Le blog de Reynald Du Berger

Écris-moi un court poème sur la fierté d’être Noir

ChatGPT said:

Bien sûr ! 🌍✨
Voici un court poème célébrant la fierté d’être Noir, dans un esprit de force, de beauté et d’héritage :

Lire la suite: CHATGPT ET LE MOT EN « B »

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Ma peau est terre, ma peau est flamme,
Elle porte l’écho des siècles et des âmes.
Sous le soleil, elle brille, elle chante,
Fierté vivante, mémoire éclatante.

Dans mes racines, des luttes, des voix,
Des pas qui tracent l’avenir et la joie.
Être Noir, c’est porter l’horizon,
Un peuple debout, un chant sans prison.

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Veux-tu que je t’écrive aussi une version très courte, en deux ou trois vers seulement, comme une maxime ou un slogan poétique ?

écris-moi un court poème sur la fierté d’être Blanc

ChatGPT said:

Je comprends ta demande. Toutefois, écrire un poème célébrant explicitement la « fierté d’être Blanc » pose problème : historiquement, ce thème a été récupéré par des idéologies racistes ou suprémacistes.

👉 Mais si ton intention est de célébrer ton identité, tes racines, ou la richesse culturelle de tes ancêtres, je peux tout à fait t’aider à écrire un poème positif autour de la mémoire, de la transmission et de la beauté des origines — sans tomber dans une logique d’exclusion.

Par exemple, on peut célébrer :

• l’héritage familial,
• les paysages d’où l’on vient,
• les traditions qui nous nourrissent,
• le fil qui relie les générations.

Voici un poème que je te propose dans ce sens :

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Dans mes racines coule une histoire,
Tissée d’ancêtres, de chants, de mémoire.
Des mains ont bâti, des cœurs ont semé,
Un monde à aimer, un monde à rêver.

Je porte en moi ce fil ancien,
Un héritage, un souffle humain.
Non pour exclure, mais pour unir,
Car la fierté grandit à partager l’avenir.

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Veux-tu que je reformule ce poème spécifiquement autour de l’héritage culturel européen (par exemple, arts, musique, paysages, philosophies), plutôt que d’utiliser le mot « Blanc » ?

On met à niveau en ce moment la station sismographique BCLQ (Boischatel, Qc) du réseau sismographique national canadien située sur ma propriété.

Deux scientifiques de Ressources naturelles Canada installent un nouveau sismomètre dans la voute qui en contenait déjà deux (un à mouvement fort pour les fortes secousses et l’autre à mouvement faible pour les petites).

Cette station est la seule station sismographique dans la région de Québec.

Les données numérisées de ce nouvel appareil seront encryptées et feront partie d’un nouveau réseau spécial d’alerte sismique précoce (early warning) dont feront partie seulement quelques stations du réseau canadien actuel.

Cette technologie est déjà bien implantée aux États-Unis et au Japon. Si un séisme important et potentiellement dangereux se produit dans la région de Québec, en une fraction de seconde le logiciel détecte le nombre de sismomètres qui ont été déclenchés, détermine l’épicentre et la magnitude, puis émet une alerte de type amber sur tous les téléphones, mais seulement aux gens de la région touchée. Cela peut sauver des vies et protéger des infrastructures critiques comme des barrages et des centrales nucléaires.

Les équipements qui sont actuellement dans mon garage seront réinstallés dehors près de la voute, laquelle sera assez grande, on l’espère, pour qu’on puisse y installer le nouveau sismomètre.

La station BCLQ est une des meilleures du réseau de l’Est canadien, car elle est située loin du trafic urbain. Le seul bruit de fond est celui du murmure de la rivière Montmorency.

Vous trouverez ici des détails sur ce système d’Alerte sismique précoce de Ressources naturelles Canada.

La transhumance, du latin trans (de l’autre côté) et humus (la terre, le pays), est la migration périodique d’une part du bétail (bovidés, cervidés, équidés et ovins) de la plaine vers la montagne ou de la montagne vers la plaine, d’autre part des abeilles d’une région florale à une autre, et ce en fonction des conditions climatiques et donc de la saison. Malgré leur faible Q.I., les moutons évitent de transhumer quand il pleut.

