LA JUSTICE, LE BIEN ET LA VÉRITÉ SELON LA GAUCHE

Publié: 23 juin 2025 dans Uncategorized

Selon une majorité de chroniqueurs des plateaux de télé, le clivage gauche-droite serait en voie de disparition ou même déjà disparu. On aurait développé avec notre environnement, nos élites, nos politiques, nos proches et la vie en général, une relation beaucoup plus nuancée, moins polarisée, moins doctrinaire.

Mes échanges récents à propos de Donald Trump, de la guerre en Ukraine, du « dérèglement » climatique  ou du conflit israélo-palestinien avec mes amis , mes proches, ou avec des inconnus sur les réseaux sociaux, presque tous de gauche et du genre « Trump écrase tout l’monde ! » , ou bien « Faisons payer les riches ! » me prouvent que les deux clans sont encore bien campés, quoique le mien soit très minoritaire.

J’affirme ( et non j’assume) donc être de droite. On affirme une force,  tandis qu’on assume une faiblesse, une tare, un défaut, une infériorité. Mais comme dirait Mathieu Bock- Côté, mon affirmation me rend infréquentable, du moins par la gauche.

Ici s’arrête mon commentaire et commence celui de Dreuz.

Qu’il est jouissif d’être un libertarien face aux névroses de la gauche.

Quel délice de regarder les gens de gauche s’agiter, prisonniers de leurs tares idéologiques ! Ces âmes tourmentées rêvent d’arracher plus d’argent au riche, plus de droits que leur voisin, plus d’avantages sociaux que le péquin d’en face, plus d’idées pour dépenser l’argent des autres, plus de pouvoir pour contraindre et spolier. Leur obsession ? Mettre l’autre en dépendance, régenter sa vie, trouver normal que chacun vive aux crochets des autres. Toujours définis par l’autre, ils se pavanent avec une prétendue supériorité morale, bercés par l’hypocrisie, la division, les stéréotypes et une mentalité de victime. Ils étouffent les minorités sous leur pensée de groupe, tuant toute indépendance, tout dialogue, toute ambition.

Qu’il est bon, en revanche, de ne pas se définir par l’autre, de ne pas rêver de le plier par la force de l’État ! Qu’il est doux de vouloir sa liberté et celle d’autrui, de savourer son libre arbitre, de ne pas prétendre savoir ce qui est moral pour les autres sans l’appliquer à soi-même. Le socialisme, le communisme, les Verts : tous partagent cette culpabilisation maladive de l’autre, ce dogme rigide face au pragmatisme libéral.

Une pauvreté intellectuelle consternante

Leurs politiciens et programmes sont d’une vacuité affligeante. L’individu de gauche n’existe que par opposition : écoutez leurs leaders, tous « anti-libéraux » jusqu’à la nausée, avec leur pitoyable parti « anti-capitaliste » qui ne tient que par des ennemis réels ou inventés. L’argent ? Un tabou pour eux, sauf quand il s’agit de rafler une prime sans effort. Cette semaine encore, un écolo autoproclamé nous a sermonnés : « L’humanité consomme plus que la planète ne produit, nous vivons à crédit ! » Mais qui prête, hein ? Les extraterrestres ? Devant notre silence, il a conclu par une insulte ad hominem – leur langage punitif habituel.

Le CO2, bouc émissaire de leur délire

Ils nous accusent de prendre la voiture, de consommer « mal », de respirer et rejeter du CO2 – ce gaz qu’ils diabolisent, oubliant qu’il est essentiel à la chlorophylle, le moteur de la vie sur Terre ! En 2025, les données satellitaires confirment : grâce aux émissions, surtout chinoises et indiennes, la couverture végétale a gagné 5 % depuis 2000, soit 1,5 fois l’Amazonie (NASA, 2024). Mais non, pour eux, nous sommes coupables. Chaque semaine, un nouveau péché écologique nous tombe dessus : consommer, respirer, vivre. Sauf eux, bien sûr, qui se drapent dans leur morale de pacotille, persuadés d’incarner le « bien » humaniste.

