CLIMAT : QUI DIT VRAI ?

Publié: 8 juin 2025 dans Uncategorized

Radio-Canada (RC) est une chaîne de radio et de télévision publique subventionnée à 100% par l’argent des contribuables canadiens. RC sait qu’il n’y a pas de consensus sur la question des changements climatiques. RC maintient à l’antenne deux émissions ( Découverte et Les Années-Lumière) qu’elle appelle des « magazines scientifiques » pour lesquelles elle dispose d’une armada de recherchistes.

C’est au cours d’une des émissions Les Années Lumière d’il y a plusieurs années, que l’animateur de l’époque Yannick Villedieu déclara « La responsabilité principalement humaine dans le réchauffement climatique ne fait plus aucun doute. En conséquence, Radio-Canada ne donnera plus la parole aux climato-sceptiques ». Ils ne me l’avaient auparavant donnée qu’une seule fois lors d’un « bar des sciences » à Montréal où j’ai pu débattre avec le modélisateur du climat Hervé Le Treut venu spécialement de Paris pour l’occasion et le militant climatiste Steven Guilbeault, devenu plus tard Ministre de l’environnement dans le gouvernement canadien de Justin Trudeau.

RC diffuse aussi une émission « Les décrypteurs » où elle prétend démasquer les fake news. J’ai déjà démasqué les  prétendues compétence et impartialité de ses experts.  

RC (Environnement Radio-Canada) publie à répétition depuis novembre 2024, un document dans lequel elle prétend séparer « le vrai du faux sur le climat ».

Voici la liste et les cv de chacun des contributeurs à ce document tels qu’ils figurent dans le document.

Maxime Corneau est un journaliste spécialisé sur les questions environnementales. Il œuvre au sein de Radio-Canada depuis 2010. Il est l’un des membres fondateurs du projet numérique Carbone et collabore régulièrement aux émissions La semaine verte et Découverte. 

Étienne Leblanc ???? je lui ai demandé son cv… pas de réponse.

Diplômé de l’UQAM en communication (journalisme), Alain Labelle est reporter spécialisé pour Radio-Canada depuis 1999. Il couvre l’actualité scientifique dans des domaines variés tels que la médecine, l’astronomie, la paléontologie, et la zoologie.

Marianne Desautels-Marissal est une journaliste scientifique qui se consacre aux questions environnementales. Biochimiste de formation, c’est grâce à la Bourse Fernand-Seguin qu’elle est passée de la recherche au journalisme en 2015. Avant d’intégrer son équipe actuelle, qui produit des reportages vidéo pour Radio-Canada environnement, elle a collaboré à plusieurs émissions d’ICI Première et a coanimé des magazines d’actualités scientifiques

Vincent Rességuier est un journaliste multiplateforme qui œuvre dans les médias depuis plus de 20 ans. Reporter à « Ça nous regarde » sur ICI Radio-Canada Première, il a occupé plusieurs rôles au sein du diffuseur public, notamment pour RDI, ICI Explora, les téléjournaux et la rédaction numérique. Ses expériences l’ont amené à collaborer avec différents médias publics, privés et communautaires, en Europe et au Canada.

Journaliste de données, Daniel Blanchette Pelletier est l’auteur de projets numériques et interactifs nommés et/ou primés aux Prix d’excellence en publication numérique, aux prix Numix, par l’Association canadienne des journalistes et par la Society for News Design. Il couvre tous les sujets, notamment la consommation, la désinformation, la politique, la santé et l’environnement. Après avoir terminé ses études en journalisme à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) en 2011, il a travaillé pour Radio-Canada à Matane et à Sudbury. Il est basé à Montréal depuis 2015.

