple de ce que fait un modèle climatique. Un modèle informatique consiste à décrire les paramètres de base d’un système, puis les mettre à jour dans le temps et l’espace selon des équations qui décrivent ces paramètres et notre connaissance de la physique impliquée. Vous utilisez le langage de programmation simple contenu dans Excel pour décrire un « snapshot » temporel d’un seul élément de l’ensemble du système climatique…
Que vous le vouliez ou non, nous ne sommmes plus à l’époque d’Arrhenius, et vos calculs de coin de table, bien que louables et peut-être fondés (je n’ai pas vu votre code), ne représentent qu’une vision extrêmement incomplète du système climatique.
Ceci dit, vous pourriez améliorer votre feuille Excel. Pour que votre programme Excel soit plus représentatif, vos calculs devraient non seulement inclure l’effet radiatif de quelques lignes de CO2, mais l’ensemble du spectre de tous les gaz à effet de serre, inclure le feedback provenant de l’albédo du sol et de l’eau, les variations journalières et saisonnières de luminosité solaire, les processus convectifs dans l’atmosphère, la formation de nuages, les océans et la terre ferme traités différemment, le volcanisme, le transfert de chaleur entre composantes du système, le déplacement de masses d’air et d’eau à différents endroits du globe, et j’en passe.
Mais, ma parole, ce serait alors exactement ce qu’est un modèle climatique!
Fort heureusement, aujourd’hui, on n’est pas limité à ne calculer qu’une équation à la fois dans une table Excel. On peut à la fois calculer la conservation de moment angulaire, de masse et d’énergie, leur flux entre différents endroits du globe, les feedbacks qu’ils induisent, les changements de phase de l’eau, etc., et ce tant pour l’atmosphère que l’océan, la cryosphère ou sur la terre ferme. On a des ordinateurs extrêmement puissants qui nous permettent de réaliser ces calculs à une échelle extrêmement précise. Il faut simplement être de son temps, messieurs…
Joyeuses Pâques.
Keven
Notez que ces réchauffistes devant des questions embêtantes de sceptiques comme nous ont dans leur chapeau de magiciens tout plein de Los Ninos et Las Ninas qu’ils te sortent comme des lapins de Pâques…ça chauffe trop en 1998? el Nino… ça refroidit ensuite là où ca devrait chauffer? qu’à cela ne tienne vlan! voila une Nina! pour accommoder leurs erreurs… et ils n’ont aucun problème à fouurrer une « chaleur perdue » entre 1998 et 2013 dans le fond des océans dont ils ne connaissent pratiquement rien.. je n’ai pas de difficulté avec le concept de modèles.. je l’ai utilisé en recherches… mais j’ai de grosses difficultés avec ceux du GIEC , pas le concept, leurs modèles. Nuance…
Keven;
Vous dites:
« …Je vous trouve bien comique de dire que je suis incapable de vous éxécuter le moindre calcul…. »
Faites-en des calculs, Quest-ce que vous attendez.? Utilisez le logiciel qu’il vous plait (Vous semblez détester Excel). Démontrez nous, mathématiquement, pourquoi de 2007 à 2008 on observe une différence de température moyenne (mesurée par satellite) de 0,7 oC? Puis-je vous mentionner que c’est toujours la même chose d’une année à l’autre (El Ninio ou pas). Vous oubliez que vous avez le fardeau de la preuve. …Allez-y par des calculs. C’est la moindre des exigences.
À chaque fois qu’une objection vous arrive, vous trouvez toujours une explication simpliste.
Vous avez aussi écrit:
« Je vous rappellerais que j’ai passé une bonne semaine à essayer de vous expliquer comment faire correctement une dérivée (pour les autres lecteurs ) »
Je suis convaincu qu’en matière de calcul différentiel, je puis vous en montrer, mais là n’est pas la question:
Je me souviens bien que je vous avait dit qu’il y avait deux équations de Planck. Une en fréquence et l’autre en longueur d’onde. Voici les faits:
1) Les deux équations ont la même surface totale de 0 à l’infini.(Stefan-Boltzman).
2) Chacune des deux équations a sa propre loi de Wien qui les situent à des longueur d’onde maximum différentes.
2.1) En longueur d’onde: Fréquence max = 2898/T, ce qui donne 9,7 um à 300 K. Converti en fréquence, cela donne: Fréquence = 3.0 x 10^8 * 10^6/ 9,7 um = 3.10 x 10^13 Hz.
2.2) En fréquence (Autre équation de Planck en u^3): Fréquence max = 5.879 x 10^10*T = 1.76 x 10^13 Hz. à 300 K. Converti en longueur d’onde on obtient: 16,7 um.
3) Je vous ai mentionné plusieurs fois que Fréquence x Longueur d’onde = Vitesse de la lumière et que cette relation est indiscutable. Vous m’avez mentionné que l’on ne pouvait pas convertir une fréquence en longueur d’onde.!!!
je vous donne un autre exemple. Si vous utilisez l’équation de Planck en longueur d’onde (1/Lambda^5). Le soleil à 5550 K a son maximum d’émission à 520 nm (Jaune – vert). Par contre, si vous utilisez l’autre équation (en u^3) vous trouvez une longueur maximum de 920 nm (Infra rouge)….On ne voit plus le soleil puisque son maximum d’émission est dans l’Infra-rouge…Ayoye!
Donc, l’équation en u^3 de Planck est valable pour l’énergie totale mais pas pour le maximum d’émission. Celle-ci est donc inutilisable pour l’application qui nous concerne. Vous savez, cela arrive souvent qu’une forme d’équation est utilisable pour une application mais pas pour une autre.
En passant, je me demande pourquoi les organismes de satellite utilisent toujours l’équation en 1/lambda ^5 (Max à 9,7 um à 300 K) tandis que le GIEC utilise toujours la forme (fréquence ^3) (Max à 16,7 um à 300 K) qui ne fonctionne pas. En fait, je commence à connaitre la réponse: C’est qu’en utilisant la forme Fréquence ^3, l’effet de serre due au CO2 apparait beaucoup plus fortement.
Équation de Planck: http://archive.org/détails/PlancksOriginal/paperssln.QuantumPhysics
Espérant avoir été clair:
Robert
Les résultats des calculs d’un ordi, aussi rapide soit-iĺ, ne sont jamais plus valides que les données et les équations qu’il résoud.
Ou en d’autres termes… Garbage in garbage out.
Oui Gilles, ya des gens , dont les récahuffistes, qui s’imaginent que parce qu’une connerie entre dans une machine puissante et coûteuse, elle s’en trouve automatiquement ennoblie… et il en sort un « modèle » …
à propos de l' »accélération » alarmante de la hausse du niveau des océans, un ami m’envoie ceci qui devrait faire réfléchir tous les épouvantails à goélands qui tentent de faire peur aux humains:
Je regardais l’historique de Fort-Mahon, une plage de la Somme où j’ai passé toutes mes vacances d’ado.
http://zalowe.free.fr/index.php
http://www.fort-mahon-plage.com/
Je ne suis pas géologue ni rien d’approchant, mais ceci me saute à la figure (je vous avais déjà questionné sur la formation des falaises):
Les Romains, qui n’aiment pas les marécages, assèchent partiellement et réalisent une route de Rue à Quend. La période troublée des premiers siècles de l’ère chrétienne (invasions barbares) ne nous donne guère de renseignements historiques. Pour cela, il faut attendre le VIIème siècle : la paix revenue, la religion chrétienne revient en force et les moines irlandais évangélisent les côtes de la Manche. En même temps se produit un phénomène géologique d’une importance considérable : à cause d’un brusque réchauffement de la terre, les glaces du pôle fondent et le niveau de la mer augmente brusquement d’environ 5 mètres en quelques dizaines d’années, envahissant tout sauf les îlots les plus élevés. Sur les côtes normandes, la mer attaque alors le plateau et forme des falaises. Les matériaux arrachés sont entraînés vers le nord par le courant : les plus lourds -les galets- se déposent d’Ault à Cayeux ; les plus légers -les sables- franchissent la Baie de Somme et se déposent presque jusqu’à Boulogne. C’est le début des dunes. Entre le plateau et les dunes naissantes, les hommes vont s’employer à conquérir l’espace en construisant des digues. C’est la naissance du Marquenterre qui existera en tant que commune en l’an 1199. Pendant près de six siècles les habitants de cette communauté paysanne vont se battre contre les éléments (mer, sable, vent) et contre les accapareurs de terre. On peut estimer qu’au XIIIè siècle, la Baie d’Authie était située 4 km plus au sud. Pour avoir une idée de l’évolution, il suffit de mesurer la distance entre la digue construite à l’époque de Louis XI (1461) de Quend à Routhiauville et la dernière (1860) qui limite actuellement le sud de la Baie d’Authie : près de 3 km !
Alors au VIIème siècle c’était « toujours ben pas » à cause des gaz des voitures, des pets des bovidés, et des usines chinoises que le climat a brusquement changé et que le niveau de l’océan a monté?
C’est le Xème exemple de changement historique du climat d’origine non antropique qu’on peut rencontrer sans chercher beaucoup, et les écolos gauchistes et autres marchands de points-carbone continuent de nous rebattre les oreilles et nous culpabiliser concernant la future supposée montée des océans?!!
M.
Plouffe;
Vous n’avez rien compris…
Ce Plouffe est comme bien des gens qui ignorent la science mais qui sont imbibés d’idéologie verte… incapables d’attaquer par des arguments scientifiques solides le message, ils s’attaquent au messager en osant douter de vos compétences…. et il vous défie en osant comparer ses compétences scientifiques aux vôtres. On en voit beaucoup sur le web de ces « té qui toé? » et qui pensenst avec des liens vous décocher ensuite des « quin toé! ». Ce qui est malheureux, et je le constate dans mes visites scolaires, on forme de plus en plus de Plouffe et de moins en moins de Robert.
Reynald! Et ce chiffre de 38 Gt par an des émissions de co2dans l’atm. Est-ce que tu le retires? Tu as erré c’est tout. N’adopte surtout pas la même attitude que le GIECqui ne s’est même pas rétracté après ses ridicules affirmations de fonte d’un glacier pour 2035, alors que eh hmm non « la revue » voulait plutôt dire 2350, c’est juste le zéro qui était pas à la bonne place.
ce 38 000Gt a été fourré là au fond des océans de façon très très arbitraire par l’ONU… la maman du GIEC.. m’en fout moi réservoir ou échange… ce 38 000 à 40 000 est un « estimé » absolument loufoque, et comme Robert je demande à ces justiciers de nous justifier leurs chiffres avec une méthodologie bien expliquée et éprouvée, et des marges d erreurs bien évaluées, sinon ces estimés sont bons pour la poubelle.
Et oui, comme la chaleur manquante, le GIEC l’a cachée avec le calcaire, au fond des océans. Faudra t’y faire le GIEC aura toujours un échappatoire pour éviter d’admettre qu’il n’y comprenne foutrement rien. Il en sont maintenant à tenir l’alizée (le vent!) comme responsable de l’arrêt du réchauffement depuis 2000.
Oups… C’était 38 000 Gt? Alors là, gros contrat!
Correction à mon message du 20 avril 2014 4:01
Équation de Planck: http://archive.org/details/PlancksOriginalpapersslnQuantumPhysics
En espérant que ça marche!
Robert
Antoine Plouffe :
Voici un très bref résumé de mon CV:
J’ai été chargé de cours à l’UQUAC de 1974 à 1996. J’ai principalement enseigné au département de chimie (Thermodynamique chimique, cinétique chimique, chimie des polymères et autres). J’ai aussi enseigné la Mécanique quantique au département de Physique. J’ai donné des cours de thermodynamique appliqué au département de Génie Unifié (60 étudiants). i. Mais mon travail principal était enseignant au cégep de Jonquière (Dpt de Chimie). J’y enseignais les méthodes spectroscopiques, chimie physique, chimie générale (XRF, IR, XRD, AAS, UV/Vis…). En 1987, je suis devenu consultant principalement en Fluorescence des Rayons-x, Diffraction des rayons-x, Plasma, AAS… En 1997 j’ai définitivement quitté le CÉGEP pour devenir consultant à temps plein. J’ai beaucoup appris en enseignant mais j’ai fait beaucoup de pratique en faisant des développements de méthodes. Mes clients: Alcan, Alouette, IOC (Fer), QCM (Maintenant Arcelor Mittal), Mines d’or…J’ai cessé en 2011.
BSc Chimie, MSc Chimie.
