
Je reçois encore de l’Université du Québec à Chicoutimi, où j’ai été professeur pendant plus de 30 ans, des communiqués s’adressant aux étudiantes et étudiants, aux chargé(e)s de cours…
Je note aussi que le Québec est un des rares endroits de la vaste francophonie, où l’on a encore cette détestable manie de l’écriture inclusive. Radio-Canada qui se plastronne pourtant de son « Service de la langue française », ne fait malheureusement pas exception.
Le Ministre français de l’éducation nationale Jean-Michel Blanquer a interdit (et non pas seulement découragé) l’usage de l’écriture inclusive dans toutes les écoles françaises.
Les Québec est-il à ce point soumis au lobby néo féministe ? La seule autorité en langue française est l’Académie et son dictionnaire. Larousse et Robert (malgré son iel ou ielle) sont des dictionnaires d’usage et servent à régler les querelles de scrabbleurs.
On dit madame le Premier ministre, madame le maire et madame le Président. En ce dernier cas, l’Académie consent toutefois à l’usage de madame la présidente, si l’entité présidée par une femme regroupe presque exclusivement des femmes, comme un cercle de fermières ou des dames patronnesses par exemple… j’anticipe des émoticônes néo féministes rouges de colère dans les commentaires à ce billet…
Voici l’avis de l’Académie française sur l’écriture inclusive. Noter au bas de cet avis, la signature de madame Hélène Carrère d’Encausse, Secrétaire perpétuel de l’Académie française. Madame Carrère d’Encausse est le Secrétaire perpétuel de l’Académie et non la Secrétaire perpétuelle. Elle occupe le poste de secrétaire perpétuel, lequel est masculin, ce qui ne lui enlève aucune de ses qualités délicieusement féminines, lesquelles font de la France un pays profondément féminin comme le dit si bien le philosophe Alain Finkielkraut.
La réponse, sans hésiter : Viva los Ericos !
Le meilleur cheuf ici : monsieur Éric Duhaime.
En France : monsieur Éric Zemmour.
L’écriture inclusive, les pronoms neutres anglophones, les dérives reliées à la trinité ‘DIE’ (Diversité, Inclusivité et Équité), ainsi que l’obligation de sauver la planète, de même que le wokisme, font partie de la doxa imposée à tous par l’élite mondialiste au moyen de la bienpensance et rectitude politique omniprésentes, arbitrées par les affiliés locaux.
Le privilège d’appartenance au club des élites mondiales est érigé en système pyramidal. C’est ainsi que les recteurs d’universités, les éditeurs, les opérateurs des médias sociaux, les directeurs aux grandes entreprises, les banquiers, les grands investisseurs, même les premiers ministres, doivent tous prouver leur allégeance et empressement, avant de monter d’un étage sur cette pyramide à degrés multiples.
Le très honorable qui nous gouverne était déjà juché bien haut sur ce perchoir, mais il ne pouvait pas manquer cette belle opportunité de démontrer sa grande vertu :
“ Justin Trudeau: ‘Peoplekind’ not ‘mankind’- BBC News “
Les élites mondiales sont bien entre elles à Davos, comme d’autres l’étaient jadis à Versailles :
“ The good news and the bad news for the World Economic Forum elites “
La grande dame se réjouit : « .. survey showed us, that the good news is, the elites across the world trust each other more and more, so we can come together and design and do beautiful things together. ».
Mais se désole en même temps : « The bad news is that in EVERY SINGLE COUNTRY they were polling, the MAJORITY OF PEOPLE TRUSTED THEIR ELITE LESS. So we can lead, but … ».
Il n’est donc pas surprenant que pour les élites mondiales, la démocratie à la Occidentale, n’est pas le régime politique préféré.
En alliance d’intérêts avec la gauche internationale, ils visent l’affaiblissement d’État-Nation pour le remplacer par le Nouvel Ordre Mondial, évidemment dominé par les élites mondiales immuables.
Voilà aussi, pourquoi un ‘populiste’, qui s’investit du mandat de préserver et avancer l’intérêt du peuple, comme D. Trump ou E. Zemmour ou V. Orbán et d’autres, est combattu par les élites locales et internationales.
Tout à fait d’accord avec ce contenu. Haro sur les wokes et leur négationnisme. Ce n’est pas compliqué, tant que l’on a un appendice entre les jambes, on est du genre masculin, point. Une langue n’a pas à être triturée par n’importe quel voyou sous-instruit.
Le père Trudeau nous a imposé une charte à une époque où personne avait de problème avec personne mais il en connaissait la portée destructive éventuelle. Le jeune Trudeau est assis dans le siège de l’égo-portrait et du bien-paraître. Il tente de créer un nouveau pays basé sur l’inclusivité, la diversité, le multiculturalisme, bref une tour de Babel postnatale. Mais là on réalise la portée du geste de PET à l’époque. On doit maintenant se battre pour sauvegarder notre langue, nos valeurs dans un système où même la Justice ne nous supporte plus, se voulant un terreau fertile pour l’avènement du wokisme dont le PM est le chef scout.
Voilà, c’est reconnu par Klaus Schwab, le Grand Vizir du ‘Nouvel Ordre Mondial’ : notre Lider Maximo est son poulain et le gouvernement qu’il dirige est à l’avenant.
“Klaus Schwab 2017 Young Global Leaders “
Klaus Schwab : « .. so we penetrate the cabinets … so yesterday I was at the reception for prime minister Trudeau and I would know that half of his cabinet, or even more … are actually young global leaders ..».
Pas étonnant que l’an dernier Justin était le premier à se joindre au principe du ‘Great Reset’ au Forum économique de Schwab et que maintenant il utilise la Loi de mesures de guerre pour en découdre avec les opposants à son régime, car le ‘NOM’ et ses élites, avec l’imposition de leur lutte contre le ‘Klimatet’ ne peuvent pas tolérer trop de ‘Freedomet’.
Comme le dit la grande Greta : “ Firsht tame the Kovidet, then beat the Klimatet & to Hell with the Freedomet ! “
NOTE :
Ce genre de ‘pénétration’ porte un nom : la ‘Cinquième colonne’.
Jadis, derrière le Rideau de Fer on ne ménageait pas les moyens pour la débusquer et l’exterminer.