Le gauchiste adore contraindre

Mais toujours l’autre. Il rêve d’un monde meilleur avec des interdictions, des taxes, des obligations. La voiture ? Un crime. Les États-Unis ? Le diable incarné – même si le plus pauvre Américain vit mieux que 70 % de la planète. L’énarque de gauche vante notre « formidable système éducatif » tout en expédiant ses gosses étudier à Harvard, ce satanisme yankee. Quant aux autocrates – Staline, Castro, Chavez –, il les excuse : des « dégâts collatéraux » pour la révolution. Les 100 millions de morts ? Un détail. Le Venezuela, hier encensé dans L’Humanité ou Libération, est aujourd’hui un désastre économique, mais la faute est aux Américains, pas au socialisme.

La tyrannie morale des quatre piliers : culture, éducation, justice et médias

La gauche impose une tyrannie morale qui gangrène quatre piliers fondamentaux de la société : la culture, l’éducation, la justice et les médias. S’affirmer de droite dans ces sphères, c’est s’exposer à l’agression verbale, à l’exclusion sociale, voire au pilori public. Dans la culture, les artistes osant des idées conservatrices ou libérales sont ostracisés, leurs œuvres boycottées ou dénoncées comme « problématiques ». Un cinéaste qui célèbre l’initiative individuelle ou critique l’égalitarisme forcené risque de voir son financement coupé ou sa carrière sabotée par une clique bien-pensante. Dans l’éducation, les enseignants et étudiants de droite sont réduits au silence par des programmes biaisés et des collègues qui brandissent la « justice sociale » comme un dogme intouchable. Tentez de défendre le mérite ou le marché libre en amphi, et vous serez taxé de « réactionnaire », voire harcelé sur les réseaux. La justice, infiltrée par une idéologie progressiste, punit sélectivement : un tweet jugé « offensant » par la gauche peut ruiner une vie, tandis que des actes violents de militants « antifascistes » sont souvent excusés comme « résistance ». Enfin, les médias, autoproclamés gardiens de la morale, orchestrent des campagnes de lynchage contre quiconque ose défier leur vision du monde. Un éditorialiste de droite est immédiatement étiqueté « extrémiste », ses propos déformés pour alimenter la vindicte collective. Cette tyrannie morale ne cherche pas le débat, mais l’éradication de toute dissidence, transformant ces quatre piliers en instruments d’une inquisition moderne où la droite est coupable par défaut.

La censure systémique, arme de l’intolérance

Cette intolérance de gauche s’exprime aussi par une censure systémique, incapable de répondre aux objections autrement que par des attaques personnelles. Au lieu d’arguments rationnels, ils déversent une avalanche de termes disqualifiacateurs pour cacher leur défaite sur le fond – « extrême droite », « raciste », « fasciste » – pour clore le débat. Ces étiquettes, brandies comme des armes, ne visent pas à réfuter mais à réduire au silence, à discréditer toute voix divergente. Ils n’ont pas d’arguments, cela veut dire « vous avez raison, mais comme je n’ai aucun argument, je vous insulte, Cette stratégie, loin de promouvoir le dialogue, polarise et étouffe la liberté d’expression, remplaçant la raison par une moralisation agressive qui trahit leur faiblesse intellectuelle,

L’idolâtrie des tyrans et l’alliance toxique

Leur fascination pour les pires autocrates de l’Histoire révèle leur dérive morale. Staline, Pol Pot, Che Guevara, Maduro : ces figures, responsables de millions de morts ou de désastres économiques, sont glorifiées comme des héros de la « résistance ». Hier, ils vantaient les purges staliniennes ou les camps khmers rouges ; aujourd’hui, ils excusent le chaos vénézuélien de Maduro, toujours sous le prétexte d’un « idéal révolutionnaire ». Pire encore, certains s’allient désormais à des islamistes radicaux, injectant le poison de l’israélophobie et de l’antisémitisme dans leurs discours. Cette convergence malsaine, drapée dans une rhétorique de « justice », recycle les vieux tropes haineux contre les Juifs, masqués sous un vernis antisioniste, pour mieux alimenter leur croisade contre l’Occident.