Robert
Donc vous connaissez les mécanismes de la recherche et de la science. Je ne suis pas chimistes et je dois vous avouez que je ne lis pas vos calculs et vos équations sur ce blog et je vais vous expliquer pourquoi. La science ne fonctionne pas comme ça. Quand on est un scientifique sérieux et qu’on pense qu’un papier, qu’une étude ou qu’un pan de la recherche est dans l’erreur, la méthode pour aboutir notre démarche et pour faire avancer la science est de présenter des preuves de ce qu’on avance sous forme d’un papier scientifique à un comité de révision formé de pairs qui œuvrent dans le même champs d’étude. La publication dans les revues comme Nature est une entreprise qui est monumentale et les papiers qui y sont acceptés doivent être vraiment solides. Je ne suis pas l’un d’eux et je ne m’accorde pas les capacités requises pour juger de la validité ou non de vos équations. Par contre, je fais confiance aux grandes revues dans leur capacité à évaluer les travaux qui sont valables de ceux qui ne le sont pas. Même si je ne suis pas un scientifiques du climat, je suis capable de lire les articles sur le sujet et d’en comprendre l’essentiel (ma formation me le permet). Si vous voulez discuter d’un aspect ou un autre d’un article scientifique, il est préférable de citer d’autres articles et auteurs que de faire vous même vos calculs. Je ne remet pas en doute votre cheminement professionnel, mais j’espère que vous réalisez que vos petits calculs, bien que fort probablement divertissants dans leur réalisation n’ont aucune valeur scientifique tant qu’ils n’auront pas passé les étapes de la publication.
Si vous voulez discutez sérieusement, cessez de vous appuyez sur vos propres calculs car ils n’ont aucune valeur. Vous devriez faire comme tous les scientifiques sérieux: vous appuyez sur des papiers publiés dans des revues sérieuses.
Personnellement, je suis présentement en train de rédiger mon mémoire de maîtrise recherche dans le domaine de la foresterie avec une approche écosystémique. Pour votre information je ne suis pas un complet profane en mathématique car j’utilise des statistiques de type régression logistique pour faire l’analyse de mes résultats. J’ai aussi touché à l’économétrie dans le passé et je sais donc faire des intégrales complexes et des résolutions matricielles.
Antoine, vous semblez à genoux devant Nature qui n’est ni plus ni moins prestigieux que les milliers d’autres journaux scientifiques. J’ai déjà publié dans des revues éditées par Elsevier, le supposé plus « prestigieux » éditeur. Vous êtes à la maîtrise et il est normal que vous n’ayez pas encore frayé avec des « comités » de lecture de revues scientifiques. Vous auriez peut-être découvert la pourriture qui infecte certains de ces comités. Rappelez-vous qu’une partie pas très belle de cette pourriture a été mise au jour lors des Climategate 1 et 2. Ces courriels n’ont pas été inventés et leurs auteurs n’en ont pas nié l’authenticité.
Nature et d’autres, ont probablement refusé les papiers de Wegener…ça vous dit qq chose? ça ne vous sert donc pas de leçon? Pendant plus de 50 ans, il aura eu raison tandis que le « consensus » (100% et non 97%) errait. Nature et tous les autres périodiques géoscientifiques ont erré. Cessez votre adoration à la Nature et retombez sur terre, la science ne marche pas à coups de consensus. Les réchauffistes ont la tête dure et on oublié la leçon de Wegener.
S’il est possible de prouver l’existence de qq chose qui existe – comme le RCA dont vous prétendez l’existence et dont nous doutons- il est par contre impossible de prouver l’inexistence de qq chose qui n’existe pas comme le RCA- On attend toujours cette preuve de la part des réchauffistes. Pour le moment cela reste toujours une hypothèse. Dois-je encore citer la catastrophe socio-économique qui s’abat sur les nations à cause de cette hypothès érigée en vérité… et en dogme? Quelle honte! ce sera la plus grande erreur et catastrophe scientifique de l’histoire. Faudra un jour que des gens paient pour ça.
dire à quelqu’un que ses calculs n’ont aucune valeur c’est facile… le prouver au moyen de ses propres calculs… c’est autre chose! allez M. Plouffe, à votre calculette!
Vous voulez discréditer la science au complet avec vos climategates et vos discrédits sur les réviseurs scientifiques.Savez vous comment on appelle ça: des théories conspirationnistes.
Vous refusez donc la méthode scientifique. Bien qu’elle ne soit pas parfaite, elle demeure le meilleur moyen dans la quête de la vérité.
Je devrai me répéter pour répondre à votre question: je n’ai pas à prouver que les calculs de Robert sont dans l’erreur tant que ces calculs n’auront pas obtenu une certaine crédibilité scientifique (lire publication). Entre temps ce n’est que de placotage sur le bord d’un bar.
C’est à Robert à faire les démarches pour faire avancer la science. Qu’il tente la publication. Je le rappelle, il y a des milliards de dollars en jeu et probablement un prix Nobel à la clé. Go mon ROB.
Entre temps, la discussion scientifique doit se faire à partir des papiers publiés.
« Je devrai me répéter pour répondre à votre question: je n’ai pas à prouver que les calculs de Robert sont dans l’erreur tant que ces calculs n’auront pas obtenu une certaine crédibilité scientifique (lire publication). Entre temps ce n’est que de placotage sur le bord d’un bar. »
Antoine, je vous dis et vous montre calculs à l’appui que la Terre tourne sur elle-même en environ 24 heures. Je dépose ceci à Nature, j’attends la publication et ensuite vous me démontrerez que mes calculs sont faux. Je veux bien ….
Reynald, lorsque vous parlez de géologie, je vous trouve intéressant. Vous connaissez bien ce sujet et ça parait. S’il y a des nouvelles découvertes sur la rotation terrestre je serai très curieux de les lire attentivement.
Tout dépend de ce que vous entendez par « nouvelles »… Je vous suggère de faire qq recherches sur les marées terrestres et océaniques, et sur comment un puissant séisme comme celui du Chili a affecté la rotation terrestre. et… toutes les parties de l’intérieur de la Terre, ne tournent pas à la même vitesse… et surtout… surtout… je doute que l’homme en soit pour qq chose….petit calcul que j’ai suggéré la semaine dernière à des élèves de sec 5: quelle devrait être la longueur du jour, pour que les habitants des régions équatoriales doivent se cramponner pour ne pas être projetés dans l’espace…
Reynald, êtes vous sérieux? Vous n’avez pas besoin de publier sur la rotation de la Terre car d’autres l’ont déjà fait avant vous. C’est comme ça que la science marche. On avance avec ce qui a été démontré dans le passé et on est prêt, devant les évidences et le cas échéant, à remettre en question les présupposés.
Si Robert veut faire avancer la science sur un sujet qui, malgré un quasi concensus (épargnez moi vos puériles attaques contre les consensus scientifiques, là n’est pas la question), ne fait pas encore l’unanimité, qu’il le fasse.
Je note que malgré mes remarques à ce sujet, vous continuez d’attaquer le messager plutot que le message. « C’est comme ça que la science marche », me dites-vous péremptoirement. Pensez-vous que j’aurais pu mener pendant 33 ans une carrière de professeur -chercheur dans une science « dure » et atteindre le degré de professeur titulaire en ignorant comemnt marche la science? Je n’attaquerai pas l’étudiant de maîtrise en foresterie que vous êtes, mais je remets en question l’assurance avec laquelle vous me dites « Vous n’avez pas besoin de publier sur la rotation de la Terre car d’autres l’ont déjà fait avant vous. » J’ai des p’tites nouvelles Antoine, que vous ignorez peut-être sur la rotation terrestre. La rotation terrestre ralentit, surtout à cause de la friction causée par les marées. Elle est perturbée à chaque séisme de grande magnitude à cause de mouvements de masses à l’intérieur du Globe. En voulez-vous d’autres? on n’a pas fini de publier sur la rotation terrestre Antoine, . ..et c’est plutot comme ça que la science marche!
à Robert vous dites :
‘Je comprend très bien que vous ne compreniez pas mon coté scientifique , genre pragmatique avec les deux pieds sur terre (Cela nécessite une certaine formation scientifique). Cependant, ne vous en faites pas pour ma crédibilité! »
Peut-être que dans votre tête vous vous comprenez vous mêmes. moi pas.
Mais tant qu’à moi, quand quelqu’un prend sciemment le point le plus haut d’une série de points et le point le plus bas et qu’il trace une tendance entre ces deux points. Je ne comprends pas en quoi je devrais comprendre sa science, tout simplement. C’est tellement de base ….
Quand vous vous faites expliquez c’est quoi un modèle climatique par Kevin et que vous tentez de le ridiculiser je ne vois pas ce que votre ‘côté scientifique comme vous dites’ a affaire dans la discussion !!
Et M. Duberger ce n’est pas mieux quand vous utilisez los nino ou los nina … comprenez vous ce que ce sont ces années dans une série de donnés sur la température atmosphérique ?
Pompeusement vous prétendez tout les deux (et Larouche aussi) que si on est pas de votre avis on a pas de côté pratique ou scientifique mais cela sans connaître ma formation et mes expériences de travail… Mais quelle prétention .
Je vous conseil messieurs d’aller lire le site des septiques du Québec sur le RCA et vous allez voir ce que des vrais septiques ont à dire sur le sujet. Des septiques dans le sens noble du sujet, pas juste des septiques qui doutent et qui ne sont pas capables d’analyses.
Pour dire comme le gars, vous avez du front tout le tour de la tête:
Commencez donc par lire mes posts avant d’écrire n’importe quoi. Je vais me répéter:
J’ai utilisé les équations mises en place par le GIEC lui-même pour calculer les changements de température à partir des teneurs en CO2 (C et Co). Quest-ce que vous voulez que je vous dise? Il y a deux variables (Une basse(Co) et l’autre haute (C))…Je ne suis quand même pas pour en créer. Il y a trois équations…Je vous en cite une: Delta t (oC) = 0,8*5,35 Ln(C/Co). Mais prenez le C et Co que vous voulez et vous verrez que ces équations ne fonctionnent pas…Point à la ligne!
Keven n’a jamais expliqué quelque système climatique que ce soit…Il n’a fait que digresser sur le rôle de l’eau dans le climat terrestre mais sans jamais montrer par des calculs ce qu’il avançait!
Que faîtes vous sur le Blog à Duberger Robert? Pourquoi ne pas publier sur le sujet? Faire avancer la science au lieu de perdre votre temps avec des lobotomisés?
Robert, je n’ai « digressé » sur le rôle de l’eau dans le climat terrestre que pour corriger les assertions incomplètes et parfois erronées que vous lanciez sur le sujet.
Concernant les « calculs » qui prouveraient ce que j’avance, voyez mes réponses précédentes concernant ce qu’est une simulation numérique du climat. Vous pensez qu’en gribouillant une seule équation sur Excel, vous expliquerez comment le climat fonctionne et reproduire son comportement. Vous n’utilisez qu’une formule pour le CO2, sans tenir en compte aucun autre phénomène climatique. Je vous dis seulement qu’il y a des centaines d’équations à résoudre simultanément dans un système aux propriétés non-linéaires évidentes comme le climat: il faut un ordinateur pour espérer les résoudre et c’est plus compliqué que votre feuille Excel.
À Antoine Plouffe:
« …Je ne suis pas chimistes et je dois vous avouez que je ne lis pas vos calculs et vos équations sur ce blog et je vais vous expliquer pourquoi… »
Vous auriez intérêt à lire ce que j’écris. Vous apprendriez des choses, entre autre concernant les lois physico-chimiques et thermodynamique de base. Et croyez moi, je n’ai pas besoin de m’appuyer sur une publication pour vous citer le deuxième principe de la thermodynamique (Que le GIEC viole allègrement dans ses explications sur les transferts de chaleur). Je n’ai pas besoin de citer un traité de mathématique avancé et être appuyé par des pairs pour démontrer qu’une équation ne tient pas la route et que si un organisme quelconque l’utilise, il est fichtrement dans le trouble. Vous dites que vous avez un bon background mathématique, c’est très bien, mais…Utilisez le au lieu de citer des titres de revues qui ne nous avancent à rien!