Valérie Boisclair est reporter spécialisée en environnement, basée à Montréal. Elle s’intéresse aux questions relatives au climat, à l’environnement, à l’énergie et à la justice. Depuis son arrivée à Radio-Canada en 2016, elle compte à son actif la couverture de plusieurs campagnes électorales et Jeux olympiques. Surtout présente sur les plateformes numériques, elle collabore aussi à D’abord l’info et Ça nous regarde

Renaud Manuguerra-Gagné est journaliste multiplateforme spécialisé en sciences. Doctorant en recherche biomédicale à l’Université de Montréal, il détient aussi un certificat en journalisme de la même université. C’est avec l’obtention de la Bourse Fernand Séguin en 2015 qu’il commence sa carrière journalistique. Depuis, il a collaboré à de nombreuses émissions télé et radio, dont Découverte, Les Années Lumière, Midi info, et à RDI.

Camille Vernet est réalisatrice-vidéaste à Radio-Canada. Elle réalise en Colombie-Britannique des sujets visuels publiés sur le web, les réseaux sociaux et diffusés à la radio et la télévision. Elle s’intéresse particulièrement à des sujets de société et aux problèmes environnementaux liés aux changements climatiques.

CHERCHEURS CLIMATO-RÉALISTES

Voici les cv de scientifiques climato-réalistes, que les médias comme RC appellent « climato-sceptiques » ou pire en anglais, « climate deniers ». Elle m’a été fournie par mon collègue le Dr Richard Lindzen, professeur émérite au MIT, membre de la National Academy of Sciences des États-Unis,  et membre comme moi du Comité scientifique de l’Association des climato-réalistes.

Dès le début de la panique climatique, des scientifiques très en vue se sont opposés à l’affirmation selon laquelle l’augmentation du CO2 était un danger important pour le climat en raison des émissions industrielles de l’homme.

En voici une sélection :

William Nierenberg : Directeur du plus grand institut de recherche océanographique des États-Unis, le Scripps Oceanographic Institute de l’Université de Californie à San Diego. L’institut est situé à La Jolla. M. Nierenberg était également membre de l’Académie nationale et a présidé l’important rapport sur le climat publié en 1983 par le NRC (National Research Council de l’Académie nationale des sciences). Il est décédé en 2000.

Frederick Seitz : souvent considéré comme l’un des pères de la physique de la phase condensée, il a été professeur à l’université de l’Illinois, président de l’Académie nationale des sciences et président de l’université Rockefeller. Il est décédé en 2008.

Jerome Namias : professeur de météorologie à l’université Scripps et ancien responsable des prévisions à long terme de la NOAA. M. Namias était également membre de l’Académie nationale des sciences. Il est décédé en 1997.

Robert Jastrow : premier président du Comité d’exploration lunaire de la NASA, directeur fondateur de l’Institut Goddard pour les études spatiales de la NASA. À sa retraite, la majeure partie de l’institut a été transférée au Centre de vol spatial Goddard de la NASA à Greenbelt, dans le Maryland. Cependant, un petit groupe dirigé par James Hansen a réussi à se battre pour rester à New York. Jastrow a continué à enseigner les sciences de la Terre au Dartmouth College. Il est décédé en 2008.

Aksel Wiin-Nielsen : Chercheur principal au Centre national de recherche atmosphérique, professeur de météorologie à l’Université du Michigan. Directeur du Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (le plus important centre de recherche atmosphérique d’Europe), directeur général de l’Organisation météorologique mondiale et professeur de météorologie à l’Université de Copenhague. Il est décédé en 2010.

Lennart Bengtsson : Directeur de la recherche au Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme. Directeur du Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme. Directeur de l’Institut Max Planck de météorologie à Hambourg.

Henk Tennekes : Professeur de génie aéronautique à l’Université d’État de Pennsylvanie, directeur de recherche à l’Institut météorologique royal des Pays-Bas. Membre de l’Académie royale des arts et des sciences des Pays-Bas. Expert de premier plan en matière de turbulence atmosphérique et d’aviation. Il est décédé en 2021.

Reid Bryson : Fondateur et premier président du département de météorologie et du centre de recherche climatique de l’université du Wisconsin-Madison. Il a été le premier directeur de l’Institut d’études environnementales (aujourd’hui l’Institut Nelson) de l’université du Wisconsin. Lauréat mondial du Programme des Nations unies pour l’environnement. Il est décédé en 2008.