Prince de l’amnésie et roi du déni

Le gauchiste est un champion de l’amnésie. Corée du Nord vs Corée du Sud, Allemagne de Est vs Ouest Allemagne, Venezuela vs Norvège : à chaque fois, le socialisme s’effondre, mais « ce n’était pas le bon ». En 2024, le Venezuela s’enfonce dans la pénurie, et pourtant, ils persistent, rêvant d’un « vrai socialisme » celui c’est le bon, celui du 21eme siècle. Leur solution ? Plus de contraintes, plus de coercition, toujours pour le « bien commun » – c’est-à-dire pour l’autre, jamais pour eux. Eux, les bobos aux privilèges bétonnés et passagers clandestins de l’état, veulent partager… les richesses des autres.

Libéralisme vs égalitarisme délirant

Pour le libéral, l’égalité, c’est le même traitement pour tous, comme la loi de la gravité : droits et devoirs identiques, résultats propres à chacun. Pour le socialiste, c’est l’égalitarisme forcené : traiter différemment pour égaliser les résultats, au prix de la spoliation légale. Leurs lois, bourrées d’exceptions clientélistes, nourrissent une bureaucratie tentaculaire. L’entrepreneur, libre de son destin, les horrifie ; ils préfèrent le fonctionnaire corseté, dépense inutile se prenant pour un créateur de richesse.

Le gauchiste veut modeler l’homme par la force, anéantir les différences, instaurer une dictature déguisée en égalité. Merci, mais je refuse. Ma solidarité est volontaire, pas imposée par leurs lois. Ma morale est libre, pas un mimétisme moutonnier. Ils peuvent restreindre ma liberté, ils n’auront jamais mon libre arbitre, forgé par mes efforts. Leur zoo de contraintes ? Je préfère la jungle de la liberté.

Alors non, je ne serai jamais de gauche. Leur monde est une illusion utopique qui les a transformés en secte d’hypocrisie ; le mien, une quête de sens.

Méfiez -vous des gens de gauche qui vous veulent du bien, ils préparent souvent votre malheur.et sont les artisans de vos pires ennuis « pour votre bien ».

commentaires
  1. Avatar de Alessandro Riva Alessandro Riva dit :

    Là où la droite se limitait à chercher le vote, la gauche elle a peu à peu conquis la quasi entièreté de la Presse, occupés des pans entiers de la magistrature, développé des ONGs qui sont des agences terroristes et puis la gauche à commencé à utiliser ses juges. Pour éviter la fourchette juges/mauvaise presse la droite classique s’est progressivement soumise d’où la Naissance des partis souverainiste. Maintenant toute cette mafia connue sous le nom d’arc républicain, cordon sanitaire où encore plus pompeusement « les démocraties » s’accroche au pouvoir. Mais juges et presse ont perdu leur crédibilité, les résultats catastrophiques ne sont pas imputables aux souverainistes et le peuple commence à en avoir marre.

  2. Avatar de Paul Etik Paul Itik dit :

    La dichotomie Droite – Gauche.

    La Droite affirme qu’un Individu sait ce qui est bon pour lui et qu’il a le plein droit de réaliser sa ‘poursuite du bonheur’ à l’intérieur de balises minimales.

    La liberté individuelle est un droit et les autorités doivent prouver le bien fondé de toute limitation de ce droit.

    À Gauche, la Société, soit l’Élite du jour au pouvoir, établit et impose l’encadrent de tous les aspects de la vie des individus. Bien entendu, pour le ‘bien commun’ ou la protection de tous.

    L’individu peut jouir de quelques privilèges qui peuvent être révoqués en tout temps.

    Le Libre Arbitre d’un côté, la Cœrcition de l’autre.