Si vous voulez participer à ce blogue et apporter des idées constructive, commencez par bien comprendre comment ça marche. Mais ne vous en faites pas, tous les principes de climatologie ne sont que les applications des principes physico-chimiques de base. ..En d’autres mots, la climatologie n’est pas une science nouvelle en soi. Ex: Lorsque de l’eau s’évapore, celle-ci absorbe de l’énergie(qu’elle doit prendre quelque part) et vous ne pouvez rien changer à cela…que le phénomène se passe dans l’atmosphère ou simplement dans un laboratoire. Si des rayons IR chaud sont émis par la terre, ceux-ci vont inéluctablement se diriger vers ce qui est froid. Je n’ai pas besoin de lire et d’être appuyé par des pairs pour comprendre cela et en plus, je puis très bien l’expliquer!
Espérant avoir été compris;
Robert
(*): Saprez moi patience avec vos histoires de consensus et de révision par des pairs. Lisez un bon livre portant sur l’histoire de la science et vous allez constater que la science ne s’est pas bâti à coup de consensus…Quel ridicule!
Je reconnais bien là cette nouvelle réalité des médias socio qui donne à n’importe qui la possibilité de s’octroyer une crédibilité sur un sujet ou un autre. Face à ce phénomène, il est important de savoir bien choisir les sources valables de celles qui ne le sont pas. Vous, en l’occurrence, bien que possiblement intelligent et connaissant dans le domaine de la chimie optique, n’êtes pas une source crédible pour parler de climat. Il en existe plusieurs (NATURE, SCIENCE, Environmental Research, L’OMM le GIEC), mais vous les classer toutes comme des grandes conspirations.
Vous rejeter en bloc la méthode scientifique.
Ayez au moins l’honnêteté de le dire: vous ne faîtes pas de la science.
À: Antoine Plouffe
Vous avez, entre autre, écrit:
« Que faîtes vous sur le Blog à Duberger Robert? Pourquoi ne pas publier sur le sujet? Faire avancer la science au lieu de perdre votre temps avec des lobotomisés(**)? »
Le blogue de Monsieur Du Berger est un endroit de discussion comme n’importe lequel autre. Avez vous un problème avec cela? Je participe à d’autres blogues de discussion (List server) entre autre en Fluorescence des rayons-x et en Analyse par ICP.
Vous êtes incapable de discuter à mon niveau…Il est là votre problème. Vous avez commencé par me traiter de « vieux con » pour ensuite m’insulter en utilisant mon âge comme argument. Vous avez même prédit l’imminence de ma mort (Vous auriez du au contraire, profiter de mon expérience). C’est pas fort. Êtes vous si important que pour vous adresser la parole il faille absolument écrire dans la revue « Nature ». En fait, ce que vous aimez ce sont les insipides qui ne disent que des paroles vide de sens comme la majorité des politiciens et surtout qui chantent comme vous. Que faites vous sur ce blogue? Moi je vais vous le dire: Vous pratiquez une religion. Vous êtes un croyant qui devient tout croche à chaque fois qu’un individu remet en question ses dogmes. Alors, vous le renvoyez à votre littérature religieuse ou vous l’insulter.
J’ai cinq fois votre expérience et j’en suis certain pas mal plus de connaissances que vous. Au lieu de rejeter ce que vous ne lisez même pas, profitez-en donc pour vous instruire encore plus. Vous êtes en début de carrière. Je vous donne même un exemple:
Je lisais justement un article (*) portant sur la possibilité que l’acidification des mers par le CO2 ferait quasiment disparaitre le carbonate CO3 –. Alors, les mollusques et autres poissons ne pourraient plus renouveler leur coquillage et ainsi disparaitraient. Ces chercheurs ont même extrapolé leurs calculs jusqu’en 2050 et 2100. Imaginez pour arriver à une telle conclusion ils ont utilisé des mesure de Ph dans les carottes glacières (ont trouvé 8.179 avant la période industrielle puis 8,104 en 1990 et 8,069 en 2014…des Ph à 3 décimales ça n’existe même pas). Soit une différence de 0,075 et 0,11 unité de Ph et ont, à partir de ces valeurs, estimés que le pH serait si bas en 2050 (7,949 et 7.824 en 2100) que les mollusques disparaitraient. Je suis chimiste et j’ai souvent utilisé des pH – mètre. Je puis vous dire qu’un pH-mètre avec une précision de 0,08 unités de Ph n’existe tout simplement pas(Ne m’arrivez pas avec les valeurs des compagnie vendeur de Ph-mètre). Et je ne parle pas de la variabilité produite par l’échantillonnage (qui doit être représentatif) et toutes les possibilités de variabilité qu’il est possible de rencontrer…. Les mers à haute salinité, les eaux calcaires et aussi les eaux acides.. etc. Cet article a été publié par la revue Nature, justement. Vous qui parlez constamment de crédibilité, comment pouvez vous admettre une telle conclusion basée sur des mesures de 1750 (Extrapolées et approximatives), 1990 et 2014 pour extrapoler jusqu’en 2100 lorsque, un gars comme moi sait pertinemment que ces mesures ont une précision de +/- 0,5 …au mieux. Je n’ai rien contre le fait que des chercheurs publient de tels résultats et qu’ils en tirent des conclusions…Je ne suis cependant pas obligé de les acheter et j’ai parfaitement le droit de les dénoncer. Mais, vous, en raison de votre religion, je suis certain qu’ils font votre affaire!
Sans rancune;
Robert
(*): Orr,James C,; et al (2005), Nature;
(**): SVP, essayez de vous retenir…pas très gentils pour vos blogueurs (dont Keven)
Bonjour M. Du Berger, Antoine, Robert, Youppi et tous les blogueurs,
Je trouve instructif de vous lire, parfois même je dirais que c’est amusant. Même si l’environnement est un sujet sérieux, il est bon parfois d’en parler tout en s’amusant « sérieusement« .
Je n’ai aucune études universitaires, encore moins en sciences. Mais j’aimerais vous partager mon point de vue sur ce sujet. Je suis dans la quarantaine et je travaille 35h par semaine dans un domaine que j’aime bien, l’informatique. Une de mes passions? les sciences. Je suis un mordu de la météorologie, la cosmologie, climatologie et j’en passe. Je lis beaucoup sur le net mais je garde bien en vue mon côté critique objectif. Je suis de ceux qui pensent qu’il faut davantage protéger les forêts de la terre, les cours d’eau et l’environnement en général mais je n’embarque pas dans le discours actuel des groupes environnementaux, des organismes de toutes sortes sur l’environnement. Je trouve que des personnes avec énormément de pouvoir dans les 2 dernières décennies, ont créé ce que j’appellerais le Green Stock Exchange (GSE). En d’autres mots, ils ont lancé une spéculation planétaire qui a pris des proportions qui éclipse toute logique scientifique, spéculation qui se monnaye à coups de milliard de milliard de dollard, nul besoin d’une formation scientifique pour s’en rendre compte. Cette Bourse de l’environnement fait en sorte qu’on s’éloigne des vrais débats et plus elle durera, plus elle remplira les poches de ses inhibiteurs. On ne doit pas monnayer l’environnement, on se doit d’être pragmatique et en faire un enjeu terre-à-terre avec l’ensemble des scientifiques de cette planète et de ses habitants « ordinaires« comme moi.
Oui il se passe des choses sur notre planète. Je reste cependant la tête froide dans tout ça et avant de me faire une idée sur une nouvelle aux informations du soir, je me renseigne sur les sources de ce reportage, le financement de ce dernier etc.
Enfin, pour conclure mon opinion, je pense que l’humain joue un très petit rôle dans la modification du climat. Je ne dis pas qu’ils faut polluer et ne pas respecter l’environnement. Ils faut continuer et faire des efforts collectifs afin d’avoir un environnement le plus sain possible pour vivre et que les générations qui suivront puissent en profiter. Je suis d’avis que la terre saura gérer la non maturité de l’espèce et se remettra elle même des accrocs faits par l’homme.
Merci à vous.
Bonjour Éric et bienvenue sur ce blogue. Je partage votre philosophie environnementale. C’est une question d’équilibre. La protection de l’environnement doit nous préoccuper… mais ne pas nous obséder.
@Reynald;
Formidable ce que vous avez écrit sur la rotation de la terre…Je n’étais même pas au courant
Robert
P.S à Antoine: Vous devriez prendre des leçons!
Comme c’est intéressant (Ce beau petit problème de Reynald), ce serait un beau petit problème pour A.Plouffe, Youppi et Keven:
« …petit calcul que j’ai suggéré la semaine dernière à des élèves de sec 5: quelle devrait être la longueur du jour, pour que les habitants des régions équatoriales doivent se cramponner pour ne pas être projetés dans l’espace… »
Avec l’accord de Reynald évidemment?
Robert
P.S: Je promet d’y participer…
Full d’accord – comme disent les jeunes- Robert, ce blogue n’est pas Nature…j’en suis l’initiateur, l’éditeur et le seul membre du « comité de lecture » on peut y faire de la science tout en s’amusant… 🙂 J’apprécie tous vos commentaires … je suis sûr que nos amis Antoine, Keven et Youppi ont vite trouvé la réponse… vous seriez surpris des réponses qu’on me donne en sec 5.
Je vais attendre un peu avant de donner la mienne…Je demanderais cependant aux participants d’écrire les étapes de calcul expliquées?
Robert
Puis-je tenter une réponse?
oui… pourvu qu’elle soit bonne .. 🙂
Vous me mettez de la pression! J’y vais pour 1,4 heures. Notez que j’aurais pu philosophiquement répondre 1 jour (par définition).
À moins que je ne me trompes, un satellite géostationnaire se maintient au même point au dessus de la terre à cause de son altitude et de sa vitesse (gravité terreste annulée)…
Donc, j’imagines que si, à l’équateur et au niveau de la mer, on tournait à 11,2km/sec (vitesse de libération de la terre), on ne pèserait plus rien et on demeurerait au même point… et en accélérant un peu plus, on s’élèverait lentement en décrivant une orbite spirale.
Donc, pour tourner à 11,2 km/sec, il faudrait diviser la circonférence de la terre (40 075,016 km) par 11,2 pour obtenir le nombre de secondes requis pour une rotation complète soit 3578.12643 secondes (ou 59 minutes et des poussières).
Mais à bien y penser, ce calcul risque d’être mauvais puisque la forme de la terre deviendrait beaucoup plus ovale et aplatie… donc la circonférence à l’équateur augmenterait.
Mais à bien y repenser, il serait plus plausible que la terre se désintère !
Ma réponse, 59 minutes et des poussières (tant pis pour le scénario catastrophe) !
N.B. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai tellement l’impression que je vais être recalé ! 😉
Bravo Gilles! tu as été et tu es toujours un de mes anciens élèves brillants… mais Antoine risque de te réclamer des calculs à l’appui.. que Robert huereusement nous fournit… ah! vive la science de la Terre en ce Jour de la Terre.. et tant pis pour les verts qui n’auront jamais rien compris.
M. DuBerger, Question : Pour 1,4h, quand on dit « éjecté », j’imagines que ce n’est pas comme un projectile qui sort d’une fronde mais plutôt comme un astronaute qui s’éloigne très lentement de son vaisseau mère ?
Malheureusement, je dois quitter et je n’ai pas d’ordi…Je dois donc répondre tout de suite;
(Données prises dans WiKi:
R= Rayon de la terre=6378000 mètres
C =Circonférence de la terre=2*3,1416*R=4.074 x 10^7 mètres
G=Constante gravitationnelle=6.674 x 10^-11N.m^2.Kg^-2
m= masse de l’homme (Inutile dans les calculs)
Fatt=Force d’attraction gravitationnelle. (N)
M=Masse de la terre 5.974 x 10^24 Kg
V= Vitesse de rotation tangentielle de la terre.(m/sec)
Le type va être éjecté au moment où la force centrifuge (due à la rotation de la terre) deviendra supérieure à la force d’attraction gravitationnelle.
F(Cent) = m.V^2/R
Fatt = GmM/R^2
Donc: m.V^2/R = GmM/R^2
V^2 = GM/R
V = Racine(GM/R)
Si on remplace et solutionne:
On trouve pour la vitesse de la terre:
V= 7906 m/sec
Donc, le nombre d’heures pour faire un tour sera:( C/(V*3600 sec/hre))
4.0074 x 10^7 /7906.5*3600= 1,41 Heure Il faudra que la terre augmente sa vitesse tangentielle de 17 fois pour que le pauvre type soit éjecté!
La réponse de GH Larouche est donc bonne.
Robert
P.S: Reynald: Je dois partir. Libre à toi d’attendre pour passer mon message pour laisser le temps aux autres de répondre. Je dois partir et je n’ai pas d’Ordi.