Robert White : Directeur du Bureau météorologique des États-Unis, administrateur de l’Environmental Science Services Administration, premier administrateur de la National Oceanic and Atmospheric Administration, président de l’University Corporation for Atmospheric Research et président de la National Academy of Engineering. Il a également été le premier président de la Conférence mondiale sur le climat en 1978. Il est décédé en 2015.

Hubert Lamb : pionnier de la climatologie historique, directeur fondateur de l’Unité de recherche climatique créée en 1972 à l’École des sciences de l’environnement de l’Université d’East Anglia. Il est décédé en 1997.

Paul Waggoner : scientifique en chef, sols, climatologie, écologie, directeur et scientifique émérite à la Station expérimentale agricole du Connecticut. Membre de l’Académie nationale des sciences. Il est décédé en 2022.

S. Fred Singer : Professeur de physique à l’Université du Maryland, à l’Université de Virginie et à l’Université George Mason. Doyen fondateur de l’École des sciences environnementales et planétaires de l’Université de Miami. A créé le Centre de services par satellite du National Weather Bureau. Administrateur adjoint de l’Agence de protection de l’environnement et scientifique en chef du ministère des Transports. Il est considéré par beaucoup comme le premier à avoir prédit l’existence des ceintures de radiation de la Terre. Il est décédé en 2020.

Ivar Giaevar : lauréat du prix Nobel de physique, membre de l’Académie nationale des sciences des États-Unis, de l’Académie norvégienne des sciences et des lettres, professeur émérite à l’Institut polytechnique Rensselaer, professeur à l’université d’Oslo.

Freeman Dyson : éminent physicien théoricien et mathématicien qui a joué un rôle clé dans le développement de l’électrodynamique quantique et des méthodes mathématiques de la théorie quantique des champs. Mais il a également maintenu un vif intérêt pour les sciences appliquées et a été l’un des concepteurs du réacteur de recherche nucléaire TRIGA, qui a connu un énorme succès. Freeman a passé la majeure partie de sa carrière à l’Institut d’études avancées de Princeton. Membre de l’Académie nationale, il est décédé en 2020.

Edward Teller : Cofondateur du Lawrence Livermore National Laboratory (LLNL), où il a occupé les fonctions de directeur et de directeur associé pendant de nombreuses années. Professeur émérite à l’université de Californie à Berkeley, membre de l’Académie nationale des sciences et récipiendaire de la Médaille présidentielle de la Liberté, il est connu comme le père de la bombe H. Il est décédé en 2003.

Reginald Newell : Professeur de sciences atmosphériques au MIT. Il a été président de la Commission internationale sur le climat de l’Association internationale de météorologie et de physique atmosphérique (IAMAP) de 1977 à 1983 et membre des commissions de l’IAMAP sur la météorologie de la haute atmosphère et la chimie atmosphérique et la pollution mondiale de 1971 à 1983. Il a notamment reçu le prix Alexander Von Humboldt en 1985 et la bourse de l’Agence japonaise pour la science et la technologie en 1990. Il est décédé en 2003.

Robert Adair : Ancien président du département de physique et directeur de la division des sciences physiques de l’université de Yale. Membre de l’Académie nationale des sciences, il est décédé en 2020.

Sir Basil John Mason, CB, FRS, plus connu sous le nom de John Mason : expert en physique des nuages et ancien directeur général du Bureau météorologique de 1965 à 1983. Chancelier de l’Institut des sciences et technologies de l’université de Manchester (UMIST) de 1994 à 1996, il est décédé en 2015.

William « Bill » Mason Gray : professeur émérite de sciences atmosphériques à l’Université d’État du Colorado (CSU) et responsable du projet de météorologie tropicale au département des sciences atmosphériques de la CSU. Il était largement considéré comme un pionnier de la science de la prévision des cyclones tropicaux et l’un des plus grands experts mondiaux des tempêtes tropicales. Il est décédé en 2016.

Mikhail Budyko : climatologue russe et l’un des fondateurs de la climatologie physique. Directeur de la Division de recherche sur le changement climatique à l’Institut hydrologique d’État de Saint-Pétersbourg. Il est décédé en 2001.