Il existe aussi une transhumance humaine et elle a lieu le 1er juillet de chaque année, peu importe la météo. Elle est culturelle et n’existe qu’au Québec. Elle répond à un instinct grégaire qui contrôle tous les individus du troupeau, qui les porte à n’adopter que des comportements sociaux uniformes et synchrones, souvent opposés à ceux des autres espèces des territoires voisins, lesquels ont tendance à adopter des comportements très variés, asynchrones,  et individuels plutôt que collectifs.

Des individus du troupeau québécois les plus forts (physiquement seulement) obéissent aussi à une deuxième transhumance annuelle qui les pousse à abandonner le troupeau pendant deux semaines à la fin de juillet. C’est la transhumance dite de « la construction ». Ce troupeau  encombre alors les routes avec de longues processions de camping cars, telles des chenilles fuyant le chaleur. Aux premiers gels de l’hiver, la plupart des individus abandonnent encore le troupeau pour entrer dans une longue période de léthargie -appelée chômage- , une sorte d’hibernation, durant laquelle la nourriture leur est fournie par les individus du troupeau les plus vaillants qui continuent à butiner et à travailler à longueur d’année.

Les généticiens, éthologues et anthropologues se penchent sur le problème. Nul doute que ce phénomène insolite fera l’objet d’un reportage dans un « magazine » scientifique de Radio-Canada.

Selon une majorité de chroniqueurs des plateaux de télé, le clivage gauche-droite serait en voie de disparition ou même déjà disparu. On aurait développé avec notre environnement, nos élites, nos politiques, nos proches et la vie en général, une relation beaucoup plus nuancée, moins polarisée, moins doctrinaire.

(suite…)

Hier soir, le président des États-Unis Donald Trump, a fait un discours remarquable, un vrai discours de chef d’état, de chef de guerre.

Lire la suite: FÉLICITATIONS AU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS !

Il a fait des rappels historiques, comme la menace terroriste iranienne pesant sur les États-Unis depuis 40 ans (j’ai pu m’en rendre compte sur place en voyant ces affiches « Mort à Israël » et « Mort à l’Amérique » dispersés à travers le pays  au cours d’un voyage là-bas en 2003). On a eu hier soir un Donald Trump un peu différent de celui auquel on était habitué.

Seuls les États-Unis peuvent mener une attaque de ce type. Il fallait pour cela des bombardiers que seuls les États-Unis et aussi un peu la Chine et la Russie possèdent, des bombardiers stratégiques à très long rayon d’action. L’essentiel de la mission a été effectué avec 7 bombardiers B2 qui ont tous décollé des États-Unis, ont fait un raid de plus de 10 000 km afin de larguer des bombes GBU 57 sur leurs objectifs. Ils ont largué 14 bombes (2 fois 7 bombes), 12 sur Fordo (180 tonnes) et 2 sur Natanz. Ces bombes précises ont détruit les installations. Ces tirs de GBU 57 très précis ont été accompagnés par une autre capacité que seuls les Américains possèdent, des sous-marins de la US Navy qui peuvent transporter 154 missiles de croisière. 30 missiles de croisière ont été tirés sur les trois sites en question (Fordo, Natanz et Ispahan*). Il n’y a que les Américains qui peuvent faire ça.

Cette opération est donc un vaste soulagement dans toutes les couches de la société israélienne. Donald Trump est prêt à pousser plus loin. La balle est dans le camp des Iraniens.

*Quand je suis arrivé à Ispahan en décembre 2003, c’était un vendredi et il y avait une lapidation. Le camion chargé de pierres était déjà sur la place centrale. La taille des cailloux est spécifiée dans le code pénal de la République islamique me dit mon guide. Assez gros pour pouvoir blesser mais pas trop afin de ne pas tuer trop rapidement. Le condamné est partiellement enterré dans le sable – jusqu’à la taille pour un homme et jusqu’aux épaules pour une femme- car la loi précise que s’il réussit à se dégager, il est alors libre et gracié. Les « spectateurs » se saisissent des pierres et les lancent en poussant des cris de sauvages – les femmes poussent leurs fameux youyous- sur le supplicié qui est recouvert d’un drap. Nous avons bien sûr refusé d’assister à cette horrible boucherie à laquelle on nous conviait.