P.S: J’espère que je n’ai pas fait d’erreur de calcul…LOL
J’ai gagné! J’ai droit à quoi? Si je peux choisir… Je vais prendre un exposé de Keven sur l’inférence bayésienne quant à la manière dont le GIEC a déterminé son niveau de 95% de confiance.
Et surtout quels étaient les énoncés inférés?
Reynald!
Concernant la foudre en boule sur la caricature de ce billet, comment as tu sus que ça existe?
Je devais avoir 15 ou 16 ans au chalet de mes parents à Ste Brigitte de Laval. On avait souvent des orages violents. Un jour, au beau milieu d’un de ces orages, ma mère a vu une boule de feu entrer par une fenêtre ouverte sur la galerie et sortir par la fenêtre de la salle de bain. Et elle n’est pas du genre à inventer ce genre d’histoire… je regrette de ne pas l’avoir vue. Elle m’a décrit qq chose qui ressemblait à ce qui tourne autour du prof Tournesol. Je crois qu’on a plus de chances de gagner à la loterie que de voir la foudre en boule. Keven pourrait mieux nous inforemer , il étudie en sciences de l’atmosphère.
Mon expérience est à peu près la même que pour toi. C’est arrivé à ma mère. Au début d’un orage estival, alors qu’il faisait très chaud et humide, une boule de feu serait entré par la porte avant de chez nous, et en serait ressorti par la porte arrière en suivant même les courants d’air dans les passages à angle-droit.
M. Du Berger, vous avez dit:
« ce 38 000Gt a été fourré là au fond des océans de façon très très arbitraire par l’ONU… la maman du GIEC.. m’en fout moi réservoir ou échange… ce 38 000 à 40 000 est un « estimé » absolument loufoque, et comme Robert je demande à ces justiciers de nous justifier leurs chiffres avec une méthodologie bien expliquée et éprouvée, et des marges d erreurs bien évaluées, sinon ces estimés sont bons pour la poubelle. »
Sur quoi vous basez-vous pour dire que cet estimé est « absolument loufoque »? Vous devriez vous renseigner avant de lancer en l’air de telles affirmations.
En fait, il existe plusieurs collaborations internationales qui, depuis plusieurs décennies, mesurent et étudient le cycle du carbone dans les océans, comme le Carbon Dioxide Information Analysis Center (CDIAC), affiliée au Department of Energy américain. Pour leurs résultats concernant l’océan profond, je vous réfère à ce résumé de leurs mesures et analyses: « A global ocean carbon climatology: Results from Global Data Analysis Project (GLODAP) », de Key et al. (2004) (http://www.gfdl.noaa.gov/bibliography/related_files/rmk0401.pdf)
Vous y verrez que la méthodologie est expliquée en détail, notamment concernant l’assimilation de données, et que les marges d’erreur y sont présentées de manière rigoureuse. Vous y verrez même les variations régionales qui portent l’empreinte de la circulation thermohaline (circulation à grande échelle de l’eau basée sur les gradients de température et salinité). C’est loin d’être loufoque…
Keven, la méthodologie expliquée dans cet article me ne convainc pas. Pour que cet estimé de 38 000 Gt soit crédible, il faut un inventaire fait avec une méthodologie crédible de tout le volcanisme – cela n’a pas été fait- et aussi , je dirais surtout, un monitoring séparé de tous ces appareils volcaniques, ce qui est pratiquement impossible. Cet estimé est donc loufoque. Et malheureusement ce n’est pas le seul chiffre loufoque qui existe dans les modèles du GIEC. Garbage in, garbage out n’a jamais été aussi vrai que dans ces modèles , en dépit de la puissance des machines qui les génèrent. Si la méthodologie est questionnable, il en va donc de même pour les marges d’erreurs. Et même si on disposait d’un inventaire acceptable, les émissions gazeuses d’un système à un autre sont extrêmement varaiables et pour un même système, les émissions varient considérablement dans le temps. Je tiens entre autres ces informations d’un regretté collègue et ami Erich Dimroth, qui était au moment de son décès en 1985 l’autorité en volcanologie sous-marine. Elsevier lui avait commandé un ouvrage sur ce sujet. Erich était aussi un des rares géoscientifiques qui soutenait la thèse d’une atmosphère oxydante au Précambien, hypothèse largement basée sur ses travaux sur les formations de fer de la Fosse du Labrador, de l’Australie et de l’Afrique du Sud. Cette question est d’ailleurs toujours débattue… comme celle du RCA…
Keven;
À peu près tous les calculs du GIEC sont simplistes. Imaginez, le CO2 dans le fond des océans. Ce n’est pas la première fois que le GIEC commet des hérésies au niveau scientifique. Comme prétendre que les rayons Infra-rouge chaud (entre 4,5 et 40 micromètre) qui, tout naturellement, se dirigent vers la tropopause froide (-56,6 oC) reviennent de la zone froide à la zone chaude en total violation du second principe de la thermodynamique. En passant, il ne manque pas de CO2 dans notre troposphère ce sont juste les équations du GIEC qui ne fonctionnent pas. Imaginez une augmentation de 1990 à 2010 de 0,36 oC mais à +/- 0.4 oC. 0,4, c’est la précision de leur mesures. Une bonne fois, je vais vous calculer des écarts-types et vous mettre la réalité en face (Des coefficients de variation de 100%).
Robert
Je trouve bien rigolo de constater que vous vous donnez des tapes dans le dos pour avoir répondu si promptement à la question de M. Duberger. à GHL et R. Je ne vous enlève pas le mérite d’avoir fourni une réponse juste. Mais si mon souvenir est bon ce genre de calcul était fait dans le cours de physique – mécanique du Cégep que j’ai fréquenté dans les années 1980…
Pour revenir au sujet qui m’intéresse (et principal de ce blogue), je trouve que l’observation de Kevin faites aujourd’hui (24 avril) concernant la complexité des modèles numériques pour expliquer l’évolution du climat est tout à fait approprié.
Et surtout je ne comprends pas votre acharnement Robert à tenter de montrer que le GIEC se trompe sur toute la ligne. Peut-être est-ce du à votre formation de chimiste (laboratoire) ou tout doit être super précis, alors que d’autres sciences comme la biologie ou la météo pour lesquelles les écarts types ou les coéfficients de corrélation pour décrire des phénomènes sont beaucoup moins précis. Mais c’est tout de même acceptés dans ces domaines car il y a plus de facteurs ou de variables en jeux dans les sciences de la nature qu’en science plus du type labo. Je constate les mêmes points dans mon milieu de travail quand je discute avec des ingénieurs en mécaniques ou des ingénieurs en environnement.
Youppi dit « je trouve que l’observation de Kevin faites aujourd’hui (24 avril) concernant la complexité des modèles numériques pour expliquer l’évolution du climat est tout à fait approprié. » Keven ne dit ainsi rien d’original. Relisez mes billets et vous verrez que non seulement j’ai souligné plusieurs fois cette complexité, mais je l’ai associée avec la témérité des modélisateurs qui osent, en dépit de cette complexité, prétendre à la rectitude de leurs modèles, prétendre prédire les températures globales du prochain siècle et surtout, forcer les nations de la Terre à des réductions d’émission de GES aux conséquences graves, tout ça sur la base de modèles faux et d’estimés tout aussi faux. Ils croient comprendre et maîtriser cette complexité qui au contraire leur écahppe. Leurs modèles informatiques sont grossiers, et négligent des paramêtres naturels lesquels de toute façon, ils comprennnent mal. Et il ne suffit pas de dire qu’un système est non linéaire pour en définir la complexité et prétendre la maîtriser. On ne peut pas plus prédire l’évolution du climat que celle du champ géomagnétique. Ces réchauffistes auront toujours le fardeau de la preuve… laquelle reste à faire.
Reynald;
Je vous donne parfaitement raison. Il appartient à ceux qui utilisent ces modèles de prouver qu’ils génèrent de bons résultats. Mais, au delà des modèles, il demeure que tous les phénomènes du climat se calculent d’abord et avant tout avec des équations et que ces équations proviennent toujours de la science fondamentale. Par exemple: L’équation de Planck (Que les climatologues utilisent à profusion) n’a pas été inventée par un climatologue mais bien par un Physicien et celui-ci l’a bâtie au moment où la climatologie n’existait même pas. Aussi, tout ou presque de ce que parlent les climatologues adepte du réchauffement a ses explications à partir de la spectroscopie et pourtant…Personne n’en fait jamais référence. Elles sont où les expériences de laboratoire qui auraient pu simuler la contribution du CO2, de l’eau, du méthane et autre à la dynamique de l’effet de serre. Comme par exemple, démontrer en laboratoire dans des conditions simulant réellement ce qui se passe dans la nature.la contribution réelle du CO2 à l’effet de serre? C’est le temps, Keven. Donnez nous une couple d’articles où des expériences pratiques furent effectuées en laboratoire.
Robert
P.S: Pour ceux qui croient que de la chaleur s’est réfugiée au fond des mers. Laissez moi vous dire que ce n’est pas impossible car le fond de mer est plus froid que la surface et les rayons chauds voyagent toujours du chaud au froid, Cependant, en vertu du deuxième principe de la thermodynamique, cette chaleur ne pourra jamais remonter à la surface, car, à ce moment, elle voyagerait du froid au chaud d’une manière spontanée!
Robert,
Vous dites: « Elles sont où les expériences de laboratoire qui auraient pu simuler la contribution du CO2, de l’eau, du méthane et autre à la dynamique de l’effet de serre. Comme par exemple, démontrer en laboratoire dans des conditions simulant réellement ce qui se passe dans la nature. »
Mais, cher Robert, qu’est-ce que vous chantez la? Ce sont justement les expériences en laboratoire qui sont à la base des modèles radiatifs utilisés dans les modèles climatiques!
L’une des bases de données les plus utilisées est HITRAN (high-resolution transmission molecular absorption database), qui compte à l’heure actuelle 7 400 447 lignes spectrales (vibrationnelles et rotationnelles) pour 47 molécules différentes (et plus de 120 isotopologues), supplémentée par HITEMP pour les lignes de transition de l’eau (114 241 164 transitions, couvrant de 0 à 30000 cm-1), le CO2 (11 193 608 transitions), le CO (113 631 transitions), le NO (115 610) et le OH (41557 transitions). Voyez le site de HITRAN, basé à Harvard, pour plus de détails: http://www.cfa.harvard.edu/hitran/
Dans leurs propres mots:
« HITRAN is an acronym for high-resolution transmission molecular absorption database. HITRAN is a compilation of spectroscopic parameters that a variety of computer codes use to predict and simulate the transmission and emission of light in the atmosphere. The database is a long-running project started by the Air Force Cambridge Research Laboratories (AFCRL) in the late 1960’s in response to the need for detailed knowledge of the infrared properties of the atmosphere. »
Ces paramètres spectroscopiques sont déterminés en laboratoire sous environnement contrôlé (pression, température, etc.). Entre autres, nous avons de tels équipements à l’Université de Toronto et certains de mes collègues travaillent à l’amélioration de cette base de données qui est utilisée dans les modèles radiatifs implantés dans les modèles climatiques.
Vous devriez inclure toutes ces transitions dans votre calcul Excel!
Il est bien facile pour vous (et M. Du Berger aussi) de lancer des énoncés en l’air en utilisant votre formation scientifique pour vous couvrir. Mais ces énoncés démontrent souvent une compréhension mitigée du système climatique, de comment les modèles climatiques fonctionnent et/ou des procédures observationelles employées (comme l’assimilation de données).
Sans rancune,
Keven
P.S.: Vous devriez consulter ceci pour plus d’informations:
Rothman, L.S. et al. (2013). The HITRAN2012 molecular spectroscopic database, Journal of Quantitative Spectroscopy and Radiative Transfer, 130, 4-50. http://www.cfa.harvard.edu/hitran/Download/HITRAN2012.pdf
Rothman, L.S., et al. (2010). HITEMP, the high-temperature molecular spectroscopic database, Journal of Quantitative Spectroscopy and Radiative Transfer, 111(15), 2139-2150. http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S002240731000169X
Voici les réflexions de deux vieilles raclures – donc il ne sont plus « actifs dans le domaine » – discrédités selon les critères de Keven. Antoine le « Naturiste » sera heureux de constater la qualité de l’entrevue du premier vieux fossile, jugée publiable dans Nature. Keven notera aussi la conclusion de Judith Cury qui rejoint les miennes. http://www.pensee-unique.fr/news.html#lov
cliquez sur les liens pour avoir accès à l’original.