    • Avatar de lucbmenard lucbmenard dit :

      Spécial « Dure dure la démocratie libérale… »

      …comme passer sur un feu jaune, mais il ne faut surtout pas accélérer comme le dit le vieux sage de la SAAQ à la télé de RC, TVA, etc, car ceux qui le font nous font TOUS prendre un risque inutile.

      La démocratie libérale est quand même le moins pire système et c’est le prix à payer collectivement pour l’organisation de la vie sociale (je ne sais pas pour les hermites…), après avoir essayé tous les autres systèmes, comme l’a bien dit Mr cigare lui-même Winston Churchill.

      Il y a quand même menace à l’état de droit avec ce libertarisme poussé à l’extrême, ne pensez vous pas? Tout le monde ne peut quand même pas faire TOUT ce qu’il veut TOUT le temps et se foutre de TOUT (loi).

      Incidemment, des gros bisous à votre Président pour ses bonnes actions.

      • Avatar de Paul Etik Paul Itik dit :

        Bonjour Me Luc,

        Un homme qui se réclame de la Droite est un optimiste : il croit que l’homme est foncièrement bon et doté d’un GBS fiable.
        Mais, réaliste, il sait que certains individus (5 % selon Doc Mailloux) sont des déviants.

        D’où les « balises minimales » imposées à la ‘poursuite du bonheur’, car le bonheur de l’un pourrait être le malheur d’un autre. Toutefois, objectivement parlant, le bonheur d’un ‘homme juste’ ne porte pas à confusion.

        Les gauchistes, naturellement supérieurs (re.: « basket of deplorables » de Mme Clinton), croient que le quidam ordinaire doit être dirigé en tout. Donc, graduellement ils remplacent les structures démocratiques par un système autoritaire, tout en accusant la Droite de vouloir le faire.

        Où constatez-vous, FACTUELLEMENT, la progression du « libertarisme poussé à l’extrême » ?

        Évidemment les Radio-canadistes et autres influenceurs aux médias gauchistes, ont le « EXTRÊME » facile, quand se manifeste timidement quelque chose qui ne se conforme pas à la grille d’acceptabilité émise par les élites globalistes.

        NOTE : N’est-ce pas plutôt le P.M. B. Netanyahu d’Israël (une nation de Lions, pas plus grande que le Québec) qui mériterait vos bisous ? C’est Israël qui a fait le « sale boulot » de l’Occident (dixit chancelier F. Merz) et le Président Trump n’a fourni aux mollahs que l’emballage-cadeau, car c’était la chose à faire.

      • Avatar de lucbmenard lucbmenard dit :

        Oui, comme vous dites, il faut un chien de garde, aussi brutal et même violent selon des circonstances pour rétablir l’ordre et la justice. Ce sont encore et toujours les USA qui ont joué ce rôle. C’est eux qui ont fait le sale boulot, comme un policier avec son cheval et sa matraque a parfois à charger pour dissiper une foule hostile (brutale ou violente).

        C’est ce que garantit une démocratie libérale et l’état de droit. TOUS ÉGAUX DEVANT LA LOI. PAS DE DIEU, ROI, BLABLA AU DESSUS DE LA LOI.

        ÉNORME BISOU À NETANYAHU et à vous Paul X.

        Merci,

  3. Avatar de Paul Etik Paul Itik dit :

    La Gauche demande toujours et exige : « FAITES PAYER LES RICHES ! »

    Le candidat choisi par la Gauche pour briguer la mairie de New York radicalise la demande sociale en exploitant la division raciale.

    « Socialist NYC mayoral contender Zohran Mamdani wants to hike property taxes for ‘richer and whiter neighborhoods’ »

    https://nypost.com/2025/06/27/us-news/socialist-nyc-mayoral-contender-zohran-mamdani-wants-to-hike-property-taxes-for-richer-and-whiter-neighborhoods/

    Redistribution de la richesse au profit des ethnies, autres que la caucasienne blanche.

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