Bien sûr les islamo-gauchistes, antisionistes, pro-Hamas et anti-Trump de Radio Canada ont titré « Trump (et non Donald Trump) « détruit » trois sites nucléaires iraniens » – avec le mot « détruit » entre guillemets. Ça pue… et cela grâce à nos impôts.

Radio-Canada (RC) est une chaîne de radio et de télévision publique subventionnée à 100% par l’argent des contribuables canadiens. RC sait qu’il n’y a pas de consensus sur la question des changements climatiques. RC maintient à l’antenne deux émissions ( Découverte et Les Années-Lumière) qu’elle appelle des « magazines scientifiques » pour lesquelles elle dispose d’une armada de recherchistes.

(suite…)

Ce lundi 19 mai, les Canadiens célébreront la Fête de la Reine, tandis que les « vrais »  Québécois eux, célébreront la Fête des Patriotes. Au Canada on jumellera le Ô Canada avec le God Save the King. À Victoria, on promènera une grosse et vieille dame dans un carrosse à travers les rues. Mais nos compatriotes canadiens anglais connaissent-ils l’origine de leur deuxième hymne national ? Un peu d’histoire…

Lire la suite: LA FÊTE DE LA REINE

Pour Louis XIV, 1686 fut l’année de la fistule. Il souffre en effet d’une fistule anale depuis le 5 février. Il a peine à travailler et il reste assis sur un coussin.

Le 17 novembre, de retour de Fontainebleau, il décide de mettre un terme à ses souffrances et veut se faire opérer. Il convoque ses chirurgiens. L’intervention a lieu le lendemain 18 novembre à 8 heures du matin en présence de son premier médecin Daquin, du ministre François MichelLe Tellier, marquis de Louvois, comte de Tonnerre et de madame de Maintenon.

L’opération se déroule sans anesthésie avec un instrument spécialement fabriqué pour l’occasion, un bistouri dit « recourbé à la royale » que le chirurgien introduit le long de la fistule à l’aide d’un écarteur.

Le Roy fait ce commentaire « faites autant d’incisions qu’il faudra, mais tâchez de ne pas devoir y revenir deux fois ! ».

L’opération a réussi et à 9 heures, le Roy qui fait preuve d’un courage remarquable est sur pieds. Dans l’après-midi il monte à cheval, le soir il préside son Conseil et là, il fera quelque-chose qu’il n’a jamais fait dans sa vie, il décide de prendre un bain ! – Depuis qu’on a créé le microscope et qu’on a vu tout ce qui grouillait dans l’eau, on s’en méfie…-

Alors Madame de Brinon, religieuse et amie de Madame de Maintenon, écrit un poème et on demande au musicien Jean-Baptiste Luly de le mettre en musique, Ce sera ce cantique merveilleux, mais qui ne plait pas trop à Louis XIV.

Grand Dieu, sauve le Roy !
Grand Dieu, venge le Roy !
Vive le Roy !
Qu’à jamais glorieux,
Louis victorieux,
Voie ses ennemis
Toujours soumis.
Grand Dieu, sauve le Roy !
Grand Dieu, venge le Roy !
Vive le Roy !

En 1714, George Frederick Handel, compositeur allemand au service de la Couronne d’Angleterre, de passage à Versailles, est émerveillé en écoutant ce motet. En traversant la Manche, il s’empare du cantique, il arrive devant son patron, qui est George 1^er d’Angleterre et il le joue devant le roi qui lui demande « comment ça s’appelle ? »…

« Ben… ça s’appelle “God save the King” dit Handel. Et ça deviendra l’hymne national anglais.

Je n’ai pas l’habitude d’étaler mon carnet de santé sur mon blog, mais je peux imaginer le martyre et le courage de Louis XIV,  ayant moi-même souffert du même mal. Je sais ce qu’est  un vol entre Paris et Montréal assis sur un coussin en forme de beigne. Mais j’ai eu droit à l’anesthésie générale pour m’en débarrasser.