« … démontrent souvent une compréhension mitigée du système climatique, » que c’est bien dit!… poliment… toé té vieux, pas « actif dans le domaine » tais-toé!. Non seulement j’admets avoir cette compréhension mitigée, mais je l’affirme avec modestie et humilité. Et vous Keven, votre compréhension du « système climatique » – faudrait me définir ce qu’est le système climatique- est évidemment totale… en dépit de la complexité et de la non-linéarité que vous reconnaissez du bout des lèvres… elle est tellement totale votre compréhension , que le GIEC sur vos affirmations, dogmes, bulles et canons, a établi les nouveaux « commandements de Dieu » … ils sont verts et surtout climatistes.
Monsieur Du Berger,
Je n’emploierais jamais ces termes offensants pour décrire ces scientifiques. Ce sont des propos (« raclures », « vieux fossile ») que vous tenez vous-même. De même, je n’ai jamais prétendu avoir une connaissance totale du climat ou vous avoir dit de vous taire: je vous prierais donc de ne pas m’accorder de tels propos.
Quand je dis « actif dans le domaine », je fais référence aux gens qui sont des spécialistes de ces phénomènes et qui ont publié par rapport à ça de manière plus ou moins récente. Ça ne fait pas référence à l’âge des gens – à titre d’exemple, j’ai déjà mis en lien des articles de James Hansen, scientifique maintenant à la retraite.
C’est sur le contenu que j’accroche. C’est quand je lis des propos dans vos commentaires comme « tout ça sur la base de modèles faux et d’estimés tout aussi faux », puis « [l]eurs modèles informatiques sont grossiers », et ils « négligent des paramêtres naturels lesquels de toute façon, ils comprennnent mal » que je les utilise. En fait, je suis en droit de vous demander sur quoi vous basez ces affirmations incendiaires. Avez-vous seulement regardé comment fonctionnent ces modèles, que vous prétendez grossiers? Savez-vous quels paramètres ils tiennent en compte ou pas, et de quelle façon? Quand on tient de tels propos, il faut soit savoir de quoi on parle, et/ou que l’on se base sur des sources solides. La nature de certains de vos commentaires me permet d’avoir un doute raisonnable sur votre compréhension de ce que ces modèles disent. C’est simplement à vous de les expliquer ou de les supporter, et d’en dissiper le doute, il me semble.
Je n’ai jamais prétendu connaître le système climatique de manière « totale », mais je le connais assez pour savoir que votre affirmation que l’on ne connaît rien à la répartition de carbone dans l’océan est eronnée, tout comme l’affirmation de Robert que les modèles climatiques actuels ne tiennent pas compte des propriétés spectroscopiques des gaz dans l’atmosphère. Ma compréhension est loin d’être complète, et c’est pourquoi je compte aussi sur le travail de mes pairs pour étayer mon discours.
Personne ne connaît le climat de manière « totale », certes, mais personne ne connaît la sismologie de manière « totale » non plus, ce qui n’empêche pas l’existence d’une science riche à ce sujet.
Keven
Keven, je trouve agaçante votre facon, du moins en apparence, de vous indigner de mon vocabulaire caricatural, pas du tout vulgaire ou insultant. Vous ne semblez pas maîtriser la caricature, ni la comprendre. Vous enrobez vos propos dans une langue pompeuse que vous voulez peut-être impeccable. C’est votre affaire, mais je ne l’apprécie pas, et ça ne vous confère aucune crédibilité supplémentaire. Si vous voulez , en utilisant ce style pompeux, donner plus de crédibilité scientifique à vos propos, ça ne marche pas avec moi, je ne sais pas avec les autres. Vous dites que j’ai une compréhension mitigée de etc… donc j’en conclue que la votre est totale… si la mienne est mitigée… ou ben quoi? à moins que ce ne soit pas le bon adjectif?
quant aux modèles et estimés: c’est pas à moi de prouver que c est faux… à vous de prouver que c est vrai. Ya plein de vieilles raclures comme moi qui doutent aussi de ces modèles.
Youppi,
Vous dites : « Je trouve bien rigolo de constater que vous vous donnez des tapes dans le dos pour avoir répondu si promptement à la question de M. Duberger. à GHL et R. Je ne vous enlève pas le mérite d’avoir fourni une réponse juste. Mais si mon souvenir est bon ce genre de calcul était fait dans le cours de physique – mécanique du Cégep que j’ai fréquenté dans les années 1980…
Comment savez-vous que ne avons fourni une réponse juste au problème? Vous voulez nous faire croire que vous avez pu vérifier nos calculs? Ou peut-être avez vous encore vos notes de physique collégiale?
Pour vérifier l’hypothèse de Robert à l’effet que vous n’étiez pas en mesure de le résoudre, dites nous quelle serait la durée de ce jour si les habitants du Québec, au niveau de la mer, à 46,5 degrés de latitude Nord, devaient éprouver la même délestage? En supposant bien sur que la terre est sphérique (même rayon tout autour)…
youppi:
Voulez vous savoir mon impression profonde, ce problème que vous décrivez pompeusement comme un problème de Cégep,…Vous n’étiez pas capable de le faire!
Je vais plutôt vous parler de votre problème de fond. Il est le suivant: Vous n’avez pas appris qu’un programme informatique, ÇA NE RAISONNE PAS, ÇA NE PENSE PAS NON PLUS. Ça fait juste exécuter des codes mis en place par des individus. Le problème principal du GIEC, c’est son manque de rigueur scientifique et sa propension à apporter des réponses loufoques et faciles lorsque ses stupides équations et ses projections ne fonctionnent pas.
Depuis le début que je demande à Keven de me démontrer mathématiquement que le CO2 accapare 30% de l’effet de serre total. Pas avec des mots, mais avec des calculs mathématiques et des preuves en laboratoire. Cette propension que vous avez de constamment dire que ça ne s’explique pas car les programmes de calculs sont trop complexes. Cette manière de faire est vielle comme le monde…Oh c’est tellement compliqué!!!. À chaque fois qu’il vous est posé une objection, vous nous donnez cette réponse que les modèles climatiques et les calculs associés…C’est trop compliqué. Vous nous dites constamment et nous citer des noms de savants renommés qui les ont fabriqués.
Moi, à l’aide d’un spectre IR, je vous ai prouvé que l’apport du CO2 à l’effet de serre total n’était pas de 30% comme le prétend le GIEC. Faites de même: Cette équation, Delta F= a*Ln(C/Co) +b(Racine C- Racine Co). C’est une des trois équations du GIEC utilisée pour le calcul du Forcing du CO2. Expliquez nous (mathématiquement), pas avec des grandes phrases qui n’en finissent plus, comment le GIEC l’a obtenue et pourquoi elle ne marche à toute fin pratique jamais?
a= 4,841 b= 0.0906 Delta F = Forcing
Robert
PS: Je vais vous proposer d’autres problèmes avec des valeurs numériques…J’espère que vous y répondrez.
Robert,
Vous avez raison de dire que thermodynamiquement le froid ne voyage pas vers le chaud mais plutôt l’inverse. Cependant rien n’empêcherait l’eau froide faire surface à la faveur d’ un courant d’eau.
Je sais, ce ne serait pas à moi à soulever ces arguments, mais en toute équité…?
Robert ,
Question spectroscopique!
Est–ce qu’à force d’absorber des IR les GES se satureraient et cesseraient d’en absorber ?
Votre impression profonde Robert à mon sujet : Toujours des attaques mais pas souvent factuelle votre opinion.
Peut-être que je n’avais juste pas le temps de le faire et ni l’intérêt de résoudre cette question de physique cégépienne :). En plus ça me semble hors sujet.
Vous avez beaucoup plus de connaissance en chimie que j’en ai et je ne peux débattre sur votre terrain.
en résumé je ne dis que deux points:
1) Votre modèle est beaucoup trop simple pour représenter la réalité du climat et en débattre.
2) Vous dites que les modèles du Giec sont trop imprécis et ne prouvent rien. mais vous vous pouvez faire des corrélations de tel année à tel année en T et CO2 et nous affirmez qu’il y a eu des baisses de 1998 à aujourd’hui ou de 1940 à 1970. et en plus prendre les années qui font votre affaire. Là je décroche et ma machoire aussi :).
Est-ce que vous remettez en cause l’utilité de la modélisation numérique en climatologie ?
si votre réponse est oui : donc on retourne à l’âge ou les prédictions météos se faisait en regardant l’épaisseur des pelures d’oignons 🙂
Moi je pense qu’en science du climat c’est un incontournable. C’est le meilleur outil pour tenter de comprendre l’évolution du climat.
Youppi et Keven;
Aller donc voir toutes les données de 73 modèles climatiques tels que colligés par le Dr Roy Spencer. Sur son graphique, il compare les fameux modèles avec les mesures réelles telles que mesurées par des ballons et des satellites. Par exemple en 2012, il y a un écart de 400% entre les valeurs d’anomalie moyennes prédites (0,88 oC) et celles réellement mesurées (0,18 oC). Allez voir ce site qui compare les valeurs mesurées (ballons et satellites) avec celles calculées avec vos fameux modèles climatiques et noter LA MONSTRUEUSE DIFFÉRENCE:
Vous avez écrit:
« 1) Votre modèle est beaucoup trop simple pour représenter la réalité du climat et en débattre. »
Réponse-1 La majorité des gens comme vous (pour qui le réchauffement est une religion) croient, à tort, que plus c’est complexe, meilleur c’est. SACHEZ QUE C’EST EXACTEMENT LE CONTRAIRE. Si vous n’êtes pas capable d’expliquer mathématiquement un résultat…Vous avez un problème!
« 2) Vous dites que les modèles du Giec sont trop imprécis et ne prouvent rien. mais vous vous pouvez faire des corrélations de tel année à tel année en T et CO2 et nous affirmez qu’il y a eu des baisses de 1998 à aujourd’hui ou de 1940 à 1970. et en plus prendre les années qui font votre affaire. Là je décroche et ma machoire aussi »
Réponse -2; Vous n’avez qu’à consulter les données et vous allez voir que de 1945 – 1978, le CO2 a augmenté de 33 ppmv. mais la température a baissée. Source:Climate4you dispose de beaucoup de données. Depuis 1998, la température de la troposphère (telle que mesurée par satellite et ballons) est stable mais que le CO2 augmente toujours.
3) »Est-ce que vous remettez en cause l’utilité de la modélisation numérique en climatologie ? »
Les modèles de calcul et de prédiction des données ne fonctionnent tout simplement pas. CE N’EST PAS MOI QUI LE DIT MAIS BIEN LES MESURES QUI LE DÉMONTRENT!
En plus, les équations que le GIEC nous soumet ne fonctionnent pas non plus. Ce ne sont pas mes équations,…. ce sont les leurs!
Robert
P.S: Les modèles climatiques fonctionnent probablement pour du court-terme et pour certaines applications bien spécifiques. Mais ils ne fonctionnent absolument pas pour prédire les futurs écart de température!
Le seul « modèle » qui fonctionne, il est à l’échelle régionale et non globale… et ne projette ses prévisions que sur un jour… et encore… environnement Canada…
Je lance un défi aux réchauffistes, venez débattre avec moi devant une classe de sec 5. Je vous conseille de laisser chez-vous les approches bayésiennes… et « Nature »… et autrees « comités de lecture ».. et « consensus » … les jeunes parlent une langue simple …venez leur parler de science, pas d’idéologie, et vous en avez le devoir car, c’est eux qui paieront pour cette arnaque climatique… comptez sur moi pour le leur dire… Keven a refusé le débat avec moi sur Radio X « trop complexe comme sujet, les gens ne comprendront pas… » dit-il.. ça vous dit le respect et la considération qu’il a pour ses concitoyens qui subventionnent son directeur de thèse grâce auquel il chemine dans un PhD, … ce qui se conçoit bien… sacré Boileau!
Bonjour Monsieur Larouche;
Une réponse longue;
Lorsque l’on parle de transfert d’énergie, nous devons réaliser qu’il y a trois modes de transfert d’énergie.1) par conduction (lorsque de la chaleur est envoyé sur un médium et que celle-ci est transportée d’une extrémité à l’autre par entrechoquement entre les molécules. 2) Par convection (Lorsque la chaleur est transportée par du matériel transporteur. Ex: L’air chaud d’un poêle qui monte et est transportée par différence de densité) 3) Par radiation. C’est le cas qui nous concerne. Ce sont des radiations IR qui transportent la chaleur mais qui doivent être transportés par transitions dans les molécules..