Yuri Izrael : vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) jusqu’en septembre 2008. Directeur de l’Institut du climat mondial et de l’écologie, qui fait partie de l’Académie des sciences de Russie. Il a été premier vice-président de l’Organisation météorologique mondiale et a contribué au développement de la Veille météorologique mondiale. Il est décédé en 2014.

Kiril Kondratyev : Professeur de physique atmosphérique, chef du département de physique atmosphérique, vice-recteur et recteur de l’université de Leningrad. De 1958 à 1961, il a dirigé le département d’études sur les rayonnements de l’Observatoire géophysique principal. Il a été membre du Comité international du programme de la Conférence mondiale sur le changement climatique, qui s’est tenue à Moscou en 2003. Il est décédé en 2006.

William Happer : physicien expérimental qui a passé la majeure partie de sa carrière aux universités de Princeton et de Columbia. Il est l’inventeur de l’étoile guide au sodium qui est utilisée dans la plupart des grands télescopes modernes pour compenser la turbulence atmosphérique grâce à l’optique adaptative. Il a été un pionnier de l’imagerie médicale par résonance magnétique avec des gaz rares polarisés par laser. Il a été membre de l’Académie nationale et a occupé le poste de directeur de la recherche énergétique au ministère américain de l’Énergie de 1990 à 1993.

William Kininmonth : a dirigé le Centre national australien sur le climat au Bureau de météorologie de 1986 à 1998. Il a été le délégué de l’Australie à la Commission de climatologie de l’OMM (1990) et aux négociations intergouvernementales ultérieures pour la Convention-cadre sur les changements climatiques (1991-1992).

Garth Paltridge : Professeur et directeur de l’Institut d’études de l’Antarctique et de l’océan Austral à l’Université de Tasmanie et, parallèlement, de 1991 à 2002, directeur général du Centre de recherche coopérative sur l’Antarctique à l’Université de Tasmanie.

Claude Allegre : géophysicien, lauréat du prix Crafoord (qui est en quelque sorte le prix Nobel des sciences de la Terre). Directeur fondateur de l’Institut de physique du globe de l’université de Paris. Il a été ministre de l’Éducation en France et a reçu la médaille Bowie de l’AGU (American Geophysical Union), ainsi que le titre de membre de l’Académie des sciences et de l’Académie nationale des États-Unis.

Hugh Ellsaesser : Physicien atmosphérique au Lawrence Livermore Radiation Laboratory de 1963 à 1997. Il est décédé en 2015. Bien qu’il ait d’abord soutenu l’alarme climatique, il est finalement devenu climato-réaliste.

James Lovelock : père de l’hypothèse Gaïa. Il était membre de la Royal Society, président de la Marine Biological Association, membre honoraire invité du Green Templeton College d’Oxford et commandeur de l’Ordre de l’Empire britannique. Il est décédé en 2022.

Maintenant, auquel de ces deux groupes feriez-vous davantage confiance pour vous aider à séparer le vrai du faux sur la question des changements climatiques ?

commentaires
  1. Avatar de Real Roch Real Roch dit :

    Merci. La machine de la désinformation fonctionne avec l’argent ponctionné de nos poches et de l’endettement massif sur le dos des populations pour alimenter l’industrie climato-alarmiste. Voilà à quel point ces gens sont pervers.

    • Avatar de rtremblay rtremblay dit :

      Quand je lis une information sur les changements climatiques j’essais de trouver la source.

      Savoir l’opinion de scientifique décédé ne m’aide pas a en apprendre plus sur les RCA. Il y a une distinction importante entre un chercheur dans ce domaine et des scientifiques qui émettent des opinions peu importe leurs réputations liées à leurs découvertes. Je ne me fie qu’au scientifique, chercheur qui ont fait leurs travaux et leurs publications dans le domaine des changements climatiques. Il faut lire les sources avant tout.

      Les journalistes que vous citez je ne les connais pas. Ils et elles ne me sont d’aucune utilité pour me faire une opinion. Je crois qu’ils et elles ont l’habitude de présenter les noms des chercheurs et les sujets de leurs travaux.