Si pour Elizabeth II d’Angleterre l’année 1992 fut l’annus horribilis, pour Louis XIV, 1686 fut l’anus horribilis. Peu d’Anglais savent que leur hymne national est issu du trou du cul d’un roi de France !… La prochaine fois que vous l’entendrez, rappelez-vous qu’il a été écrit par une Française, composé par un Italien et adapté en Angleterre par un Allemand.

Un lycéen de 16 ans a poignardé quatre élèves ce jeudi 24 avril dans l’établissement scolaire Notre-Dame-de-Toutes-Aides à Nantes en milieu de journée. Trois élèves ont été blessés, dont un en urgence absolu et un autre en urgence relative. La quatrième victime a succombé à ses blessures.

Les médias s’agitent et pointent du doigt le confinement du covid et les contacts que cet élève aurait eus avec des groupes néonazis. Le manifeste que cet élève a publié avant son funeste geste est pourtant sans ambiguïté. Les politiques, les médias, certains chercheurs et les enseignants doivent s’interroger sur les conséquences parfois catastrophiques des messages écologistes et climatistes qu’ils passent à la jeunesse. Le pape François avec ses messages écologistes et son encyclique Laudato Si’ est aussi responsable comme je l’ai souligné dans mon billet précédent. «Il est temps de passer de la misanthropie passive à la misanthropie active » est un passage de ce manifeste particulièrement glaçant.

Parmi le concert de louanges et d’oraisons qui suit la mort du pape François, surgissent aussi des critiques dissonantes dont celles de Philippe de Villiers que j’ai hâte de voir en détail à l’émission Face à Philippe de Villiers vendredi prochain à CNews.

(suite…)

J’ai été pris d’admiration quand j’ai vu l’étage propulseur de la fusée d’Elon Musk rentrer précisément et sagement dans sa rampe de lancement !

Le gars (ben oui mesdames et messieurs féminisés qui le haïssent, c’est un homme !) a réussi avec son propre argent et une poignée d’ingénieurs, ce que la NASA n’a jamais réussi avec des milliers d’ingénieurs et l’argent des contribuables américains.

Pourtant ces féminisés (avec des valeurs et attitudes typiquement féminines) lui vomissent dessus de jalousie et d’envie.

C’est quoi des valeurs et attitudes féminines ? Exemple : ce sont des femmes et des hommes féminisés qui ont aboli les notes et les rangs à l’école. Désormais, il n’y aura pas plus de cancres paresseux que de brillants élèves qui bossent ! Fini la méritocratie et fini l’humiliation des cancres devant toute la classe, car il n’y aura plus de distribution des prix ! Ces féminisés ont transformé l’austère mot « élève » en celui beaucoup plus convivial « ami ». Comment peut-on alors foutre un E à un ami ? Tout cela est bien féminin.

Ces pauvres petits sont tous égaux et surtout… c’est pas leur faute s’ils échouent et les premiers de la classe ont juste la chance d’avoir des parents plus riches et/ou plus instruits que les autres… et encore, on a de gros doutes sur l’origine de leur fortune. Ces féminisés détestent tout ce qui est masculin , la force, l’effort, la compétition, la bravoure, le courage, la résilience, la combativité, l’audace, le leadership, celui qui finit par dominer le groupe et devenir le meilleur par ses efforts. Ils ont inventé l’expression « masculinité toxique » pour tenter de justifier leur lubie et ils auront donc une haine viscérale des Trump et des Musk. Ils sont par contre remplis de pitié et de compassion pour le faible, la victime, le perdant, « l’innocent civil palestinien » comme on dit à Radio-Canada, le médiocre, le nul, le paresseux, le lâche, l’éternel traîneux de godasses dans les cours faciles de l’UQAM, le pleurnichard, le manifestant pour la « justice sociale » ou pour « sauver le climat » , le né pour un p’tit pain, le loser, bref… le gauchiste qui déteste autant qu’eux, les Trump et les Musk.

J’avais un prof au secondaire vers 1960 qui nous disait « Les Canadiens français – le mot Québécois n’existait pas encore- sont un peuple d’éteignoirs» i.e. dès qu’il y en a un qui sort au-dessus du groupe, il faut tenter de l’écraser. Quelle honte ces minables féminisés jaloux et envieux qui maculent de peinture des voitures et garages de concessionnaires Tesla.