Je vous donne un exemple: Vous avez un tuyau d’un mètre rempli d’air. Vous le chauffer à une extrémité et le tenez par le centre. Graduellement, vous sentez la chaleur vous atteindre… C’est de la conduction. Soudainement, vous saisissez le tuyau rempli d’air et par un ventilateur vous faites circuler cette air dans le tuyau, vous sentez la chaleur atteindre votre main par transport de l’air chaud…C’est de la convection. Puis, vous ne touchez plus au tuyau mais tout en le chauffant à une extrémité, vous approchez votre main sans y toucher. Vous sentez la chaleur arriver sur votre main…C’est de la radiation.
Beaucoup de scientifique remettent en cause l’unique mode de transmission que le GIEC considère c’est-à-dire la radiation. Les climatologues font totalement abstraction des autres modes. Pourtant, il y en a d’autres modes. Les molécules d’azote et d’oxygène captent de la chaleur en augmentant leurs modes de translation, c’est-à-dire voyagent plus vite (Il y a certainement un peu de chaleur émise par la terre et qui n’est pas captée par l’eau ou le CO2 mais est captée en augmentant la vitesse de N2 et O2). Prenez un tube rempli d’azote pure et chauffez le par une extrémité et la chaleur va se transporter d’une extrémité à l’autre pourtant, l’azote n’absorbe pas dans l’infra rouge.
Pour répondre à votre question, je dirais que oui mais c’est très haut (L’eau est limitée car elle se condense). Noter qu’il y a cette fameuse opacité aux rayons IR lorsque le CO2 augmente?? Mais prenez un volume d’air à 27 oC et 1 atm de pression contenant 30000 ppmv d’H2O et 385 ppmv de CO2 (Les deux ont à peu près la même absorptivité molaire). C’est évident que si l’on ajoute du CO2 jusqu’à 30000 ppmv (ce qui est possible en théorie et en laboratoire),
la capacité de capter de la chaleur par radiation sera de beaucoup augmentée. Mais, il faut aussi penser à la façon dont cette chaleur est dispersée. Elle est beaucoup dispersée en s’entrechoquant avec d’autres molécules plus froides ou non excités. Il faut aussi réaliser comment les climatologues mesurent l’effet de serre:
1) Ils calculent l’émission thermique de la terre à l’aide de l’équation de Planck et en y apportant certaines corrections, ils calculent les IR totaux émis. C’est exprimé en Watt/m^2
2) Ils vont dans la tropopause (12 Km à -56 oC) et mesurent à diverses bandes de longueur d’onde l’intensité des IR qui n’ont pas été captés par l’atmosphère terrestre ie qui ont réussi à s’échapper.
3) La différence entre ce qui est émis par la terre et ce qui arrive à atteindre la tropopause c’est l’effet de serre. Il semble que plus la concentration en CO2 augmente, et plus la troposphère devient opaque aux IR??
De ces trois étapes, aucune place pour les autres modes de transmission d’énergie. C’est peut-être caché dans leur gros programme informatique…Qui a réponse a tout?
Mon gros bémol, c’est que le GIEC ne parle jamais de spectroscopie et d’autres modes de transmission d’énergie. Je pense que je n’ai jamais vu de leur part, ne serais-ce qu’un spectre IR de quelques échantillons d’air. Ils sont toujours poignés avec leur fichu modèle climatique!
Mais, vous savez, lorsque l’on vous dit que vous détenez la vérité et que vous n’avez jamais à le prouver!
Espérant vous avoir bien répondu;
Robert
Cher Robert,
Au premier paragraphe de votre réponse vous n’auriez pas interverti les descriptions de conduction et convection?
M. Larouche:
Non, mes définitions sont correcte:
Conduction: Les molécules reçoivent de la chaleur à une extrémité et se mettent à vibrer et si c’est un gaz, à se déplacer plus vite et à avoir plus de collisions avec des molécules plus froide. C’est par collisions entre les molécules que la chaleur s’échange et se transporte. C’est de la conduction.
Convection: Vous avez des molécules chaudes et vous faites en sorte qu’un ventilateur transporte les molécules qui véhiculent la chaleur.
Conduction: Par collision intermoléculaire
Convection: C’est toute la matière qui se déplace. Cela peut se faire par différence de densité (L’air chaud qui monte au dessus de l’air froid).
Si j’ai donné cet exemple, c’est pour démontrer que ceux qui effectuent des calculs dans le domaine (GIEC et autres…) ne tiennent compte que du transfert de chaleur par radiation. Pourtant, il existe d’autres modes de transport de chaleur.
Espérant vous avoir bien répondu;
Robert
à GHL : Vous c’est démontré que vos connaissances en transfert de chaleur sont limités… 🙂
Quand à votre question sur la vitesse d’éjection à notre lattitude, je suis encore à me questionner si je vais dépenser de l’énergie pour une question si théorique ? Surtout que vous cherchez la plupart du temps à tendre des pièges dans vos questions…
Monsieur Larouche:
« Vous avez raison de dire que thermodynamiquement le froid ne voyage pas vers le chaud mais plutôt l’inverse. Cependant rien n’empêcherait l’eau froide faire surface à la faveur d’ un courant d’eau. »
Oui, mais, certainement pas à grande échelle. Je ne suis pas spécialiste en courant marins mais je pense que si un tel phénomène se produisait, celui-ci serait très rare. Je sais qu’il existe des courants marins chaud en surface qui se déplacent constamment. Mais, je pense que cela ferait tout un bouleversement si la majorité de l’eau froide du fond des océans se retrouvait soudainement à la surface. !!! Peut-être que Reynald pourrait peut-être répondre à cette question mieux que moi!
Robert
C’est pas qu’ils appellent La Nina?
Je sais ce qu’est Hitran. C’est une énorme base de donnée qui contient toutes les transitions spectrale et autres imaginables.
« … le CO2 (11 193 608 transitions)… »
C’est drôle, il n’y en a que trois qui ont une utilité quelconque. 4,26 um et 15,0 um (Deux bandes dégénérées et les seules utilisées par les climatologues (Du moins dans leur rapports)). Les autres bandes du CO2 ont plusieurs origines, (Harmoniques, bandes de combinaison etc…). Ces transitions bien qu’intéressantes pour certains chercheurs sont de peu d’utilité car souvent trop faibles|
Vous m’avez mal compris. Je vous parle d’expérimentation en laboratoire avec les montages simulant la composition de l’atmosphère terrestre (à titre d’exemple) et aussi par l’utilisation de spectromètre Infra-rouge (Transformé de Fourier, longueur d’onde…). Autrement dit, quest-ce qui arrive lorsque l’on fait varier certains paramètres. Faire des recherches pour, entre autre, prouver mathématiquement, et par l’utilisation des lois de base de la chimie et de la physique, que le CO2 terrestre compte bien pour 30% de l’effet de serre, car, si je fait certains calculs à partir de spectres IR contenant des échantillons d’air, ce n’est pas du tout le cas.(*) Einstein a démontré par des expériences que son équation E= MC^2 était valable. Il n’a pas demandé de le croire sur parole.
(*) Je comprend que vous allez me parler de Forcing et de Feed Back. Ces deux notions, n’ont finalement rien a voir avec le fait que l’eau est une montagne à coté du CO2.
Merci de me lire;
Robert
Keven;
Lâche tes transitions entre deux orbitales anti-lyantes et lis ceci:
J’ose espérer que certains vont se souvenir du spectre Infra-Rouge fourni par Joel-Kauffman. Si vous vous souvenez bien, j’avais digitalisé ce spectre pour être en mesure de mesurer les surfaces des deux bandes. Je me souviens que j’avais obtenu le rapport de surface suivant:
((Surface de la bande d’eau à 6.70 um)/(Surface de la bande de CO2 à 15 um)) = 76
J’ai calculé le libre parcourt moyen du CO2 à 27 oC et 1 atm de pression (385 ppm de CO2 et 29500 ppm de vapeur d’eau). Mes calculs m’ont donné:
Libre parcourt moyen (CO2) = 226 000 nanomètres
Libre parcourt moyen (H2O) = 2922 nanomètres
Faites le rapport (CO2)/(H2O) = 226 000/2922 = 77
Def: Le libre parcourt moyen, c’est la distance moyenne parcouru par une molécule de gaz entre deux collisions. C’est donc un reflet de la distance moyenne entre les molécules de gaz. Ce rapport (77) démontre que dans cet échantillon de gaz il est possible de placer 77 molécules d’eau entre deux molécules de CO2 (*). Vous ne trouvez pas que ce 77 est proche du 76 donné plus haut?
Spectre de Kauffman: Voir fig-7
Cliquer pour accéder à jse_21_4_kauffman.pdf
(*) C’est intéressant, cela nous fait voir les distances réelles entre les molécules.
Robert
Keven;
« Ces paramètres spectroscopiques sont déterminés en laboratoire sous environnement contrôlé (pression, température, etc.). Entre autres, nous avons de tels équipements à l’Université de Toronto et certains de mes collègues travaillent à l’amélioration de cette base de données qui est utilisée dans les modèles radiatifs implantés dans les modèles climatiques. »
Mais, parlez nous-en donc. Montrez nous des données et comment vous faites vos calculs?
Robert
Keven;
Je lisais ce que vous avez écrit à Reynald et je n’ai pas pu faire autrement que de sursauter;
« … Avez-vous seulement regardé comment fonctionnent ces modèles, que vous prétendez grossiers? Savez-vous quels paramètres ils tiennent en compte ou pas, et de quelle façon? »
Bon Dieu, démontrez nous comment ils fonctionnent vos fichu modèles? Mais ce n’est pas ce que vous faites. À la place, vous nous méprisez sous prétexte que nous sommes plus vieux que vous et que nous n’avons pas le titre de climatologue.
Mon opinion personnelle, je l’ai déjà dit, est que ce n’est pas le modèle (lire programme informatique) qui fait l’homme mais ce qu’il a dans la tête!
Sans rancune;
Robert
Keven ne peut démontrer comment ils fonctionnent justement parce qu’ils ne fonctionnent pas. Pas besoin d’être vieux climatologue inactif pour voir que ces modèles ne sont pas validés par les observations… donc en langue simple, claire, mais vulgaire, ça marche pas leur affaire. On est tous d’accord et ça les embête (je choisis mes mots… ) Et Keven n’a toujours donné aucune justification à ces chiffres de 95% et 97% magiques.
Le Dr Roy Spencer a réuni dans un graphique, 73 modèles pour les comparer à la réalité…

AUCUN de ces modèles n’a réussi à s’accorder à la réalité et à chaque année qui passe, l’ÉCART SE CREUSE !
Je crois qu’il faudra encore 15 à 20 ans de ce régime d’écart grandissant entre modèles et observations avant d’écarter définitivement le RCA. Mais le mal est déjà fait… Avoir erré 50 ans sur la tectonique des plaques n’a eu que des conséquences scientifiques. Quelle catastrophe socio-économique aura été ce RCA !
Robert,
Vous voulez dire que si l’homme qui a fait le modèle n’a pas de réponse, alors le modèle n’en aura pas plus?
M. Larouche
Les modèles (moyenne) s’écartent considérablement des mesures réelles de température. Ex: en 2012 le modèle prédit 0,88 oC et la réalités mesurée est = 0,18.(400% d’écart)…Calculé selon la courbe noire de Roy Spencer. Cet écart grandit toujours. Imaginez ce qu’il sera en 2014!
Robert, Normand et Reynald, prenez le temps d’observer le graphique de Roy Spencer avant de le prendre pour du cash.
Premièrement, spécifions qu’il s’agit d’un graphique qui n’est valide que pour le milieu de la troposphère entre 20 degrés S et 20 degrés N, et non pas pour l’ensemble de la planète.
Maintenant, plus important: AUCUNE incertitude n’est présentée sur le graphique (M. Du Berger, que faites-vous à ne pas vous indigner de la chose?).
Une fois que les incertitudes sont correctement prises en charge, voyez ce que ça donne: ‘It is concluded that there is no reasonable evidence of a fundamental disagreement between tropospheric temperature trends from models and observations when uncertainties in both are treated comprehensively’ (Thorne et al., Wiley Interdisciplinary Reviews (2010) – http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/wcc.80/abstract). D’ailleurs, vous devez savoir que les données qu’il a utilisées sont très controversées et difficiles à calibrer (la base de données de Spencer (UAH) a été identifiée comme étant problématique à quelques reprises – en passant, pourquoi n’utilise-t-il qu’une mince sélection de bases de données? Lesquelles?).