      L’AGU présente des centaines de conférences à chaque année sur le sujet des changements climatiques avec un encadrement rigoureux et scientifiques. Prétendre gratuitement qu’un chercheur qui travail dans le domaine des changements climatiques est automatiquement un fraudeur est complètement faux.

      Qui chez CLINTEL fait de la recherche sur les changements climatiques et ces causes ?

      SVP présentez nous vos publications dans le domaine !

      • Avatar de Reynald Du Berger Reynald Du Berger dit :

        rtremblay  » ….avec un encadrement rigoureux et scientifiques » Faux ! Vous ne savez pas de quoi vous parlez. l’AGU a publié un manifeste AFFIRMANT qu’il y avait 95% de chances que l’activité humaine soit responsable de « dérèglement » climatique, ce qui la discréditée totalement. J’ai été membre de cette AGU de 1970 à 2010, ça me coûtait un bras en abonnements à leurs revues et ai démissionné suite à ce manifeste et je n’étais pas le seul. J’ai plusieurs communications et publications scientifiques à mon cv et l’été dernier j’ai été lecteur critique (arbitre, reviewer) de deux publications dans le domaine du climat pour la revue scientifique britannique à comités de lecture, Research in Statistics. Peut-n connaître la liste de VOS publications scientifiques M. Tremblay ? Vous a-t-on jéjà sollicité pour arbitrer des articles scientifiques sur le climat comme je l’ai été ?
        Academia Green Energy
        Invitation to Peer Review:
        Revisiting energy pricing dynamics: evidence from European power markets
        Dear Prof. Du Berger,
        We are reaching out to invite you to review a new manuscript submitted to Academia Green Energy. Given your expertise in green energy, we believe your insights would be highly valuable in evaluating this work.
        Will you peer review this manuscript?
        Yes, I’ll peer review →
        I’m unable to peer review
        More information
        This manuscript has already been pre-checked for quality and scope by the Editorial Office.
        Learn more about the journal and the reviewer guidelines on the journal website: Academia Green Energy.
        Please contact the Editorial Office if you have any questions or need further assistance. Thank you very much for your time and interest.
        Kind regards,
        Beatrice Girbaciu
        Peer Review Assistant I Editorial Office
        Academia Green Energy (ISSN: 2998-3665)
        Journal’s homepage: https://www.academia.edu/journals/academia-green-
        energy
        Contact: beatrice@academia.edu

  2. Avatar de rtremblay rtremblay dit :

    hum… j’ai besoin de savoir les titres, les auteurs et les sujets des articles que vous avez revisez. Les deux articles que vous mentionnez ? Vous avez une expertise en statistiques, en green energy ? j’imagine que ça va vous faire plaisir de nous le mentionner et de préciser qu’elle est t’elle ?

    Tenons nous en au fait svp.

    ce n’est pas un concours de qui crache le plus loin 🙂

    • Avatar de Reynald Du Berger Reynald Du Berger dit :

      rtremblay « hum… j’ai besoin de savoir les titres, les auteurs et les sujets des articles que vous avez revisez ». Non mais quel culot de la part d’un p’tit agronome de comté genre Kimbol des Arpents verts ! Vous ne saurez rien… avez-vous lu le email que j’ai reçu récemment me sollicitant ? vous y verrez le titre de la publication qu’on me demande de juger. Non mais pour qui il se prend le p’tit agronome ? Je vous promets une liste si VOUS me fournissez d’abord VOTRE liste de VOS publications scientifiques en revues avec comités de lecture. J’espère avoir été assez clair… Si vous ne savez pas ce qu’est un comité de lecture, entrez « comité de lecture » dans google. Et permettez que je vous corrige  » que vous avez révisés » et non revisez… et « de préciser quelle est-elle » (quelle horreur !, un enfant de 3ème au primaire n’écrirait pas cela) et non qu’elle est t’elle…. aussi fort en français qu’en science le p’tit agriculteur ! allez élève Tremblay, 5 petits coups de règle sur les doigts pour vous apprendre le français et à ne pas tenter de vous mesurer à un scientifique reconnu. Combien de publications scientifiques réfèrent à VOS travaux ? Moi c’est près de 1 400 !… J’espère que ceci va vous clouer le bec une bonne fois pour toutes.