Donc, un travail typique de « climato-sceptique ». On tourne les coins ronds, on tente de jeter de la poudre aux yeux, et le sens critique prend le bord! Deux poids, deux mesures!
Keven
P.S.: Je couvrirai vos autres points demain.
En 1974, Richard Feynman prononça, à Caltech, un discours de rentrée académique célèbre intitulé « Cargo cult science » pour mettre en garde contre la science approximative.
40 ans plus tard, ça m’apparait plus d’actualités que jamais !
Quelques extraits
« …We’ve learned from experience that the truth will come out. Other experimenters will repeat your experiment and find out whether you were wrong or right. Nature’s phenomena will agree or they’ll disagree with your theory. And, although you may gain some temporary fame and excitement, you will not gain a good reputation as a scientist if you haven’t tried to be very careful in this kind of work… »
« …if you don’t publish such a result, it seems to me you’re not giving scientific advice. You’re being used. If your answer happens to come out in the direction the government or the politicians like, they can use it as an argument in their favor; if it comes out the other way, they don’t publish it at all… »
« …I have just one wish for you — the good luck to be somewhere where you are free to maintain the kind of integrity I have described, and where you do not feel forced by a need to maintain your position in the organization, or financial support, or so on, to lose your integrity… »
http://www.brainpickings.org/index.php/2012/06/08/richard-feynman-caltech-cargo-cult-science/
Keven;
28 Avril 2014
Vous êtes impayable. S’il existe un organisme qui ne tient compte d’aucune précision lorsqu’il utilise ses données, c’est bien le GIEC.
Et voilà que vous utilisez mes arguments pour rejeter l’analyse du Dr Spencer (sommité dans le domaine de la climatologie).(*)
Comme à mon habitude, j’ai digitalisé les données du Dr Spencer en traçant une verticale pour l’année 2012. J’ai calculé la moyenne d’une cinquantaine de valeurs d’anomalie, distribuées également, ainsi que l’écart-type. J’ai alors trouvé:
Domaine: 50 valeurs qui varient de 0.36 – 1.59 oC. Pour une moyenne de 0.87 oC et un écart-type de 0.32. Écart-type sur la moyenne = 0.32/Racine(50) = 0.045 oC. Ces calculs statistiques démontrent très bien que la ligne noire représente une excellente moyenne.
Ce qui donne comme erreur: 0,87 +/-0.05 …Ce qui est excellent .Dois-je vous rappeler que la valeur mesurée par 2 satellites et 4 ballons donne une anomalie 0.18 oC. Pour un écart de 400%. (0,87-0,18 = 0.69 oC…Tout un écart)(**)
De toute façons, la réalité est en train de rattraper cette gang de fumistes (16 ans sans augmentation de température pour une augmentation de 34 ppmv en CO2)
Robert
(*) Merci à Normand pour les valeurs qu’il m’a fournie!
(**) En parlant d’erreur: Imaginez ce que cela donne si le GIEC n’utilise qu’un seul modèle (tout croche)…Au moins avec une moyenne de 73 modèles, ça nous indique que la modélisation n’est tout simplement pas valable pour de si longues projections.
Keven;
Vous avez écrit:
« Une fois que les incertitudes sont correctement prises en charge, voyez ce que ça donne: ‘It is concluded that there is no reasonable evidence of a fundamental disagreement between tropospheric temperature trends from models and observations when uncertainties in both are treated comprehensively’ »
Vous êtes capable de prendre en charge des incertitudes (erreurs aléatoires)…Vous? Justement, le fait de faire une moyenne de 73 valeurs (pour une année donnée) donne du poids à cette moyenne et fait ressortir l’écart d’avec les mesures réelles. La moyenne est bonne de même que son incertitude (S (Moyenne)=S/Racine(N)). Par contre si vous calculez l’écart-type sur une seule valeur, le sigma devient alors très grand (S=0,32). L’erreur sur une seule valeur ( à 2 sigma) pourra être, pour une valeur choisie de 0.80 +/- 0.64 donc très imprécis! (Si le GIEC a pris une seule valeur?)
Est-ce que ces auteurs ont réellement inspecté les valeurs de Roy Spencer?
Robert
Keven;
De votre article:
‘It is concluded that there is no reasonable evidence of a fundamental disagreement between tropospheric temperature trends from models and observations … »
Des écarts de 400% y trouvent que c’est normal??? Cibol!
Voici des exemples à partir de données prises sur le graphique du Dr Spencer. C’est la moyenne des 73 modèles. (Ligne noire)
Année( Réalité – Moyenne Modèles)
1986 (-0.04 – 0.14)
1992 (-0,01 – 0.28)
1996 (0.18 – 0.30)
2000 (0.11- 0.52)
2007 (0.16 – 0.78)
2009 (0.15 – 0.83)
2012 (0.18 – 0.88)
À chaque fois que des individus sortent des arguments solides contre ces sacro-saints modèles il s’en trouve toujours pour carrément nous prendre pour des imbéciles!
Robert
Keven;
Vous avez écrit:
« Premièrement, spécifions qu’il s’agit d’un graphique qui n’est valide que pour le milieu de la troposphère entre 20 degrés S et 20 degrés N, et non pas pour l’ensemble de la planète. »
L’histoire de prendre des moyennes pour la planète entière, il est justement là votre problème…Pensez vous que la teneur en CO2 est la même au dessus du pole nord qu’au dessus de Los Angeles?
(*) Si les données du Dr Spencer furent prise au même endroit, il n’y a pas de problème… Le gars a surement du effectuer un travail professionnel…Il a du choisir des conditions et localisations qui matchent avec ses données?
Robert
Youppi,
« à GHL : Vous c’est démontré que vos connaissances en transfert de chaleur sont limités… 🙂
Quand à votre question sur la vitesse d’éjection à notre lattitude, je suis encore à me questionner si je vais dépenser de l’énergie pour une question si théorique ? Surtout que vous cherchez la plupart du temps à tendre des pièges dans vos questions… »
Oui et je ne m’en cache pas. Contrairement à vous qui refusez de répondre. Sous prétexte que vous soupçonnez des pièges.
Vous n’admettrez même pas que vous êtes incapable de répondre à la question… pouvez vous au moins nous dire si le jour sera plus long ou plus court au Québec? Vous avez 1 chance sur deux (pile ou face?) Consultez vos notes de collège. Allons…
Çà ne prendra que le temps de le raisonner et de l’écrire… 5 minutes quoi! Pas plus que vous n’en perdez à me lancer des pointes. En fait vous devriez déjà avoir la réponse depuis que j’ai simplifié la question à plus long ou plus court.
À Robert,
Vous sur la « Conduction: Les molécules reçoivent de la chaleur à une extrémité et se mettent à vibrer et si c’est un gaz, à se déplacer plus vite et à avoir plus de collisions avec des molécules plus froide. C’est par collisions entre les molécules que la chaleur s’échange et se transporte. C’est de la conduction. »
Wiki sur « La conduction thermique (ou diffusion thermique) est un mode de transfert thermique provoqué par une différence de température entre deux régions d’un même milieu, ou entre deux milieux en contact, et se réalisant sans déplacement global de matière1 (à l’échelle macroscopique) par opposition à la convection qui est un autre transfert thermique. Elle peut s’interpréter comme la transmission de proche en proche de l’agitation thermique : un atome (ou une molécule) cède une partie de son énergie cinétique à l’atome voisin.
Comment concilier ces deux définitions? Conduction = sans déplacement.
À : G. H. Larouche dit :
29 avril 2014 à 1:36
Bonjour;
Votre définition est Ok et la même que la mienne. Dans la convection, le gaz doit se déplacer. Ex: De l’air chaud qui monte car moins dense que l’air froid. …Transport de matière.
Une fois que l’air chaud est au « plafond » il demeure une couche d’air froid au niveau du sol Vous pourriez très bien le voir avec un thermomètre. Cependant, les molécules chaude viendront tôt ou tard à avoir des collisions avec les molécules d’air froid d’en bas (parce que la chaleur voyage toujours du chaud au froid). Elles vont donc leur communiquer de la chaleur par collision. C’est de la conduction.(*)
Pourquoi est-ce que les réchauffistes ne parlent jamais de ces modes de transport de chaleur. Comme scientifique, je sais très bien que les molécules d’air (Oxygène et azote) reçoivent de la chaleur de la terre, des édifices, des automobiles, des humains etc …La chaleur se propage par conduction et aussi par convection (différence de densité). Faites un feu de camp et vous aurez alors les trois modes de transport de la chaleur dégagée. Sans mettre votre main dans les flammes, vous sentez quand même la chaleur sur votre corps (C’est le transport par radiation IR). Les molécules d’O2 et de N2 reçoivent aussi de la chaleur et se mettent alors à voyager plus vite et la distance entre elles augmente ce qui produit une diminution de la densité Cette baisse de densité provoque une montée d’air chaud. (C’est de la convection). Les molécules chaudes d’air peuvent aussi frapper des molécules d’air plus froides et communiquer ainsi leur énergie (Conduction). Le GIEC ne parle que de ce foutu CO2. Je n’en reviens pas comment les climatologues ne raisonnent pas comme des chimistes, des physiciens ou même des géologues! À chaque fois que J’ai parlé avec un climatologue, je n’ai jamais pu avoir ne serais-ce que le début du commencement d’une explication. Pourquoi le CO2 compte (d’après eux) pour 30% de l’effet de serre?
Si vous chauffez une pièce avec un calorifère à l’eau chaude, le mode de transport par radiation doit être faible comparé aux deux autres modes. Pourtant, la chaleur se propage quand même.
(*) Si nous avions qu’un seul mode de transport, il serait impossible de chauffer une pièce avec une source de chaleur. Pour cette raison, il faut dire: L’AIR CHAUD MONTE MAIS LA CHALEUR DESCEND…Contrairement à l’expression populaire! Ne pas oublier que O2 et N2 ne captent pas de rayons infra-rouge (Par changement des modes de vibration). Ils transportent leur énergie en augmentant leur énergie cinétique…..Alors!
Espérant avoir bien répondu;
Robert
C’est toujours un plaisir de vous lire. Monsieur!
Robert,
Vous n’avez toujours pas vu ce dont je parle. Les données observationnelles de Roy Spencer dans le graphique que Normand a mis en lien n’ont aucune incertitude! Ses points bleus et verts n’ont aucune erreur! Ou est donc cette apparence de souci pour les incertitudes que Reynald ne cesse de mentionner? Deux poids, deux mesures!
Vous dites:
« L’histoire de prendre des moyennes pour la planète entière, il est justement là votre problème…Pensez vous que la teneur en CO2 est la même au dessus du pole nord qu’au dessus de Los Angeles? »
Non, mais ca n’a pas rapport. Bien que la concentration de CO2 varie légèrement d’endroit en endroit sur la planète à cause du cycle des saisons (il y a plus de variations dans l’hémisphère nord, car plus de terre ferme et plus de végétation – http://www.esrl.noaa.gov/gmd/ccgg/figures/co2_surface_color.png), il reste que le climat est un système global qui redistribue la chaleur parmi ses composantes, et que vous devez considérer le climat dans son entier si vous voulez parler de présence ou absence de réchauffement.
Et puis vous vous lancez sur un discours sur la convection et la conduction, en disant des trucs comme: « Pourquoi est-ce que les réchauffistes ne parlent jamais de ces modes de transport de chaleur » et « Le GIEC ne parle que de ce foutu CO2. »
Qu’est-ce que vous chantez là? Bien sûr que la convection et la diffusion (c’est ainsi qu’on appelle la conduction pour les gaz et les liquides) sont inclus dans les modèles, et ce depuis les années 70! Ce sont des éléments cruciaux du système climatique, autant dans les océans que dans l’atmosphère! Avant de lancer de telles choses, assurez-vous de savoir comment ces modèles fonctionnent! À titre d’exemple, voici la documentation de l’un de ces modèles, celui du National Center for Atmospheric Research (NCAR) américain, basé à Boulder (CO), pour son avant-dernière génération (CCSM4.0), l’un des modèles dont les résultats sont discutés par le GIEC dans le AR4 en 2007. Notez en particulier les sections sur la spectroscopie, la convection et la diffusion (conduction).
La composante atmosphérique du modèle (voyez les sections sur la convection en pages 87-101, sur la radiation en pages 116-156, et sur la diffusion en pages 163-175):
http://www.cesm.ucar.edu/models/ccsm4.0/cam/docs/description/cam4_desc.pdf
La composante océanique du modèle:
http://www.cesm.ucar.edu/models/ccsm4.0/pop/doc/sci/POPRefManual.pdf
Le composante de surface du modèle:
http://www.cesm.ucar.edu/models/ccsm4.0/clm/CLM4_Tech_Note.pdf
La composante de glace de mer:
Cliquer pour accéder à cicedoc.pdf
Tous ces modules sont interactifs et communiquent entre eux les changements du système et les transferts de chaleur, masse et momentum.
Bonne lecture.
Keven
P.S.: Vous dites: « Je n’en reviens pas comment les climatologues ne raisonnent pas comme des chimistes, des physiciens ou même des géologues! » Ceux que vous appelez des ‘climatologues’ SONT des physiciens, des chimistes et des géologues!
Keven..j ai pas tout lu… mais me suis arrêté à « les données observationnelles » … assez… n’en jetez plus… vous auriez été mon élève, ne fut-ce qu’un semestre.. Keven, » Les données observationnelles!!! » franchement.. un de mes élèves au Msc ou Phd m’aurait pondu ça… je l’aurais rabroué avec « les observations » … pourquoi pas simplement les observations? oui je sais… ces observations, elles ne collent pas à vos modèles… pas besoin de les déguiser ou les enrober en « données observationnelles » et… bonne nouvelle pour vous réchauffistes… ya un El Nino de 2014 qui s’en vient… et qui va redresser votre courbe autrement misérable et chancelante… chanceux va! mais attention.. comme ya pas long… comme disent les jeunes, une La Nna va suivre votre petit intermède… stay tuned.
« Tous ces modules sont interactifs et communiquent entre eux les changements du système et les transferts de chaleur, masse et momentum. »
Keven, faut venir nous expliquer tout ça, à nous les « inactifs dans le domaine »
et surtout d’abord prouver l’existence de ces « modules » qui sont « interactifs » et qui « communiquent » …
chers amis sceptiques… nous ne sommes pas partie de ces modules et donc sommes exclus de la communication . Dommage… Nous n’avons rien compris…
@Reynald:
Par module, je fais référence à des modules informatiques, des programmes si vous voulez. Ces programmes existent (!) et constituent le coeur des modèles climatiques.
Par communication, je fais référence à la communication entre chaque module des modèles climatiques (océans, atmosphère, surface terrestre, glace de mer), i.e. les modèles climatiques modernes sont « couplés ». Chaque module (programme) calcule l’évolution des paramètres physiques importants (pression, température, humidité relative, et bien plus encore dépendamment de s’il s’agit de l’océan, de l’atmosphère, de la glace de mer ou de la terre ferme) à l’aide d’équations de base à chaque point sur sa grille à chaque pas de temps, mais doit aussi calculer les interactions qui se passent aux interfaces – notamment, les interfaces entre l’atmosphère et la surface (terre ferme et océans) sont cruciaux.
Il y a des échanges de chaleur, masse, d’humidité et de momentum entre chacune d’elles, qui doivent être prises en compte pour que le système respecte les lois physiques de conservation. Ceci doit être assuré à chaque pas de temps modélisé (combien de chaleur, d’eau et de momentum passe d’un à l’autre), et cela est fait au moyen d’un coupleur. Pour celui utilisé par le modèle du NCAR, qui s’appelle le CSM Flux Coupler, voir: http://www.cesm.ucar.edu/models/cpl/
@ Kevin,
En réponse à Robert, vous dites : « …le climat est un système global qui redistribue la chaleur parmi ses composantes, et que vous devez considérer le climat dans son entier si vous voulez parler de présence ou absence de réchauffement… »
À la page 41 du dernier rapport AR5 du GIEC, il ont glissé cette phrase fort importante à propos des « observations » tout court…
« Regardless, ALL GLOBAL combined land and sea surface temperature datasets exhibit a statistically nonsignificant warming trend over 1998–2012 » !
Donc, si on superpose les données du GIEC au graphique des 73 modèles compilés par le Dr Roy Spencer, on obtiendra le même résultat… des prévisions de réchauffement que les observations infirment et un écart qui se creuse !
Si les modèles du GIEC ne sont pas validés par les observations satellitaires ou par ballons sondes, il ne sont pas non plus calibrés. Pour la calibration adéquate , il faudrait disposer pour les époques post-proxies, de données thermométriques en nombre et qualité suffisantes. Or, de quoi dispose-t-on ? 70% de la surface, c’est de la mer. On n’a que les routes des bateaux, qui sont toujours les mêmes, aucun bateau ne zig-zague. De temps en temps, le capitaine lance un seau à la mer et consigne la T à + ou – 1 ou 2 C… il s arrête dans des ports au bon rhum… et poursuit sa route… quelle est la valeur de ces mesures? surtout si le capitaine s’appelle Morgan? on extrapole ces mesures sur une grille de x degrés par x degrés et on prétend avoir une idée des températures globales sur toute la terre à l’époque entre proxies et satellites… Voilà pourquoi ces modèles ne sont pas calibrés. Donc ni validés ni calibrés.
Merci Robert pour le petit cours 101 sur les trois modes de transport de la chaleur. Je suis un passionné de météo et on discute souvent (en été surtout) sur des forums de la convection.
à GHL: ça s’en vient je devrais avoir plus de temps en fds prochaine.
à GHL : Je me suis fait un petit fichier excel. Je change la lattitude et je calcul les forces d’attraction terrestre (toujours la même peu importe la lattitude), les forces centrifuges (variable selon la lattitude), et aussi la vitesse et le rayon terrestre selon la lattitude. mais il faut aussi ajouter des composantes d’angles. C’est du calcul vectoriel comme en math 105 (cégep). Mais c’est aussi du calcul comme en mécanique statique et en mécanique dynamique. Je me suis basé sur les équations de Robert… je n’ai pas vérifié les équations de Robert par rapport à mes livres. Je crois que mon fichier est exacte, mais bon je ne me proclame pas spécialiste de la question. Je fais juste limiter le cadre de mon intervention
pour une lattitude différente de l’équateur cette équation est modifié
V^2/R = GmM/R^2
car le rayon de la force centrifuge n’est pas le même (distance entre l’axe central autour de laquelle la terre tourne et le point ou l’humain se trouve) que le rayon de la force d’attraction (distance entre centre terrestre et point ou l’humain se trouve à 46,5 lattitude)…. ce serait beaucoup plus facile à expliquer avec un dessin…
Et dans l’équation pour le calcul de la vitesse il faut prendre le rayon à la lattitude de 46,5 (je crois)
C =Circonférence de la terre=2*3,1416*R=4.074 x 10^7 mètres
finalement la force centrifuge diminue au fur et à mesure que la lattitude augmente
Donc il me semble que ce sera toujours 1,41 jours peu importe la lattitude (sauf à 90 dég. au pôle ?? ou il n’y aurait que la force d’attraction qui agirait : mais en même temps je me dis comment est-ce possible pour un humain de rester exactement sur ce point fixe ?)
Mais toute cette discussion est bien théorique…..
Bonsoir. Je constate que personne n’ a démenti l’ hypothèse à l’ effet que la plogue ait été tirée à votre égard, M. Du Berger.
M. Pat, vous êtes le seul à avoir pensé cela… téléphonez ou facebookez à Dany Houle, il vous dira que personne ne ma « tiré de plogue »… et qu’il aurait bien aimé quwe je rest son collaborateur… non mais qui êtes vous pour oser ainsi me soupçonner d’avoir été déplogué? seriez-vous jaloux perce qu’aun média ne vous sollicite? je suis régulièrement sollicité par CIQI FM, Mario Dumont et Paul Houde.. et TVA et LCN et même radio-can… et vous?
Bonsoir Reynald;
Voila tu pas que nos bons réchauffistes sont reparti avec ces foutus glacier qui fondent à vue d’œil et qui vont faire remonter les océans et engloutir des milliards de kilomètres carrés de terre. En raison de ma fichue habitude de constamment calculer, voila que j’ai fait de petits calculs en partant avec ce qui est écrit dans l’actualité: http://actualites.ca.msn.com/les-actualites-scientifiques-du-mois-de-mai.
Ces bonzes qui semblent ne pas savoir compter nous ont lâché que les glaciers fondaient à un abominable 22 Kilomètres cubes par année. Après une courte recherche dans la source suivante:
http://hypertextbook.com/facts/2001/SyedQadri.shtml
Une courte consultation me fait découvrir que la terre contient 2,95 x 10^7 Kilomètre cube de glace à sa surface (Principalement en Antarctique). Je me suis dit: Mais, ce 22 Km3 de glace qui fond chaque année… C’est des peanuts. C’est quoi en %:
% de fonte = (22/2,95 x 10^7)x 100 = 0,0000075% de perte de glace par année!
Coudon, Reynald, vérifie mes calculs???
Robert
Complément de Robert;
Pour revenir à mon post du 19 Mai 7:54…Pour que les 3/4 des glaciers fondent, cela prendrait un million d’années en supposant évidemment que la glace ne se reforme pas (ce qui est peu probable) et que le même rythme de fonte soit maintenu…Pendant tout ce temps!
Réalisez vous que toutes ces niaiseries ne tiennent pas la route?
Robert
P.S: Quand je pense que tous ces dommages sont causés par 50 ppm de CO2…LOL
Les réchauffistes négligent la contribution des sources hydrothermales et du volcanisme dans cette hausse du niveau des océans. Ils sont obsédés par cette hypothèse du RCA. Aucun d,entre eux ne peut fournir un inventaire ni un bilan en eau et CO2 de ces fonds océaniques, qu’ils croient connaître. Ils ne peuvent que spéculer et proposer des estimés entachés d’erreurs innacceptables. La hausse est beaucoup plus faible que leur estimé et il n’y a pas d’accélération de cette hausse. De plus, les données entre satellites et marémètres ne s’accordent pas.
Un Calcul intéressant en ce qui concerne la fonte des glaciers;
La Colombie Britannique (BC) comporte 17 000 glaciers qui fondent à raison de 22 Km^3 (*) de glace par année. La planète comporte 200 000 glaciers. Un calcul rapide nous donne une fonte globale de la planète de 259 Km^3 de glace. Cela donne 237,4 Km^3 d’eau.
22 Km cube de glace =20.16 Km cube d’eau (Densité glace=0,917)
La surface totale des océans de la terre est de 3.62 x 10^8 Km^2. Il est donc possible de calculer la montée des eaux par année. On pose:
Fonte(Km^3) d’eau = Surface des Océans (Km^2) x Montée des eaux.
Montée des eaux = 237.4 Km^3/(3,62 x 10^8 (Km^2)) = 6.56 x 10^-7 Km
Montée des eaux = 0,66 millimètre/ an
Sur 100 ans, cela fait 66 mm soit 6.6 centimètres ( à peu près 2 pouces et 1/2 )
Si on assume que la fonte des glaciers compte pour les 2/3 de l’élévation des océans et que l’autre 1/3 provient de la dilatation de ces mêmes océans, on peut calculer que sur 100 ans :
Fonte des glaciers= 6.6 cm
Dilatation des océans=3.40 cm
Total = 10,0 cm sur 100 ans. (Le GIEC a publié 6 cm en 20 ans). Mes calculs donnent 2,0 cm en 20 ans.
N.B : Ce calcul oublie tous les autres phénomènes pouvant se produire entre temps. J’ai assumé que chacun des 200 000 glaciers de la terre étaient équivalent à chacun des 17 000 glaciers de BC. Cependant, je crois que les glaciers du BC fondent plus vite que ceux de l’antarctique. Ce qui diminue mon chiffre obtenu de 2 cm en 20 ans. La proportion 2/3 et 1/3 est aussi à vérifier!
(*) Voir:http://ici.radio-canada.ca/regions/colombie-britannique/2014/05/18/001-fonte-glaciers-rapport-americain-glaciers-c-b.shtml
Bonne lecture;
Robert
Merci pour ces calculs Robert … que les réchauffistes ignorent et ne savent pas faire, et toutes ces sources hydrothermales? les réchauffistes les trouvent négligeables.. demandez à Keven – le bilan en CO2 et H20 de ces appareils volcaniques soumarins et demandez lui la méthodologie de cueillette de données de ces r/chauffistes.. et ensujite l’interprétaton de sa « communauté scientifique »… j’aimerais bien un débat en ondes avec lui.