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  3. Avatar de rtremblay rtremblay dit :

    Quoi de plus normal de demander à avoir les titres, auteurs et résumés (abstract) des articles que vous avez révisés pour bien être en mesure de connaître le contenu de ces recherches ?

    Personnellement J’ai fait quatre rédactions d’articles sur mes projets qui ont été publié dans le « proceeding » des conférences. Je connais un peu le processus d’acceptation de ce type d’écrits. J’ai fait surtout des présentations publiques de mes projets dans le cadre de conférences. Surtout au Québec et au Canada mais deux fois aussi en Europe. Aucun ne concernait la climatologie dans le sens large du terme. J’ai participé quelques fois à des conférences de Réseaux environnements qui est un inconcourtnable au Québec dans le domaine de l’environnement (air, eau, matières résiduelles).

    Les liens que vous avez fournis ne sont pas fonctionnels. Je ne vois pas directement les références que vous avez citées. Merci de nous fournir des liens plus directes ou les informations demandées au début de ma réponse d’aujourd’hui.

    • Avatar de Reynald Du Berger Reynald Du Berger dit :

      rtremblay vous dites  » dans le cadre de conférences »…. les proceedings de conférences, c’est de la bullshit… les étudiants de l’ACFAS bullshitent à chaque année en mai et c est un minable paragraphe reviewé par personne… Vous vous adressez à un scientifique, pas à un réchauffiste étudiant gauchiste de UQAM… Montrez-nous la liste de VOS publications en revues scientifiques À COMITÉS DE LECTURE et ensuite les lettres de sollicitation qui vous ont été adressées par des éditeurs , sollicitant votre expertise SCIENTIFIQUE comme reviewer d’articles soumis à ces revues. Suis-je assez clair ? Je vous ai envoyé deux sollicitations d’éditeurs de revues à comités de lecture en 1- statistiques pour deux articles sur le TRAITEMENT STATISTIQUE DE DONNÉES CLIMATOLOGIQUES et 2- une autre traitant des énergies vertes (pour « sauver le climat » comme vous dites). Les liens sont fonctionnels, c’est votre science qui ne l’est pas.Réponse svp.

  4. Avatar de rtremblay rtremblay dit :

    e n’est pas compliqué ce que je vous demande : c’est d’indiquer le titre, les auteurs et si possible de mettre aussi le résumé des deux articles qui sont inaccessibles si on ne s’abonne pas à
    academia

    avec une couple de copier/coller vous devriez y arriver ??

    Autre point : On parle de science du climat, de climatologie uniquement. C’est de la valeur des informations par rapport à ce sujet, ce domaine que je désire en savoir plus et c’est le sujet de votre poste. Je ne remets pas en question vos compétences en géosciences. Mais vous, vous ne vous gênez pas de remettre en question la compétence des gens qui ont des opinions contraire au votre.

    Je vous cite : « minable paragraphe reviewé par personne »

    1. mon correcteur antidote m’indique que le mot reviewé est inconnu.
    2. par personne ?????
    3. je suggère : qui ne sont pas révisés par des pairs

    De mon côté j’estime que les réviseurs des textes que j’ai présenté à l’intérieurs des proceedings de conférences étaient de calibre international. Les réviseurs étaient tous des professeurs universitaires. Vous affirmez des choses sans les connaître.

    Ce n’est pas compliqué ce que je vous demande : c’est d’indiquer le titre, les auteurs et si possible de mettre aussi le résumé des deux articles. Avec cette information je vais, et d’autres personnes également vont pouvoir avoir une meilleure idée de votre expertise.

    • Avatar de Reynald Du Berger Reynald Du Berger dit :

      rtremblay « e n’est pas compliqué ce que je vous demande ». Non mais pour qui vous prenez-vous ? Un p’tit morveux inculte en science et en français qui n’a jamais rien publié et qui ose me demander mes lettres de créance. Quel culot !

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